Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Bataille de visions autour du Grand Palais
LE MONDE | 13.02.2014 à 08h31 • Mis à jour le 13.02.2014 à 09h48 | Par Jean-Jacques Larrochelle
Vue d'artiste du square Jean Perrin, future entrée du public (hors Nef) pour les galeries d’expositions et le Palais de la Découverte. | IMAGE LAN, RENDU DIALOGUE COMPÉTITIF. LAN, 2014
La réaction n'a pas tardé. Sitôt annoncé, le 3 février, le nom de l'équipe d'architectes, l'agence LAN (Local Architecture Network), chargée de l'aménagement du Grand Palais à Paris, Jean-Jacques Aillagon, ministre de la culture de Jacques Chirac entre 2002 et 2004, a livré sa vision de l'affaire. « Occasion manquée au Grand Palais » : ainsi était titrée, le 6 février, la chronique hebdomadaire qu'il tient dans le quotidien L'Opinion.
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des photographies
Des clandestins déconnectés du monde
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Nous avons aimé cet après-midi au Musée des Tissus de Lyon:Costumes de légende
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J'ai ramené de Gibert Lyon:Il était une fois l'Orient Express
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Nous avons aimé cet après-midi:le musée des tissus et des arts décoratifs de Lyon
Introduction
Documents d'histoire, sources d'inspiration pour la création contemporaine, les collections sont orientées selon deux grands pôles : l'Orient et l'Occident.
Tapisseries coptes, tissus de la Perse sassanide, tissus byzantins et musulmans, tapis d'Asie mineure, retracent l'évolution des civilisations orientales.
La genèse de l'Occident se fonde sur les productions de Sicile et des républiques italiennes, bientôt relayées par l'essor artistique français.
Les productions lyonnaises occupent une place prépondérante avec les dessinateurs ornemanistes Pillement, Philippe de Lasalle ou Dugourc.
Le XIXe siècle est illustré par les commandes impériales et royales, qui ont permis une reprise de l'activité textile lyonnaise.
Le savoir-faire lyonnais est enfin confirmé jusqu'au XXe siècle avec des talents tels que Raoul Dufy et Sonia Delaunay. -
Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'ésotérisme
L’ORDRE «SKULL & BONES» («LE CRÂNE ET LES OS»).
L’ordre “Skull & Bones” a été fondé au Collège Yale de New Haven, Connecticut, en 1832. Il est la plus ancienne et la plus prestigieuse des sept sociétés secrètes de Yale. Parmi les autres on compte: “Scroll & Key” (“Le Rouleau et la Clef”), “Book & Snake” (“Le Livre et le Serpent”), “Wolf’s Head” (“La tête de loup”), “Eliahu” et “Berzelius”. Ces groups servent comme base de racolage des jeunes destinés à des carrières dans le gouvernement, la justice, les finances et d’autres secteurs influents de la vie américaine. “Skull & Bones” est l’élite des élites de ces sociétés secrètes. Seulement “Scroll & Key” peut revendiquer une influence, presque égale, sur la société américaine des derniers 160 ans.
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
« La Mule du coach », de Dominique Sylvain, illustrée par Jean-Philippe Peyraud
LE MONDE | 30.04.2014 à 11h39 | Par Yann Plougastel
La couverture de "La Mule du coach" | LE MONDE
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Catégories : Bosch Hieronymus(Jérôme), CEUX QUE J'AIME
Bosch - Le Jardin des délices
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André Fougeron(1913-1998)
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MERET OPPENHEIM.
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RETOUR À BRIDESHEAD
Parution : 3 Mars 2005
Format : 122 x 182 mm
Nombre de pages : 616
Prix : 11,50 €
ISBN : 2-221-10383-1RETOUR À BRIDESHEAD - NE - PAVILLONS POCHE Evelyn WAUGH
Traduit par
Georges BELMONT«Retour à Brideshead»: un des plus purs chefs-d'oeuvre de la littérature anglaise du XXe siècle. C'est au-travers d'une grande fresque, enluminée de personnages plus excentriques les uns que les autres, sur les moeurs et l'art de vivre de l'aristocratie anglaise qu'Evelyn Waugh s'était juré de «suivre les cheminements de la volonté divine au sein d'un monde païen». Humour, cynisme et gravité mêlés font de ce roman le plus célèbre de l'auteur. Aussi, ce livre «endiablé» a-t-il fait l'objet d'une série TV (interprétée, entre autres, par Jeremy Irons) qui enchanta les téléspectateurs de tous les continents. On ne présente plus Evelyn Waugh (1903-1966), cet écrivain catholique pas comme les autres qui n'a cessé tout au long d'une oeuvre considérable – d'ailleurs considérée comme telle par ses contemporains, par la critique et les historiens de la littérature du XXe siècle – de mettre en scène avec verve, humour et souvent un cynisme naturel éloigné en apparence des voies du Seigneur, les impostures multiples de notre civilisation judéo-chrétienne. De «Grandeur et Décadence» – qui lui vaut une notoriété immédiate et teintée de scandale par sa dénonciation des milieux huppés de l'establishment britannique – à «Scoop», satire du journalisme, de ses «Corps vils» à «Une poignée de cendres» ou il poursuit une oeuvre de moraliste teinté d'orthodoxie, du «Cher disparu» ou il se moque avec une noire jubilation des rites funéraires jusqu'à son chef-d'oeuvre, «Retour à Brideshead», c'est donc à une véritable leçon d'éducation pas du tout politiquement – et moins encore socialement – correcte que le lecteur se trouve convié. Sir Evelyn Waugh est né à Hampstead en 1903. Après des études à Oxford, il mène au début des années 1920 une vie dissolue d'esthète dont on retrouvera l'écho dans son œuvre. Au cours des années 1930, il parcourt le globe, de la France au Proche-Orient, de l'Amérique centrale au Cercle polaire arctique. Il a eu six enfants de son mariage et vécu dans le Somerset de 1937 à sa mort, en 1966. Evelyn Waugh est l'auteur de Retour à Brideshead, Grandeur et décadence, Le Cher Disparu, Scoop, Une poignée de cendres ou encore de la trilogie formée par Hommes en...
