Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Ensor démasqué
James Ensor L’Intrigue, 1890, toile 90 x 150 © Lukas - Art in Flanders VZW / Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
James Ensor L’Intrigue, 1890, toile 90 x 150 © Lukas - Art in Flanders VZW / Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers
Joseph Wright of Derby: Bath and Beyond
Roper Gallery £6.95 | Concessions
'A cracking show about a fascinating painter' Richard Dorment The Telegraph>>
'Wright there: Derby artist's sojourn in Bath revisited' Mark Brown The Guardian>>
'Joseph Wright's time in Bath was grim but, as an exhibition in the city illustrates, it was also the making of him' Rachel Cooke The Observer>>
'Ringing with commendations: Joseph Wright' Martin Oldman Apollo>>
Joseph Wright ‘of Derby' (1734-1797) lived and worked in Bath between November 1775 and June 1777. This brief and little-known episode in Wright's life marked a crossroads in his career, yet it has never been explored in detail. ‘Joseph Wright of Derby: Bath and Beyond' will place Wright in the context of the many artists, musicians, writers, business people and scientists living and working in the Georgian spa and present for the first time a comprehensive view of his life and work during those eighteen months. The exhibition and accompanying catalogue will also go ‘beyond' to examine the effect of his time in Bath and his travels in Italy on Wright's later work.
Vesuvius in Eruption, with a View over the Islands in the Bay of Naples c. 1776-80
Oil on canvas, 122 x 176.4 cm © Tate, London 2013
"I have taken the Liberty to give this Letter of Introduction to my Friend Mr. Wright of Derby, Who since his Return from Italy is come to Bath, & Designs to settle there."
Erasmus Darwin, 22 November 1775
Wright came to Bath to paint portraits, hoping to build on the success of Thomas Gainsborough who had recently left for London. The exhibition will include the three remaining portraits that the artist certainly made in Bath, including his painting of the elderly Rev. Thomas Wilson with the young daughter of Catharine Macaulay, the radical historian.
Whilst in Bath Wright worked up landscape studies he had made in Italy, producing spectacular views of Vesuvius in Eruption and the dazzling firework displays of Rome, the highlight of a visit to the artist's studio in Brock Street. It was whilst in Bath that he first began to explore subjects from sentimental contemporary literature, which in turn have a strong impact on his portrait composition, and the exhibition will include some of his most beautiful depictions of figures alone in the landscape.
We are grateful to Derby Museum, which holds the world's largest and finest collection of Wright's work, for its generous loans to this exhibition which will include The Indian Widow, The Alchymist and some beautiful drawings. Other lenders include the National Gallery, Musée du Louvre, Tate, the British Museum, the Walker Art Gallery and the Fitzwilliam Museum.
The exhibition is sponsored by Lowell Libson Ltd and supported by The Paul Mellon Centre for Studies in British Art
This exhibition will travel to Derby Museum and Art Gallery
La grande vitrine ouvrant la salle 65, au niveau médian du musée d'Orsay, est désormais entièrement consacrée à l'Art Nouveau italien, connu sous le nom de "style Liberty". Elle rassemble un ensemble unique, récemment enrichi par des acquisitions de premier ordre.
Au début du XXe siècle, les arts décoratifs sont en Italie les héritiers d'une grande tradition artisanale et artistique, et ils se font les interprètes du désir de progrès d'une nation venant de trouver son unité. L'Art Nouveau, connu dans sa version italienne comme "style Liberty ou "art floréal", s'affirme à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs de Turin en 1902 : les grands créateurs de meubles, notamment Eugenio Quarti, Ernesto Basile, Carlo Zen et Carlo Bugatti, y exposent leurs oeuvres.
Leur goût pour les lignes sinueuses inspirées des formes de la nature, aux accents parfois exotiques, se rapproche des tendances répandues dans l'Europe entière, tout en gardant une originalité particulière. En témoigne avec éloquence la chaise dessinée par Carlo Bugatti pour l'une des pièces complètement décorées qu'il présente à Turin. Cette "salle de jeux et de conversations" reproduisait à l'échelle humaine une coquille d'escargot, dont le nom "camera a chiocciola" (chambre "escargot"). D'autres créateurs italiens recherchent des formes d'expression nouvelles et originales. Le bureau de Federico Tesio, qu'il conçoit pour sa villa sur le Lac Majeur, à Dormelletto (Novara), où il installe son élevage de chevaux pur-sang, demeure comme un épisode unique et, en même temps, une oeuvre-phare du "Liberty" italien.
LE MONDE | 19.02.2014 à 08h45 • Mis à jour le 19.02.2014 à 18h48 | Par Philippe Dagen
"Bénerville, la plage 1890", d'Eugène Boudin. | COLLECTION PARTICULIÈRE
Emil Nolde, né Hans Emil Hansen le 7 août 1867 à Nolde dans la région Schleswig-Holstein et mort le 13 avril 1956 à Seebüll (musée Emil Nolde), est un célèbre peintre expressionniste et un aquarelliste allemand.
Le Musée Städel présente la plus grande rétrospective de l'artiste Emil Nolde depuis 25 ans en Allemagne. Le regard sur l'œuvre de l'artiste a beaucoup changé depuis ce temps. Cette exposition réalisée grâce à de nombreux prêts de la Fondation Nolde Seebüll et d'autres collectionneurs, permet de ré(découvrir) les nombreuses facettes et la diversité des travaux d'Emil Nolde. Parmi les 140 œuvres exposées dans un ordre plus ou moins chronologiques (peintures, aquarelles, graphiques), le visiteur peut admirer l'œuvre tardive d'Emile Nolde, moins connue du grand public, ainsi que des œuvres jusqu'ici inconnues.
