Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
ignivome(j'ai trouvé ce mot quelque part)
adjectif
(bas latin ignivomus)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
adjectif
(bas latin ignivomus)
NÉCROLOGIE
le portrait • Jeanne Moreau, le don de l’insoumission
La croix
|
Pour ce 87ème Café Thé, je vous ai proposé de contempler ces photos du combat entre un héron et une couleuvre (photos prises à la réserve ornithologique du Teich, au détour d'un chemin) :
et de nous raconter leur histoire, à la manière de Jean de La Fontaine, ou pas...
Nicci French ; traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Marianne Bertrand
Edité par Fleuve noir , DL 2017
Lorsqu'une ancienne relation de travail lui demande d'établir le bilan psychiatrique de Hannah Docherty, Frieda Klein se retrouve dans une situation délicate. Elle ne peut refuser de rendre service à ce collègue influent, or elle éprouve un véritable choc en rencontrant la jeune femme. Incarcérée depuis treize ans dans une institution douteuse pour avoir assassiné sa famille, Hannah n'est plus que l'ombre d'elle-même. En dépit des preuves écrasantes, pour Frieda, la jeune femme, traumatisée par des années de maltraitance et d'abus, se trouve plutôt de côté des victimes que des bourreaux. Convaincue de l'innocence de Hannah et malgré les injonctions de la police, la psychothérapeute rouvre le dossier de ce crime sordide et met au jour des incohérences accablantes. Cependant, chacun de ses pas semble être suivi de près : quelqu'un cherche à tout prix à cacher ce qui s'est véritablement passé cet après-midi du 19 mai 2001.
La prière n'est pas une distraction de vieille femme oisive. Bien comprise et appliquée, c'est le plus puissant instrument d'action. Mahatma Gandhi
Quand les dieux veulent nous punir, ils exaucent nos prières. de Oscar Wilde
Ah ! Ah ! je me rappelle, je me rappelle le beau trois-mâts brésilien qui passa sous mes fenêtres en
remontant la Seine, le 8 mai dernier ! Je le trouvais si joli, si blanc, si gai ! L'Etre était dessus, venant de
là-bas, où sa race est née ! Et il m'a vu ! Il a vu ma demeure blanche aussi ; et il a sauté du navire sur la
rive. Oh ! mon Dieu !
A présent, je sais, je devine. Le règne de l'homme est fini.
L'abbaye de Bohéries est une ancienne abbaye cistercienne située à Vadencourt, en France2.
Huile sur toile
H. 72 cm ; L. 91 cm
MNPL 57
Au cours de l’été 1905, Derain rejoint à Collioure Matisse, qui était venu s’y installer au printemps. Derain n’a pas été insensible au travail de son aîné et la parenté de cette toile avec celles peintes par Matisse à Collioure est évidente.
Sous l’apparente liberté de la fracture et la fantaisie des couleurs éclatantes et arbitraires, Derain cache, tout comme Matisse, des recherches lucidement menées. Il prend ici au néo-impressionnisme quelques procédés (contraste de couleurs, ombres colorées, pose de la pâte par petites touches), mais n’y adhère pas pleinement.
Il joue ici avec le blanc de la toile et oppose à des surfaces traitées dans un esprit pointilliste, les aplats de la voile ou de l’ombre de la charrette. De même, la série de zones obliques qui scande la composition, n’est évidemment pas improvisée.
Raoul Dufy « Paysage de Langres », 1935
Avec vue sur le vieux pont