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  • Catégories : Voyage

    Art des jardins, art de vivre en Chine

    Voyage culturel : Art des jardins, art de vivre en ChineAu sud du delta du fleuve Bleu et aux alentours de Shanghai, les Chinois ont inventé de véritables havres de beauté et de paix qui ne se laissent pas ternir par l'incroyable expansion économique du pays. Bien au contraire, les villes d'eau et les multiples jardins inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco permettent plus que jamais à la population de retrouver l'harmonie et le bien-être. Des paysages bucoliques, des villages préservant l'architecture traditionnelle, une mythique montagne Jaune aux brumes mystérieuses, un lac de l'Ouest entouré d'un écrin de verdure et habité de légendes sont autant de lieux de repos et de création artistique. Vous dégusterez les thés verts les plus réputés. Vous entendrez les grands poètes chinois qui ont magnifiquement célébré l'art de vivre au sud du Yang-Tsé-Kiang. Avec Michèle Zedde, conférencière sinologue et conteuse, partez à la découverte de cette Chine déjà vantée par Marco Polo pour sa richesse et sa beauté.

    Au sud du delta du fleuve Bleu et aux alentours de Shanghai, les Chinois ont inventé de véritables havres de beauté et de paix qui ne se laissent pas ternir par l'incroyable expansion économique du pays. Bien au contraire, les villes d'eau et les multiples jardins inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco permettent plus que jamais à la population de retrouver l'harmonie et le bien-être. Des paysages bucoliques, des villages préservant l'architecture traditionnelle, une mythique montagne Jaune aux brumes mystérieuses, un lac de l'Ouest entouré d'un écrin de verdure et habité de légendes sont autant de lieux de repos et de création artistique. Vous dégusterez les thés verts les plus réputés. Vous entendrez les grands poètes chinois qui ont magnifiquement célébré l'art de vivre au sud du Yang-Tsé-Kiang. Avec Michèle Zedde, conférencière sinologue et conteuse, partez à la découverte de cette Chine déjà vantée par Marco Polo pour sa richesse et sa beauté.

  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, Claudel Camille

    Par Danièle Kapel-Marcovici Présidente de la Villa Datris

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    Pourquoi la Villa Datris a-t-elle choisi d’exposer uniquement des sculptrices ?

    Tout simplement parce que cela est passionnant et nécessaire et que cela s'impose comme une évidence : la réalité montre que les artistes femmes sont moins exposées que les hommes, et la parité artistique est loin d'être habituelle dans les musées et lieux culturels...

    Plus symboliquement, la Villa Datris souhaite, à travers cette exposition, rendre hommage aux sculptrices et aux femmes. Montrer leur tempérament pionnier, leur talent, leur spécificité, ce qu'elles ont apporté au monde de l'art. Leur donner une visibilité, une reconnaissance.

    Pour la Villa Datris, tout cela s'intègre dans une démarche cohérente, une fidélité à certaines convictions qui sont celles de la Fondation RAJA - Danièle Marcovici que j'ai créée en 2006, dont la mission est d'apporter son soutien aux femmes à travers le monde, qui offre son parrainage à l'exposition Sculptrices.

    Avec l'exposition Sculptrices, la Villa Datris souhaite "donner une visibilité et une reconnaissance" à ces artistes qui revendiquent non pas un art 'au féminin', mais la sculpture par les femmes. Sous l'égide de la 'Blue Goddess' de Niki de Saint Phalle, Thoëris divinité égyptienne baroque et mordante, protectrice de la fécondité féminine, cette "exposition-manifeste" propose une lecture éclectique et fantaisiste, jubilatoire et sans concession de la création en trois dimensions telle qu'elle est perç­­­ue et pratiquée par les femmes.­­ Surprenante, l'exposition Sculptrices réunit une soixantaine d'artistes, avec plus de 90 œuvres, dont une vingtaine de sculptures sont à découvrir dans le jardin de la Villa Datris, avec une sélection d'œuvres d'artistes confirmées ou émergentes de la scène internationale telles Ghada Amer, Rina Banerjee, Louise Bourgeois, Martha Boto, Geneviève Claisse, Camille Claudel, Parvine Curie, Odile Decq, Nathalie Elemento, Camille Henrot, Rebecca Horn, Louise Nevelson, Meret Oppenheim, Sarah Oppenheimer, Marta Pan, Alicia Penalba, Germaine Richier, Niki de Saint Phalle, Chiharu Shiota, Kiki Smith, Jessica Stockholder, Joana Vasconcelos...

