Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Chaumont-sur-Loire
Art et Nature 2016
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Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, J'ai lu, L'art, Ma bibliothèque
CATHEDRALES. 1789-1914 : UN MYTHE MODERNE
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La Saga de l'impressionnisme
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, La Normandie
J'ai fini hier soir:Dossier de l'Art hors-série n° 21
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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE
Jacques Chirac et le dialogue des cultures
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des lieux
La renaissance de la Chaise-Dieu
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse
J'ai fini hier:L'Oeil N°692 Juillet-août 2016
C’était une promesse des avant-gardes, écrite dans leurs manifestes (ceux du futurisme ou du surréalisme, par exemple) et annoncée dans leurs enseignements (au Bauhaus notamment) : l’art peut se nicher partout, dans nos maisons, dans nos vies et même dans nos villes, à condition de savoir le dénicher. Cela n’a pas échappé à Brassaï qui, dès 1932, photographie au gré de ses flâneries les graffitis qu’il découvre sur les murs des rues. Il les a photographiés jusqu’à la parution de son livre Graffiti, en 1960. À cette époque, beaucoup d’artistes ont déjà quitté leur atelier pour travailler dans la rue, leur nouveau terrain de jeu. Raymond Hains, Jacques Villeglé et Mimmo Rotella, par exemple, y sont descendus non pas, comme le poétisait Breton, « pour tirer au hasard », mais pour extraire les affiches lacérées sur les palissades et révéler au monde leur beauté cachée. Ernest Pignon-Ernest décide quant à lui de faire de la rue le théâtre ...
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Mon poème inédit sur ce blog:Le temps de vivre
Le thème de la semaine
Après avoir fait votre valise toute la semaine, vous aurez peut-être envie de nous raconter la suite...ou tout autre chose.
Mais la consigne imposée est d'utiliser obligatoirement en démarrage de votre texte l'incipit du poème de Boris Vian, "Le temps de vivre", à savoir :
"Il a dévalé la colline
Ses pieds faisaient rouler des pierres"
En prose ou en vers, vos textes devront nous parvenir avant dimanche 10 juillet minuit à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com.http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/p/le-theme-de-la-semaine.html -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage
Sur les pas des impressionnistes
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Dossier de l'Art n° 239:MASSÉOT ABAQUESNE. L'ÉCLAT DE LA FAÏENCE À LA RENAISSANCE
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Un été dans le jardin
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J'ai terminé ce soir à la gym:Dossier de l'Art n° 240
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J'ai lu hier:Grande Galerie n°36 (juin-juillet-août 2016)
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J'ai terminé hier:L'Oeil N°691
Juin 2016ET SI… Avec des si on mettrait Paris en bouteille. L’adage est connu : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé », dit Pascal dans ses Pensées, qui souligne par là que, sans la beauté de la reine d’Égypte – qu’elle soit inventée ou non par Shakespeare importe peu ici –, Rome serait demeurée une république. Ce mode de raisonnement, appelé « histoire contrefactuelle » ou « uchronie » dans sa version littéraire (mot inventé par Renouvier en 1857), est le sujet d’un livre passionnant écrit par deux historiens français : Pour une histoire des possibles [Seuil, 450 p., 24 €]. En France, « ces fictions plaisantes sont inutiles, la cause est entendue », ironisent Quentin Deluermoz et Pierre Singaravélou dans leur introduction, qui font néanmoins la démonstration au fil de leur enquête de la pertinence de l’approche contrefactuelle – la What if History américaine. Celle-ci ...
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Si j'étais une valise
Défi #409
EVASION
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le plaisir de vous lire !
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J'ai fini hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 524