Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
Etienne Daho, "Les chansons de l'innocence retrouvée"
Le chanteur, après de sérieux soucis de santé cet été, avait du décaler la sortie de ce 12e album. Une opération de l'appendicite qui vire à la péritonite, et au cauchemar : deux mois d'hôpital et une convalescence dont il sort à peine. Aujourd'hui, Daho a repris du poil de la bête et le titre de son disque sonne comme un heureux présage.
Douzième album pour Etienne Daho
On a frôlé l'album posthume, c'est ce que dit Daho lui-même, et ironie du sort, tout cela est arrivé alors que le chanteur à 57 ans, venait d'achever un album solide, accompli, comme s'il balayait les étapes de sa carrière, de la chanson sophistiquée qui est la sienne maintenant, à un regard assez tendre sur ses jeunes années pop.
Un esprit libre et hédoniste
Un peu comme cette pochette espiègle, en noir et blanc où un Daho pose à l'entrée d'un jardin luxuriant, à coté d'une inconnue aux seins nus et gantées de noir, fantôme ou vestale du Palace ou des Bains Douches.
Pourtant, pas un brin de nostalgie dans ces titres. C'est la grande élégance de cet album, qui se penche parfois sur les couleurs acidulées des années 80 avec l'expérience du Daho d'aujourd'hui, qui multiplie les clins d'oeil, sans que rien ne soit daté musicalement. Il a compris l'alchimie de cette époque, qui est la même que l'essence du style Daho : les années 80, celle d'Epaule Tatoo, ou de Week-end a Rome, étaient faussement désinvoltes, imprégnées d'une "gravité légère" selon les mots du chanteur.
Une légère gravité
Celle-ci se retrouve à peu près partout, puisque le désir d'Etienne Daho, au départ, était de danser, de mettre la dedans de la "disco noire". Ce qui devait d'ailleurs être le premier titre de l'album. Les autres titres se présentent, eux, avec une dramaturgie très étudiée, des morceaux à tiroirs, inquiétants, hypnotiques et qui font couler les violons de belle manière.
Certaines mélodies se sont imprégnées des visites de Daho dans l'univers de Jean Genet (dont le chanteur avait repris Le condamné à mort, avec Jeanne Moreau) ou dans l'univers de Francis Bacon. Daho a justement écrit tout le disque à Londres, près de l'atelier du peintre, qui fut aussi le théâtre de la relation tumultueuse qui liait Bacon à son amant et muse Georges Dyer.
Les passions, la violence, l'hédonisme, tout cela dessine de toute façon en creux un Daho bien planqué derrière les notes de chaque album.
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"QUAI DES ORMES ET PONT MARIE" De Jean- Baptiste Raguenet,1757
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
Etienne Daho : "Je ne voulais pas mourir"
INTERVIEW - Sept ans après "L’Invitation", Etienne Daho effectue son retour sur le devant de la scène avec "Les Chansons de L’Innocence Retrouvée". Un retour rendu difficile par une opération, au premier abord banal, qui a pourtant failli lui coûter la vie
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Un pont d'or pour Caillebotte
Mots clés : Impressionnisme, Paris, Gustave Caillebotte, Artcurial
Sasportas, Valérie
03/10/2013 | Mise à jour : 12:35Le 2 décembre, Artcurial mettra aux enchères une étude du Pont de l'Europe , tableau impressionniste d'un peintre très rare sur le marché.
Comparé à Londres et New York, le marché parisien n'est pas le fief des tableaux impressionnistes. L'étude signée du Pont de l'Europe, peint par Gustave Caillebotte en 1876, à 28 ans, mise en vente ch... -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
L'affiche du nouveau Daho censurée
Publié le 18 novembre 2013 à 12h09 Mis à jour le 18 novembre 2013 à 12h28
La photo illustrant le nouvel album d'Etienne Daho, Les Chansons de l’innocence retrouvée, a été censurée par la RATP. © Polydor
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu
Serge Poliakoff
au musée d'art moderne de la ville de Paris
23 octobre 2013
Depuis la rétrospective au Musée national d’Art moderne en 1970, aucune exposition d’ampleur n’a été consacrée à Poliakoff, artiste pourtant majeur de la scène artistique parisienne des années 1950-1960. Plus de 80 peintures montreront l’oeuvre d’un peintre qui s’est imposé dans les débats d’après-guerre autour de l’abstraction : soutenu par les plus grands historiens de l’art abstrait, il a su éveiller par l’intermédiaire de ses marchands l’intérêt de
nombreux collectionneurs privés.
Exposition au musée d'Art moderne de la ville de Paris
du 18 octobre 2013 au 23 février 2014
http://www.beauxartsmagazine.com/0125-743-Serge-Poliakoff.html -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu
Magazine Connaissance des Arts novembre 2013
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J'ai terminé hier:Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique
Information publiée le samedi 31 mars 2012 par Alexandre Gefen (source : éditions Buchet-Chastel)
Référence bibliographique : Olivier Larizza, La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique, Buchet-Chastel, collection "Essais et Documents", 2012. EAN13 : 9782283025833.
