Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
A deux, nous voyons, nous visitons (etc) - Page 30
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Nous avons vu à Paris et nous vous conseillons
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Nous avons vu il y a 15 jours au Jeu de Paume:Mathieu Pernot, photographe historiographe
Cet artiste talentueux expose ses séries photographiques cohérentes et convaincantes dans deux expositions remarquables, au Jeu de paume et à La Maison rouge.
6/3/14 - 11 H 21
« Caravane » (2013), de Mathieu Pernot. Extrait de la série « Feu ».
Avec cet articleLa passionnante « Traversée » à laquelle invite Mathieu Pernot au Jeu de paume, à Paris, dessine le portrait de ce photographe talentueux, creusant depuis vingt ans avec sensibilité et rigueur la question du regard porté sur l’autre. S’intéressant aux questions de la marginalité et des communautés invisibles, de l’urbanisme et de l’enfermement, ce quadragénaire aime confronter différentes représentations d’une même histoire.
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Nous avons aimé Eclectiques XIXe le 1 er mars 2014 au Musée des Beaux arts de DOLE
Éclectique XIXe
Les Beaux-Arts à Dole 1820-1880Télécharger le dossier complet de l'exposition (PDF, 1,1 Mo) Pierre-Auguste BELIN, La reine des abeilles Musée des Beaux-Arts de Dole
du 15 février au 18 mai 2014
Le musée des Beaux-Arts de Dole a été fondé en 1821 par Séraphin-Désiré Besson (1795-1864), peintre et sculpteur dolois, qui fut aussi le rénovateur de l’école municipale des Beaux-Arts de la ville en 1822.
L’exposition Éclectique XIXe vise ainsi à mettre en relation ces deux fondations concomitantes qui furent le ferment d’une séquence particulièrement cohérente des arts à Dole. La présentation collective des œuvres des élèves de Besson et d’individualités proches de son cercle, rappelle que Dole fut un foyer propice pour les peintres et sculpteurs au XIXe siècle, soutenus et encouragés par une société mécène, de même que par le contexte favorable du renouveau religieux du milieu du XIXe siècle, qui suscita de nombreux chantiers décoratifs.
L’exposition propose un parcours thématique selon les genres traités, du portrait au paysage, en passant par les thèmes sacrés, décoratifs, en rapport avec le champ social, un espace étant aussi dédié à un cabinet de dessins.Pierre-Auguste Belin, La reine des abeilles, 1881
© Musée des Beaux-Arts de Dole (cl. Henri Bertand) -
Nous avons aimé visité le 4 mars 2014:Le musée de Picardie à Amiens
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Nous avons vu mercredi au Jeu de Paume: Nika Autor.
Newsreel 552013Nika Autor, Marko Bratina, Ciril Oberstar et Jurij MedenPhotogramme de vidéo, 30 min.
Courtesy des artistes -
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Nous avons vu mercredi au Jeu de Paume: Mathieu PERNOT
Caravane, 2013Série "Le Feu"Mathieu PernotTirage jet d’encre, contrecollé sur dibond,
110 x 150 cm, édition de 7.
Collection de l’artiste, © Mathieu Pernot -
Nous avons découvert mercredi avec plaisir le Jeu de Paume et voir les photos d'un artiste dont j'avais présum&é qu'il me plairait:Robert Adams, l’Ouest sans fard
12 février 2014 à 17:56«Colorado Springs, Colorado», 1969. San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York (Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery.)
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Nous avons beaucoup aimé mercredi au Jeu de Paume:Robert Adams: «Photo et poésie font appel à la métaphore»
12 février 2014 à 17:56«Bruning oil sludge, north of Denver, Colorado», 1979. (Photo Robert Adams. Courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco et Matthew Marks Gallery, New York)
INTERVIEWL’artiste autodidacte évoque ceux qui l’ont inspiré et sa passion pour les paysages en noir et blanc.
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NOus avons aimé cet après midi:MUSEE DES BEAUX-ARTS DE DOLE
Le musée vous invite à la découverte de son histoire et de ses collections
HistoriqueLe musée des Beaux-Arts et d’archéologie est fondé en 1821 par la volonté des élus et notables locaux de redonner à la cité son ancien lustre de capitale comtoise.
