Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art
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La carte postale d’Agnès Thurnauer
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art
Un livre de Nathalie Heinich
Le premier plan du Citizen Kane d’Orson Welles s’ouvre sur un préambule en forme de signe paradoxal (à la fois menace et curiosité de l’interdit) : « No Trepassing » (défense d’entrer) qui va enserrer toute la problématique de l’œuvre : où se trouve la vérité dans l’espace de la vie et du palace de Kane ?
Nathalie Heinich, dans son livre L’Élite artiste, à la manière de Welles, met en garde les visiteurs égarés en sanctuarisant d’emblée le terrain de la sociologie et précisant ce qu’elle n’est pas : « [...] Ce livre a trait à l’art (peinture et sculpture, littérature, musique), mais on n’y trouvera rien sur la création artistique et les œuvres : seul nous intéressera le statut des créateurs. Il s’agit d’une question sociologique à part entière qui n’a pas à être subordonnée, ni même articulée, à des problématiques esthétiques » (p. 11). Et elle définit ce que le livre sera : « Par "statut" des créateurs, il faut entendre non seulement leur situation réelle, mais aussi leur rôle imaginaire et leur place symbolique » (p. 11). Nathalie Heinich élabore son approche sociologique « à partir de » l’art. La sociologie de l’art qu’elle avance est à prendre donc dans son sens ablatif et non pas dans son sens génitif (l’art comme objet de la sociologie). Elle clarifie cette pensée : « [...] ce ne sont pas les théories du statut d’artiste ou de la création qui retiendront principalement notre attention, dans la tradition de l’histoire des idées, mais l’expérience ordinaire et les valeurs de sens commun. C’est pourquoi seront mis avant tout à contribution les fictions (romans, nouvelles, pièces de théâtre) et les témoignages d’époque (Mémoires, journaux, correspondances, pamphlets), complétés par les données scientifiques existantes (statistiques, études morphologiques, histoire des institutions). » (p. 12) -
J'ai aimé jeudi à Lyon
Elmgreen & Dragset
Biographie
Sculptures, installations, performances… Michael Elmgreen et Ingar Dragset ressuscitent esprit critique et humour subversif autour de sujets tels que la politique sociale, le poids institutionnel ou la marche du monde en général. Leur travail prend volontiers place dans l’espace public. Jouant sur le décalage et le déplacement, ils créent des situations signifiantes, installant une boutique Prada en plein désert Texan (2005) ou conduisant un projet collectif pour reconstituer dans le pavillon du Danemark de la 53è Biennale de Venise (2009) la maison d’un collectionneur.
Michael Elmgreen est né en 1961 à Copenhague (Danemark). Ingar Dragset est né en 1968 à Trondheim (Norvège). Ils vivent et travaillent à Berlin (Allemagne). -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art
Dictionnaire de la peinture par les peintres
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Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des expositions
Gauguin: Metamorphoses
Paul Gauguin. Tahitian Woman with Evil Spirit. c. 1900. Oil transfer drawing, sheet: 22 1/16 x 17 13/16" (56.1 x 45.3 cm). Private collection
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Van Gogh Vincent
Van Gogh,Le pin dans le jardin de Saint-Paul
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art
Carole Benzaken
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Catégories : CDI du Lycée Hôtelier Le Renouveau, MON TRAVAIL
klamath
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Catégories : CELLES QUE J'AIME, Des femmes comme je les aime
Agnès Verdier-Molinié, agent d'utilité publique
Elle a les yeux et le verbe clairs. Parfois tranchants, même. Cela la rend éminemment télégénique. Et explique qu'Agnès Verdier-Molinié soit devenue la nouvelle experte que l'on s'arrache, la spécialiste de la traque des dépenses publiques superflues qui a la cote. Pour les programmateurs de débats télévisés, amateurs de profils affirmés, la jeune femme est une bonne cliente qui campe avantageusement, même si elle récuse la qualification, la «pasionaria libérale» que l'on oppose souvent aux défenseurs du fameux modèle social français.
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art
Le Radeau de la Méduse
Le musée a récemment expertisé un tableau inventorié dans ses collections, anciennement attribué à Théodore Géricault, peintre illustre du XIXe siècle.D’après Bruno Chenique, spécialiste internationalement reconnu de l’artiste, cette oeuvre, qui représente une tête d’homme, est indéniablement de la main de Géricault - ce que confirme l’analyse scientifique -, et se rattache à l’élaboration du chef-d’oeuvreLe Radeau de la Méduse.Fort de sa riche collection d’oeuvres du XIXe siècle, le musée a souhaité mettre en avant, à partir de cette redécouverte, une exposition consacrée à un aspect encore inédit de l’oeuvre de Géricault : le processus de création chez l’artiste. Il est abordé avec le tableauLe Radeau de la Méduse, véritable résumé de l’univers géricaldien, pour lequel l’artiste multiplia les études préparatoires d’ensemble et de détails.L’exposition interroge tous les ressorts de la démarche créative de l’artiste, en mettant en lumière les points clés et les enjeux de son processus démiurgique : la problématique des têtes d’études, le rapport à l’altérité et l’envers de la création.Menée sous le commissariat de Bruno Chenique et d’Anne-Charlotte Cathelineau, l’exposition bénéficie de prêts d’oeuvres d’importants musées français et américains, de prestigieuses collections particulières européennes avec plusieurs oeuvres inédites présentées pour la première fois au public. Pour accompagner l’intérêt du visiteur, l’édition d’un catalogue de référence l’emmène au coeur de l’univers de Géricault. -
Vincent van Gogh / Antonin Artaud. Le suicidé de la société
Quelques jours avant l'ouverture d'une rétrospective Van Gogh à Paris en 1947, le galeriste Pierre Loeb suggéra à Antonin Artaud (1896-1948) d'écrire un texte sur le peintre.