    ­A mille lieues de la vision traditionnelle de la sculpture, les sculptrices s'approprient cet art réputé 'viril' et s'expriment librement à travers les techniques les plus variées : de l'assemblage à la taille directe sur bois, du marbre au métal, de la porcelaine au néon...
    Il en résulte une approche de la sculpture sans détour, émotionnelle ou cérébrale, trou­­blante ou rebelle, toujours engagée et profondément ancrée dans la chair et l'esprit.

    Réalisant avec Sculptrices une nouvelle avancée autour de la création des femmes, la Villa Datris souhaite amorcer une réflexion sur leur démarche, leur vision du monde et de l'art, à travers cette exposition qui se veut avant tout "joyeuse" et accessible au plus grand nombre.

    http://www.villadatris.com/fr/expositions/exposition-2013/sculptrices/edito.html

  • L’éternel féminin

    Signature : Jérôme Coignard - 5 juillet 2013
     
    Tamara de Lempicka, Nu aux buildings, 1930, huile sur toile, 92 x 73 cm (Collection Caroline Hirsch).

    Tamara de Lempicka, Nu aux buildings, 1930, huile sur toile, 92 x 73 cm (Collection Caroline Hirsch).

     

     

    Un périple à travers quelques-unes des grandes expositions de l’été montre que le corps féminin n’a cessé d’inspirer les plus grands artistes du XXe siècle. De Gauguin à Matisse, de Picasso à Louise Bourgeois.

     

    Dans leur Manifeste du 11 avril 1910 à Milan, les peintres futuristes partaient en guerre « contre le Nu en peinture, aussi assommant et nauséeux que l'adultère en littérature » et exigeaient sa suppression totale pendant dix ans. Pourtant, ni l'agonie de la tradition académique, ni les coups de boutoir d'une avant-garde radicale ne parvinrent à rayer de la carte artistique un genre qui avait fait la gloire de la peinture occidentale depuis la Renaissance. Au musée Bonnard du Cannet, la figure mythique d'Ève a inspiré l'exposition conçue par Véronique Serrano. Gauguin avait cherché son ève en Bretagne, avant de la trouver à Tahiti et aux îles Marquises, incarnée par de très jeunes filles aux longs cheveux noirs.

    Leur innocence se drapait de la virginité salvatrice des Tropiques, jardin d'Eden que le serpent de la civilisation n'avait pas encore profané. Pour Pierre Bonnard, Ève s'incarna en Marthe, le bel oiseau effarouché rencontré en 1893. Elle fut son modèle et sa muse. Il la peignit inlassablement et photographia son corps laiteux, éblouissant dans la pénombre du jardin. La richesse du thème se décline en une série de chefs-d'oeuvre, du Paradis terrestre imaginé par Maurice Denis comme une sombre forêt aux arbres sans feuilles, au jardin merveilleux où le Douanier Rousseau fait d'Ève l'ancêtre d'Alice au pays des merveilles. Et jusqu'aux bas-fonds où Georges Rouault pêcha sa Fille au miroir, femme déchue aux chairs ombrées de bleu. L'artiste se souvenait de Rembrandt, le premier à faire entrer la misère d'un corps imparfait dans la peinture, avec ses figures de Suzanne ou Bethsabée, aux seins pesants, au ventre flasque.

    Au début du XXe siècle, exposer au public un nu féminin pouvait verser dans l'outrage aux bonnes moeurs. Souvenons-nous, devant les deux nus somptueux d'Amedeo Modigliani (1884-1920) présentés à la Fondation Pierre Gianadda, du scandale déclenché par l'exposition des nus de l'artiste à la galerie Berthe Weill en 1917. Devant l'attroupement de badauds suscité par les oeuvres en vitrine, le commissaire avait sommé la galeriste « d'enlever toutes ces ordures ». Il y avait vu « des poils » ! Or la police ne supportait en peinture que le lisse et l'épilé, façon Bouguereau. Il est vrai que Modigliani se targuait d'avoir appris davantage dans les bordels que dans n'importe quelle académie...La consécration attendue tourna à la déroute. Renouant avec l'art luxurieux des grands maîtres italiens de la Renaissance, étudiés dans les musées de Florence et Venise, mais proche de Brancusi, Modigliani donne à ces figures opulentes le visage effilé et les yeux vides des idoles africaines.

