Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
5 ans sans fumer
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L'EXPRESS FLASH | ||
mercredi 6 janvier | ||
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Je souhaiterais qu'en 2016
Nous soyons encore à l' aise
L'un avec l'autre; en 2016,
Il faudrait aussi que je m'apaise.
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Six étudiants de Kairouan ont été condamnés pour pratiques homosexuelles à trois ans de prison ferme et cinq ans d'interdiction de séjour dans la ville, a indiqué lundi leur avocate.
Henri-Frédéric Amiel: "Chaque paysage est un état d'âme."
A partir de cette citation qui a inspiré mes travaux universitaires et mes livres autoédités, j'aimerais que vous me parliez de votre paysage et ou de vos paysages/état(s) d'âme.
Que ce paysage vous inspire ou vous rebute, il influe sur vous.
Inversement, votre état d'âme peut changer le paysage, le rendre lumineux ou triste.
Le paysage peut être naturel ou urbain, réel ou imaginaire, littéraire ou pictural etc.
Cet été, comme nous ne sommes pas rentrès en France, nous avons décidé de visiter le Maroc.
Nous avons choisi Tanger à cause des grands auteurs que j'avais lus et qui y avaient vécu.
Mais je crois que ces lectures ont "pollué" ma découverte de cette ville.
J'y retournerai!
Photo argentique de la mer de Tanger
Merci ce que vous avez fait de Didier
Un homme sensible, fort et dévoué
Votre fils, mon mari, mon meilleur ami
Pour l'avoir fait tel qu'il est, merci
Que te dire que je ne t'aurais dit en vingt ans?
Peut-être te dire merci pour mes beaux- parents
Qui m'aiment, il me semble, comme leur enfant
Et m'ont appris la famille plus que mes parents.
J’étais plus vieille que la petite fille de la photo mais au niveau de mon expérience de vie, j’étais encore une enfant qui n’avait jamais quitté la maison de ses parents sauf séjour linguistique, pèlerinage et escapade nocturne. Mon souhait de poursuivre mes études post-bac à Paris ressemblait à un caprice car j’aurais pu aller dans la capitale régionale où se trouvaient toutes les facultés. Mais ça me paraissait trop près alors qu’en termes de transport, Paris était bien plus pratique. Plus qu’un caprice, c’était une folie car j’avais choisi une filière pour « faire comme papa » dont le fort coefficient en mathématiques me condamnait à échouer. En fait, par ce « caprice », je m’éloignais et me rapprochais de mon père. D’autant que ce dernier passait beaucoup de temps sur Paris. Nous avions trouvé à me loger en très proche banlieue dans une chambre de bonne où je n’avais ni plus, ni moins de place que dans ma chambre d’ado : seize mètres carrés avec un lit, une table-bureau, un frigo de camping, une plaque à gaz et un évier. Comme je n’avais pas de douche chez moi, ça ne me choquait pas de ne pas en avoir dans mon logis parisien. Les toilettes sur le palier n’étaient pas non plus moins communes que celles de mon nid familial. Là-bas, les escaliers étaient raides, étroits et la patine du temps les avait rendu encore plus dangereux. A Paris, monter au sixième étage (sans ascenseur) était périlleux surtout en début et fin de semaine avec des bagages. Ça avait aussi plus de gueule cet escalier en colimaçon qui donnait le vertige quand on cognait la rampe branlante.
4 janvier 2016
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