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A lire - Page 100

  • Catégories : A lire, Les polars, Voyage

    Michael GRUBER , "L'enigme Vélasquez"

    L_Enigme_Velasquez

    « Un miracle de fiction intelligente, un des thrillers essentiels de ces dernières années. »The Washington Post



    Après Le Livre de l'air et des ombres, le nouveau chef-d'oeuvre de Michael Gruber. Un puzzle passionnant, plein de chausse-trappes et de trompe-l'oeil, qui ensorcelle littéralement le lecteur.



    Fils d'un peintre réputé, Chaz Wilmot a un don pour reproduire les tableaux de maîtres anciens. Lorsqu'il accepte de restaurer une fresque de Tiepolo dans un palais vénitien, il est loin de se douter qu'il va, pour la première fois, être amenéà réaliser un faux. Et, pourtant, il se révèle bien vite un faussaire de tout premier ordre, à la ferveur créatrice inédite. Ce nouveau talent le conduit peu à peu à découvrir un univers sans pitié où, dans l'ombre, marchands d'art, experts, riches collectionneurs et historiens mènent la danse. Obsédé par un nu de Vélasquez, il va vite être entraîné malgré lui dans une affaire aux multiples rebondissements.



    Avec ce thriller obsédant, d'une rare intelligence, Michael Gruber s'empare de l'esprit du lecteur et le captive jusqu'à la dernière page, grâce à une intrigue vertigineuse où le vrai et le faux se mêlent et se confondent et où toutes les apparences se révèlent trompeuses. Il nous offre un formidable voyage dans le monde fascinant des faussaires, avec ce roman qui, de la vie de Vélasquez à la spoliation des oeuvres d'art des victimes de l'Holocauste, fourmille de détails passionnants relatifs à l'art et à l'histoire. Salué par une critique unanime, il confirme ainsi avec cette oeuvre son statut de grand maître du thriller érudit.



    L'auteur
    Michael GRUBER

    Michael Gruber est docteur en biologie marine. Il vit à Seattle. Après Le Livre de l’air et des ombres, L’Énigme Vélasquez est son deuxième roman publié au cherche midi éditeur.

    http://www.cherche-midi.com/theme/L_Enigme_Velasquez-Michael_GRUBER_-9782749113432.html

  • Catégories : A lire

    Petites Ignorances de la Conversation.

    Page de gardeUn grand nombre de locutions proverbiales, de dictons populaires et de phrases toutes faites ont pris place dans notre langue, surtout dans la langue de la conversation, et, en général, on serait fort en peine d'expliquer le véritable sens des unes ou l'origine des autres. On n'ignore pas que ces expressions sont empruntées, soit à certains usages, soit à l'usage, soit à nos chefs d'œuvre littéraires : mais le plus souvent la trace est perdue, les souvenirs sont effacés et les livres ne sont pas sous la main. - Ce sont ces locutions diverses que nous nous sommes proposé de réunir en recherchant, autant que possible, la source de chacune.

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  • Catégories : A lire

    Une femme aimée, par Andreï Makine

    Par (Lire), publié le10/01/2013 à 15:00, mis à jour à 15:17

    Elle fut la "grande tsarine", se disait "pauvre impératrice", les historiens l'ont baptisée la "Messaline russe" : Catherine II (1729-1796) fascine, deux siècles plus tard, le cinéaste Oleg Erdmann qui a décidé de tourner un film sur la vie de cette personnalité hors norme, née en Poméranie princesse Sophie Augusta Frédérique d'Anhalt-Zerbst et envoyée en Russie à l'âge de 15 ans pour épouser le futur Pierre III. Lequel sera renversé par un coup d'Etat puis tué par les fidèles de Catherine, célèbre pour ses "fringales sexuelles", qui étendra son règne autoritaire, mais aussi éclairé, sur toutes les Russies. Etabli à Leningrad dans un appartement communautaire, Oleg Erdmann veut "tout savoir" sur "cette petite Allemande devenue la Grande Catherine", qui se levait à cinq heures du matin, se frottait alors le visage avec un glaçon, travaillait quinze heures par jour, s'habillait très simplement, prisait du tabac, buvait du café très fort, collectionnait les amants, clamait son "âme républicaine", séduisait les philosophes - de Voltaire à Diderot. Mais Oleg veut surtout sonder le mystère d'une femme défigurée par les clichés, et qui confiera : "Le vrai mal de ma vie, c'est que mon coeur ne peut vivre un seul instant sans aimer..." Alternant les évocations d'un XVIIIe siècle effervescent et d'une Russie moderne cadenassée par ses idéologies, le nouveau roman d'Andreï Makine transcende la simple biographie, même si l'on s'intéresse davantage au destin de Catherine qu'à celui d'Oleg. Reste que l'écrivain parle à nouveau de violence, de liberté, d'amour, avec cette éloquence qui lui est propre, son style érudit et fiévreux, aux accents si slaves. 

