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A deux, nous voyons, nous visitons (etc) - Page 31

  • NOus avons aimé cet après midi:MUSEE DES BEAUX-ARTS DE DOLE

    Le musée vous invite à la découverte de son histoire et de ses collections


    Historique

     

    Le musée des Beaux-Arts et d’archéologie est fondé en 1821 par la volonté des élus et notables locaux de redonner à la cité son ancien lustre de capitale comtoise.

    Les premiers développements du musée sont redevables aux donations faites par les amateurs locaux, complétées par la suite par de précieux dépôts de l’Etat.

    Depuis 1980, l’installation du musée dans le Pavillon des Officiers, bel exemple d’architecture militaire comtoise du XVIIIe siècle, permet de présenter les collections avec la qualité requise. Ainsi, est mise en oeuvre une politique de conservation et de valorisation qui permet d’entreprendre également une programmation d’expositions temporaires continue.


    Façade du musée des Beaux-Arts de Dole,
    Le Pavillon des Officiers (milieu XVIIIème siècle)

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  • Nous avons aimé hier soir au cinéma:La Voleuse de livres: des mots contre la mort

    Home CULTURE Cinéma
     

    Crédits photo : Twentieth Century Fox

    VIDÉO - Le film de Brian Percival est le parcours initiatique d'une petite fille allemande à travers la Seconde Guerre mondiale.

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  • Nous avons vu à Venise en juillet:Zeng Fanzhi à la Pointe de la Douane

    En juin 2009, la Pointe de la Douane, édifice symbole de la ville datant du XVIIe siècle, a ouvert ses portes au public. Siège de la François Pinault Foundation, elle complète l’offre culturelle du Palazzo Grassi. L’architecte Tadao Ando prend en main le projet de restauration du bâtiment. Spectaculaires et discrets, respectueux et audacieux, les anciens entrepôts de la douane sont transformés en un lieu d’exposition d’art contemporain. La Pointe de la Douane présentera fin mai une exposition collective intitulée « Prima Materia » incluant une trentaine d’artistes. À l’occasion de l’ouverture de cette exposition, la Pointe de la Douane inaugure un nouveau cycle de commandes spécifiques pour « le Cube », espace central de l’édifice, entouré des murs de ciment de Tadao Ando. Chaque année, un artiste sera invité à concevoir un projet spécifique pour ce lieu. Pour la première édition de ce programme, il accueille l’artiste chinois Zeng Fanzhi.
    Né en 1964, Zeng Fanzhi fait partie de la génération d’artistes chinois nouvellement propulsés sur la scène artistique contemporaine internationale. À l’inverse d’artistes qui ont orienté leurs travaux vers les formules
    occidentales, Zeng Fanzhi conserve une identité personnelle, culturelle, néanmoins affranchie de l’idéologie politique et des révolutions économiques successives dont il a été le témoin dans son pays. Les œuvres de Zeng Fanzhi prennent appui sur son expérience. En 1993, il quitte sa province natale de Hubei pour s’installer à Pékin. La vie urbaine, la solitude, l’observation des « coutumes » citadines sont à l’origine d’une série qui le rendra célèbre (Masques, 1994-2000). Dans cette série, la cravate et le sourire rouge - symbole de la réussite dans la Chine communiste - attirent immédiatement le regard, les masques inquiètent et fascinent, créent une sorte de malaise avec leurs traits caricaturaux. Depuis 2004, ses oeuvres franchissent un tournant radical. Ses paysages - peuplés ou déserts - et ses portraits sont balafrés de fins mouvements frénétiques au pinceau.

    Une exposition lui sera aussi consacré à l'automne au musée d'art moderne de la ville de Paris.

    Informations sur le livre: 44 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020400451
    Reliure : Broché

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  • Nous avons aimé hier soir le vernissage de ces 4 expositions et festival(photos perso)

    Rendez-vous


    VERNISSAGE
    Le 17-01-2014
     

    VENDREDI 17 JANVIER 2014 de 18 H À 20 H //


    Monsieur le Sénateur-Maire de Saint-Etienne, Président de Saint-Etienne Métropole,
    Madame la Vice-Présidente de Saint-Etienne Métropole, Chargée de la culture et des équipements culturels,
    Lorand HEGYI, Directeur Général du Musée d'Art Moderne,
    ont le plaisir de vous inviter pour le vernissage du premier cycle d'expositions de l'année 2014.