http://www.laffont.fr/site/retour_a_brideshead_ne_pavillons_poche_&100&9782221103838.html
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Les Fruits étranges et brillants de l'art
Woolf, Virginia, Des femmes-Antoinette Fouque, 1983Ce livre réunit une sélection d'articles et d'essais critiques publiés par Virginia Woolf entre 1904 et 1934. La première partie du recueil est consacrée à sept essais polémiques sur les femmes et l'écriture. La seconde partie, plus abondante, rassemble 18 études de romancières dans la tradition littéraire féminine (Aphra Behn, la duchesse de Newcastle, Jane Austen, Katherine Mansfield, etc.).
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Catégories : CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia
Virginiafternoon
Samedi 29 septembre, Paris 14e, hôtel de Massa. Un hôtel particulier construit en 1778 pour un administrateur général des Postes à l'emplacement des nos 52 à 60 des Champs-Elysées. L'hôtel (classé) fut réédifié (traduit ?) pierre par pierre au 38, rue du Faubourg-Saint-Jacques en 1928, et est occupé depuis 1930 par la Société des gens de lettres.
Voilà pour les lieux... Il y fut question, cet après-midi-là, de Virginia Woolf, de la traduction de ses œuvres (dans la Pléiade*), tout cela à l'instigation de L'Envers de Paris, association de psychanalystes issue de l'Ecole de la cause freudienne. Textes lus en français, en anglais dans le sautillement magnifique de cette langue
Qu'est-ce donc qui intéresse des psychanalystes dans la traduction ?... Traduire, cela tient de “l'art de l'interprétation”, et comme dans une analyse, n'y vise-t-on pas aussi à “faire mouche avec les mots, mots-sons plus que mots-sens” ? (Stella Harrison, psychanalyste)
Un mot revint souvent à la tribune : “lalangue”, concept lacanien dont les animateurs de ce blog ignoraient tout jusqu'à ce samedi de septembre ; “lalangue” donc, qu'est-ce que c'est ? Eh bien, « dans ses conférences à Sainte-Anne en 1972, Lacan invente le concept de lalangue pour désigner ce qui, sous l'élucubration de savoir qu'est le langage articulé, constitue le “bouillon” de la matière sonore qui ne suit pas le découpage linguistique des mots et des lois de la syntaxe » (cueilli sur le site de l'Ecole de la cause freudienne).
Un autre mot : “parlêtre”, terme également forgé par Lacan pour désigner “l'être charnel ravagé par le verbe”...
Alors Woolf, en particulier, cet après-midi-là, Woolf recherchant “une langue intime (a little language) comme celle des amants”...
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'architecture
Le style fédéral
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'architecture
Le Shingle Style
21.1 Maison à San Fransisco
(Etats-Unis)21.2 Maison à San Fransisco
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage
Onopordon (chardon aux ânes)
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Catégories : CELLES QUE J'AIME, Woolf Virginia
Lettre de Virginia Woolf à son mari Leonard
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Des vers érotiques de Vita Sackville-West adressés à sa maîtresse
Ascot, 1912
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Vita Sackville West - Sissinghurst
Même si l'on ne cherche que la simplicité, comment échapper à la complexité de la vie ? "
Victoria Mary Sackville-West est née à Knole House dans le Kent, le 9 mars 1892. Elle était la fille de Lionel Edward Sackville-West, 3ème Baron Sackville et de sa femme Victoria Sackville-West, baronne de Sackville. Très tôt, Victoria prit le prénom de Vita pour se démarquer de sa mère. Elle passa son enfance et son adolescence dans la propriété familiale, mais étant une femme elle ne put en hériter, ce qu'elle regretta toute sa vie.