    http://www.lexpress.fr/culture/livre/une-femme-aimee-par-andrei-makine_1207437.html

  • Catégories : A lire, Les polars

    « Dame d'atout»

    Dame d'atout«

    Dame d'atout

    »
    de

    Alexis Lecaye

     

    Le commissaire Martin est appelé au milieu de la nuit : le corps d’une fillette vient d’être retrouvé sur le périphérique entre Paris et Pantin. Malgré ses années de service, Martin ne peut s’habituer aux meurtres d’enfants et c’est animé d’une rage folle qu’il se rend sur les lieux du crime. Très vite, l’enquête le conduit au domicile d’un certain Akim Fédiche. Mais l’homme, récemment sorti de prison, semble impossible à confondre et les recherches pour l’interroger restent vaines. Jusqu’à ce qu’on le retrouve pendu, en pleine forêt, à une centaine de kilomètres de Paris dans un simulacre de suicide…

     

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  • Catégories : A lire, Mon mari, Train, tramway et autres transports en commun, Voyage

    "Le train" de Jean Pruvost ,Amélie Rozet chez Honoré Champion (Paris, France)

    Le train

    LE TRAIN «grâce auquel l'homme n'a plus rien à envier aux poissons et aux oiseaux» ! C'est du verbe tramer que vient le mot train... Pour autant, ce moyen de locomotion ne traîne pas pour s'imposer, dans le quotidien comme dans l'extraordinaire. Traîner, c'est étymologiquement tirer, d'où le train assimilé à la «file de choses» en mouvement, au XIIe siècle, puis dès le XV siècle, à la «partie de la voiture à cheval à laquelle sont attachées les roues», avant que naissent, en 1825, la machine locomotive tirant voitures et wagons et, au XXe, le TGV, un sigle stimulant, synonyme de modernisme.
    Le train sillonnera la terre en «abrégeant le temps et l'espace», s'exclame-t-on en 1870. Ainsi, c'est au chemin de fer que sera consacré le plus gros article du Dictionnaire universel du XIX siècle de P. Larousse, 25 pages ! A J. Verne de son côté d'évoquer dans le Tour du monde en 80 jours, le train et sa locomotive étincelante, munie de son chasse-vache, qui «mêlait ses mugissements à ceux des torrents et des cascades, et tordait sa fumée à la noire ramure des sapins». On peut désormais aller «d'un pôle à l'autre, plus vite que ces énormes cétacés qui traversent les océans des deux mondes», lit-on dans un dictionnaire du XIXe. Propos étonnant car comment surnommera-ton parfois le TGV ? Cachalot...

    En offrant ici à foison mots et expressions, d'hier à demain, en racontant l'univers rayonnant du chemin de fer et de la SNCF, on donne raison à J. Renard : le train «agite» merveilleusement «notre cerveau» !

    LES AUTEURS Amélie Rozet, esprit curieux et efficace, travaille dans la communication et se passionne tout naturellement, dans la tradition familiale, pour l'univers du train et celui des dictionnaires. Jean Pruvost, tout petit, rêvait de dictionnaires et de trains...

    LA COLLECTION CHAMPION LES MOTS dirigée par Jean Pruvost offre un voyage totalement inédit au coeur des mots, à travers les dictionnaires du XVIe siècle à aujourd'hui, voyage propre à surprendre et enchanter celles et ceux qui veulent découvrir ou approfondir le thème présenté.
    Déjà parus : Le vin, Le loup, La mère, Le citoyen. Le mariage, Le chat, Le chocolat, Le parfum, Le fromage, Les élections, Le cirque.

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  • Catégories : A lire, Les polars

    Il coule aussi dans tes veines

    Chevy Stevens - Il coule aussi dans tes veines.

