Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Michel Chaillou,le songe-plein
À la vitesse, il préfère la lenteur, au rationnel l’élan d’une âme en balade, au présent fugitif et impérieux, le passé. Jadis, naguère, antan : voilà ses territoires.
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À la vitesse, il préfère la lenteur, au rationnel l’élan d’une âme en balade, au présent fugitif et impérieux, le passé. Jadis, naguère, antan : voilà ses territoires.
Dans un volumineux coffret, les Éditions Gallimard ont rassemblé les textes de Werner Spies, spécialiste du surréalisme et grand défenseur des artistes allemands en France.
Une oeuvre majeure ...
La chambre de Vincent à Arles est l'une des oeuvres les plus connues du plus célèbres des peintres. Mais cette toile était aussi la préférée de Van Gogh lui-même, qui en a peint cinq versions: trois huiles et deux croquis.
La chambre reconstituée est basée sur la première de ces toiles, datant d'octobre 1888 et actuellement exposée au musée Van Gogh d'Amsterdam. Le peintre l'a décrite en détails dans plusieurs lettres à son frère Théo.
1888 72 X 90 cm Van Gogh Museum, Amsterdam |
- Auvers-sur-Oise - mai, juin 1890
Huile sur toile - 50cm x 52cm - F.799, JH.2004
Amsterdam, Museum Van Gogh, Fondation Vincent Van Gogh
Photo: © Michele Ahin - (avec mes remerciements)
« Chagall s’apprête à décorer une petite chapelle à Vence, et ce projet ne peu que flatter l’imagination de ceux qui connaissent à la fois la peinture de Chagall et les lieux où doit se manifester son enchantement. Car ce qu’il y a de très particulier et nouveau dans ce cas d’une nouvelle chapelle à décorer, est la grâce extrême, la poésie de cet endroit, le vieux Chemin du Calvaire auquel Chagall est appelé à donner un charme nouveau (...) ».
Vincent Van Gogh Tableaux et œuvres Biographie Van Gogh à Arles
Van Gogh à Paris Van Gogh à Saint-Rémy Van Gogh à Auvers sur Oise
A Saint-Rémy de Provence, retiré du monde, Vincent Van Gogh se résigna et il continua de travailler. Il le fit de tout son courage, autant du moins qu'il en eût le pouvoir ; car son génie fut une incompréhensible chose pour tout ce monde de fous et de soigneurs de fous.
Vincent Van Gogh possède à présent son génie en pleine puissance. Il est arrivé d'Arles comme un héros chargé de toutes ses armes. Il a toute sa véhémence, toute son originalité, vertus superbes, développées à l'extrême. Ses tableaux, on ne pourra plus les regarder sans ressentir tous les frissons de l'admiration. Et, toujours, ses toiles seront variées, contrastées, inattendues ; on en sentira le choc, comme d'un coup de poing en pleine poitrine.
Les dessins
jeudi 27 octobre 2005, par Berthoux André-Michel
©e-litterature.net
Après le succès de l’exposition consacrée à Bacon en 2002, la Fondation Vincent Van Gogh à Arles, sous l’égide de sa présidente Anne Clergue, présentait, l’année suivante, un ensemble de dessins originaux de Van Gogh à l’occasion du 150ème anniversaire de sa naissance, et notamment ceux réalisés lors de son séjour à Arles entre février 1888 et mai 1889. Le public pouvait voir également des documents inédits relatant les épisodes marquants de sa vie arlésienne, tels que, l’article paru dans le quotidien local, Le Forum Républicain, concernant l’histoire de l’homme à l’oreille coupée, la pétition des trente arlésiens demandant son internement, ainsi que sa lettre à Gauguin après son hospitalisation. Une reconstitution sous la forme d’une maquette en volume de la “Maison jaune”, désormais détruite, où il vécut et dont il nous reste son fameux tableau peint en septembre 1888, ainsi que des photographies des lieux qui jalonnent son parcours comme la place Lamartine et le “Café de nuit” complétaient le dispositif de l’exposition.
26 août 1951, quelque part au Texas. Chaim Chlebeck est laissé pour mort dans la poussière rouge du désert, et retrouvé par un drôle de
couple : Dallas, une Indienne borgne et sauvage, mais sacrément attirante, et un certain Dirk, scientifique allemand venu se perdre dans l’immensité nord-américaine pour fuir les ambitions nucléaires de son gouvernement.
United Colors of Crime peut être lu tout autant comme un roman d’aventure que comme une extravagante histoire d’amour, dans un décor de
western peuplé d’Indiens plutôt violents, de shérifs plutôt coulants, et d’une bande de mafieux prêts à traverser le pays pour retrouver leur poulain fugueur, Chaim.
Car tuer froidement un parrain de la mafia – même si l’on en fait soi-même partie – ne passe pas inaperçu, dans les bas-fonds de Little Italy.
C’est ainsi que Chaim, ancien soldat à Monte Cassino, ancien tueur à gages et protégé du caïd Lucky Luciano, s’est mis à avaler les kilomètres, jusqu’à se retrouver au beau milieu de nulle part, entre Alpine et Fort Stockton, à se reconstruire une vie à peu près normale, si ce n’était ces fantômes de New York lui courant après.
De l’Europe aux States, de New York au grand sud américain, Richard Morgiève revient avec une galerie de personnages excentriques et une description acide de la société américaine marquée par le maccarthysme et la ségrégation, le pouvoir de l’argent et la violence.