Les premiers développements du musée sont redevables aux donations faites par les amateurs locaux, complétées par la suite par de précieux dépôts de l’Etat.
Depuis 1980, l’installation du musée dans le Pavillon des Officiers, bel exemple d’architecture militaire comtoise du XVIIIe siècle, permet de présenter les collections avec la qualité requise. Ainsi, est mise en oeuvre une politique de conservation et de valorisation qui permet d’entreprendre également une programmation d’expositions temporaires continue.
Façade du musée des Beaux-Arts de Dole,
Le Pavillon des Officiers (milieu XVIIIème siècle) -
Nous avons aimé hier soir au cinéma:La Voleuse de livres: des mots contre la mort
VIDÉO - Le film de Brian Percival est le parcours initiatique d'une petite fille allemande à travers la Seconde Guerre mondiale.
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Nous avons vu à Venise en juillet:Zeng Fanzhi à la Pointe de la Douane
En juin 2009, la Pointe de la Douane, édifice symbole de la ville datant du XVIIe siècle, a ouvert ses portes au public. Siège de la François Pinault Foundation, elle complète l’offre culturelle du Palazzo Grassi. L’architecte Tadao Ando prend en main le projet de restauration du bâtiment. Spectaculaires et discrets, respectueux et audacieux, les anciens entrepôts de la douane sont transformés en un lieu d’exposition d’art contemporain. La Pointe de la Douane présentera fin mai une exposition collective intitulée « Prima Materia » incluant une trentaine d’artistes. À l’occasion de l’ouverture de cette exposition, la Pointe de la Douane inaugure un nouveau cycle de commandes spécifiques pour « le Cube », espace central de l’édifice, entouré des murs de ciment de Tadao Ando. Chaque année, un artiste sera invité à concevoir un projet spécifique pour ce lieu. Pour la première édition de ce programme, il accueille l’artiste chinois Zeng Fanzhi.
Né en 1964, Zeng Fanzhi fait partie de la génération d’artistes chinois nouvellement propulsés sur la scène artistique contemporaine internationale. À l’inverse d’artistes qui ont orienté leurs travaux vers les formules
occidentales, Zeng Fanzhi conserve une identité personnelle, culturelle, néanmoins affranchie de l’idéologie politique et des révolutions économiques successives dont il a été le témoin dans son pays. Les œuvres de Zeng Fanzhi prennent appui sur son expérience. En 1993, il quitte sa province natale de Hubei pour s’installer à Pékin. La vie urbaine, la solitude, l’observation des « coutumes » citadines sont à l’origine d’une série qui le rendra célèbre (Masques, 1994-2000). Dans cette série, la cravate et le sourire rouge - symbole de la réussite dans la Chine communiste - attirent immédiatement le regard, les masques inquiètent et fascinent, créent une sorte de malaise avec leurs traits caricaturaux. Depuis 2004, ses oeuvres franchissent un tournant radical. Ses paysages - peuplés ou déserts - et ses portraits sont balafrés de fins mouvements frénétiques au pinceau.
Une exposition lui sera aussi consacré à l'automne au musée d'art moderne de la ville de Paris.Informations sur le livre: 44 pages - 22 x 28,5 cm
EAN : 9791020400451
Reliure : Broché -
Nous avons aimé hier soir le vernissage de ces 4 expositions et festival(photos perso)
Rendez-vous
VERNISSAGELe 17-01-2014 VENDREDI 17 JANVIER 2014 de 18 H À 20 H //
Monsieur le Sénateur-Maire de Saint-Etienne, Président de Saint-Etienne Métropole,
Madame la Vice-Présidente de Saint-Etienne Métropole, Chargée de la culture et des équipements culturels,
Lorand HEGYI, Directeur Général du Musée d'Art Moderne,
ont le plaisir de vous inviter pour le vernissage du premier cycle d'expositions de l'année 2014.