    Chevy Stevens

    Sebastian Danchin

    (

    Traducteur

    Archipel (L')
    • Paru le : 09/01/2013
    Sara Gallagher, 34 ans, mère d'une fillette de 6 ans, sait depuis toujours qu'elle a été adoptée. Mais, alors qu'elle se prépare à épouser Evan, la jeune femme souhaite découvrir qui sont ses véritables parents.Ses recherches ne passent pas inaperçues et alertent son père biologique, qui n';est autre que le tristement célèbre Tueur des Campings, un serial killer que la police canadienne cherche à coincer depuis des années.Quand ce dernier - qui prétend se prénommer John - prend contact avec elle pour faire sa connaissance, Sara se retrouve prise au piège.
    Elle ne veut pas lui parler. Lui menace de tuer si elle interrompt leurs conversations téléphoniques. Et il passe à l'acte...De plus, la police pousse la jeune femme à poursuivre leur échange pour localiser le tueur. Mais le pire est à venir. Un jour, John réussit à attirer Sara et sa fille dans une cabane perdue au fond des bois sur l'île de Vancouver...Comme dans Séquestrée, Chevy Stevens fait monter le suspense jusqu'à son paroxysme.
    Un thriller à couper le souffle qui se dévore d'une traite.
     
  • Catégories : A lire, Le paysage

    Une mine d’usines

     

    Critique

    16 janvier 2013 à 22:06 (Mis à jour: 18 janvier 2013 à 10:28)
    Par EDOUARD LAUNET

     

    Sites. De la saline du Jura à la centrale nucléaire de Chinon, en passant par l’île Seguin, un ouvrage met en lumière six siècles de patrimoine industriel en France.

    La chocolaterie Meunier (XIXe siècle) à Noisiel (Seine-et-Marne). - Myrabella

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  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Voyage

    Suite à mon voyage à Istanbul:"Les Filles d'Allah" de Nedim Gürsel

    Les Filles d'Allah - Nedim Gürsel

    Un petit garçon, après le décès de son père et le départ de sa mère, est élevé, dans la petite ville de Manisa, par ses grands-parents. Le grand-père, propriétaire terrien, juriste, mutilé de guerre et musulman d’une grande piété, s’efforce d’inculquer à son unique petit-fils les principes de l’islam. L’imaginaire de l’enfant se nourrit ainsi des versets du Coran et des légendes que lui conte inlassablement sa grand-mère. Il se crée sa propre vision, hantée par le bien et le mal et les épisodes de la vie de Mahomet, qu’il partage avec ses camarades, et surtout avec le petit Ismaïl, fils d’un émigré des Balkans, qui l’initie en retour aux aventures de Tarzan. Le récit prend un autre chemin lorsque le narrateur, devenu adulte, découvre, parmi les papiers de son grand-père décédé, un carnet de notes prises pendant la Seconde Guerre mondiale. Envoyé en Arabie, dans le Hedjaz, comme officier de l’Inspection du Ministère de la Marine, en tant que juriste maîtrisant parfaitement la langue arabe, il se trouve amené à combattre d’autres musulmans et à défendre la ville sainte de Médine contre les Arabes insurgés devenus alliés des Anglais. Ce qui aurait pu être un pèlerinage devient une sorte de cauchemar.

     

     
    Comme mon livre sur Istanbul avance, je vous conseille de commander mes 11 premiers livres rapidement
  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre

    J'ai acheté dans une librairie française à Istanbul

    Un jeune officier, rencontre à Salonique une jeune Circassienne appartenant au harem d'un riche vieillard à Istanbul. Son amant, officier de marine britannique, rappelé en Angleterre, la quitte malgré lui. Quand il la retrouve, la jeune femme est morte de chagrin. Il meurt à son tour au combat. « Si tout n'est pas fini dans la sombre poussière, je le saurai bientôt peut-être. Je vais tenter de mourir pour le savoir... » Un roman quasi autobiographique de Pierre Loti qui séjour en Turquie et rencontre Azidayé en 1877.

    Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise - entre au service de la Turquie le 10 mai 1876, tué dans les murs de - Kars, le 27 octobre 1877.

    1893 Ce roman, publié en 1879, fait l’objet d’une suite titrée : Fantôme d’Orient qui paraît en 1892.

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  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour

    J'ai acheté dans une librairie française à Istanbul

    Tu écraseras le serpent de Yachar Kemal

     

    Tu écraseras le serpent

    Le mardi 8 octobre 2002 par catherinem

    La mère d’Hassan est mariée à un homme qu’elle n’aime pas et qu’elle fait assassiner. La famille du père n’a alors de cesse de réclamer vengeance, et le père lui même, revenant, apparaît aux yeux des villageois sous diverses formes, clamant haut et fort que seul l’assassinat de sa femme pourra lui rendre le repos éternel.