Cette exposition ouvre de toutes nouvelles perspectives sur l'œuvre de cette expressionniste célèbre.
Commissaire de l'exposition Dr. Felix Krämer (Städel Museum)
Städel Musum
Schaumainkai 63
60596 Frankfurt am Main
Horaires
Mardi, mercredi, samedi, dimanche
10 –18 heures
Jeudi et vendredi
10 – 21 heures
Fermé le lundi
Horaires spéciales
4.3., 18., 20. + 21.4., 1.5., 29.5., 8.6., 9.6., 10.6.2014 de 10.00–18.00 heures
Prix d'entrée
12 €, tarif réduit 10 €, ticket famille 20 €
Samedis, dimanches et jours fériés 14 €, tarif réduit 12 €, ticket famille 24 €.
Réservez ici votre hôtel proche du musée Städel
Site du musée Städel (en langue allemande et anglaise)
Accès
Métro U-Bahn U1, U2, U3 et U8 (Schweizer Platz)
Tramway 15 et 16 (Otto-Hahn-Platz)
Bus 46 - Museumsufer - Linie (Städel)
Environ 10 minutes à pied de la gare centrale par le Holbeinsteg.
Le Musée Städel a présenté du 23 octobre 2013 au 2 février 2014 2014 le plus important artiste allemand de la Renaissance, Albrecht Dürer (1471–1528).
Le dialogue permanent d'Albrecht Dürer avec les œuvres de ses collègues allemands, hollandais et italien est le thème central de l'exposition à Francfort qui présente les travaux de Dürer dans le contexte de leur genèse.
Ainsi, ses précurseurs, contemporains et élèves comme Martin Schongauer, Hans Baldung Grien, Hans von Kulmbach, Jacopo de Barbari, Giovanni Bellini, Joos van Cleve ou encore Lucas van Leyden font partie de cette grande exposition. Grace à cette contextualisation, le visiteur peut contempler non seulement la qualité artistique de l'œuvre de Dürer, mais aussi son influence décisive sur l'art de la Renaissance nord-européen.
L'exposition Dürer réunit des prêts des collections les plus importantes du monde comme de la National Gallery Londres, du Museo Nacional del Prado à Madrid, de la National Gallery of Art à Washington, du Pariser Louvre, du British Museum à Londres, des Staatlichen Museen zu Berlin, des Uffiicies à Florence, du Rijksmuseum Amsterdatm et du Musée Paul Getty à Los Angeles.
Commissaire : Prof. Dr. Jochen Sander
Source : Beaux Arts n°358 Paru le 20 mars 2014
Dans Culture
Elle n’est plus qu’un paysage lointain, cette si sale guerre. Un plat pays, avec ses trous d’obus qui laissent dans la terre leurs marécages, ses croix blanches à perte de vue. Cent ans après le massacre, voilà le peu qu’il en reste dans notre inconscient collectif. Et pourtant, c’est là aussi, dan
Du 13 mars au 21 avril 2012, les Archives municipales présentent « le 7e fête ses cent ans». Pour marquer l’anniversaire de l’arrondissement, cette exposition vous invite à voyager à travers 100 ans d’Histoire, qui ont inspiré les artistes de Cité Création dans la réalisation de « la Fresque du centenaire ».
La force d'un mythe. Coincé entre un RER et un TGV sur un quai de la gare de Lyon, le train attire tous les regards, ce matin-là. Il faut dire que les sorties de l'Orient-Express sont rares. Ses wagons, propriété de la SNCF, sont de véritables monuments historiques classés. Le voyage doit permettre de présenter à la presse l'exposition «Il était une fois l'Orient-Express», qui s'ouvre le 4 avril à l'Institut du monde arabe (IMA), à Paris. Une ode à cette épopée ferroviaire mettant en vedette le train lui-même, installé pendant cinq mois devant l'Institut. «C'est une idée à laquelle j'ai résisté dans un premier temps, admet Jack Lang, président de l'IMA. Mais au-delà de la beauté, du luxe, de la passion des trains, il y a la portée culturelle: la traversée de trois continents et le rêve d'un autre monde.»
Publié le 06/03/2014
Par
Le musée Städel de Francfort présente la première rétrospective du peintre expressionniste allemand Emil Nolde (1867-1956) organisée depuis 25 ans dans son pays, offrant un large aperçu de ses paysages du nord de l'Allemagne, de scènes de la vie berlinoise ou de la Bible.
Parc zoologique: «L'animal n'est plus exhibé aux yeux des visiteurs»
le zoo de Vincennes, fermé pour cause de vétusté[...]Pensé par le Muséum d'Histoire Naturelle, le tout nouveau Parc zoologique[...]envisagé la rénovation du Zoo de Vincennes[...]dû rénover entièrement le zoo[...]un zoo au XXIe siècle[...]Si ce n'est pas le plus vieux zoo au monde[...]Les zoo[...]des principes ...
FIGAROVOX/HISTOIRE - Le Figaro Hors Série consacre un magnifique numéro à l'Empereur Auguste à l'occasion de l'exposition du Grand Palais. Figarovox publie l'éditorial de Michel De Jaeghere.
Jusqu’au 9 mai 2014.
Vernissage le jeudi 16 janvier !!