Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
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Ne restez pas l'estomac vide...
Épigastre
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samedi 30: le jour où j'ai perdu un sac de courses
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le jour où j'ai récupéré mon sac de courses
DU 5 AVRIL AU 20 JUILLET 2014
À 20 minutes de Paris, venez découvrir : Yerres, l’autre capitale de l’impressionnisme
Pour la première fois, près de 40 chefs d’œuvre de Gustave Caillebotte vont être présentés dans sa propriété yerroise, où ils ont été peints. Ce grand rendez-vous de l’impressionnisme est d’autant plus exceptionnel, que ces œuvres n’ont, pour la plupart, jamais ou très peu été exposées au public.
Les plus grands musées du monde se sont associés à cet évènement culturel majeur de l’année 2014. Ainsi, près de 40 tableaux issus des collections de la National Gallery de Washington, du Art Museum de Milwaukee, de l’Indiana University Art Museum de Bloomington, du Musée des Beaux-Arts de Rennes et des Musées d’Orsay et Marmottan Monet à Paris seront présentés aux côtés des œuvres prêtées par la famille même de l’artiste et par des collectionneurs privés.
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Paul Durand-Ruel est bien connu comme le défenseur de « la belle École de 1830 » (Delacroix, Corot, Daubigny, Millet...) et surtout comme « le marchand des Impressionnistes» (Monet, Renoir, Degas, Manet, Sisley, Pissarro...). En revanche, on ignore généralement qu’il a apporté le même soutien indéfectible à cinq peintres de la génération post-impressionniste (Moret, Maufra, Loiseau, G. d’Espagnat et André) qui étaient attachés à sa galerie par un contrat moral d’exclusivité.
Cette méconnaissance tient pour une part à ce qu’il n’a pas vécu assez longtemps pour assurer leur succès. Ils sont entrés dans son écurie au milieu des années 1890 - il avait déjà dépassé la soixantaine -, à un moment où l’impressionnisme commençait tout juste à être reconnu par la critique et par les amateurs d’art éclairés : c’est en 1895 que Monet expose triomphalement chez Durand-Ruel sa série des Cathédrales de Rouen. Quand le galeriste meurt en 1922, après s’être retiré des affaires depuis quelques années, ses poulains n’ont pas eu le temps d’atteindre la grande notoriété.
Cette méconnaissance tient pour une autre part à ce que ces peintres – aujourd’hui bien présents dans les grands musées, dans les collections privées et sur le marché international de l’art - n’ont bénéficié, au cours des années passées, d’aucune exposition collective qui aurait permis de les découvrir en tant que groupe, d’apprécier leur valeur et de mesurer leurs affinités. Et cela alors même que Durand-Ruel les faisaient très souvent exposer ensemble, tant à Paris qu’à New York.
Le propos de l’exposition est de réparer cette injustice, en présentant des toiles très rarement exposées, mais révélatrices du grand art de ces peintres.
L’exposition permettra de dégager les proxi-mités stylistiques de ces peintres de la « troisième génération Durand-Ruel ». Trois d’entre eux - Henry Moret, Maxime Maufra et Gustave Loiseau - sont des paysagistes et des marinistes, qui s’inscrivent dans le sillage de l’impressionnisme, tout en lui apportant de notables inflexions. Henry Moret et Maxime Maufra, en particulier, ont participé, à la fin des années 1880, à l’aventure de Pont-Aven, aux côtés de Paul Gauguin et du groupe synthétiste. Les deux autres – Georges d’Espagnat et Albert André – s’inscrivent davantage en rupture avec l’esthétique impressionniste, préférant au paysage les scènes de genre et la peinture décorative. A cet égard, l’exposition de ces coloristes permettra de faire écho, en région Ile-de-France, qui a choisi la couleur comme thématique de sa quatrième édition.
Enfin, l’exposition sera l’occasion de découvrir, à travers un catalogue très documenté, les relations professionnelles mais aussi amicales qui unissaient ces peintres entre eux et avec leur marchand. Les commissaires se sont livrés à un dépouillement systématique des archives de la maison Durand-Ruel - catalogues d’expositions, livres de stock, de comptabilité, de remis en dépôt – et ils ont décrypté et exploité toute la passionnante correspondance échangée entre Durand-Ruel père et fils et leurs artistes. Cela leur permet de livrer ici un travail de première main, éclairant une période très riche de l’histoire de l’art.
Commissariat de l’exposition
Claire Durand-Ruel Snollaerts
Historienne de l’art, spécialiste et expert de Camille Pissarro, auteur du catalogue critique des peintures de l’artiste
Jacques-Sylvain Klein
Historien de l’art, membre associé de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Caen.
Direction de la Propriété Caillebotte
Valérie Dupont-Aignan
Conférences gratuites dans l’auditorium du CEC
Inscription au 01 80 37 20 61
http://www.proprietecaillebotte.fr/expositions/paul-durand-ruel-et-le-post-impressionnisme-448.html