     


    “THE NEW YORK MOMENT”

    Pour la première fois, le Musée d’art moderne de Saint-Étienne Métropole et l’Opéra-Théâtre de Saint-Étienne célèbrent ensemble le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle. En 2014, les deux institutions se mettent à l’heure américaine, avec des concerts, des expositions et de nombreux événements consacrés à la création new-yorkaise, des années 1960 à aujourd’hui.

    Ce festival pluridisciplinaire vous invite à la découverte d’œuvres historiques, avec des figures marquantes des années 1970 et 1980, tels Philip Glass, Joel Shapiro, Peter Halley mais aussi la nouvelle génération de créateurs.

    The New-York Moment vous donne l’occasion rare de rencontrer la création new-yorkaise dans toute sa diversité au travers de concerts, opéras, expositions, spectacles, conférences !

     

    LES EXPOSITIONS :

    JOEL SHAPIRO // Jusqu'au 18 mai
    Figure historique de l’art américain, Joel Shapiro (né en 1941) est présent dans les collections des plus grands musées des états-Unis. Il est connu pour ses œuvres aux formes simplifiées et géométriques. Dans la salle centrale du Musée, Joel Shapiro déploie deux sculptures monumentales en bronze.

    PETER HALLEY // Jusqu'au 18 mai

    Les peintures de Peter Halley, artiste né en 1953, sont inspirées des espaces urbains. Ses toiles lumineuses, parcourues de conduits et canalisations colorés, sont pleines de mouvement et d’énergie. L’exposition présente des œuvres récentes de l’artiste.

    JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK // Jusqu'au 4 mai
    Cette exposition présente toute la vivacité de la scène new-yorkaise à travers l’œuvre de dix jeunes artistes qui y travaillent. Peintures, sculptures, photographies, vidéos et performance offrent un panorama de l’art à New York aujourd’hui.

    USART // COLLECTION DU MUSÉE D'ART AMÉRICAIN, // Jusqu'à décembre 2014

    En lien avec le Festival Saint-Étienne Nouveau Siècle, l’exposition de la collection d’art américain du Musée met en perspective la création new-yorkaise depuis les années 1960, avec les œuvres d’artistes fondateurs comme Donald Judd, Sol LeWitt, Robert Morris, Ellsworth Kelly et Frank Stella, entre autres…

     


    MICHA LAURY // Jusqu'au 21 avril 2014
    Le cabinet d’art graphique du Musée accueille une exposition de Micha Laury constituée principalement de dessins, mais aussi d’installations. Né en 1946 en Israël, cet artiste développe une œuvre personnelle et sensible, largement inspirée d’éléments biographiques, qui interroge notre rapport au monde, à la société et à l’espace.

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  • Nous avons aimé hier soir:Jeunes créateurs à New York(vernissage)

    THE NEW YORK MOMENT


    VERNISSAGE

    Vendredi 17 janvier 2014 de 18 h à 20 h.


    Cette exposition présente un panorama éclectique de la scène contemporaine new-yorkaise au travers de l’œuvre de dix jeunes artistes. Ce regard sur l’actualité de la création nous montre la prédilection des artistes pour le dessin et la peinture. En effet, certains médiums comme la vidéo ou la photographie - omniprésents il y a quelques années - semblent aujourd’hui délaissés par les jeunes créateurs. Chez Bea Camacho, la photographie retrace une performance.

    Les artistes exposés puisent dans l’histoire de l’art (notamment dans l’art minimal) et dans la culture populaire de façon indistincte pour utiliser ces références comme de la matière iconographique ou picturale. Ils font aussi bien référence à des artistes fondateurs de l’art minimal comme Frank Stella ou à l’expressionnisme abstrait de Jackson Pollock, qu’aux cartoons et autres comic books de leur enfance.