    Lire la suite dans le Magazine Connaissance des Arts juillet-août 2013
     

    Infos pratiques

     
    Le Nu de Gauguin à Bonnard
     
    Sculptrices
     
    Max Ernst
     

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  • Un Allemand à la cour de Louis XIV

    De Dürer à Van Dyck, la collection nordique d’Everhard Jabach

    du 20 Juin 2013 au 16 Septembre 2013

     

    Everhard Jabach (1618-1695) fut l’un des plus grands collectionneurs de son temps. Les chefs-d’oeuvre réunis dans cette exposition illustrent l’importance de ce collectionneur qui, non content d’être l’ambassadeur de l’art nordique auprès du roi et de ses peintres, contribua à forger le goût des amateurs français pour les écoles du Nord jusqu’au XVIIIe siècle.

    Marchand-banquier issu d’une puissante famille de Cologne, il s’installa très tôt à Paris où il devint l’un des acteurs majeurs de la politique économique de Colbert. La vente de sa somptueuse collection à Louis XIV en 1662 et en 1671 signa l’acte inaugural d’une véritable collection royale de tableaux et de dessins. Si Jabach s’est avant tout intéressé à l’art italien, à l’instar des autres grands amateurs de l’époque, la qualité exceptionnelle de sa collection nordique – où abondent les oeuvres de Dürer, Holbein, Bril, Van Orley, Rubens ou Van Dyck – mérite toute notre attention. Elle révèle la singularité du collectionneur qui a toujours maintenu des contacts avec son pays d’origine comme avec sa ville natale, Cologne. Son appartenance à de vastes réseaux marchands, déployés jusqu’à Londres, Amsterdam ou Anvers, lui offrait une position particulièrement favorable pour drainer vers Paris les plus belles pièces des écoles allemande et flamande disponibles sur le marché de l’art.

    La sélection proposée dans l’exposition veut rendre compte de la qualité de la collection nordique et des choix de Jabach, qui se portèrent aussi bien vers les maîtres anciens (XVe et XVIe siècles) que vers les artistes modernes (XVIIe siècle).

    Commissaire(s) :

    Blaise Ducos, département des Peintures, musée du Louvre et Olivia Savatier Sjöholm, département des Arts graphiques, musée du Louvre.

    http://www.louvre.fr/expositions/un-allemand-la-cour-de-louis-xivde-duerer-van-dyck-la-collection-nordique-d-everhard-jab

  • Giuseppe Penone, un poète à Versailles

    Après Jeff Koons et Joana Vasconcelos, l’Italien Giuseppe Penone est le sixième artiste invité à Versailles. Comme un hommage à Le Nôtre dont on célèbre cette année le 400e anniversaire, il déploie avec une rare poésie ses sculptures d’arbres dans les jardins, et trois discrètes installations dans le château. Pour L’Estampille-L’Objet d’Art, il revient sur les enjeux d’un tel projet.
    Propos recueillis par Nathalie d’Alincourt


    Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 Page : 46-51

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 - Juillet/Août 2013

  • Van Gogh mis à nu à Amsterdam

    Après sept mois de travaux, le musée Van Gogh a rouvert ses portes avec une ambitieuse exposition qui occupe l’ensemble de ses espaces. Elle est l’aboutissement d’un vaste projet de recherche sur les techniques et les matériaux employés par l’artiste, venant à l’encontre de bien des idées reçues sur le peintre. 150 œuvres de Van Gogh provenant du monde entier y sont présentées et confrontées à celles de ses contemporains. Par Nathalie d’Alincourt.

