Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
L'art contemporain au nom des pères
L'art contemporain au nom des pères
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L'art contemporain au nom des pères
( Regardez la vidéo du feu d’artifice en bas du texte et les deux autres vidéos au milieu du texte)
Tous à bicyclette pour l’exposition « Le cycle à Saint Etienne, un siècle de savoir-faire » du 20 juin 2014 au 5 janvier 2015 !
Diane Hennebert, directrice de la Fondation Boghossian-Villa Empain à Bruxelles (©DR).
« Toutes les expositions présentées ici ont pour objectif de contribuer, par l'art, au dialogue entre les cultures d'Orient et d'Occident », rappelle cette agrégée de philosophie, en charge depuis 2007 du programme culturel de la Villa Empain comme de sa restauration.
26 Mars 2014 - 13 Juillet 2014 Grand Palais, Galerie sud-est Description Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989. Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New YorkCommissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. Achetez votre billet Horaires 26 Mars 2014 - 13 Juillet 2014 Tous les jours de 10h à 22h (fermeture à 20h le dimanche et lundi) Fermeture hebdomadaire le mardi Fermeture exceptionnelle le jeudi 1er mai Ouvert le jeudi 8 mai Pour la nuit européenne des musées : entrée gratuite le samedi 17 mai de 20h à minuit Tarifs En raison de son contenu, l’accès à l’une des salles de l’exposition est interdit aux mineurs de moins de 18 ans. D’autres œuvres exposées sont par ailleurs susceptibles d’heurter la sensibilité des visiteurs, particulièrement du jeune public. TARIFS : Plein : 12 € Réduit : 9 € Tribu : 33€ (4 personnes dont 2 jeunes 16-25 ans) Billet jumelé Mapplethorpe / Rodin : 16€ Réservez vos prestations groupes Achetez votre billet Robert Mapplethorpe est l’un des plus grands maîtres de la photographie d’art. C’est avec un noir et blanc extrêmement stylisé qu’il réalise portraits, nus, et natures mortes. Au-delà de la puissance érotique qui fait la célébrité de l’oeuvre de Mapplethorpe, l’exposition présente la dimension classique du travail de l’artiste et sa recherche de la perfection esthétique, à travers plus de 200 images qui couvre toute sa carrière du début des années 1970 à sa mort précoce en 1989. Cette exposition est réalisée par la RMN – GP, avec la coopération de la Fondation Robert Mapplethorpe, New YorkCommissaire général : Jérôme Neutres, conseiller du président de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais / Commissaires associées : Joree Adilman, conservateur de la fondation Robert Mapplethorpe, Hélène Pinet, conservatrice au Musée Rodin et Judith Benhamou-Huet, journaliste critique d’art L’exposition est réalisée grâce au mécénat d’Aurel BGC. - See more at:
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Le musée Rodin confronte deux formes d’expression à travers l’œuvre de deux artistes majeurs : Robert Mapplethorpe et Auguste Rodin. Bénéficiant de prêts exceptionnels de la Robert Mapplethorpe Foundation, l'exposition Mapplethorpe Rodin présente 50 sculptures de Rodin et un ensemble de 102 photographies dont l’audacieux dialogue révèle la permanence des thèmes et sujets chers à ces deux grands créateurs. - See more at: http://www.musee-rodin.fr/fr/exposition/exposition/mapplethorpe-rodin#sthash.UfSQSbjY.dpuf
Nicolas de Staël, Les Mâts, 1954, huile sur toile, 100 x 73 cm (Collection privée. ©J. Hyde).
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TROIS BONNES RAISONS DE VENIR CHEZ NOUS
LE DIMANCHE 27 JUILLET 2014
Publié le Le 01/07/2014, dans Biarritz/Miarritze, Culture | par Florence Barucq
Cet été, Biarritz accueille, au Bellevue, une collection des peintures du musée d’Ixelles, qui présente les grands artistes belges de la fin du XIXe à nos jours.
Maîtres de l'art belge à Biarritz. © DR
Informations pratiques :
Ouverture
Du 1er octobre au 30 juin
lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 9h30 - 12h30 et 13h45 - 17h
samedi, dimanche et jours fériés : 14h - 18h
Du 1er juillet au 30 septembre
lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 10h - 13h et 13h45 - 18h
samedi, dimanche et jours fériés : 14h - 18h
Tarifs
Plein tarif : 4,50 EUR
Tarif réduit : 3,50 EUR
Informations complémentairesMusée des Beaux-Arts de La Rochelle28, rue Gargoulleau17000 La Rochelle Tel : +33 (0)5 46 41 64 65En savoir plus sur le lieu
L’exposition Les Routes bleues : périples d'une couleur de la Chine à la Méditerranée est présentée à Limoges, au Musée national Adrien Dubouché, du 27 juin au 13 octobre 2014.