    Carl Andre écrivait : "L’art est ce que nous faisons. La culture est ce qui nous est fait." (1)

    L’exposition Jeunes créateurs à New York nous offre une perspective dans laquelle l’art et la culture engagent un dialogue nourri, sans s’embarrasser des hiérarchies traditionnelles.

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  • Pensées, jugements et notations de Joseph Joubert.

    Joubert fut un homme de l’ombre : il ne publia jamais rien si ce n’est quelques articles, erreurs de jeunesse. Bien qu’ayant été secrétaire de Diderot, ami de Chateaubriand – l’un des rares dont celui-ci requérait le jugement, le seul dont il acceptait les remarques, souvent sévères –, il aurait disparu sans laisser de livres si d’autres, après sa mort, ne l’avaient pris au sérieux en découvrant ses carnets et sa correspondance, qu’il tint tout au long de sa vie.
         Peut-être craignait-il que l’inachevé fût incompatible avec l’idée de publication ? Pensait-il à l’antinomie entre lucidité et génie, – il se savait lucide ? Et pourtant, comment espérer – si ce n’est par la mort –l’achèvement d’un genre tel que les pensées, surtout si l’on veut, au-delà de leur forme parfaite, découvrir qu’elles sont une expression en voie d’élaboration constante ; qu’elles méritent donc aussi d’être saisies aux diverses étapes de leur gestation.
         Comme Montaigne, Joubert est "impropre au discours continu" : "tourmenté par la maudite ambition de mettre toujours tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase et cette phrase dans un mot ", il n’est pas étonnant qu’il ait cru à son échec. Ce qui n’empêcha pas les autres de trouver chez lui des " gouttes de lumière qu’il fallait recueillir".
         “Qui m’aurait dit que dans cette petite ville (Villeneuve-sur-Yonne) demeurait un homme que j’aimerais tendrement, un homme rare, dont le cœur est de l’or, qui a autant d’esprit que les plus spirituels et qui a, par-ci, par-là, du génie ?” F. R. de Chateaubriand.


         Le beau, c'est l'intelligence redue sensible.

         La musique a sept lettres, l'écriture a vingt-cinq notes.

         Voir de trop haut, c'est trop souvent voir de trop loin.

         Ces pensées qui nous viennent subitement et qui ne sont pas encore à nous.

         Nous avons tous un sens intime moral, mais non pas un sens intime poétique. 

          Tout enfant qui n'aura pas éprouvé de grandes crainte n'aura pas de grandes vertus. Les grandes puissance de son âme n'auront pas été remuées. Le froid trempe le fer et la crainte trempe les âmes.
         Ce sont les grandes craintes de la honte qui rendrent l'éducation publique préférable à la domestique, parce que la multitude des témoins rend seule le blâme terible et que la censure publique est, parmi les censures, la seul equi glace d'effroi les belles âmes.

       

         Avec Montaigne comme avec Joubert, nous nous libérons de la tyrannie de la raison comme de celle des sentiments, nous vagabondons à notre aise dans ce que la littérature peut nous apporter de plus précieux : une esthétique de l’inachèvement et une éthique de l’authenticité. En somme, les impératifs de l’honnête homme.
         Roland Jaccard, Globe, N°37.
        
         La pensée de cet éternel mourant est très forte. Quand on lit d’affilée ses notes, idées, réflexions, petits développements, on est toujours surpris par l’originalité des angles de vue et, par suite, de l’expression. Il fait sougé souvent à Lichtenberg, inventeur du “couteau sans lame auquel manque le manche”, mais avec quelque chose de moins fantasque. (...) La présente édition [revue pour la réédition de 1999, NdE] est une anthologie de Juubert où Rémy Tessonneau a groupé par thèmes les textes qu’il a choisis. C’est une bonne introduction à la connaissance d’un des hommes les plus attachants (et des moins étudiés) de notre littérature.
         Jean Dutourd, Le Point, 3 avril 1989.