Depuis 2010, le livre imprimé, relié, vertical tend à se diluer dans le virtuel de nos écrans. Certains déplorent l’avènement de ce nouveau livre-fantôme, d’autres y voient une avancée extraordinaire. Tous se demandent si le numérique ne tuera pas le totem mis sur pied par Gutenberg.
Dépassant les prophéties et les clivages qui enflamment les débats actuels, Olivier Larizza s’interroge sur ce qui fragilise ou au contraire consolide notre désir de livre tel qu’il se manifeste depuis plus de cinq siècles. En quoi sommes-nous si attachés à l’objet papier ? Que gagnerions-nous, ou que perdrions-nous, à l’abandonner ? L’e-book le remplacera-t-il ? Et avec quelles conséquences sur la lecture, la littérature, nos sociétés ?
« Le livre a ses raisons que la raison ne livre pas » : il sécrète des affects et des fantasmes particuliers. Il fallait donc cet essai original et plein d’acuité pour nourrir une réflexion essentielle.
Olivier Larizza est professeur de littérature anglaise à l’université des Antilles-Guyane (campus de Schoelcher) et chercheur à l’université de Haute-Alsace (Institut de recherches en langues et littératures européennes). Il a aussi enseigné à la faculté de Strasbourg. Il est par ailleurs romancier et l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages.
La Querelle des livres. Petit essai sur le livre à l'âge numérique de Olivier Larizza, Paris, Buchet-Chastel, 2012.
128 pages
13 euros
Responsable : éditions Buchet-ChastelUrl de référence :
http://www.buchetchastel.frAdresse : éditions Buchet-Chastel7 rue des Canettes75006 Paris -
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE
François Bon : Après le livre, pas d'apocalypse
François Bon, l'écrivain pionnier du Web et soucieux de transmission décrypte dans son livre "Après le livre" la nouvelle culture qui naît de la mutation numérique
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Bernard NOEL
Bernard Noël / L'Empreinte charnelle du verbe la revue Fusées, dans son n° 5 (oct 2001) consacre un épais dossier à Bernard Noël avec un inédit, cette étude majeure sur Antonin Artaud
Bernard Noël / Antonin Artaud, corps imposthume4 octobre 2002 :
le ministère de l'intérieur se mêle de littérature - sur cette question de censure, nous avons déjà diffusé l'analyse de Jean-Marie Laclavetine, le point de vue d'éditeurs, dont Paul Otchakovsky-Laurens et Christian Bourgois, et la contribution d'écrivains, dont Michel Séonnet ou Leslie Kaplan : voir notre bulletin du 13 septembrepour revenir au coeur même de la question, nous vous proposons en téléchargement un texte fondamental, peut-être déjà dans votre bibliothèque en postface au Château de Cène : il s'agit de L'Outrage aux mots, de Bernard Noël, écrit en 1975 -
L'Outrage aux mots - téléchargement RTF - © Pauvert - réservé à la consultation personnelle
Ronald Klapka avait rendu compte dans remue.net de la publication en poche (collection L'Imaginaire) du Château de Cène / L'Outrage aux motsL'espace du poème
extraits de la préface de Dominique Sampiero
POL, 1998Bernard Noël / L'Acte de poésie
Bernard Noël parle corps et poésie, septembre 1995, texte publiéà la suite des des entretiens de L'espace du poèmeFrançois Bon (1997) : sur Bernard Noël
hommage publié dans un dossier des Librairies l'Oeil de la Lettre, à l'initiative de Catherine Martin-Zay (Les Temps Modernes, Orléans)François Bon / écrire c'est comme s'effondrer au-dedans
contribution à la revue Fusées en hommage à Bernard Noël (2001)dans "Le reste du voyage", trois poèmes performance de Bernard Noël : écrits du TGV
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
Etienne Daho en couv
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu
J'ai lu hier:Goya - La Maja nue
Il
Il était doux il devint noir. Dans les ors sans lustre d’une monarchie déroutée par l’Histoire le maître du silence moral peint ce qu’il voit s’excluant peu à peu du monde. Ses toiles parlent, hurlent et vivent pour lui.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11479/?nouveaute=1
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
Etienne Daho : “Le mot ‘destin’ me taraude”
Musiques | Son nouvel album parle de l'innocence retrouvée. Etienne Daho, revenu de l'enfer en cet automne 2013 est l'invité de “Télérama”. Extraits de l'entretien.
Il est toujours là. Eternel adolescent et bien dans son âge. A 57 ans, Etienne Daho demeure ce garçon grave et léger, élégant chef de file d’une pop française régénérée depuis peu. Sur son nouvel album, conçu à Londres, au titre programmatique – Les Chansons de l’innocence retrouvée –, il a trouvé une fois de plus un second souffle, un regard neuf, à la fois dansant et orchestré, pour une perpétuelle exploration de son empire des sens.
Retrouvez l'entretien intégral avec Etienne Daho dans Télérama, en kiosques mercredi 6 novembre.