    Tous font pression sur Hassan pour qu’il accomplisse ce geste, dont personne ne parvient à se charger, tant la beauté de sa mère est exceptionnelle et semble d’essence divine. En Hassan se bousculent un sentiment d’impuissance à commettre un acte aussi odieux, et l’envie d’en finir avec tout ça et de voir disparaître sa mère pour ne plus subir toutes ces pressions.

    http://www.livres-online.com/Tu-ecraseras-le-serpent.html

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

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  • Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre

    J'ai acheté dans une librairie française d'Istanbul:Pierre Loti,Constantinople

    « Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)

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  • Catégories : A lire

    Prix Jean Giono et Casanova

    Metin Arditi pour son roman «Le Turquetto» (Actes Sud).

     
    L’auteur
    Genevois, Metin Arditi, est né à Ankara en 1945. Il préside l’Orchestre de la Suisse romande et la fondation Les Instruments de la Paix-Genève. Son œuvre est publiée chez Actes Sud.

    Sur la couverture du «Turquetto» apparaît la main de «l’Homme au gant» du Titien, célèbre tableau exposé au Louvre. Et si ce tableau n'était pas du pinceau du maître, mais de celle d'un peintre tombé dans l'oubli? Une anomalie relevée dans la signature permet toutes les suppositions...

    Elevé à Constantinople, le petit Elie n'a qu'une passion: le dessin. Mais quand on est fils de marchand d'esclaves – activité réservée aux juifs par les Turcs –, dessiner est inimaginable. Pourtant, le jeune garçon s'obstine, s'initie à la calligraphie avec un musulman, copie les fresques de  Saint-Sauveur... Parti de Constantinople pour Venise, Elie change de nom, prenant celui de «Turquetto», et travaille auprès des maîtres italiens du Cinquecento, dont il devient l’égal – Véronèse, Titien. Il dévoile ses origines juives en peignant une «Cène» somptueuse. L'église le fait immédiatement arrêter et juger. Condamné à mort, ses toiles brûlées, il échappe de peu à la pendaison grâce à un prélat. De son œuvre, il ne restera que cet « l’Homme au gant » miraculé. Réflexion sur la création et sur la difficulté d’échapper à un destin tracé, ce récit «historique» est enlevé et profond. Un beau prix Giono.

    http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20111018.OBS2713/prix-jean-giono-a-metin-arditi.html

  • Catégories : A lire, Les polars

    Darren Williams, "Conséquences"

    Conséquences WILLIAMS492012Deux enfants s’égarent dans le bush australien. Un seul réapparait. Tom,  amnésique, déchiré de culpabilité. Il se jure, du haut de ses dix  ans, qu’il retrouvera Flynn, quatre ans. Ni à cause des coups de fouets de son beau-père, qui le hait d’être rentré seul, ni des pleurs de leur  mère terrassée par le chagrin. Mais parce qu’il a promis à son petit frère de le ramener.Darcy, à peine une ado, presqu’encore une petite fille, originaire de la même petite ville « Angel Rock » est retrouvée morte à Sydney. Suicidée. Comment est-elle arrivée si loin, pourquoi ce geste définitif ?Ces enfants sont-ils  les victimes de lointaines haines conçues et nourries par les générations précédentes ?Deux figures de policiers vont s’opposer tout en se respectant. D’un côté Gibson, le citadin, que motive le souvenir du suicide de sa sœur bien des années auparavant. De l’autre, Pop Mather, le lieutenant de la police locale, qui connait l’histoire de chacun, et celle des relations dans les familles depuis bien des décennies. Lui trouve qu’il y a eu bien assez de souffrance comme cela et que sa petite communauté mérite le silence et le recueillement. L’autre, toujours au bord de ses propres précipices intimes, préfère la brulure de la vérité. Sa recherche obstinée va l’entrainer loin, aussi bien dans le passé que dans l’espace, puisqu’il va poursuivre de vieux fantômes jusqu’aux limites de l’out back, là où les pluies représentent un rare miracle.Darren Williams est doté d’une rare force d’évocation de la nature. Je n’ai lu la pareille que chez un maître comme James Lee Burke. Williams ne raconte pas le bayou, bien sur, mais des chemins d’argile rouge bordés d’eucalyptus, sur lesquels les enfants courent nu pieds, et le ciel se chargeant d’orages furieux qui éclatent sur les pentes forestières de la table montagneuse.Le personnage de Tom, petite ossature terriblement attachante, le fantôme de Darcy, les souvenirs qui se refusent, l’humanité de l’officier Pop Mather, l’atmosphère étrange de maison vides et de villages fantômes, « Conséquences » enferme dans ses pages une mélancolie subtile mais bien plus encore. Car la force tellurique de la montagne de l’Ange passe aussi dans les cours d’eau, le vol des oiseaux dans le ciel et la naissance de l’amour chez des enfants affrontant pourtant la peur et la mort.Le premier roman de Darren Williams « Swimming in Silk » a été primé en Australie. Celui-ci mériterait incontestablement de l’être. A tout le moins, on doit espérer que la critique saura le saluer comme il le mérite et que le public trouvera le chemin de ses pages, pleines de forces terribles mais aussi de poésie.

    JEANNE DESAUBRY

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  • Catégories : A lire

    Notre sélection de neuf beaux livres à offrir pour les fêtes

    Éditions originales

    Klimt en XXLLa vie d’AnnieUne sacrée décoFrench StylePoésie VisuellePlaisir des sensL’art de la censureParis en BDPolar en cuisineL’histoire fait la Une

    Klimt en XXL

    On ne peut pas faire plus somptueux ! Toute l’œuvre peinte de Gustav Klimt est là, illustrée en gros plan, ses paysages, ses portraits, ses frises et les mosaïques dont le Viennois décora le légendaire palais Stoclet, à Bruxelles. On les voit en détail dans des pages qui se déplient. Cette monographie magistrale fête les 150 ans de la naissance de l’artiste...

    http://madame.lefigaro.fr/art-de-vivre/editions-originales-151212-308808

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  • Catégories : A lire

    Léonard de Vinci, la nature et l'invention

    Catalogue d'exposition - Léonard de Vinci, la nature et l'invention

    Publié à l'occasion de l'exposition Léonard de Vinci, Projets, Dessins, Machines présentée à la Cité des sciences et de l'industrie du 23 octobre 2012 au 18 aout 2013.

    Quelle était la méthode de Léonard de Vinci, artiste et savant ? Comment retracer l'intelligence léonardienne à l'œuvre ? De la nature à l'invention, comment se décompose l'aventure du savoir?

    Dessinateur, peintre, inventeur de machines de guerre et de divertissement, anatomiste, Léonard de Vinci fascine. S'appuyant autant sur sa curiosité transdisciplinaire que sur son ancrage dans les traditions savantes de l'époque, Léonard a embrassé toutes les connaissances. L'observation de la nature, de l'eau à la botanique, de l'anatomie humaine au vol des oiseaux, est omniprésente dans la genèse de ses créations artistiques et techniques. Ses inventions, décrites et dessinées dans ses fameux carnets et codex, font de lui un des plus grands ingénieurs et humanistes de la Renaissance.

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  • Catégories : A lire

    Dictionnaire Tolkien

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    Une œuvre monde, avec ses langues, sa mythologie, sa géographie, ses villes et ses royaumes peuplés d’Elfes, de Hobbits, de mages et autres créatures imaginaires. Qui, toutes générations confondues, ne connaît pas Bilbo ou Frodo ? Écrivain, poète, critique, philologue, médiéviste, J.R.R. Tolkien est devenu, dès les années 1960, avec Le Seigneur des Anneaux puis récemment, avec les adaptations cinématographiques de Peter Jackson, un phénomène de société.

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  • Catégories : A lire

    A la recherche du père perdu...

    "Le fils perdu"
    Olivier Barrot,
    Editions Gallimard

    L’homme de télévision et écrivain tente de tirer le portrait d’un père méconnu en même temps qu’il raconte ses pères de substitution. On croise Pierre Tchernia, François Truffaut, Michel Serrault. Un livre en noir et blanc d’une grande délicatesse.

    "Le bruit des clés"
    Anne Goscinny,
    Editions Nil

    Elle avait 9 ans lorsque son père, héros national, est mort. Elle remonte le fil de ses souvenirs, dresse le portrait du père du petit nicolas et du sien !

    http://telematin.france2.fr/?page=chronique&id_article=40923

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  • Catégories : A lire

    "De l'art de mal s'habiller sans le savoir "

    Qu'en est-il du mauvais goût aujourd'hui ? Que dire de l'essentiel des  des habitudes vestimentaires modernes ? Explications de texte de notre invité pour permettre à tout un chacun d'éviter les bourdes et autres habitudes fossoyeuses d'une réputation.

    http://www.franceculture.fr/emission-un-autre-jour-est-possible-une-histoire-de-peintures-livre-de-l-art-de-mal-s-habiller-sans-

  • Catégories : A lire, Tolstoï Alexis

    Alexis Tolstoï(nouvelle sous-partie)

    Alexis Tolstoï 

    Alexis Konstantinovitch Tolstoï, né le 5 septembre 1817 et mort le 10 octobre 1875, est un poète russe, auteur également de nouvelles et de pièces de théâtre

     

    Alexeï Tolstoï est né à Saint-Pétersbourg dans la famille des comtes Tolstoï. Il est cousin de l'écrivain Léon Tolstoï. Diplômé de l'université de Moscouen 1836, il passe la plus grande partie de sa vie à la cour du Tsar, d'abord avec la charge de maître de cérémonies, puis comme grand maître des chasses royales. À partir de 1861, il se consacre entièrement à la poésie.

     

    Il a écrit des ballades, un roman historique, quelques vers érotiques et des satires publiées sous le pseudonyme collectif de Kozma Proutkov. Mais sa contribution la plus remarquable à la littérature russe est une trilogie de drames historiques, construits suivant le modèle du Boris Godunov d'Alexandre Pouchkine.

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  • Catégories : A lire, Les polars, Voyage

    "L’Amant sans domicile fixe " de Carlo Fruttero et Franco Lucentini

    L’Amant sans domicile fixe

    Le premier personnage, ici, c'est Venise - une Venise d'hiver, plus souvent brumeuse qu'ensoleillée, la Venise labyrinthique des rues éloignées, quasi désertes. Le deuxième personnage - elle - est une princesse romaine résidant dans un hôtel de luxe, fréquentant les milieux snobs et cosmopolites, et venue là pour une salle des ventes, à la recherche d'oeuvres d'art. Le troisième personnage - lui - est le guide d'un groupe de touristes minables traîné à l'économie de monument en monument. Guide dont l'érudition et la distinction contrastent étrangement avec une valise râpée et un imperméable constellé de taches. Ce qui résultera de leur imprévisible rencontre, et pourquoi celle-ci prendra sans cesse des allures d'énigme, c'est l'objet de ce roman.

    http://www.evene.fr/livres/livre/carlo-fruttero-et-franco-lucentini-l-amant-sans-domicile-fixe-30962.php

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  • Catégories : A lire

    Joyeux Noël, par Alexandre Jardin

    Par (Lire), publié le26/10/2012 à 15:00, mis à jour à 15:06

    Vivre sans angle mort" : tel est désormais le credo réitéré d'Alexandre Jardin qui revient, en introduction de ce nouveau roman, sur l'onde de choc provoquée par Des gens très bien, publié en 2011. Un brûlot sur le passé vichyssois de son grand-père Jean Jardin (1904-1976), directeur de cabinet de Pierre Laval, jusqu'alors fardé par la mythologie familiale, mais que son petit-fils a fini par démaquiller. De quoi se mettre à dos une partie des siens - la polémique fut violente - mais aussi de susciter d'innombrables témoignages d'anonymes, enclins à confier à l'auteur leurs propres secrets de famille. Parmi eux, une certaine Norma Diskredapl, rencontrée lors d'une séance de signature dans une librairie nantaise : persuadée que "toute cécité est préjudice", cette jeune femme "solaire" a remis à Alexandre Jardin un dossier révélant en détail tous les non-dits de son "clan turbulent" sur plusieurs générations. C'est cette histoire mouvementée de la tribu Diskredapl - "impensable" en breton -, installée depuis le XIXe siècle sur une petite île au climat hostile, quelque part en mer d'Iroise, et héritière d'une banque d'affaires sise à Genève, que s'est appropriée le romancier. Fasciné par "cette famille aux airs jardinesques", extravagante et fantasque, mais qui partage aussi avec la sienne "bon nombre de dérèglements", il se fait le greffier à la fois implacable et fasciné de tous ses faits d'armes, surtout les moins glorieux. A la fin, tout à son entreprise de vérité et de réconciliation avec lui-même où Norma l'a entraîné, l'écrivain se met littéralement à nu (en photo) et va jusqu'à publier sa feuille d'impôts, entre autres facéties... Pied de nez "aux gardiens de l'aveuglement" ou narcissisme exacerbé ? Parions qu'une fois encore Alexandre Jardin ne fera pas l'unanimité. 

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