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  • Bernard NOEL

    Bernard Noël / L'Empreinte charnelle du verbe

    la revue Fusées, dans son n° 5 (oct 2001) consacre un épais dossier à Bernard Noël avec un inédit, cette étude majeure sur Antonin Artaud
    Bernard Noël / Antonin Artaud, corps imposthume

    retour remue.net
    retour page contemporains

    4 octobre 2002 :
    le ministère de l'intérieur se mêle de littérature - sur cette question de censure, nous avons déjà diffusé l'analyse de Jean-Marie Laclavetine, le point de vue d'éditeurs, dont Paul Otchakovsky-Laurens et Christian Bourgois, et la contribution d'écrivains, dont Michel Séonnet ou Leslie Kaplan : voir notre bulletin du 13 septembre

    pour revenir au coeur même de la question, nous vous proposons en téléchargement un texte fondamental, peut-être déjà dans votre bibliothèque en postface au Château de Cène : il s'agit de L'Outrage aux mots, de Bernard Noël, écrit en 1975 -

    L'Outrage aux mots - téléchargement RTF - © Pauvert - réservé à la consultation personnelle
    Ronald Klapka avait rendu compte dans remue.net de la publication en poche (collection L'Imaginaire) du Château de Cène / L'Outrage aux mots

    L'espace du poème
    extraits de la préface de Dominique Sampiero
    POL, 1998

    Bernard Noël / L'Acte de poésie
    Bernard Noël parle corps et poésie, septembre 1995, texte publiéà la suite des des entretiens de L'espace du poème

    Bernard Noël sur le site des édtitions POL

     

    François Bon (1997) : sur Bernard Noël
    hommage publié dans un dossier des Librairies l'Oeil de la Lettre, à l'initiative de Catherine Martin-Zay (Les Temps Modernes, Orléans)

    François Bon / écrire c'est comme s'effondrer au-dedans
    contribution à la revue Fusées en hommage à Bernard Noël
    (2001)

    dans "Le reste du voyage", trois poèmes performance de Bernard Noël : écrits du TGV

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  • Nous avons revu :"Paquebot France, design embarqué"

     
    Patrimoine industriel et commercial stéphanois 04.10.2013 - 28.02.2014
    Retrouvez dès le 4 octobre 2013, au coeur du bassin industriel stéphanois, l'exposition « Paquebot France, design embarqué » qui retrace l'histoire de cet emblématique ambassadeur de l'art et de l'industrie française.

    A travers les grands chantiers de sa construction, l'utilisation nouvelle des matériaux, la démonstration du "vivre à la française" (gastronomie, arts de la table, confort...) cette exposition montrera comment les forces vives et les savoirs faire les plus modernes de la nation toute entière, et de la région stéphanoise en particulier, furent mobilisés à la réalisation de cette image de marque internationale de la France.

    France, dernier grand liner transatlantique français qui reliait l'Europe aux Etats-Unis en 5 jours, reste l’illustration de la transition, en pleine concurrence avec l’avion, des grands paquebots vers les navires de croisière actuels

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  • Happy sex therapy

    Antistress et booster naturel, le sexe est un rempart contre la morosité automnale

    Par Dalila Kerchouche

    Kate Moss en une de Playboy, Lady Gaga digitalisée en déesse de l’amour par Jeff Koons… Face à la morosité, les créateurs célèbrent le glam sex, et la sexualité s’impose comme rempart à la toute-puissance du moi. Pour vivre heureux, vivons couchés. 

    2013, année de braise  ? Art, mode, cinéma…, le glam sex s’affiche partout. Lors de la dernière Fashion Week de Milan, fin septembre, l’œil cherchait en vain la bretelle du soutien-gorge que Kate Moss ne portait pas sous son chemisier transparent, laissant poindre des seins irradiant de sensualité insolente sous les flashs des photographes. Et l’on brûle de découvrir le cadeau torride que la top britannique va s’offrir pour fêter ses 40 ans : la une de la revue de charme Playboy. Loin du porno triste et nihiliste façon Houellebecq, ce nouvel érotisme chic et radieux rejaillit dans la mode, qui adoube des bimbos hotissimes (Nabilla chez Jean Paul Gaultier, Zahia chez Karl Lagerfeld). Les artistes s’emparent aussi de nudités flamboyantes.

