Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • Catégories : Musique

    Elton John : ses adieux aux Vieilles Charrues ?

    Elton John : ses adieux aux Vieilles Charrues ?

     

    VIDEO - Le chanteur britannique a laissé entendre qu'il pourrait arrêter la musique à la fin de sa tournée. Une information démentie par sa maison de disque, qui laisse des fans perplexes.

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'histoire

    Jules César le vainqueur pressé

     

    «Il s'agissait d'une lutte de vitesse (celeritas), pour décider qui occuperait le premier les défilés et les montagnes. Ce fut César qui arriva le premier», rappelle le général en parlant de lui, dans son récit, la Guerre civile , lors de sa première campagne en Espagne. «Nous savons avec quelle facilité et quelle rapidité (celeritas), César a écrit ses Commentaires sur la guerre des Gaules», admire Hirtius, l'un de ses principaux collaborateurs. César écrit comme il conduit une bataille: «Veni, vidi, vici.» Avec trois mots, il résume la guerre éclair contre Pharnace, le roi du Bosphore, pendant l'été 47 avant J.-C.

  • Catégories : Voyage

    En Croatie, le Parc national des lacs de Plitvice fascine les visiteurs

     

    EN IMAGES - À mi-chemin entre Zagreb et le littoral adriatique, le «jardin du diable» est un joyau de la nature, classé au patrimoine de l'Unesco depuis 1979. Recouvert aux deux tiers par des forêts - dont une partie dite «primaire» -, il intrigue les scientifiques.

    Lire la suite

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La littérature

    La légende de Saint-Exupéry

     


    Crédits photo :

    Bercé par le ronronnement sourd des deux énormes moteurs de son Lockheed P-38 Lightning, le commandantAntoine de Saint-Exupéry vient d'atteindre les 10.000 mètres, son altitude de croisière. Il a du carburant pour six heures de vol. Nous sommes le 31 juillet 1944, entre 9 heures et 9h30 du matin. Devant ses yeux se dessine un monde plus simple que celui qu'il vient de quitter. Il n'a pas beaucoup dormi la nuit passée. Invité à dîner par le colonel américain Paul Rockwell, venu spécialement pour s'entretenir avec lui, il a décliné son offre pour rejoindre des amis à Miomo, sur le Cap Corse. Un rare moment de détente, où il a brillé, comme toujours, en faisant des tours de cartes et en racontant des histoires. Même lorsque la mélancolie le ronge, Saint-Ex sait donner le change et paraître joyeux devant ses camarades. Mais, en l'air, il n'y a plus de théâtre. Plus de politique ni d'amertume, juste le plaisir de voler et de remplir méthodiquement la mission de reconnaissance photographique sur les Alpes, dans la zone de Grenoble et d'Annecy, qui lui a été confiée. Une observation tactique dans l'azur d'une région chère à son cœur, où il a passé une partie de son enfance, au château de Saint-Maurice-de-Rémens dans l'Ain.

    http://www.lefigaro.fr/histoire/culture/2014/07/18/26003-20140718ARTFIG00087-la-legende-de-saint-exupery.php

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des anniversaires, La presse

    CENTENAIRE DE LA GUERRE 14-18 - Retrouvez une sélection d'articles du Figaro parus entre 1914 et 1918.

    Le centenaire de la Grande Guerre dans Le Figaro

     

    Guerrier, Sophie
    30/06/2014 | Mise à jour : 16:54


     

     

    Le Figaro a exploré ses archives pour vous faire revivre la Grande Guerre, jour après jour, tel que les journalistes du Figaro en ont relaté les événements; depuis l'entrée en guerre de la France, le...
  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Saint-Tropez

    Bernar Venet

    Chez Bernar Venet, l'architecture sert d'écrin à l'art

    Au Muy, les reliefs de Stella ont induit l'architecture.

    Au Muy, les reliefs de Stella ont induit l'architecture. Crédits photo : Venet foundation/archives Bernar Venet

    Dans sa nouvelle fondation au domaine du Muy, près de Saint-Tropez, le sculpteur a inauguré la chapelle imaginée par Frank Stella pour accueillir ses œuvres monumentales.

    Publicité

    L'italien ?Apprenez l'italien avec Babbel et LeFigaro

    Démarrer
    1/5

    Il y a des lieux magiques, hors du temps, où l'architecture est un superbe écrin pour l'art. Pour sa fondation de droit américain qu'il vient d'inaugurer dans sa résidence secondaire au Muy, Bernar Venet a toujours rêvé secrètement d'un espace de méditation conçu par un de ses amis artistes. Quand il a vu chez l'Américain Frank Stella ses grands reliefs composites, il a tout de suite eu le coup de foudre. Il est finalement reparti avec six de ses œuvres monumentales sans savoir quel emplacement il pourrait leur consacrer.