“THE NEW YORK MOMENT”
Pour la première fois, le Musée d’art moderne de Saint-Étienne Métropole et l’Opéra-Théâtre de Saint-Étienne célèbrent ensemble le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle. En 2014, les deux institutions se mettent à l’heure américaine, avec des concerts, des expositions et de nombreux événements consacrés à la création new-yorkaise, des années 1960 à aujourd’hui.
Ce festival pluridisciplinaire vous invite à la découverte d’œuvres historiques, avec des figures marquantes des années 1970 et 1980, tels Philip Glass, Joel Shapiro, Peter Halley mais aussi la nouvelle génération de créateurs.
The New-York Moment vous donne l’occasion rare de rencontrer la création new-yorkaise dans toute sa diversité au travers de concerts, opéras, expositions, spectacles, conférences !
LES EXPOSITIONS :
JOEL SHAPIRO // Jusqu'au 18 mai
Figure historique de l’art américain, Joel Shapiro (né en 1941) est présent dans les collections des plus grands musées des états-Unis. Il est connu pour ses œuvres aux formes simplifiées et géométriques. Dans la salle centrale du Musée, Joel Shapiro déploie deux sculptures monumentales en bronze.PETER HALLEY // Jusqu'au 18 mai
Les peintures de Peter Halley, artiste né en 1953, sont inspirées des espaces urbains. Ses toiles lumineuses, parcourues de conduits et canalisations colorés, sont pleines de mouvement et d’énergie. L’exposition présente des œuvres récentes de l’artiste.JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK // Jusqu'au 4 mai
Cette exposition présente toute la vivacité de la scène new-yorkaise à travers l’œuvre de dix jeunes artistes qui y travaillent. Peintures, sculptures, photographies, vidéos et performance offrent un panorama de l’art à New York aujourd’hui.
USART // COLLECTION DU MUSÉE D'ART AMÉRICAIN, // Jusqu'à décembre 2014En lien avec le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle, l’exposition de la collection d’art américain du Musée met en perspective la création new-yorkaise depuis les années 1960, avec les œuvres d’artistes fondateurs comme Donald Judd, Sol LeWitt, Robert Morris, Ellsworth Kelly et Frank Stella, entre autres…
MICHA LAURY // Jusqu'au 21 avril 2014
Le cabinet d’art graphique du Musée accueille une exposition de Micha Laury constituée principalement de dessins, mais aussi d’installations. Né en 1946 en Israël, cet artiste développe une œuvre personnelle et sensible, largement inspirée d’éléments biographiques, qui interroge notre rapport au monde, à la société et à l’espace. -
Nous avons vu hier soir: USART(vernissage)
Sol LEWITT, "Serial project n°1, A 4", 1966. Tube de section carré en aluminium laqué. 70,5 x 203 x 203 cm. © ADAGP, Paris 2014. -
Nous avons aimé hier soir:Jeunes créateurs à New York(vernissage)
THE NEW YORK MOMENT
VERNISSAGE
Vendredi 17 janvier 2014 de 18 h à 20 h.
Cette exposition présente un panorama éclectique de la scène contemporaine new-yorkaise au travers de l’œuvre de dix jeunes artistes. Ce regard sur l’actualité de la création nous montre la prédilection des artistes pour le dessin et la peinture. En effet, certains médiums comme la vidéo ou la photographie - omniprésents il y a quelques années - semblent aujourd’hui délaissés par les jeunes créateurs. Chez Bea Camacho, la photographie retrace une performance.
Les artistes exposés puisent dans l’histoire de l’art (notamment dans l’art minimal) et dans la culture populaire de façon indistincte pour utiliser ces références comme de la matière iconographique ou picturale. Ils font aussi bien référence à des artistes fondateurs de l’art minimal comme Frank Stella ou à l’expressionnisme abstrait de Jackson Pollock, qu’aux cartoons et autres comic books de leur enfance.
Carl Andre écrivait : "L’art est ce que nous faisons. La culture est ce qui nous est fait." (1)
L’exposition Jeunes créateurs à New York nous offre une perspective dans laquelle l’art et la culture engagent un dialogue nourri, sans s’embarrasser des hiérarchies traditionnelles. -
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Automédication : se soigner sans ordonnance
DOSSIER - Nous avons tous recours à l'automédication pour traiter nos petits maux. Mais la pratique n'est pas sans risque. Effets indésirables, interactions, surdosage… Mode d'emploi pour déjouer les pièges et bien se soigner.
