Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai FINI CE MIDI: Sur la dalle / Fred Vargas
Les polars comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris à acheter ici
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Les polars comme tout ce que j'aime, inspirent ce que j'écris à acheter ici
Tous les jours matin et soir: abdos
étirements
Planche de face et latérales, squats avec haltère
du lundi au samedi avec Nagui et les maestros de 18h40 à 19h40: danse
Istanbul, comme tout ce que j'aime, inspire ce que j'écris à acheter ici
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Grenoble, quel avenir pour la chapelle des Pénitents blancs ?
Les multiples rediffusions sur TF1 n’y sont sans doute pas pour rien mais si la première image qui nous revient de Guy Marchand, mort ce vendredi à Cavaillon (Vaucluse) à l’âge de 86 ans, est celle du chanteur de Destinée dans les Sous-doués en vacances (échouant pourtant à séduire Grace de Capitani), c’est aussi que cela réunit en une scène les deux facettes les plus évidentes du bonhomme : l’acteur populaire dont le visage est sans doute l’un des plus évidents du cinéma des années 70 et 80 et le crooner à la voix suave et un peu surannée. La reprise de la chanson dans le Père Noël est une ordure achèvera de lui assurer une notoriété un peu paradoxale.
Il avait tourné chez Pialat (Loulou), Miller (Garde à vue, César du meilleur second rôle) ou Tavernier (Coup de torchon), près de 150 films, mais son grand rôle à l’écran sera sur le petit : celui de Nestor Burma, le flic interlope et un peu anar de Léo Malet, dont lui, le séducteur un peu dilettante, était l’incarnation parfaite. Car si Burma, dont l’imper lui collera à la peau de 1993 à 2001, lui allait si bien, c’est que Guy Marchand était un vrai Parisien, volontiers gouailleur et enjôleur. Fils de ferrailleur, il était né en mai 1937 dans le XIXe arrondissement de Paris. C’était un gamin de Belleville où il ramassait, aux abords de la place des Fêtes avec son copain Claude Moine (le futur Eddy Mitchell) les chewing-gums déjà mâchés, s’encanaillant dans les salles de boxe enfumées de la rue de Crimée. Il passera là, sur les hauteurs de Paris, toute son enfance au son des disques de Django Reinhardt, ne quittant sa colline que pour aller au lycée Voltaire d’abord, puis dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés, la clarinette au bec. Jazzman averti, il tâte aussi du saxophone et du piano, mais c’est grâce à sa voix de velours travaillée qu’il se fait d’abord un nom avec la Passionata en 1965, chanson d’hidalgo faussement ténébreuse qu’Henri Salvador agrémentera de mimiques lors d’un légendaire passage télévisuel.
Cette chanson, il l’avait écrite durant son service militaire pour une fête de la Légion étrangère. Il avait été para puis légionnaire, le voilà pris par le showbiz, porté un détachement farouche qui restera sa marque de fabrique.
Il aimait les chevaux (sa pub «aujourd’hui avec le PMU, on joue comme on aime» est devenue culte) et les spaghettis et aura attendu, avant d’occuper réellement le devant de la scène sur un plateau de cinéma, de fêter ses 70 ans en patriarche émouvant dans l’Arbre et la Forêt d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau après avoir été remis en selle en vieux chômeur rital par Christophe Honoré dans Dans Paris en 2007. Lucide et amusé, il disait alors : «Honoré m’a laissé être naturel : légèrement branleur.»
Homme à femmes assumé et cabotin (il avait presque 40 ans d’écart avec la dernière), cultivant une apparence de vieux beau bourru qui n’en pense pas moins, à la fois titi et dandy, il savait avoir multiplié les navets («J’ai fait beaucoup de très mauvais films et c’est grâce à l’un d’eux que j’ai eu la critique dont je suis le plus fier : le film est nul mais Guy Marchand est insubmersible») et préférait sa carrière de chanteur (son Moi je suis tango, tango est resté dans quelques mémoires). De fait son album Buenos Aires, publié en 1995, mérite qu’on lui jette bien plus qu’une oreille. Il confessait d’ailleurs, en 2003 : «Moi, je suis un chanteur, et je ne fais le comédien que pour des raisons fiscales.»
