Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Simon Hantaï peint contre la peinture
LE MONDE | 30.05.2013 à 10h35 • Mis à jour le 30.05.2013 à 12h07
Philippe Dagen
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LE MONDE | 30.05.2013 à 10h35 • Mis à jour le 30.05.2013 à 12h07
Philippe Dagen
Publié le mardi 12 mars 2013 à 08h20
L’Institut du monde arabe accueille Le Théorème de Néfertiti. Cette exposition est le reflet de la volonté de ses deux commissaires, Sam Bardaouil et Till Fellrath, d’interroger, voire de contester les méthodes de présentation avec lesquelles les œuvres d’art sont traditionnellement montrées. Incitant le public à devenir plus critique dans sa façon de regarder les expositions en général, ils l’invitent à réfléchir sur le processus de décontextualisation que subit une œuvre d’art déplacée à travers le temps et l’espace et à questionner l’appropriation dont celle-ci peut faire l’objet.
La Vénus d'Arles, qui inspira à Prosper Mérimée sa célèbre nouvelle fantastique La Vénus d'Ille, est un mythe, la représentation par excellence de la beauté classique. Stendhal, qui la trouvait sans doute un peu bégueule, disait: «la renvoyer à Arles.» C'est fait, jusqu'en septembre.
La place de la Liberté vue depuis l'hôtel Intercontinental.
La gardienne de l'estuaire du Douro s'apprête à accueillir les bateaux de la Solitaire du Figaro Éric Bompard. Ils franchiront la ligne après-demain.
En 2012, pour Le Figaro Magazine, Christian Fournet avait créé un jardin tout en rondeur.
Ce salon parisien fête ses dix ans aux Tuileries. Le paysagiste Christian Fournet y signe un espace vert et ludique au nom du Figaro Magazine.
Dès le premier soleil, cap sur Giverny. C'est le bon moment, avant la chaleur et les touristes de l'été. Les nymphéas sont en train de se former doucement à la surface de l'étang, les tulipes sont sorties des massifs et les nouveaux accrochages, voulus par Hugues Gall, directeur de la Fondation Claude Monet, dans la chambre et les appartements privés du peintre méritent à eux seuls une visite.
L'artiste Sam Francis vous présente Sam Francis/JonOne, une exposition visible du mercredi 15 mai 2013 au samedi 15 juin 2013 à Paris 8ème - Galerie Le Feuvre.
Le musée Ziem est né en 1908 et possède depuis son origine des collections variées. Le visiteur peut découvrir les œuvres de Félix Ziem, des peintures de l’école de Marseille de 1850 à 1925, des paysages fauves, de l’art contemporain, des collections archéologiques et ethnologiques.
Pour les adultes, des visites commentées et des conférences viennent ponctuer l’année, ainsi que des moments particuliers, comme des concerts ou des rencontres/débats en lien avec la collection permanente et les expositions temporaires.
Différentes formes d’ateliers d’initiation à l’histoire de l’art et aux pratiques plastiques sont proposées aux enfants tout au long de l’année.
Elles s’adressent au public individuel, au public en situation de handicap, aux scolaires, aux centres aérés et aux Maisons de quartier.
http://www.ville-martigues.fr/culture-sport-et-loisirs/musee-ziem-1708.html
Précédente publication:
01/05/2013 12:15
Au croisement de l’anthropologie, de l’histoire de l’art ancien et contemporain, de la mode et des mœurs, l’exposition met en œuvre les problématiques de l’intime individuel et sa sociabilité sur le thème universel des cheveux.
Abordant l’idée que chacun donne de sa personnalité par la coiffure, elle se présente tout d’abord sous l’angle de la frivolité, des compétitions entre blonds/blondes, rousses et bruns, lisses et crépus dans un large éventail de peintures classiques, de sculptures et de photographies d’auteurs. Comparant les coquetteries en Papouasie Nouvelle-Guinée, celles des belles citadines africaines ou des artistes de la haute coiffure, l’exposition avance vers l’idée du matériau humain à modeler, à sculpter, support à la fois de savoir-faire, de la relativité de la beauté mais aussi objet de perte, symbole du temps qui passe, de la maladie et de la mort.
Supports de mémoire, reliques, talismans, les cheveux conservent pour beaucoup l’aura et l’énergie de leur propriétaire. Une large partie de l’exposition est consacrée à ces mana qui ont donné naissance, dans le monde, à de multiples objets dits « magiques » ou dotés de pouvoirs que l’on s’approprie.
La question du reste et du trophée est ainsi posée et plus largement du statut de certains « objets » campés aux frontières de l’horripilant et de l'insoutenable, interrogeant nos catégories à partir d’une expérience universelle.
Axe d’ouverture et de développement de la collection hispanique du Louvre, l’art mexicain s’invite dans les salles du musée au printemps.
Une sélection d’une dizaine d’oeuvres présentera au milieu des peintures espagnoles le meilleur de cette école « cousine ». Du zurbaranisme monumental de José Juárez à la fougue baroque de Cristóbal Villalpando en passant par la suave douceur de Rodríguez Juárez, le visiteur découvrira le visage changeant de deux siècles de création du Nouveau Monde et appréciera ses rapports à la fois proches et indépendants avec l’art ibérique.
Peu connu en France, l’art d’Amérique latine est néanmoins représenté dans les collections publiques. Forte du travail de recensement de l’art hispanique entrepris par le Louvre et l’Institut national d’histoire de l’art (projet BAILA), la publication qui accompagne cet accrochage offre l’occasion de rappeler les oeuvres majeures de cette école dans le patrimoine national, d’en questionner les origines et d’en étudier la fortune.
Commissaire(s) :
Guillaume Kientz, musée du Louvre, et Jonathan Brown, New York, Institute of Fine Arts.
Eugène Boudin : L'inventeur de l'impressionnisme.
http://www.dossier-art.com/numero-21/normandie-impressionniste.3789.php