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Pensées, jugements et notations de Joseph Joubert.
Joubert fut un homme de l’ombre : il ne publia jamais rien si ce n’est quelques articles, erreurs de jeunesse. Bien qu’ayant été secrétaire de Diderot, ami de Chateaubriand – l’un des rares dont celui-ci requérait le jugement, le seul dont il acceptait les remarques, souvent sévères –, il aurait disparu sans laisser de livres si d’autres, après sa mort, ne l’avaient pris au sérieux en découvrant ses carnets et sa correspondance, qu’il tint tout au long de sa vie.
Peut-être craignait-il que l’inachevé fût incompatible avec l’idée de publication ? Pensait-il à l’antinomie entre lucidité et génie, – il se savait lucide ? Et pourtant, comment espérer – si ce n’est par la mort –l’achèvement d’un genre tel que les pensées, surtout si l’on veut, au-delà de leur forme parfaite, découvrir qu’elles sont une expression en voie d’élaboration constante ; qu’elles méritent donc aussi d’être saisies aux diverses étapes de leur gestation.
Comme Montaigne, Joubert est "impropre au discours continu" : "tourmenté par la maudite ambition de mettre toujours tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase et cette phrase dans un mot ", il n’est pas étonnant qu’il ait cru à son échec. Ce qui n’empêcha pas les autres de trouver chez lui des " gouttes de lumière qu’il fallait recueillir".
“Qui m’aurait dit que dans cette petite ville (Villeneuve-sur-Yonne) demeurait un homme que j’aimerais tendrement, un homme rare, dont le cœur est de l’or, qui a autant d’esprit que les plus spirituels et qui a, par-ci, par-là, du génie ?” F. R. de Chateaubriand.Le beau, c'est l'intelligence redue sensible.
La musique a sept lettres, l'écriture a vingt-cinq notes.
Voir de trop haut, c'est trop souvent voir de trop loin.
Ces pensées qui nous viennent subitement et qui ne sont pas encore à nous.
Nous avons tous un sens intime moral, mais non pas un sens intime poétique.
Tout enfant qui n'aura pas éprouvé de grandes crainte n'aura pas de grandes vertus. Les grandes puissance de son âme n'auront pas été remuées. Le froid trempe le fer et la crainte trempe les âmes.
Ce sont les grandes craintes de la honte qui rendrent l'éducation publique préférable à la domestique, parce que la multitude des témoins rend seule le blâme terible et que la censure publique est, parmi les censures, la seul equi glace d'effroi les belles âmes.
Avec Montaigne comme avec Joubert, nous nous libérons de la tyrannie de la raison comme de celle des sentiments, nous vagabondons à notre aise dans ce que la littérature peut nous apporter de plus précieux : une esthétique de l’inachèvement et une éthique de l’authenticité. En somme, les impératifs de l’honnête homme.
Roland Jaccard, Globe, N°37.
La pensée de cet éternel mourant est très forte. Quand on lit d’affilée ses notes, idées, réflexions, petits développements, on est toujours surpris par l’originalité des angles de vue et, par suite, de l’expression. Il fait sougé souvent à Lichtenberg, inventeur du “couteau sans lame auquel manque le manche”, mais avec quelque chose de moins fantasque. (...) La présente édition [revue pour la réédition de 1999, NdE] est une anthologie de Juubert où Rémy Tessonneau a groupé par thèmes les textes qu’il a choisis. C’est une bonne introduction à la connaissance d’un des hommes les plus attachants (et des moins étudiés) de notre littérature.