Prenant le contrepied de la thèse de l'aliénation, Artaud s'attacha à démontrer comment la lucidité supérieure de Van Gogh gênait les consciences ordinaires. En voulant l'empêcher d'émettre "d'insupportables vérités", ceux que sa peinture dérangeait le poussèrent au suicide.
En s'appuyant sur les catégories ou les désignations singulières mises en avant par Artaud dans Van Gogh le suicidé de la société, le parcours de l'exposition se déroule à travers une trentaine de tableaux, un choix de dessins et de lettres de Van Gogh ainsi qu'une sélection d'oeuvres graphiques du poète-dessinateur.Commissariat général
Guy Cogeval, président des musées d'Orsay et de l'Orangerie
Commissaire
Isabelle Cahn, conservateur en chef au musée d'OrsayCette exposition a bénéficié de la garantie de l'Etat pour l'assurance des oeuvres.Le titre de l'exposition est issu du titre de l'ouvrage d'Antonin Artaud, Van Gogh le suicidé de la société
© Editions Gallimard, 1974.
Avec le généreux soutien de Ponticelli, Crédit du Nord, Wilhelm et Royal Talens.
Avec le soutien technologique de Sony et du Lab de l'Institut Culturel de Google ainsi que l'apport en peinture de Tollens. -
L’affiche des Nuits de Fourvière 2014 dévoilée
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des musées, Lille(Nord,59:études)
Hors-série : Lille et le Palais des Beaux-Arts
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J'ai aimé voir vendredi à Lyon:Débouché de la passerelle du palais de justice
Le site
Cette séquence est la seule de la rive droite réalisée dans la première tranche du projet Rives de Saône.
Elle s’étend du pont Bonaparte aux bretelles du pont Maréchal-Juin, où plusieurs édifices historiques se succèdent en front de quai : le chevet de la primatiale Saint-Jean, le Palais Saint-Jean et l’ancien Palais de justice, construit par Louis-Pierre Baltard entre 1835 et 1847.
La passerelle, construite en 1983 est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la Saône. Elle enjambe la rivière depuis le quai Saint-Antoine, sur la presqu’île, pour déboucher devant le Palais de Justice. -
Moi Auguste, empereur de Rome...
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Gustave DORE,Le cirque de Gavarnie(vu le 5 mars au Musée d'Orsay)
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Nous avons aimé Eclectiques XIXe le 1 er mars 2014 au Musée des Beaux arts de DOLE
Éclectique XIXe
Les Beaux-Arts à Dole 1820-1880Télécharger le dossier complet de l'exposition (PDF, 1,1 Mo) Pierre-Auguste BELIN, La reine des abeilles Musée des Beaux-Arts de Dole
du 15 février au 18 mai 2014
Le musée des Beaux-Arts de Dole a été fondé en 1821 par Séraphin-Désiré Besson (1795-1864), peintre et sculpteur dolois, qui fut aussi le rénovateur de l’école municipale des Beaux-Arts de la ville en 1822.
L’exposition Éclectique XIXe vise ainsi à mettre en relation ces deux fondations concomitantes qui furent le ferment d’une séquence particulièrement cohérente des arts à Dole. La présentation collective des œuvres des élèves de Besson et d’individualités proches de son cercle, rappelle que Dole fut un foyer propice pour les peintres et sculpteurs au XIXe siècle, soutenus et encouragés par une société mécène, de même que par le contexte favorable du renouveau religieux du milieu du XIXe siècle, qui suscita de nombreux chantiers décoratifs.
L’exposition propose un parcours thématique selon les genres traités, du portrait au paysage, en passant par les thèmes sacrés, décoratifs, en rapport avec le champ social, un espace étant aussi dédié à un cabinet de dessins.Pierre-Auguste Belin, La reine des abeilles, 1881
© Musée des Beaux-Arts de Dole (cl. Henri Bertand) -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des musées, J'ai aimé, J'ai vu, Le paysage
Roland Gaubert,"La Place aux Fleurs sous la neige", huile sur toile de 1934(vu au Musée de Dôle le 1 er mars 2014)
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Johan Barthold JONGKIND, Polder avec moulin au clair de lune (vu le 1 er mars 2014 au musée de Dôle)
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES
Robert Adams, The decaying remains of an old-growth stump, the last evidence of the original forest. Clatsop County, Oregon, from the series “Turning Back”, 1999-2003(vu au Jeu de Paume mercredi)
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Longmont, Colorado, 1979. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco and Matthew Marks Gallery, New York. Photograph: Robert Adams(vu au Jeu de Paume mercredi)
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Neahkahnie Mountain, Oregon, 2004. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco and Matthew Marks Gallery, New York. Photograph: Robert Adams(vu au Jeu de Paume mercredi)
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New development on a former citrus-growing estate, Highland, California. © Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York(vu au Jeu de Paume mercredi)