    Sur la pochette du nouvel album de Lady Gaga (Artpop, le 8 novembre), le plasticien Jeff Koons a transformé la star en Vénus botticellienne digitalisée par la cybernétique. En littérature, l’écrivain Jean-Philippe Toussaint signe cet automne une ode au désir sensuelle et délicate, sobrement intitulée Nue. Plus sulfureux enfin, le cinéaste Lars von Trier offre à Charlotte Gainsbourg un grand rôle érotique dans Nymphomaniac, qui retrace la vie sexuelle d’une femme, de la puberté à la cinquantaine (en salles le 25 décembre).

    9262 Éros nous pousse à travailler, à entreprendre, à réfléchir, à créer, à aimer.

    La libido est l’énergie motrice de la société

    Que révèle ce soudain réchauffement climatique des sens ? Le sexe – et l’amour au sens large – serait-il notre nouvelle parade pour contrer la morosité ? La sexologue Ghislaine Paris, qui publie cette semaine L’Importance du sexuel (éd. Odile Jacob), l’affirme : « Nous reconnecter à notre énergie sexuelle nous rend plus forts pour affronter la crise. La libido est l’énergie motrice de la société. Face à l’ambiance mortifère de la récession, symbolisée par Thanatos, nous avons plus que jamais besoin de la force d’Éros. C’est Éros qui nous pousse à travailler, à entreprendre, à réfléchir, à créer, à aimer. Le désir, c’est le carburant de la vie. » Face à cette promesse de bonheur en érection, voici nos six arguments pour nous réconcilier avec la félicité sexuelle.

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  • Nous avons aimé mercredi soir:DES PIEDS ET DES MAINS

    par ordre alphabétique)
    Erwan CREIGNOU, Karine DUBERNET, Marie-Hélène LENTINI, Yannik MAZZILLI, Clément MICHEL, Ariane MOURIER et Gilles VAJOU

    Résumé

    Bien qu’ils veuillent garder le secret, il est temps que cela se sache : cette farce culinaire et policière a été écrite par les jumeaux naturels qu’Agatha Christie a eu de sa liaison avec Benny Hill et avec les Monthy Python.

    Diana a quitté Denis son mari en ne lui laissant que son dîner dans le micro onde, mais aussi une bonne dizaine de membres humains dans le congélateur…

    Qui est le coupable ? L’un des amants de la belle : l’éleveur d’autruche débutant venu l’enlever avec son meilleur reproducteur sous le bras ? le flic du village, facho au q.i. négatif ? le pasteur de la paroisse,érotomane et pornographe compulsif ? Ou bien la mère de l’infidèle,charcutière émérite, grande spécialiste de la tourte cochonne dans tout le Royaume Uni ? Ou encore la ravissante motarde, apprentie cuisinière, mais vraie « quiche » nymphomane ?

     Si vous voulez connaître le plat préféré d’Elisabeth II et savoir ce qu’est devenue la nièce du Docteur Gœbbels, venez voir ce thriller, policier certes, mais aussi et surtout déjanté, barré, loufoque, hilarant, absurde, dingue, délirant, bref un cocktail détonnant de burlesque mélangé à de l’humour british, le toutsecoué très, très violemment.

     

    Horaires
    Du mardi au vendredi 20h30, le samedi 18h00 et 21h00 et le dimanche à 15h00
    Tarifs
    1ère catégorie : 41,50€
    2ème catégorie : 33,50€
    3ème catégorie: 17,50€

    TARIF à moins 50% du 1er octobre au 13 octobre inclus : 21,50€, 17,5€ et 9,5€

    A partir du 15 octobre: Jeunes -26ans 10 € (selon disponibilités sur les mardis, mercredis et jeudis en réservant impérativement à l’avance au 01.48.74.74.40)

    http://www.theatrefontaine.com/?idmanif=132

  • Nous avons aimé hier soir au cinéma:Omar

    OmarAvertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

    Omar vit en Cisjordanie. Habitué à déjouer les balles des soldats, il franchit quotidiennement le mur qui le sépare de Nadia, la fille de ses rêves et de ses deux amis d'enfance, Tarek et Amjad. Les trois garçons ont décidé de créer leur propre cellule de résistance et sont prêts à passer à l'action. Leur première opération tourne mal.
    Capturé par l'armée israélienne, Omar est conduit en prison. Relâché contre la promesse d'une trahison, Omar parviendra-t-il malgré tout à rester fidèle à ses amis, à la femme qu'il aime, à sa cause?