Jean Dutourd, Le Point, 3 avril 1989. -
Nous avons vu à Venise:"Judith II -Salomé "
Gustav Klimt
1909
Huile sur toile
© Galerie d'Art Moderne
Venise -
Bernard NOEL
Bernard Noël / L'Empreinte charnelle du verbe la revue Fusées, dans son n° 5 (oct 2001) consacre un épais dossier à Bernard Noël avec un inédit, cette étude majeure sur Antonin Artaud
Bernard Noël / Antonin Artaud, corps imposthume4 octobre 2002 :
le ministère de l'intérieur se mêle de littérature - sur cette question de censure, nous avons déjà diffusé l'analyse de Jean-Marie Laclavetine, le point de vue d'éditeurs, dont Paul Otchakovsky-Laurens et Christian Bourgois, et la contribution d'écrivains, dont Michel Séonnet ou Leslie Kaplan : voir notre bulletin du 13 septembrepour revenir au coeur même de la question, nous vous proposons en téléchargement un texte fondamental, peut-être déjà dans votre bibliothèque en postface au Château de Cène : il s'agit de L'Outrage aux mots, de Bernard Noël, écrit en 1975 -
L'Outrage aux mots - téléchargement RTF - © Pauvert - réservé à la consultation personnelle
Ronald Klapka avait rendu compte dans remue.net de la publication en poche (collection L'Imaginaire) du Château de Cène / L'Outrage aux motsL'espace du poème
extraits de la préface de Dominique Sampiero
POL, 1998Bernard Noël / L'Acte de poésie
Bernard Noël parle corps et poésie, septembre 1995, texte publiéà la suite des des entretiens de L'espace du poèmeFrançois Bon (1997) : sur Bernard Noël
hommage publié dans un dossier des Librairies l'Oeil de la Lettre, à l'initiative de Catherine Martin-Zay (Les Temps Modernes, Orléans)François Bon / écrire c'est comme s'effondrer au-dedans
contribution à la revue Fusées en hommage à Bernard Noël (2001)dans "Le reste du voyage", trois poèmes performance de Bernard Noël : écrits du TGV
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Nous avons revu :"Paquebot France, design embarqué"
Patrimoine industriel et commercial stéphanois 04.10.2013 - 28.02.2014Retrouvez dès le 4 octobre 2013, au coeur du bassin industriel stéphanois, l'exposition « Paquebot France, design embarqué » qui retrace l'histoire de cet emblématique ambassadeur de l'art et de l'industrie française.A travers les grands chantiers de sa construction, l'utilisation nouvelle des matériaux, la démonstration du "vivre à la française" (gastronomie, arts de la table, confort...) cette exposition montrera comment les forces vives et les savoirs faire les plus modernes de la nation toute entière, et de la région stéphanoise en particulier, furent mobilisés à la réalisation de cette image de marque internationale de la France.
France, dernier grand liner transatlantique français qui reliait l'Europe aux Etats-Unis en 5 jours, reste l’illustration de la transition, en pleine concurrence avec l’avion, des grands paquebots vers les navires de croisière actuels -
Nous avons revisité hier avec mes beaux-parents le Musée d'art et d'industrie de Saint-Etienne
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Happy sex therapy
Antistress et booster naturel, le sexe est un rempart contre la morosité automnale
Par Dalila KerchoucheSommaire
Kate Moss en une de Playboy, Lady Gaga digitalisée en déesse de l’amour par Jeff Koons… Face à la morosité, les créateurs célèbrent le glam sex, et la sexualité s’impose comme rempart à la toute-puissance du moi. Pour vivre heureux, vivons couchés.
2013, année de braise ? Art, mode, cinéma…, le glam sex s’affiche partout. Lors de la dernière Fashion Week de Milan, fin septembre, l’œil cherchait en vain la bretelle du soutien-gorge que Kate Moss ne portait pas sous son chemisier transparent, laissant poindre des seins irradiant de sensualité insolente sous les flashs des photographes. Et l’on brûle de découvrir le cadeau torride que la top britannique va s’offrir pour fêter ses 40 ans : la une de la revue de charme Playboy. Loin du porno triste et nihiliste façon Houellebecq, ce nouvel érotisme chic et radieux rejaillit dans la mode, qui adoube des bimbos hotissimes (Nabilla chez Jean Paul Gaultier, Zahia chez Karl Lagerfeld). Les artistes s’emparent aussi de nudités flamboyantes.