Richard Morgiève a 59 ans et 28 livres derrière lui, dont Un petit homme de dos et Vertig (Prix Wepler 2005).
LE MONDE | 10.09.2013 à 10h02 | Par Isabelle Regnier (Toronto (Canada), envoyée spéciale)
Comme chaque année en septembre, le Festival de Toronto propose à ses spectateurs de se perdre dans une forêt de films : 366, dont 146 premières mondiales, en provenance de 70 pays. Cette belle diversité n'empêche pas la manifestation d'être profondément américano-centrée. Premier rendez-vous, après Cannes, des professionnels du secteur, qui l'utilisent comme plate-forme de lancement de leurs films sur le territoire nord-américain, elle est l'endroit où l'on prend le pouls de la production américaine de l'année à venir. Au vu de ce qu'en montre cette 38e édition du festival, celui-ci bat doucement.
LE MONDE | 10.09.2013 à 08h32 • Mis à jour le 10.09.2013 à 08h33 | Par Sandrine Marques
Tourné aux Etats-Unis, entre le Montana et le Michigan, le nouveau film d'Arnaud Desplechin est adapté du livre du psychanalyste et anthropologue Georges Devereux, Psychothérapie d'un Indien des plaines, publié en 1951. L'ouvrage relate l'analyse de Jimmy Picard, un Indien Blackfoot, traumatisé par les combats auxquels il prit part pendant la seconde guerre mondiale. Pionnier de l'ethnopsychiatrie, Georges Devereux a retranscrit son travail avec Jimmy Picard, séance après séance. Le film reprend une partie de ces entretiens et s'inscrit dans la veine intimiste et romanesque qui singularise l'auteur de Comment je me suis disputé... ma vie sexuelle.
Découvrir un Van Gogh inconnu est rare. Identifier une huile sur toile de grand format, exécutée à l'été 1888, durant le légendaire séjour du peintre à Arles, tient de l'exceptionnel. Dans le cas du Coucher de soleil à Montmajour, l'intérêt se trouve encore augmenté par les caractéristiques stylistiques du tableau
LE MONDE | 10.09.2013 à 10h32 • Mis à jour le 10.09.2013 à 11h59 | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, correspondant)
Axel Rüger rayonnait, lundi 9 septembre, tandis que les personnes présentes applaudissaient. Le directeur du Musée Van-Gogh d'Amsterdam vivait le rêve de tout responsable d'une telle institution : la découverte d'une toile inconnue du peintre. Coucher de soleil à Montmajour est, selon les experts qui l'ont examinée pendant deux ans, bel et bien une œuvre de Vincent Van Gogh, datant très précisément du 4 juillet 1888 : il l'a décrite dans deux lettres adressées à son frère, Theo, dont l'une était datée du 5 juillet 1888, alors qu'il venait de l'achever
Les présidents se succèdent, la société se transforme, mais la France n'échappe pas à ses deux passions : l'Histoire, scandée par la commémoration de ses grandes heures ou de ses drames ; l'école, creuset depuis plus d'un siècle de la République, de ses ambitions et de ses tensions
LE MONDE | 10.09.2013 à 11h37 • Mis à jour le 10.09.2013 à 18h05 | Par Chloé Hecketsweiler
"Carrefour est une société qui est en train d'emprunter le chemin de la sérénité." Georges Plassat, le PDG du géant de la distribution, s'est pris un instant pour Confucius lors de la présentation de ses résultats semestriels le 29 août.
LE MONDE | 10.09.2013 à 12h00 • Mis à jour le 11.09.2013 à 14h20 | Par Claire Gatinois
"Les données suggèrent une reprise équilibrée, diversifiée et durable", s'est réjoui George Osborne, lundi 9 septembre. | REUTERS/ANDREW WINNING
LE MONDE | 10.09.2013 à 12h20 • Mis à jour le 10.09.2013 à 16h32 | Par Philippe Jacqué (Francfort, envoyé spécial)
Ce matin, à Francfort, les cloches tintent. C'est la rentrée des classes pour le secteur automobile. Comme tous les deux ans, le salon allemand est organisé en alternance avec le Mondial de l'automobile, sur leurs terres, les constructeurs d'outre-Rhin se livrent à une nouvelle démonstration de force, les trois champions de l'univers haut de gamme, Audi, BMW et Mercedes, mais également la galaxie Volkswagen, exhibant leurs muscles. Chacun d'entre eux occupe des halls entiers, voire de véritables cathédrales. Comme si nos trois marques nationales disposaient chacune d'un hall entier à Paris.
Arthur Jugnot dans Le Plus Heureux des trois, où il interprète l'amant. Pour lui, le cinéma est une envie, pas une priorité. Crédits photo : Fabienne Rappeneau / L'Œil du spectacle
Digne fils de son père, le comédien joue actuellement un Labiche, apparaît dans une fiction télé et prépare une comédie.
Les membres des Clash en 1977, avec de gauche à droite: Topper Headon, Mick Jones, Paul Simonon et Joe Strummer (disparu en 2002). Crédits photo : Adrian Boot / urbanimage.tv
INTERVIEW - Après nous avoir bombardés de leur slogan «No Future», le fleuron du punk revient avec un coffret original assorti d'inédits. Entretien trente ans après
Lancement d'Ariane 5 depuis la base de Kourou, en Guyane. Crédits photo : JEROME VALETTE/AFP
Avec 13 contrats de lancement de satellites signés depuis janvier, la société européenne détient 62 % du marché.