Elle associe plus d'une centaine d’oeuvres exceptionnelles – porcelaines, peintures, sculptures, textiles, bijoux et parures – issues de collections nationales prestigieuses, avec des œuvres contemporaines d'artistes de renommée internationale. Les Routes bleues se proposent de guider le voyageur sur les routes mythiques du bleu et dans les profondeurs de cette couleur fascinante, à travers l'histoire des civilisations et des matériaux.
Gourde de pélerin, Iznik, Turquie, XVe siècle, règne de Bayezid II (1481-1512). Faïence, décor bleu et blanc aux rinceaux, décor de "rumi-hatayi". Collection MNC 15472 (c) RMN-Grand Palais / Martine Beck-Coppola
Du 27 mai au 26 octobre 2014, le château de Versailles présente l'exposition La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle. Cette exposition est organisée à l'occasion du 50e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la France et la Chine.
La Chasse chinoise de Jean-Baptiste Pater, 1736
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exposition du 20 mai au 23 août Bibliothèque de la Part-Dieu + d'infos |
Publié le 15/04/2014 à 03:52, Mis à jour le 15/04/2014 à 09:08
Une importante exposition sur les mondes touaregs occupera les cimaises du musée Henri-Martin de Cahors, ces prochains mois, jusqu'au 1er septembre. Son vernissage a eu lieu vendredi soir.
Légende Photo : Spirales et cerceaux 1969
Lithographie originale sur chiffon de Mandeure
75 x 109,5 cm
Collection Fondation
Marguerite et Aimé Maeght, Saint-Paul
© Adagp, Paris, 2014
©Archives Fondation Maeght, Saint-Paul de Vence
Photo Claude Germain
Kasimir Malévitch, Autoportrait, 1908-1910, gouache et aquarelle sur papier, 27 x 26,8 cm (Moscou, Collection Galerie d’État Tretiakov).
La terre russe a engendré des cohortes de prophètes, figures charismatiques lançant l'anathème sur une société corrompue et promettant la rédemption par le retour aux valeurs authentiques de la religion chrétienne, enracinées dans le monde paysan. Parmi eux, on comptait aussi des artistes, dont Léon Tolstoï reste l'incarnation emblématique. À sa façon, Kasimir Malévitch recueillit l'héritage du grand écrivain et «consacra sa vie à une sorte d'évangélisation de la peinture de son siècle », écrit Andreï Nakov. « Il lui imposa un ordre de valeurs"supérieures ", la transforma en discours philosophique et moral, en nouvelle"Église" ».
Issu d'une famille polonaise, Malévitch naît à Kiev en 1879. Contre son père qui voulait faire de lui un prêtre, il manifeste une vive inclination pour la peinture, qu'il pratique longtemps en amateur. Malévitch ne commence à recevoir les rudiments d'une formation artistique qu'en 1904. Cet apprentissage est accéléré par l'installation à Moscou, où il découvre l'avant-garde alors représentée par Kandinsky, Larionov et Gontcharova. Avec eux, Malévitch participe entre 1910 et 1915 à une série d'expositions mémorables, aux noms aussi improbables que « Le Valet de Carreau » ou « La Queue de l'âne ». Au cours de cette brève période, le peintre retrace pour son propre compte toutes les phases de l'art moderne, de Cézanne au cubisme synthétique, en passant par le futurisme, toutes ces tendances se combinant dans une singulière idiosyncrasie. La visite des collections Morozov et Chtchoukine, alimentées par des arrivages réguliers de Paris, le met en prise directe avec les recherches les plus récentes de Braque, Picasso ou Matisse. C'est au contact de ces oeuvres radicales que Malévitch conçoit sa philosophie de la peinture, comme agencement de signes purs : « Ce qui a valeur en soi dans la création picturale, c'est la couleur et la facture, c'est l'essence picturale, mais cette essence a été tuée par le sujet », écrit-il. Dès lors, l'objet, le réel apparaissent comme des obstacles à la vision de la picturalité, dont il convient de se débarrasser. Ces réflexions entrent en résonance avec les expérimentations des écrivains qui, tels Khlebnikov, aspirent à une poésie de sons.
C'est à cette époque que Malévitch a également la révélation de l'art de l'icône, dans lequel il voit « la forme supérieure de l'art paysan ». « Tout le peuple russe m'apparaissait en elles, dans toute son émotion créatrice », rappelle-t-il ainsi.
Lire la suite dans le Magazine Connaissance des Arts mars 2014
Publié le 27/06/2014 à 03:53, Mis à jour le 27/06/2014 à 08:35
Jusqu'au 26 octobre, le musée de Gajac présente l'exposition «Une passion de l'art, Jean-François Jaeger et la galerie Jeanne-Bucher». Des œuvres majeures à découvrir dans cinq salles.