En 1913, Vita Sackville-West épouse Harold Nicolson, diplomate, puis journaliste, membre du Parlement, auteur de biographies et de romans, mais aussi, un compagnon bisexuel dans ce qu'on appellerait à présent un mariage ouvert. Ils eurent tous deux des liaisons homosexuelles, ce qui n'empêcha pas une relation étroite entre les époux, comme en témoigne une correspondance presque journalière (publiée après leur mort par leur fils Nigel), et un entretien qu'ils donnèrent à la radio de la BBC après la Seconde Guerre mondiale.
Harold Nicolson, diplomate de 1909 à 1929, dont Winston Churchill fit un sous-secrétaire d'Etat à l'Information pendant une partie de la Seconde Guerre Mondiale, tint pendant trente ans, de 1936 à sa mort en 1968 un journal qui fut édité en 1966 sous le titre "Diaries and letters", traduit en français sous le titre "Journal des années tragiques (1936-1942) "(B.Grasset, 1971).
Le couple eut deux enfants, Benedict Nicolson (1914-1978), historien d'art, et Nigel Nicolson (1917-2004), politicien et écrivain. Dans les années 1930, la famille acheta le château de Sissinghurst dans la campagne du Kent, région appelée le jardin de l'Angleterre.
La relation passionnée féminine qui eut l'effet le plus marquant et le plus durable sur la vie personnelle de Vita Sackville-West eut lieu avec la romancière Violet Trefusis, fille de la courtisane Alice Keppel qui était la maîtresse officielle du roi Édouard VII. Elles se rencontrèrent lorsque Vita Sackville-West avait douze ans et Violet Trefusis dix ans, et fréquentèrent la même école pendant quelques années. Bien que toutes deux mariées, elles partirent plusieurs fois en voyage ensemble, la plupart du temps en France, où Vita Sackville-West se déguisait en jeune homme quand elles sortaient. Leur liaison se termina mal, Violet Trefusis poursuivant Vita Sackville-West de ses assiduités alors même que Vita Sackville-West entretenait des liaisons avec d'autres femmes, mais Violet Trefusis refusa toujours cette rupture.
Le roman de Vita "Challenge" témoigne de cette histoire : Vita Sackville-West et Violet Trefusis commencèrent à écrire le livre ensemble, le personnage masculin, Julian, étant le surnom de Vita quand elle se faisait passer pour un homme. Sa mère, Lady Sackville, trouva l'autoportrait assez évident pour demander que le roman ne paraisse pas en Angleterre, son fils Nigel, cependant, en fait l'éloge : "Elle s'est battue pour le droit d'aimer, hommes et femmes, rejetant les conventions selon lesquelles le mariage exige l'amour exclusif, et que les femmes ne devraient aimer que les hommes, et les hommes uniquement les femmes. Pour cela, elle était prête à tout abandonner… Comment pourrait-elle regretter que ce savoir puisse atteindre les oreilles d'une nouvelle génération, qui plus est infiniment plus compréhensive que la sienne ? "
L'histoire d'amour la plus célèbre de Vita Sackville-West fut celle qu'elle eut avec la grande romancière Virginia Woolf à la fin des années 1920. A la suite de cette histoire, Virginia Woolf écrivit l'un de ses romans les plus célèbres, "Orlando", décrit par le fils de Vita Sackville-West, Nigel Nicolson, comme "la plus longue et la plus charmante lettre d'amour de la littérature", une biographie fantastique dans laquelle le héros éponyme traverse les siècles et change de sexe, publié en 1928. A la fin de leur liaison, les deux femmes restèrent amies.
Parallelement, Vita Sackville West eut une carrière de poète et de romancière. En tant que poète, elle fut deux fois lauréate du Hawthornden Prize (en 1927 et en 1933), cas unique dans l'histoire de ce prix littéraire. La première année pour son long poème narratif "The Land", et la deuxième année avec ses "Collected Poems". "The Edwardians" (1930) et "All Passion Spent" (1931) sont sans doute ses romans les plus connus de nos jours. Dans le second, Lady Slane, une femme mûre, recouvre un sens de la liberté et de la fantaisie longtemps refoulé après une vie vouée aux conventions.
En 1946, elle fut faite "Companion of Honour" pour ses services rendus à la littérature. L'année suivante, elle tint une colonne hebdomadaire dans The Observer, intitulée "In your Garden". En 1948, elle devint un membre fondateur du comité des jardins du National Trust.
Vita Sackville West meurt le 2 juin 1962.
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars
Stephanie Barron
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J'ai terminé ce matin d'insomnie:Le jardin blanc
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Deacon :la sculpture est un langage
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Ensor démasqué
James Ensor L’Intrigue, 1890, toile 90 x 150 © Lukas - Art in Flanders VZW / Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers