Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

A lire - Page 97

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La philosophie, Le paysage

    QUAND LA BEAUTÉ NOUS SAUVE

       
     
       
    couvertureCharles PEPIN
    Tout le monde peut voir sa vie enrichie par la fréquentation de la beauté.
    L'éclat d'un rayon de lumière se posant sur les flots à travers un ciel d'orage, les couleurs flamboyantes d'un tableau de Van Gogh, une mélodie de Michel Berger ou de David Bowie, les progressions vertigineuses d'une fugue de Bach, le profil d'un homme ou d'une femme, la majesté splendide d'une voûte gothique...

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La télévision

    Ollivier Pourriol : “‘Le grand journal’, c’est une machine à laver le cerveau”

    Entretien | L'ex-chroniqueur du “Grand journal” raconte dans un livre les coulisses de l’émission star de Canal+. Une expérience violente et douloureuse pour cet agrégé de philo, broyé par la puissance du format.

    Le 15/04/2013 à 00h00 - Mis à jour le 16/04/2013 à 10h39
    Propos recueillis par Richard Sénéjoux

     Ollivier Pourriol au Grand journal. (c) Canal+

    Ollivier Pourriol au Grand journal. (c) Canal+

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'érotisme, La presse

    Jacques André : "La surprise vient toujours de l'expérience des patients"

    Le Monde | 07.03.2013 à 14h04 • Mis à jour le 07.03.2013 à 14h39

    Propos recueillis par Propos recueillis par Jean Birnbaum

     
     

    Psychanalyste, professeur à l'université Paris-VII-Diderot, Jacques André dirige la collection "Petite bibliothèque de psychanalyse" aux Presses universitaires de France. Auteur de plusieurs essais sensibles et élégants, dont L'Imprévu en séance (Gallimard, 2004), il signe aujourd'hui un "Que sais-je ?" sur La Sexualité masculine.

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Les polars

    ABSENCES

    couverture

       
    Alice LAPLANTE

    Traduit par
    Daphne BERNARD
    « Merveilleux. Cette exploration déchirante de la lente désintégration de l'esprit est profondément émouvante et complètement bouleversante, tout en étant passionnante. J'ai adoré. »
    S. J. Watson, auteur de Avant d'aller dormir

    Amanda O'Toole, soixante-quinze ans, a été retrouvée morte à son domicile, amputée de quatre doigts de la main droite. La police soupçonne la voisine et amie d'Amanda, le docteur Jennifer White – chirurgien orthopédiste à la retraite – d'être l'auteur de ce meurtre. Mais Jennifer est atteinte de la maladie d'Alzheimer et ne sait pas elle-même si elle est coupable. Elle partageait une relation extrêmement intime avec Amanda, même si ces deux femmes énergiques et orgueilleuses avaient été aussi par moments des adversaires redoutables. Amanda entendait parfois régir la vie de son amie et, sous prétexte d'honnêteté, dévoiler certains secrets qui auraient dû rester enfouis, relatifs notamment au mari de Jennifer, James, avocat retors, décédé depuis peu. Sans enfant et marraine de Fiona, la fille de Jennifer, Amanda instaurait une rivalité et un rapport de forces constant avec son amie, plus brillante, plus gâtée qu'elle par la vie.
    C'est la voix de Jennifer qui raconte cette amitié complexe et sa vie passée, de façon fragmentée, par des bribes, des souvenirs, des conversations, ou encore par le biais d'un journal qu'elle tient pour tenter de combattre la détérioration de son esprit et ou ses enfants et amis sont amenés à témoigner de temps à autre. Ils émergent également de ce brouillard de la conscience, tour à tour confuse et lucide, de Jennifer : Amanda, bien sûr, Fiona, mais aussi Mark, le fils de Jennifer, ambigu comme son père, ou encore Magdalena, la garde-malade dévouée mais qui a des secrets, elle aussi. Jennifer White finira-t-elle par retrouver dans sa mémoire malade des révélations sur le meurtre d'Amanda ? Est-ce elle qui l'a tuée et lui a ainsi mutilé la main ? Pour quelle raison ? Face à une personnalité aussi imprévisible et tourmentée, la vérité ne peut être simple.

    Lire la suite

  • Le Mangeur du XIXe siècle | Jean-Paul Aron

    A une époque où l'une des préoccupations essentielles des historiens était de mesurer la malnutrition, d'étudier les données matérielles censées déterminer les comportements économiques, sociaux ou politiques, Jean-Paul Aron déplaçait l'axe de l'enquête, sa problématique, en examinant les données du goût alimentaire, en le liant aux préjugés sociaux, aux valeurs esthétiques, aux interdits religieux. Chaque produit alimentaire était ainsi doté d'un statut individuel, il était personnalisé."(Marc Ferro)

    Dans cet ouvrage unique en son genre, Jean-Paul Aron nous fait parcourir le XIXe siècle de restaurant en restaurant, de table en table, des plus riches aux plus pauvres. En explorant les habitudes alimentaires, il nous offre aussi tout le plaisir de son humour mordant et son immense érudition. 
  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Julia Kristeva,Pulsions du temps

    « Où est le temps, existe-t-il encore ?

     

    Je vous propose d’ouvrir la question du TEMPS. 


    Jamais le temps n’a été aussi compact, uniformisé, fermé comme il l’est désormais à la surface globalisée de l’hyperconnexion. Mais jamais non plus il n’a été aussi ouvert et multiple : incessant battement d’avènements, amorces, émergences, éclosions perpétuelles. 


    Je retrouve ici des expériences singulières : dans l’érotisme maternel et dans celui de la foi religieuse, j’ose parier sur la culture européenne et sur l’humanisme à refonder, je découvre un destin de la psychanalyse en terre d’Islam et en Chine. 


    Je n’ai pas de réponses toutes faites et n’en donne pas une fois pour toutes. Je déplie des vérités hic et nunc telles que je les vis et les pense. 


    Je vous présente mes compagnons de route : Antigone et Philippe Sollers, Jean-Jacques Rousseau et Jacques Lacan, Jackson Pollock et Emile Benveniste; Simone de Beauvoir et Thérèse d’Avila. 


    Un livre sur la Vérité découverte par le Temps ? Plutôt une expérience du temps scandée par des événements, des étonnements, rebonds de surprises et de renaissances. »

     

    J.K.

    http://www.kristeva.fr/pulsions_du_temps.html

  • Sophie Pujas

    Z. M.

    Postface de Jean Clair

    Collection L'un et l'autre, Gallimard
    Parution : 12-04-2013
  • Jehan Marot

    Jean Marot est un poète français des XVe et XVIe siècles, né à Mathieu, près de Caen, vers 1463, mort vers 1523. Il vécut quelque temps à Cahors et épousa la fille d'un bourgeois de cette ville. En 1507, il entra au service d'Anne de Bretagne en qualité de secrétaire, puis il devint, après la mort de celle-ci, valet de chambre de François Ier. II était le poète attitré de la petite société féminine dont Anne de Bretagne, au témoignage de Brantôme, s'était entourée. C'est pour cette société qu'il écrivit le Doctrinal des princesses et des nobles dames (en 24 rondeaux assez élégamment tournés) et la Vray-disante Advocate des dames (en strophes de diverses formes entremêlées de rondeaux et de ballades). Dans le Voyage de Gênes (en vers de 10 syllabes mêlés de rondeaux et de quelques morceaux de prose), il raconte avec la fidélité d'un historiographe et dans un style souvent ferme et précis l'expédition dirigée par Louis XII contre les Génois; cet ouvrage plut tellement à la reine que, Louis XII se mettant en marche contre Venise (1509), elle fit attacher Marot à l'expédition : c'est cette expédition qu'il chanta dans sa principale oeuvre, le Voyage de Venise (même rythme que le Voyage de Gênes) où il y a de beaux vers descriptifs et parfois un véritable souffle héroïque (particulièrement dans les morceaux en alexandrins). Il avait commencé une épître sur la défaite des Suisses à Marignan (1515) que la mort, au témoignage de son fils, l'aurait empêché d'achever. Pourtant il est certain qu'il ne mourut que quelques années plus tard, car on trouve son nom dans les états de la maison du roi aux années 1522 et 1523. 

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Les polars

    "Une belle saloperie" de Robert Littell

    Robert Littell : "Sous la bonne étoile de Chandler"

    Le Monde | 08.05.2013 à 18h24 • Mis à jour le 09.05.2013 à 10h45

    Par Franck Nouchi

     
     

     Ce mardi 30 avril, il fait froid et gris sur Paris. Robert Littell nous a donné rendez-vous à La Rotonde, place de la Bataille-de-Stalingrad. "C'est bien, souligne-t-il, d'avoir gardé ce nom de Stalingrad, et d'avoir voulu ainsi rendre hommage au courage des soldats russes."

    Robert Littell.

    Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr. Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnés

    Avec Robert Littell, l'histoire, la grande histoire, n'est jamais loin. Dans son maître-livre, La Compagnie. Le grand roman de la CIA (Buchet-Chastel, 2003), l'ancien journaliste de Newsweek, autrefois spécialisé dans les affaires soviétiques, a démontré à quel point espionnage et littérature pouvaient faire bon ménage. En 2009, il s'est aventuré loin des services secrets avec un merveilleux livre intitulé L'Hirondelle avant l'orage (Baker Street) consacré au poète russe Ossip Mandelstam (1891-1938). Deux ans plus tard, il est revenu à "son" sujet, consacrant un livre étonnant à Kim Philby, l'un des cinq "espions de Cambridge", ce groupe d'étudiants britanniques qui travailla pour le compte de l'URSS (Philby. Portrait de l'espion en jeune homme, Baker Street).

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Chagall Marc, Ma bibliothèque

    J'ai acheté en sortant de l'exposition "Chagall" au Luxembourg

    Présentation de l'éditeur

    C'était plein à craquer, des maçons, des peintres en salopettes prenaient le pousse-café au comptoir où nous attendions dur se libère une table. Le menu était affiché à la craie sur un des miroirs, ce jour-là c'était une blanquette de veau. Papa portait une veste en velours et un béret serré comme celui d'Auguste avec bien évidemment une chemise à carreaux. Un ne dépareillait pas du tout dans le restaurant où, très vite, on avait trouvé à s'asseoir. Les deux ouvriers à la table à côté ont regardé les mains de Papa, tachées de couleurs diverses, ces mains dont il disait souvent qu'elles étaient imprégnées jusqu'à l'os. Il avait alors plus de soixante-dix ans, mais avec son allure énergique et l'impression de puissance qui émanait de lui, il pouvait très bien passer pour un peintre en bâtiment. Vous avez un chantier dans le coin ? demanda l'un d'eux. Je refais un plafond à l'Opéra, répondit mon père, attaquant son œuf dur mayonnaise. David McNeil puise dans sa mémoire des souvenirs colorés, comme ces galets peints qu'avec son père, Marc Chagall, ils jetaient dans la mer pour le plaisir des méduses. --Ce texte fait référence à l'édition Broché . alors que j'ai pris l'édition de poche

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Les polars

    Le linguiste, le comptable et l’hurluberlu

    1 mai 2013 à 19:06
     
     
    Par MATHIEU LINDON
    Libération

    Le linguiste était presque parfait (paru aux Etats-Unis en 1980 sous le titre Double Negative), de David Carkeet, né en Californie en 1946, et le Temps, le temps, de Martin Suter, né à Zurich en 1948, sont deux romans policiers qui, malgré leur humour, finissent par créer une angoisse originale chez le lecteur heureux de tourner les pages à toute vitesse : que, à force d’être dévorées, ces pages se fassent soudain tellement rares qu’il redoute de ne pas voir l’énigme résolue dans les règles (mais si). Tous deux aussi accordent une place très importante aux relations de travail, tirant presque à la satire dans la description du monde social. Le héros de Martin Suter est comptable et n’a guère d’admiration pour ses supérieurs ni ses simples collègues (il a demandé à l’un d’eux de «lui ficher la paix avec son humour de merde») dont il décrypte les petits jeux de pouvoir avec une clairvoyance réjouissante.

    Lire la suite

  • Catégories : A lire

    Rideau ! de Ludovic Zékian

    Rideau ! -

    Enfant, je suis le fils du magasin vert…
    Combien de fois cette fichue expression a résonné ! Elle émane de mes professeurs comme des parents de mes camarades de classe. Je souris et prends bien garde de maintenir mes lèvres closes, de n’en laisser échapper aucun son.
    Ne pas répondre.
    Surtout ne pas répondre.

    Originaire de province, issu « de la race des fils de commerçants. De petits commerçants. », le narrateur est confronté à son passé lorsque la maison de la presse-librairie familiale dans laquelle il a grandi va fermer. Cet événement qui lui paraît tout d’abord dans l’ordre des choses le conduit à accompagner sa mère, prise au piège de bouleversements aussi brusques qu’inéluctables. Peut-il l’aider quand les commerces de proximité et les librairies sont chassés des centres-villes ? Qui remplacera les discussions avec les habitués du petit matin, les coups de cœur et les vitrines ? Le rideau métallique va tomber. Entre silences et non-dits, entre délicatesse et questionnement, Rideau !, hommage à la librairie traditionnelle et à tous ceux qui la défendent, témoigne de ces vies que l’on affirme minuscules et des liens sociaux quotidiens qui se tissent dans les rayons.

    http://www.editionsphebus.fr/rideau--ludovic-zekian-9782752908223

  • Catégories : A lire

    Psychanalyse des arts de l'image

    Psychanalyse des arts de l'image Sous la direction d'Henriette Bessis et Anne ClancierAvec ce colloque, tenu dans une époque où la psychanalyse continuait en France à jeter tous ses feux, des psychanalystes, des artistes, des critiques ont pris la parole et se sont confrontés sur certaines des questions majeures qui se posent quant à ce que la psychanalyse peut dire sur les arts, et, en particulier, sur les arts de l’image.
    Dans la présente période, où l’art semble multiplier ses énigmes et où la psychanalyse est diversement battue en brèche, ce livre, à cause de la qualité des propos tenus, conserve une actualité entière.

    Lire la suite

  • Catégories : A lire, Venise

    Georges Perec, Le ″Condottière″

    C'est à la réalisation d'un faux Condottière, le célèbre tableau du Louvre, peint par Antonello da Messina en 1475, que s'est voué depuis des mois le héros de ce livre. Gaspard Winckler est un peintre faussaire. Maître de ses techniques, il n'est pourtant qu'un simple exécutant d'un commanditaire, Anatole Madera. Comme dans un bon polar, dès la première page du livre, Winckler assassine Madera.
     
  • Catégories : A lire, Venise

    Olivier Barrot reçoit Samuel Brussell pour le livre

    Le narrateur, amoureux de l'Italie, revient à Venise pour y passer quelques mois dans la pension où il vécut neuf ans plus tôt. Jour après jour, au détour des calli et des Fondamenta qu'il arpente d'un sestiere à l'autre, son passé ressurgit et, avec lui, celui de l'Italie et de l'Europe. Métronome : mouvement de balancier entre passé et présent, Est et Ouest, clair-obscur de l'Ancien Règne et du Nouvel Ordre.

    Lire la suite

  • Catégories : A lire

    Oublier Marquise

     

    Oublier Marquise1708. Mariée à Armand de Belle-Isle dont elle a deux enfants, Marquise rêve de devenir un peintre reconnu. Au cours d’une réception, elle tombe amoureuse d’un jeune artiste surdoué, fragile et irrésistible, Antoine Watteau. Ils s’aimeront àla folie. Il l’initiera aux fêtes galantes ; elle l’admirera et l’accompagnera jusqu’à sa mort prématurée, à trente-sept ans.

    Bâtarde secrète de Louis XIV, Marquise charmera le vieux roi : il la légitimera dans son testament. Devenu régent, le duc d’Orléans qui abusa d’elle, trahira les dernières volontés du monarque. Elle n’aura de cesse, dès lors, de se venger, ira jusqu’à conspirer avec la duchesse du Maine et une bande d’aventuriers. Complots, enlèvements, jeux de masques, elle ne reculera devant rien.

    Un roman illuminé par l’amour et le génie de Watteau.

    http://emmanuelledeboysson.fr/project/oublier-marquise/

  • Catégories : A lire, Des poèmes

    Howl et autres poèmes

    Howl et autres poèmesEdition bilingue français-anglais

    de Allen Ginsberg

    Editeur : Christian Bourgois Parution : 7 Janvier 2005

     

    City Lights Books publia la version originale de 'Howl et autres poèmes' de Allen Ginsberg à l'automne 1956. A la suite de cette publication, le recueil fut saisi par les services de douane américains et la police de San Francisco, puis fit l'objet d'un long procès au cours duquel un certain nombre de poètes et de professeurs témoignèrent devant la Cour que ce livre n'était pas obscène. Des centaines de milliers d'exemplaires ont été vendus depuis, et la présente édition contient le texte intégral, exactement conforme au manuscrit original.

    http://www.evene.fr/livres/livre/allen-ginsberg-howl-et-autres-poemes-35716.php