Sur la pochette du nouvel album de Lady Gaga (Artpop, le 8 novembre), le plasticien Jeff Koons a transformé la star en Vénus botticellienne digitalisée par la cybernétique. En littérature, l’écrivain Jean-Philippe Toussaint signe cet automne une ode au désir sensuelle et délicate, sobrement intitulée Nue. Plus sulfureux enfin, le cinéaste Lars von Trier offre à Charlotte Gainsbourg un grand rôle érotique dans Nymphomaniac, qui retrace la vie sexuelle d’une femme, de la puberté à la cinquantaine (en salles le 25 décembre).
La libido est l’énergie motrice de la société
Que révèle ce soudain réchauffement climatique des sens ? Le sexe – et l’amour au sens large – serait-il notre nouvelle parade pour contrer la morosité ? La sexologue Ghislaine Paris, qui publie cette semaine L’Importance du sexuel (éd. Odile Jacob), l’affirme : « Nous reconnecter à notre énergie sexuelle nous rend plus forts pour affronter la crise. La libido est l’énergie motrice de la société. Face à l’ambiance mortifère de la récession, symbolisée par Thanatos, nous avons plus que jamais besoin de la force d’Éros. C’est Éros qui nous pousse à travailler, à entreprendre, à réfléchir, à créer, à aimer. Le désir, c’est le carburant de la vie. » Face à cette promesse de bonheur en érection, voici nos six arguments pour nous réconcilier avec la félicité sexuelle.
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Nous avons aimé mercredi soir:DES PIEDS ET DES MAINS
par ordre alphabétique)
Erwan CREIGNOU, Karine DUBERNET, Marie-Hélène LENTINI, Yannik MAZZILLI, Clément MICHEL, Ariane MOURIER et Gilles VAJOURésuméBien qu’ils veuillent garder le secret, il est temps que cela se sache : cette farce culinaire et policière a été écrite par les jumeaux naturels qu’Agatha Christie a eu de sa liaison avec Benny Hill et avec les Monthy Python.
Diana a quitté Denis son mari en ne lui laissant que son dîner dans le micro onde, mais aussi une bonne dizaine de membres humains dans le congélateur…
Qui est le coupable ? L’un des amants de la belle : l’éleveur d’autruche débutant venu l’enlever avec son meilleur reproducteur sous le bras ? le flic du village, facho au q.i. négatif ? le pasteur de la paroisse,érotomane et pornographe compulsif ? Ou bien la mère de l’infidèle,charcutière émérite, grande spécialiste de la tourte cochonne dans tout le Royaume Uni ? Ou encore la ravissante motarde, apprentie cuisinière, mais vraie « quiche » nymphomane ?
Si vous voulez connaître le plat préféré d’Elisabeth II et savoir ce qu’est devenue la nièce du Docteur Gœbbels, venez voir ce thriller, policier certes, mais aussi et surtout déjanté, barré, loufoque, hilarant, absurde, dingue, délirant, bref un cocktail détonnant de burlesque mélangé à de l’humour british, le toutsecoué très, très violemment.
HorairesDu mardi au vendredi 20h30, le samedi 18h00 et 21h00 et le dimanche à 15h00Tarifs1ère catégorie : 41,50€
2ème catégorie : 33,50€
3ème catégorie: 17,50€
TARIF à moins 50% du 1er octobre au 13 octobre inclus : 21,50€, 17,5€ et 9,5€
A partir du 15 octobre: Jeunes -26ans 10 € (selon disponibilités sur les mardis, mercredis et jeudis en réservant impérativement à l’avance au 01.48.74.74.40) -
Nous avons aimé hier soir au cinéma:Omar
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Omar vit en Cisjordanie. Habitué à déjouer les balles des soldats, il franchit quotidiennement le mur qui le sépare de Nadia, la fille de ses rêves et de ses deux amis d'enfance, Tarek et Amjad. Les trois garçons ont décidé de créer leur propre cellule de résistance et sont prêts à passer à l'action. Leur première opération tourne mal.
Capturé par l'armée israélienne, Omar est conduit en prison. Relâché contre la promesse d'une trahison, Omar parviendra-t-il malgré tout à rester fidèle à ses amis, à la femme qu'il aime, à sa cause?