(je l'ai!!!!!) -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne
Etienne Daho : “Le mot ‘destin’ me taraude”
Musiques | Son nouvel album parle de l'innocence retrouvée. Etienne Daho, revenu de l'enfer en cet automne 2013 est l'invité de “Télérama”. Extraits de l'entretien.
Il est toujours là. Eternel adolescent et bien dans son âge. A 57 ans, Etienne Daho demeure ce garçon grave et léger, élégant chef de file d’une pop française régénérée depuis peu. Sur son nouvel album, conçu à Londres, au titre programmatique – Les Chansons de l’innocence retrouvée –, il a trouvé une fois de plus un second souffle, un regard neuf, à la fois dansant et orchestré, pour une perpétuelle exploration de son empire des sens.
Retrouvez l'entretien intégral avec Etienne Daho dans Télérama, en kiosques mercredi 6 novembre.
(je l'ai!!!!!) -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé
J'ai aimé une nième fois de plus mais pouir la première fois au cinéma:La Boum(soirée Pop Corn)
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE
Journal Lacustre
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE
Balkans-Transit
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Ormesson Jean d', Venise
Jean d'Ormesson,"La douane de mer."
"Le 26 juin, un peu avant midi, il m'est arrivé quelque chose que je n 'oublierai plus : je suis mort. [..]Je suis tombé[...]devant la Douane de mer d'où la vue est si belle sur le Palais des Doges et sur le haut Campanile de San Giogio Maggiore."
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, Le textile
J'ai lu hier:L'aventure textile en Rhône-Alpes
La production de la soie est intimement liée à l’image de la ville de Lyon. Mais c’est l’ensemble du territoire rhônalpin qui a vécu et vit encore au rythme de l’industrie textile. Sériciculteurs, tisseurs, cardeurs, passementiers, tricoteurs, imprimeurs sur étoffe ou teinturiers : ils travaillent la soie, mais aussi le chanvre, le coton, la laine, l’or et désormais la viscose ou le polyester.
Cet ouvrage évoque la grande saga des ouvriers, artisans et industriels du textile, la qualité et la diversité de leurs savoir-faire, et aujourd’hui leur ouverture vers les technologies les plus innovantes…
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des évènements, La littérature
Marie Darrieussecq, un Médicis dépaysant
Marie Darrieussecq, ici à Paris mardi, a été choisie pour Il faut beaucoup aimer les hommes. Crédits photo : JACQUES DEMARTHON/AFP
La passion d'une femme blanche pour un cinéaste noir a séduit le jury du prix littéraire.
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art
J'ai fini hier:Les 200 plus beaux tableaux du monde
« Est beau, en définitive, ce qui est digne d’attention ». A partir de cette définition, ce livre nous montre en quelques mots, en s’appuyant sur les jugements des plus grands historiens de l’art, en quoi chacune des deux cents œuvres choisies est plus particulièrement digne d’attention.
Étant bien entendu que la beauté d’une œuvre « s’éprouve et ne se prouve pas », le livre offre au lecteur l’expérience d’un parcours au sein des plus grands musées du monde, mêlant les plaisirs esthétiques complémentaires de la tradition et ceux de la rupture, depuis 1400 (moment de l’histoire où le « tableau » se détache en tant qu’objet de contemplation) jusqu’à nos jours.
Collection : Les 200 plus beauxParution : 05 Mai 2010EAN : 9782812301889Nuart : 3423506Format : 210x276 mmPages : 416 -
J'ai lu pour préparer l'expo "Le printemps de la Renaissance." :Florence (le 6 octobre)
02 octobre 2013
À l’occasion de l’exposition du Louvre, Beaux Arts enquête : comment s’est produit à Florence ce mouvement qui a gagné toute l’Europe ? Pourquoi cette ville est-elle devenue la nouvelle Rome et aussi la nouvelle Athènes ? Un récit bien entendu illustrée par les oeuvres de Donatello, Masaccio, Brunelleschi, Ucello… rassemblées au musée
du Louvre et provenant du palais Strozzi.
Exposition au musée du Louvre
du 26 septembre 2013 au 6 janvier 2014 -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Van Gogh Vincent
J'ai lu hier: "Les Tournesols" de Van Gogh
La collection "Le Musée du Monde" décrypte les chefs-d'oeuvre des grands peintres. Ce deuxième opus se penche sur la plus célèbre toile de l'artiste néerlandais, qui, grâce à de simples fleurs, raconte le cycle de la vie et crée une émotion lucide et profonde.. Tel un portrait qui, dans une seule image, livrerait tour à tour ses différentes facettes, les fleurs de Van Gogh possèdent une forte portée symbolique. Elles rappellent, comme jadis Ronsard, que le temps passe inexorablement. La métaphore n'a cessé de traverser la poésie et la peinture occidentale. Ici, Van Gogh est, avec nous, l'un de ces tournesols qui naissent, bourgeonnent, resplendissent et fanent dans une lumière impartiale et toute-puissante.