    Leurs dimensions imposantes (environ 450 x 250 x 150 cm) avait découragé les institutions de les prendre en dépôt. Au fil des discussions entre les deux hommes, l'idée de la chapelle est née, sur le modèle de celle de Rothko construite dans les années 60 à Houston au Texas pour le célèbre couple de collectionneurs franco-américain Jean et Dominique de Menil. Celle-ci abrite quatorze peintures noires aux subtiles nuances de couleurs créées spécialement pour l'endroit, selon les exigences de ses commanditaires.

    Vue extérieure de la chapelle.

    Vue extérieure de la chapelle. Crédits photo : Venet foundation/archives Bernar Venet

    Au Muy, les reliefs de Stella qui ont induit l'architecture. Techniquement, le bâtiment est une prouesse. Sur ce site classé qui n'est pas à l'abri des inondations - la dernière a emporté le pont en acier imaginé par Venet au fond de la rivière! -, il n'est pas possible de construire ce que l'on veut. Au départ, l'architecte Rudy Ricciotti installé à Bandol, dans le Var, et connu pour ses dentelles de béton du Mucem, avait imaginé une haute tour de plusieurs dizaines de mètres.

    Le projet n'était pas recevable et a laissé la place à celui dessiné par Frank Stella lui-même sur pilotis pour laisser passer l'eau au cas où. Il s'agit d'une création inédite car, s'il s'était déjà intéressé à l'architecture - en témoignent les maquettes qui furent exposées dans sa «rétrospective works» au musée de Wolfsburg -, aucun de ses bâtiments n'avait été réalisé jusqu'alors.

    L'édifice hexagonal de 15 mètres de diamètre accueille un de ses amoncellements métalliques sur chacun de ses murs qui ont dû être redressés après installation en raison de leur poids. la structure comme un champignon géant planté dans la nature est chapeautée par une toiture innovante en fibre de verre et toile de bateau ayant la forme d'un étrange œil dessinée lui aussi par Stella lui-même en collaboration avec la jeune architecte Veronika Schmid dont l'agence est basée à New York (Impossible-Productions). Dans cette boîte blanche et noire ouverte sur la nature, le visiteur déambule librement.

    La chapelle est le point d'orgue d'un parcours à travers le parc parsemé d'arches métalliques de Bernar Venet. Un jeu de courbes et contre-courbes si cher à l'artiste qui a impressionné une fois de plus ses invités avec sa toute nouvelle création, Effondrement, à l'entrée de la fondation, dans l'usine réhabilitée en espace d'exposition: 200 arches de 7 mètres de long et d'une tonne chacun se superposant les uns aux autres dans un magique équilibre.

    Pour inaugurer sa fondation que l'on pourra visiter en privé sur rendez-vous, Bernar et sa femme Diane nous avait promis une magnifique soirée entre amis, parmi lesquels Jacques et Lise Toubon, Bernard Blisten du Centre Pompidou, les anciens galeristes Jérôme et Emmanuel de Noirmont, Jean Todt et bien sûr la star du jour, Frank Stella dont on connaît l'amour pour les cigares. L'orage menaçant toute la journée s'est évincé comme par miracle pour permettre à chacun de se promener dans cet immense musée à ciel ouvert résultant de 25 ans de travaux d'agrandissement et d'embellissement.

    On commence par le Moulin où l'on peut voir les coups de cœur de Bernar: la compression de sa voiture par César, la «poubelle» d'Arman, son ami des premiers jours, les installations lumineuses de Morellet et Dan Flavin, les pièces minimalistes de Richard Long et Carl Andre et surtout les wall drawings de Sol Lewitt, allant du salon à la salle à manger où trône une table peinte du même Lewitt. «L'histoire de cette collection est celle de mon amitié avec les artistes», explique le propriétaire des lieux. La visite se termine au fond du parc de 4 hectares avec une nouvelle œuvre conçue pour l'occasion par Daniel Buren et dont Bernar fera peut-être l'acquisition. Le pari de ce nouveau lieu est réussi. Et l'émotion garantie!

    Effondrement (2014), une pièce monumentale de 200 tonnes d'acier, dans l'ancienne usine reconvertie en hall d'exposition.

    Effondrement (2014), une pièce monumentale de 200 tonnes d'acier, dans l'ancienne usine reconvertie en hall d'exposition. Crédits photo : Venet foundation / archives Bernar Venet New York.

    Lire la suite