     

    Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 Page : 36-45

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 - Juillet/Août 2013

  • La 55e Biennale de Venise, une édition très cosmopolite

    Le temps de la Biennale, Venise redevient la capitale mondiale de l’art contemporain. Pour sa 55e édition, la?manifestation, comme pour ses précédentes éditions depuis 1998, se décline selon deux grands axes principaux, une “exposition internationale” pensée, organisée et articulée afin de délivrer une vision sur les?évolutions et les directions de l’art, et les expositions des pavillons “nationaux ” (quatre-vingt-huit au total dont douze nouveaux pays en 2013), où les artistes sont choisis et présentés par les États.
    par Philippe Fouchard-Filippi

     

    Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 492 Page : 94-96

  • Geneviève Asse au Centre Pompidou, des carnets aux grands formats

    Publié le 25/06/2013 à 18H42

    Pages des carnets de Geneviève Asse

    Pages des carnets de Geneviève Asse, 1993, achat en 2000, Collection Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, photos Georges Meguerditchian, Centre Pompidou / Dist. RMN-GP

    © Adagp, Paris 2013
    Le Centre Pompidou présente une rétrospective des peintures de Geneviève Asse, autour de onze tableaux donnés par l’artiste au musée. Née en Bretagne, elle décline le bleu à l’infini et de façon extrêmement subtile, captant la vibration de l’air et de la mer. Une petite rétrospective qui suffit à vous remplir d’un bonheur serein (du 26 juin au 9 septembre 2013).

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  • Mark Ryden Sous les duvets, la viande

    — Par Françoise Monin · Visuels : Mark Ryden

    General Sherman by Mark RydenPeintre archi médiatique auquel les éditions Taschen viennent de consacrer un livre très beau, très gros et très rose, Mark Ryden affole les fans. Et s'affirme comme l'inventeur d'un Nouveau Maniérisme, sinon comme le chef de fil du Néo Pop Surréalisme ainsi que disent ses compatriotes. Rencontre parisienne avec une star typiquement américaine.

    http://www.scopalto.com/artension/120/montrer-l-art-dans-des-lieux-bizarres

    http://kultstudio.com/artists/mark-ryden?gclid=CP7Vl7yJ-rgCFfLHtAod5QgATA

  • Mali

    Présidentielle Mali : Cissé reconnaît sa défaite

    sa défaitePrésidentielle Mali[...]sa défaiteL'un des candidats au second tour de la présidentielle au Mali, Soumaïla Cissé[...]bonne chance pour le Mali

     
     

    Mali: la France soulagée mais prudente

    la France soulagée mais prudente Dans quelques heures, quelques jours au plus, le Mali[...]Les soutiens étrangers au Mali[...]3 200 soldats au Mali, un nombre[...]fait du désengagement militaire rapide du Mali une priorité[...]les moyens de soutenir seule le Mali[...]en fait de voir son indubitable réussite au Mali être ...

     
     

    Mali : les trois défis du prochain président

    le Mali[...]qu'aggraver la fracture déjà profonde entre les «deux Mali» en donnant l'impression de céder l'unité du pays[...]été promis au Mali

  • Des dizaines de blessés après des heurts à Belfast

    Home ACTUALITE International
    Un policier vient en aide à un collègue dans le centre de Belfast.

    Un policier vient en aide à un collègue dans le centre de Belfast. Crédits photo : CATHAL MCNAUGHTON/Reuters

    Des membres de la communauté protestante se sont opposés vendredi soir à une manifestation prévue par des nationalistes sur la principale artère de la ville. Une nouvelle manifestation est annoncée ce dimanche.

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  • Catégories : Bienne,Suisse, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES

    Marlene Dietrich porte des bijoux Cartier

    Home LIFESTYLE LifeStyle
      • Par Fabienne Reybaud
      • Mis à jourle 12/08/2013 à 18:14
      • Publiéle 12/08/2013 à 15:52

    «Hitler est un idiot», assène l'Ange bleu alors que la Seconde Guerre mondiale bat son plein. Pour Marlene Dietrich, qui découvre Hollywood en 1930 au bras de son Pygmalion et amant, le réalisateur viennois Josef von Sternberg, le Führer n'est ni un monstre ni un fou. Il est méchamment stupide. Sous cette phrase culottée perce l'intelligence, la clairvoyance d'une femme qui n'a sûrement jamais cru que l'Allemagne nazie pouvait, un jour, triompher. Avant que l'histoire ne donne tardivement raison à celle qui se verra gratifier, en 1947, par le ministère de la Guerre des États-Unis, d'une «médaille de la liberté» pour avoir «diverti» les GI et récolté des fonds destinés aux troupes américaines, l'Europe vit l'une de ses heures les plus noires. En 1942, Adolf Hitler entérine la solution finale. Au mois de mai, les gazages massifs deviennent systématiques en Pologne. À Paris, les 16 et 17 juillet, la rafle du Vél' d'Hiv se traduit par l'arrestation de plus de 12 000 Juifs qui seront enfermés à Drancy avant d'être déportés dans le sinistre «convoi n° 6 de juillet». Cinq jours après, quelque 300 000 Juifs du ghetto de Varsovie sont emmenés dans les camps de la mort de Belzec et Treblinka. Le 21 août débute la bataille de Stalingrad.