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  • Nous avons aimé samedi au cinéma: Le majordome

    Une vision noire de l'Amérique
     
    Home CULTURE Cinéma

    Lee Daniels est un réalisateur de cinéma. Et un bon prof. Dans ses deux heures de cours intitulées Le Majordome, il passe en revue et en images un demi-siècle d'histoire américaine qui rend superfétatoire tout achat de manuel scolaire sur le sujet. La ségrégation raciale, l'assassinat de Kennedy et la robe rose tachée de sang de Jackie, le mouvement des droits civiques, les Black Panthers, le Ku Klux Klan, la guerre du Vietnam, les splendides Noires aux coupes et aux croupes afro qui se déhanchent sur James Brown dans des pantalons orange à pattes d'eph', Nixon et sa vulgarité, Sidney Poitier, «le Noir dont rêvent les Blancs», Reagan-le-buté: dans sa reconstitution minutieuse où les stars défilent comme des perles qu'on enfile (Oprah Winfrey, Mariah Carey, Robin Williams, Jane Fonda, Lenny Kravitz, etc.), rien ne manque. Sauf un peu de finesse. Pour faire pleurer Margot (et Obama), le réalisateur de Precious a coché toutes les cases de la grille émotionnelle. Problème: à forcer le trait, on troue parfois les feuilles de son cahier de devoirs (de mémoire).

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  • Catégories : A deux, A deux, nous voyons, nous visitons (etc)

    A Besançon hier, nous avons trouvé les traces de:

    Louis Pasteur

    (1822-1895)
    est maître répétiteur au collège royal (actuel collège Victor Hugo, 8 rue du Lycée) de 1839 à 1842. un trompe l'oeil le représentant est peint sur l'une des maisons qui borde la place. Au 53 bis rue d'Arènes se trouve la maison natale de son père, Jean Joseph, qui était tanneur (maison reconstruite au XIX° siècle.

    Louis Pasteur
    Louis Pasteur

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  • Catégories : A deux, A deux, nous voyons, nous visitons (etc), Courbet Gustave

    Nous avons enfin pu aller voir hier matin :La Source de la Loue; on y retournera

     

     
     
    "Pour peindre un pays, il faut le connaître. Moi, je connais mon pays, je le peins, les sous-bois, c'est chez nous. Cette rivière, c'est la Loue, allez-y voir, et vous verrez mon tableau... "

     

    Gustave Courbet.
       
     

    Le site de la source de la Loue est à rattacher à Courbet par les 13 tableaux qu’il en a fait, dont La grotte de la Loue, du National Gallery of Art de Washington ou La source de la Loue des Musées Royaux des Beaux-arts de Bruxelles. 


    L’eau est importante dans l’œuvre de Courbet, peut-être tout simplement car elle est prépondérante en Franche-Comté. A partir des années 1860, la présence de la rivière et de la force hydraulique se renforce dans ses œuvres. En effet, onze tableaux, exécutés surtout entre 1868 et 1876, montrent les activités industrielles des moulins en Franche-Comté.

     

    La source de la Loue constitue une des quatre étapes importantes du projet « Pays de Courbet, Pays d’artiste ».

     

     

    La Loue est une rivière classée première catégorie, considérée comme l’une des plus belles rivières d’Europe. La vallée de la Loue constitue une richesse touristique importante de la région.

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    Le sentier que l’on emprunte aujourd’hui pour se rendre à la source de la Loue est une partie du chemin médiéval (on peut encore voir les ornières creusées dans le roc) qui descendait du village d’Ouhans aux moulins sur la rivière, à l’entrée des gorges de Noailles.

