Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Nous avons vu jeudi au théâtre:Entrechats
Entrechats , confidences à pas de velours
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- Le 19/12/2015 à 05:00
- mis à jour à 08:11
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Entrechats , confidences à pas de velours
Tous nous avons eu un(e) ou des professeur(e)s, une ou des maitresses (ou maîtres) d'école qui nous ont profondément marqués.
Cette semaine, nous vous proposons de nous parler d'elles ou d'eux. De nous dire ce qu'elles, ou ils, vous ont apporté (ou vous ont atterrés, apeurés ou faits rire).
Plongez dans votre enfance ou adolescence scolaires, voire aussi en fac ou écoles post bac et émaillez vos texte d'anecdotes savoureuses ... Cela nous fera du bien !!
Prose ou vers bien entendu selon votre choix.
Nous accepterons également plusieurs textes, si le cœur vous en dit
L'école fermera le 6 décembre à minuit.
- Comme d'habitude, vous devez nous faire parvenir votre texte à l'adresse impromptuslitteraires[at]gmail.com avant dimanche 6 novembre minuit
http://impromptuslitteraires.blogspot.fr/
en chantant Paris, des chansons françaises ou anglaises dans un pub
Une façon de résister à la Terreur
Aspect général.
Château composé de deux corps de bâtiments parallèles allongés dans le sens nord-sud, unis par une cour. Vers l’est, le château et vers l’ouest, la ferme. Apparence extérieure homogène du 18e (allure, ouvertures, ferronnerie du perron d’entrée à l’étage habité). Partie principale du château, rectangle d’environ 21m x 7m, ayant l’allure d’une maison d’économie du 18e, composé d’un hall d’entrée avec de part et d’autre un salon et une salle à manger. Caves partiellement voûtées d’arêtes qui reposent sur de courts piliers carrés et abritant un puits. De chaque côté, deux ailes, prolongeant la façade vers le nord (12,07m) et le sud (13,85m), légèrement de biais par rapport à la façade qui forme un avant-corps. Une aile abritant les cuisines. Une extension perpendiculaire, sur laquelle est prise la nouvelle salle-à-manger, partageant la cour en deux et offrant un espace voûté surmonté d’une petit beffroi. Château d’eau dissimulé dans le beffroi qui redistribue l’eau dans la demeure. Escalier hors d’œuvre avec son propre toit ; tourelle abritant des toilettes. Tous trois sont coiffés d’un couvert en ardoise.
Le château de Madon est situé sur la commune de Candé-sur-Beuvron, dans le département de Loir-et-Cher.
http://www.mines-stetienne.fr/fr
Dès son origine, le Mémorial s’est fixé comme objectif de transmettre la mémoire et les idéaux des Résistants et Déportés en direction des générations les plus jeunes.
Alors que nos Témoins ne peuvent plus nous apporter leur énergie et leur soutien, nous devons trouver d’autres moyens pour intéresser et faire réfléchir ceux qui viennent à notre rencontre.
Le site mis à votre disposition est une des réponses que nous avons trouvées, sa qualité et son exactitude étant contrôlées par le Conseil scientifique, auquel participent universitaires et archivistes spécialistes de cette période exceptionnelle.
Je vous invite à en utiliser toutes les possibilités et à venir ensuite dans les locaux du Mémorial pour compléter votre information et votre réflexion.
Régis Lefèvre | 08 Août 2015, 17h40 | MAJ : 08 Août 2015, 17h40
Noyon, mardi. Isabelle Eytorff et Lucas Jouéo espèrent même pouvoir embaucher un jeune apprenti dès l’année prochaine. (LP/R.L.)
« C’EST UN MÉTIER EXIGEANT, qui nécessite une grande habileté et de bonnes connaissances historiques de toutes les époques. Ainsi qu’une résistance physique à toute épreuve lorsqu’on travaille sur des chantiers extérieurs.
» Voilà présentée la profession de vitrailliste par deux jeunes spécialistes de 28 ans. Isabelle Eytorff et Lucas Jouéo qui l’exercent depuis plusieurs années, et vont aller au bout de leur rêve en créant leur propre société.