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  • Catégories : Voyage

    Sunset Boulevard: Hollywood, glamour et septième art

    Armelle Vincent

    • Mis à jourle 12/08/2013 à 15:55
    • Publiéle 11/08/2013 à 17:38

    Son badge dit qu'elle s'appelle Janet. Ses cheveux blonds décolorés, limite paille, sont ramassés en un chignon lâche, sa frange est contenue par une visière portant le nom du diner où elle trime comme serveuse: Mel's Drive-In. Sa peau très blanche est légèrement grêlée et son rouge à lèvres déborde malgré le trait plus foncé soulignant le contour de sa bouche charnue. Elle a la cinquantaine et quelque chose de pathétique. Qui le serait tellement moins si, au lieu d'être au 8585 Sunset Boulevard, son employeur était dans un quartier ­populaire.

    http://www.lefigaro.fr/voyages/2013/08/11/30003-20130811ARTFIG00111-hollywood-glamour-et-septieme-art.php

  • Razzia sur le street art londonien

    Le pochoir <i>No Ball Games</i> («Jeux de ballon interdits») avait été apposé en septembre 2009 par l'artiste clandestin Banksy sur un pignon du quartier populaire de Tottenham, à Londres.

    Le pochoir No Ball Games («Jeux de ballon interdits») avait été apposé en septembre 2009 par l'artiste clandestin Banksy sur un pignon du quartier populaire de Tottenham, à Londres. Crédits photo : © Toby Melville / Reuters/REUTERS

    Dans le quartier de Tottenham, deux pochoirs du célèbre graffiteur anglais Banksy ont été découpés des murs qui les accueillaient pour être vendus au profit de mystérieux collectionneurs.

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  • Catégories : Mes paysages de Nerval et Baudelaire

    Un chercheur sur la piste de la vraie Joconde

    Home CULTURE Arts Expositions
    Le chercheur Silvano Vinceti (debout) et son équipe ont ouvert vendredi un tombeau de la crypte de la basilique de Florence pour identifier le modèle de<i>La Joconde</i>.

    Le chercheur Silvano Vinceti (debout) et son équipe ont ouvert vendredi un tombeau de la crypte de la basilique de Florence pour identifier le modèle deLa Joconde. Crédits photo : © Stefano Rellandini / Reuters/REUTERS

    VIDÉO - Silvano Vinceti a ouvert vendredi un tombeau dans la crypte de la basilique de Florence, espérant identifier le modèle qui a servi à Léonard de Vinci pour peindre La Joconde. Une recherche critiquée chez les scientifiques.

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  • Montrer l'art dans des lieux bizarres

    "Allo? T'es une fille et t'as pas de shampooing? Non mais allo quoi! C'est comme si j'te disais: t'es une fille et t'as pas de cheveux!": si l'extrait d'un récent reality show télévisé, montrant la belle Nabila s'exprimant ainsi, a déjà été regardé plus de deux millions de fois sur You Tube, c'est parce que ces mots incarnent justement, ici et maintenant, la manière populaire de formuler des évidences.
    Allo? T'aimes l'art et t'es pas heureux? C'est comme si j'te disais: t'aimes l'art et tu lis pas Artension! Au fil des pages qui suivent, faufilez-vous dans l'atelier époustouflant de Gaël Davrinche ou parmi les souvenirs de Konrad Klapheck et les rêves de Mark Ryden. Découvrez la chaleur de La Nuit des Soudeurs ou la sensualité de l'exposition Silhouettes. Sachez tout du dialogue entre les lieux anciens et les oeuvres récentes, si cher à la postmodernité. Et riez des rouages éculés qui génèrent l'artiste dit contemporain.
    À l'eau, la fricassée des mondanités. À nous la ratatouille de vitalité. Bel été

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