    Le site est agrémenté de nouveaux aménagements sécurisés, permettant au visiteur de profiter pleinement du spectacle grandiose de la source de la Loue, alliant détente, découverte et nature.
    Tout au long de la découverte du site, vous pourrez distinguer les différents lieux peints par Courbet, admirer la beauté du paysage et la richesse de cette région.  Arrivé à la maison de la source, un film vous est proposé, présentant le site et son passé industriel en lien avec la perception qu’en avait Gustave Courbet.

    paysage.jpg
    Afin de mieux connaitre Courbet, nous vous proposons  d’explorer les paysages qui ont tant inspiré l’artiste, grâce à des randonnées reliant différents sites qu’il a observés, puis peints.  Ainsi vous pourrez marcher sur les pas du peintre, à travers différents sentiers tracés.

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  • Nous avons aimé ce soir au cinéma:Elle s'en va

    Elle s'en va

    Bettie, la soixantaine, se voit soudain abandonnée par son amant et en péril financier avec le restaurant familial. Que faire de sa vie ? Elle prend sa voiture, croyant faire le tour du pâté de maison. Ce sera une échappée. Au fil de la route : des rencontres de hasard, un gala d’ex-miss France, le lien renoué avec sa fille, la découverte de son petit-fils, et peut-être l’amour au bout du voyage… Un horizon s’ouvre à elle.

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  • Nous avons aimé hier soir au cinéma le dernier Woody Allen : “New York, les femmes et moi”

    Le réalisateur retrouve les États-Unis dans son nouveau film, “Blue Jasmine”, avec Cate Blanchett

    Par Richard Gianorio

    Woody Allen et Mia Farrow Photo Gamma

    Woody Allen et Mia Farrow dans Hannah et ses sœurs (1986).

    Dans le sensationnel Blue Jasmine, avec la grandiose Cate Blanchett, le réalisateur retrouve vigueur et âpreté. Rencontre avec un cinéaste légendaire qui enchaîne les films pour oublier la pesanteur de la vie.

    Le regard fixe derrière ses éternelles lunettes à monture épaisse, le frêle Woody Allen disparaît presque dans le canapé d’un palace parisien où il est sagement assis, courtois petit soldat qui reçoit, les uns après les autres, des journalistes éperdus d’admiration.

    Il y a de quoi être impressionné : à 77 ans, le réalisateur new-yorkais livre avec Blue Jasmine son meilleur film depuis des années, comédie cruelle, conte désenchanté sur la fin d’un chapitre du capitalisme et, surtout, extraordinaire portrait d’une femme brisée qui a déserté la réalité. Cate Blanchett, de tous les plans, belle ou ravagée, atteint ici des grandeurs qui en font une actrice au-delà des superlatifs.
    On n’espérait plus grand-chose de Woody Allen, égaré dans son tour d’Europe – Londres, Barcelone, Paris, Rome – et ses livraisons touristiques annuelles, divertissantes sans plus. Rentré au bercail – le film a été tourné à New York et San Francisco –, revigoré, il signe un film d’une incroyable âpreté, instantané de l’Amérique post-Madoff, qui prend le visage de Jasmine, antihéroïne en chute libre, grande bourgeoise new-yorkaise déclassée, totalement névrosée, lointain écho de Blanche DuBois (le personnage d’Un tramway nommé Désir), carburant à la vodka et au Xanax, qui échoue chez sa sœur, modeste divorcée, pensant pouvoir refaire sa vie, dans cette quête de la « seconde chance » chère aux Américains.

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  • Nous avons aimé hier soir au cinéma: Ma vie avec Liberace

    Ma vie avec Liberace

    Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y a eu Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l'excès, sur scène et hors scène. Un jour de l'été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétra dans sa loge et, malgré la différence d'âge et de milieu social, les deux hommes entamèrent une liaison secrète qui allait durer cinq ans. "Ma Vie avec Liberace" narre les coulisses de cette relation orageuse, de leur rencontre au Las Vegas Hilton à leur douloureuse rupture publique.

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