Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le Musée de l’art
Présente, classés par ordre alphabétique, 500 grands peintres et sculpteurs du Moyen Âge à nos jours
Conçu et réalisé par les éditeurs de Phaidon
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Présente, classés par ordre alphabétique, 500 grands peintres et sculpteurs du Moyen Âge à nos jours
Conçu et réalisé par les éditeurs de Phaidon
Picasso estimait qu’elle était meilleure portraitiste que lui. André Breton, fasciné par son originalité, parlait de son art comme d’« un ruban autour d’une bombe ». Plongée dans la vie artistique et politique mouvementée de la première moitié du XXe siècle, Frida Kahlo (1907-1954), célèbre peintre mexicaine, est une femme hors du commun. Elle a puisé ses sources d’inspiration en grande partie dans ses douleurs physiques, conséquences d’un terrible accident de la circulation à l’âge de dix-huit ans. Sa passion amoureuse et tumultueuse avec le peintre Diego Rivera retrace l’histoire fascinante d’un couple d’artistes d’exception. Engagée auprès des Indiens et des plus démunis de son pays, aimant les hommes comme les femmes, maîtresse de Léon Trotski et du photographe Nicolas Murray, Frida Kahlo était drôle, généreuse, intelligente, libre, emportée… et un brin manipulatrice. Elle a bâti une oeuvre artistique unique.
http://www.editionslibretto.fr/frida-kahlo-bernadette-costa-prades-9782369140269
Tales of the Jazz Age]
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Véronique Béghain
Traduction nouvelle
Première parution en 2013
Préface de Jacques Réda
Cédric Gras et Sylvain Tesson ont en commun un goût pour les grands espaces et une approche poétique de la géographie. Les deux auteurs, qui sont aussi amis, évoquent leur rapport à l’écriture.
Archives - Littérature et sociologie, des liens féconds. Entretien. Aurélie Adler, maître de conférences en littérature française du XXe siècle à l'Université d'Amiens (1) : « Ecrire pour convertir la honte en énergie politique »
13/2/14 - 00 H 00
Le passé ne nous précède pas: il nous suit. Partout il nous colle à la peau, au cœur, à l'âme. « On s'emmène partout avec soi, écrit Jean Rouaud, et avec l'empreinte des siens. » Aussi l'écrivain qui, en 1990, obtint le prix Goncourt dès son premier roman, Les Champs d'honneur, n'en finit-il pas d'écrire pour expliquer, retrouver, préciser les éléments de son passé et faire aux siens, disparus, l'hommage de son écriture. Avec la troisième partie de ce qu'il appelle sa trilogie La Vie poétique, il nous convie à nouveau sur les traces de ce qui fut. Et on ne se lasse pas de la description de ...
http://www.la-croix.com/Archives/2014-02-13/Remplir-les-blancs-du-temps-2014-02-13-1106279
13/2/14 - 00 H 00
RIOUX Jean-Pierre
http://www.la-croix.com/Archives/2014-02-13/HISTOIRE.-Le-beau-souci-de-Jacques-Le-Goff-2014-02-13-1106277
12/2/14 - 13 H 21 - Mis à jour le 12/2/14 - 17 H 10
Les périodes électorales ne sont guère favorables aux ventes de livres, sauf quand la SNCF s’en mêle. Sa régie publicitaire vient de refuser une campagne pour un polar des Editions de l’Archipel au motif que les affiches concernées présentaient «un caractère politique». La pub montrait la couverture du roman (Rose Sang, d’Annabelle Demais) avec un bandeau clamant «Marseille, son Mucem, ses meurtres». Ceci a posé problème aux chemins de fer : «L’utilisation délibérée d’un message dénigrant à l’égard de la ville de Marseille […] pourrait être assimilée à un message politique en période électorale et dans ...
Dossier spécial musées de la Ville de Paris. Gustave Doré au musée d'Orsay. La vente de la collection Félix Marcilhac chez Sotheby's. L'exposition des volets du retable du maître-autel de la cathédrale de Genève au musée d’Art et d’histoire. Les broderies d'Émile Bernard, un pan méconnu de son œuvre. Les décors de gypserie du château de Suze-le-Rousse.
À ses lecteurs internationaux, il rappellera volontiers Proust, et plus encore Virginia Woolf, même si l'effondrement de l'Empire austro-hongrois incita ses premiers critiques à valoriser des spécificités magyares. L'histoire tient en deux mots : un homme célèbre revient sur les terres de son enfance ; il y retrouve son amour de jeunesse escortée d'un fils qu'il ne connaît pas. Le fait est que l'intrigue n'a pas grande importance ; frappe en revanche la force d'évocation, traduisant la campagne hongroise en mille métaphores oniriques. Ici, les hommes parlent aux cigales, les vagabonds racontent leurs aventures contre une bouchée de pain, et l'on change de saison comme on change de mystère. N.N. - nomen nescio, « sans nom » - est un roman autobiographique dont le narrateur s'oublie, faisant la part belle à la nature et aux personnages secondaires. C'est cette femme que trois générations courtisent simultanément ; ces deux vieilles filles de la bonne société, friandes de ragots sur l'aristocratie viennoise ; ou encore le père de l'auteur, petit noble qui finit par quitter sa femme pour sa servante, embrassant la roture, son blason sous le bras. Lorsque ses parents se sont enfin mariés, Gyula Krúdy avait 17 ans et une horde de frères et soeurs après lui. Cette enfance de bâtard et d'héritier est un perpétuel déchirement. En souliers vernis, le jeune narrateur arpente la maison paternelle, qu'il déteste : sa mère portait des briques sur le chantier lorsqu'elle était enceinte de lui. Pour oublier sa famille de notables, il court la campagne et s'y perd, puis, enfin rassasié, part tenter sa chance à la ville. N.N. est un roman d'une poésie remarquable qui nous transporte aux confins de l'empire des Habsbourg, où les hommes sont las de vivre mais n'en finissent pas de rêver
http://www.magazine-litteraire.com/mensuel/540/rhapsodie-hongroise-23-01-2014-119679