Vitraux Max et Co va, en effet, succéder à Vitraux Max, installée depuis des lustres à Noyon et dont le patron prend sa retraite. « Pour l’heure, nous occupons les locaux de l’ancienne société, mais nous allons déménager au pôle Inovia avant de gagner le parc d’activités de Passel », indique Isabelle Eytorff. Le début des activités de Vitraux Max et Co est prévu pour le 31 août. La création et la restauration de vitraux seront leur credo. S’ils ont un itinéraire différent au début de leur carrière d’étudiant, les deux jeunes entrepreneurs se sont retrouvés à Nantes pour y passer leur CAP d’art et technique du verre, avec option vitrail. Ils ont ensuite travaillé tous les deux chez Vitraux Max.
Restauration, réparation, collages et aussi création« J’ai commencé par passer mon bac, puis j’ai suivi des études d’arts appliqués et d’histoire de l’art. Un jour, j’ai rencontré un vitrailliste sur un salon, et j’ai été séduit par ce métier. J’ai décidé d’en faire le mien », explique Isabelle.
De son côté, Lucas se souvient : « J’ai été, pendant trois ans, souffleur de verre à Nancy, avant de passer mon CAP à Nantes, où j’ai rencontré Isabelle ». Apprentis, ouvriers, chef de chantier, voilà les étapes traversées par les deux artisans. Avant de devenir chefs d’entreprise. « Notre métier consiste en la restauration des vitraux, pour les églises mais aussi chez des particuliers (NDLR : lire ci-contre), insistent-ils. Nous faisons aussi des réparations, du nettoyage de vitraux existants, ainsi que des collages. Il nous arrive même de recréer des vitraux entiers, lorsque des actes de vandalisme ont été commis sur les édifices religieux. » Un phénomène, hélas, très répandu. « Nous avons, en prévision, un chantier à Ham (Somme), où tous les vitraux ont été cassés », reprend Lucas Jouéo.
Soucieux de transmettre leur passion (il n’existe que trois ateliers en Picardie, et 500 vitraillistes en France), les patrons de Vitraux Max et Co ont déjà un projet, qu’ils espèrent pouvoir mener à bien dès l’année prochaine : l’embauche d’un jeune apprenti. « C’est sur le terrain qu’on apprend le métier », affirment-ils.Régis Lefèvre
Comment penser une ville ancienne, et protégée par l’Unesco, au XXIe siècle ? C’est la question posée aux artistes et architectes par cette nouvelle Triennale de la ville de Bruges, qui confronte patrimoine, urbanisme, économie et écologie.
« Nous sommes même allés quelque peu dans la provocation, commente l’un des deux commissaires de l’événement, Michel Dewilde, en posant cette question aux créateurs invités à réaliser la quinzaine d’œuvres en extérieur : Que ferait la ville si les cinq millions de touristes venant la découvrir chaque année décidaient d’y rester ? » Celle que l’on appelle « la Venise du Nord », chef-lieu de la province de Flandre Occidentale, attire en effet de nombreux visiteurs par son architecture gothique, mais souffre en parallèle d’une image passéiste. Dès son élection en 2012, le maire Renaat Landuyt a voulu redynamiser sa ville et l’inscrire dans la continuité des triennales commencées dans les années 1960. Y avaient participé des artistes aussi réputés que Marcel Broodthaers ou Panamarenko, dans une vision de triennale internationale, avant qu’un changement de municipalité n’y mette fin. Aujourd’hui, les édiles tournent le dos à Bruges-la-Morte, célébrée par l’écrivain Georges Rodenbach et devenue modèle du Symbolisme belge, pour lancer une réflexion teintée d’utopie. Car dans cette cité entièrement protégée, du moindre lampadaire au paysage environnant, chaque installation d’art contemporain, même temporaire, nécessite les autorisations du pays, avant que les dossiers ne soient envoyés à l’Unesco. « C’est donc pour bousculer cette image de musée à ciel ouvert, poursuit Michel Dewilde, en poste au Cultuurcentrum de Bruges et qui avait été formé par Jan Hoet, l’ancien directeur du S.M.A.K de Gand, que le point fort de l’événement se concentre dans les projets en extérieur. Nous avons demandé à des architectes ou des artistes sensibles aux thématiques urbaines comment serait Bruges si la ville était une mégalopole, et nous avons logiquement regardé du côté de l’Asie, où ces problèmes de densité de populations et d’écologie sont particulièrement accrus. »
Lire la suite dans le Magazine Connaissance des Arts juillet-août 2015
Stéphane Erouane Dumas © Eric Sander