Jouisseur désinvolte et attachant, revendiquant avec dérision «jouer très bien les rôles de con», il avait joué au polo contre Charles III (et l’avait traité de «gros cul» au passage). En 2007, il avait titré son autobiographie : le Guignol des Buttes-Chaumont.
J'ai pu voir:
À l’occasion de ses 40 ans, Beaux Arts Magazine met en lumière 40 œuvres des plus grands musées de France. 40 pépites de l’histoire de l’art allant de Georges de La Tour à Zanele Muholi, à découvrir sur les cimaises de Caen, Bordeaux, Avignon ou Clermont-Ferrand. Bon voyage !
Un flamboyant costume au musée du quai Branly, une ruine mélancolique au musée Carnavalet, un cabane haute en couleur au MAC VAL… Voici trois œuvres à découvrir au plus vite à Paris et Vitry-sur-Seine.
Ce costume de « Big Chief » (Grand Chef) fut porté par Darryl Montana durant le carnaval de La Nouvelle-Orléans de 2015. Darryl est le fils d’Allison « Tootie » Montana, Big Chief de la tribu des Yellow Pocahontas Hunters qui fut, jusqu’à son décès en 2005, l’un des acteurs les plus influents des Black Indians, l’un des groupes d’Africains-Américains organisés en tribes. Chaque année, ceux-ci défilent au carnaval du Mardi gras de La Nouvelle-Orléans parés de costumes inspirés des tenues cérémonielles amérindiennes. C’est à Tootie Montana, auteur de cinquante-deux costumes, qu’on attribue l’introduction du style architectural et tridimensionnel qui a révolutionné la confection de ces chatoyantes parures.
Texte : musée du quai Branly
La prison d’État de la Bastille symbolise dans l’imaginaire collectif l’absolutisme de la monarchie. Les lettres de cachet royal ont permis jusqu’en 1785 l’incarcération sans jugement de quiconque déplaisait au pouvoir. Au lendemain de la prise de la forteresse le 14 juillet 1789, sa démolition est décidée et confiée à l’entrepreneur Pierre-François Palloy. Beaucoup d’artistes ont représenté, de manière diverse, cette destruction. Pour le peintre Hubert Robert (1733–1808), elle revêt une dimension à la fois personnelle et esthétique. Cet artiste spécialiste des paysages de vestiges, réels ou fictifs, d’une Antiquité rêvée, capture ici la ruine « idéale » de la Bastille à laquelle il donne des proportions surdimensionnées. Cette dramatisation est renforcée par une construction savamment contrastée et un jeu d’ombres et de lumières qui confèrent au monument une dimension symbolique et méditative.
Texte : musée Carnavalet
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Tous les jours matin et soir: abdos
étirements
Planche de face et latérales, squats avec haltère
du lundi au samedi avec Nagui et les maestros de 18h40 à 19h40: danse
semaine de travail:
lundi: bus à 7h23 en bas de chez moi
départ de la maison :7h18
réveil 2: 6h18
réveil1: 6h03(portable):allumage de certains radiateurs, les autres étant programmés pour s'allumer seuls
mardi: bus à 7h07
départ 7h02
réveil 2:6h02
réveil 1:5h47
marché
l'opinion
mercredi et jeudi: tram à 7h17
départ à 7h06
lever 2 :6h06
lever 1:5h49
presse
pause déjeuner les lundis et jeudis:11h30-12h30
1/2 du repas dehors: poisson ou oeufs durs
salade ou autres crudités
féculents ou légumineuses
+ légumes
entre 2: médiathèques, café ou déca, marche
pause les mardis :11-12h
mercredi:11h45-12h30
l'autre moitié: yaourt et fruits à mon poste de travail
toujours bus pris devant mon travail
ou à la gare pas loin, devant la médiathèque
pour remonter ma colline
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