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A voir - Page 47

  • Catégories : A voir, Des expositions

    Paul Eluard, "Poésie, amour et liberté"

    Picasso, Breton, Ernst, Dali, Arp, De Chirico, Cocteau...

    Du 2 février au 26 mai 2013 

    Visuel exposition Paul Eluard

    Né à la veille du XXe siècle, Paul Eluard (1895-1952) est le grand poètede l'amour et de la paix. Il est aussi l'ami des arts. Pour la premièrefois, la vie et l'œuvre de cet artiste majeur de la littérature française seront évoquées très largement. Humaniste, amoureux, homme de bien, poète, ami des artistes, ambassadeurdes communistes, il est une des figures  incontournables de la premièremoitié du siècle dernier.

    L'exposition présente le poète à travers son œuvre et sa vie, ses amis et ses amours. Huit chapitres permettront d'approcher l'homme et l'écrivain, à travers des objets personnels : reconstitution de son bureau avec sa bibliothèque, ses manuscrits, ses ouvrages, ses amis et ses passions. Une partie de l'histoire de France se déroule des Premiers poèmes, signés de son véritable patronyme Eugène Grindel, aux poésies de la Résistance avec les manuscrits de Liberté, aux poésies d'amour.

    Collectionneur exceptionnel de la peinture de ses amis, d'objets sauvages, il réunit autour de ses vers les plus célèbres des artistes deson temps : Hans Arp, Salvador Dali, Pablo Picasso, Max Ernst, Man Ray, André Beaudin, Jean Cocteau, Apel les Fenosa, Hans Bellmer ou Alberto Giacometti.

    La collection du musée d'art et d'histoire de Saint-Denis - le poète fait une importante donation à sa ville natale - est enrichie pour l'occasion de prêts d'institutions publiques et privées, de collectionneurs et de marchands : aux manuscrits, éditions originales, photographies, dessins, gravures et documents privés s'ajoutent peintures et objets de sa collection africaine, océanienne et amérindienne provenant de collections publiques et privées.

    Commissariat : Ville de Saint-Denis, musée d'art et d'histoire, Sylvie Gonzalez, conservateur en chef du patrimoine, directeur.

    Tous les jours 10h-19h (lundi 14h-19h).
    Jours fériés : exposition ouverte lundi 1er avril (Pâques), mercredi 1er mai, mercredi 8 mai, jeudi 9 mai (Ascension) et lundi 20 mai (Pentecôte).

    Palais Lumière
    Quai Albert-Besson,
    74500 Evian

    Tél. 04 50 83 15 90
    courrier@ville-evian.fr

    Télécharger l'audioguide complet de l'exposition en français / download the whole audio tour in english  (à venir)

    Télécharger le flyer de l'exposition

    Télécharger le dépliant de l'exposition

    Télécharger le dépliant de l'exposition en anglais

    http://www.ville-evian.fr/france/DT1206090808/page/Les-expositions-au-PalaisLumiere.html

  • Catégories : A voir, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Fin de:Edward Hopper

    Edward Hopper, Nighthawks, 1942, Friends of American Art Collection © Art Institute of Chicago

    Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression des sentiments les plus poignants, ou pures constructions… Lire la suite

    http://www.grandpalais.fr/grandformat/exposition/edward-hopper/

     

  • Catégories : A voir, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    La Maison de Jean Cocteau

    JPEG - 96.6 ko15 rue du Lau
    91490 Milly-la-Forêt
    01 64 98 11 50
    www.jeancocteau.net

    Ouverture
    - Du 1er mars au 31 octobre : du mercredi au dimanche de 10h à 19h
    - Du 10 novembre au 13 janvier : uniquement le samedi et dimanche de 14h à 18h
    Fermeture annuelle : du 14 janvier au 1er mars
    Fermeture hebdomadaires : les lundis et mardis
    Jour fériés : fermé uniquement le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre

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  • L’âge d’or des cartes marines - Quand l’Europe découvrait le monde

    • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519 | BnF, département des Cartes et plans
    • Atlas Miller, planche du Brésil, portulan, 1519
    • Informations pratiques

    • Site François-Mitterrand

      Plan d’accès au site F.-Mitterrand [fichier .pdf – 505 Ko – 20/11/09 – 1 p.]

      mardi - samedi de 10h à 19h
      dimanche de 13h à 19h
      sauf lundi et jours fériés

      tarif plein : 7 €
      tarif réduit : 5 €

      billet couplé 2 expositions : 10 €
      billet couplé 1 exposition + 1 exposition découverte : 8,5 €

      Réservations FNAC au               0892 684 694        0892 684 694(0,34 € TTC/min) et sur www.fnac.com

    du 23 octobre 2012 au 27 janvier 2013 François-Mitterrand / Grande Galerie

    Parmi les trésors de la Bibliothèque nationale de France, figurent des documents scientifiques d’exception dont la contemplation renvoie spontanément aux légendaires Grandes découvertes.
    Il s’agit des cartes marines enluminées sur parchemin, souvent rehaussées d’or, appelées couramment « cartes portulans », de l’italien portolano (livre d’instructions nautiques). Ces cartes donnent la succession des ports le long des côtes, tandis que l’espace maritime est sillonné par des lignes qui correspondent aux directions de la boussole. Ce système graphique permettait aux marins de s’orienter et de faire le point, en reportant sur la carte la distance qu’ils estimaient avoir parcourue.
    Le plus ancien portulan occidental connu serait de la fin du XIIIe siècle : c’est la fameuse « carte pisane », conservée au département des Cartes et plans. De ces premières cartes nautiques, seuls de rares vestiges ont survécu aux outrages du temps. Riche de cinq cents portulans, la BnF s’enorgueillit de posséder la plus grande collection au monde. Innovation technique, en même temps qu’objet de science et miroir de la quête d’un ailleurs, les « cartes portulans » s’imposent au regard contemporain comme de véritables oeuvres d’art dont le caractère spectaculaire tient autant à leur taille, souvent imposante, qu’à leur polychromie et à leur univers exotique.
    À partir d’une sélection de deux cents pièces majeures – cartes, globes, instruments astronomiques, objets d’art et d’ethnographie, animaux naturalisés, dessins, estampes, tableaux et manuscrits, issus des collections de la BnF ou prêtés exceptionnellement par le Quai Branly, Guimet, le Louvre, les Arts et métiers, le Mobilier national ou le musée de la Marine, le Service historique de la Défense, la British Library, des institutions italiennes et des collections régionales –, l’exposition aborde plusieurs questions : les conditions de navigation et l’usage des cartes ; les découvertes de l’Afrique, de l’Asie, des Amériques et du Pacifique et les rivalités entre les puissances maritimes, la circulation des savoirs géographiques entre océan Indien et Méditerranée ; la création et la diffusion d’une iconographie des Nouveaux Mondes avec leurs paysages, leurs peuples, leurs mœurs, leur faune et leur flore.

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  • Catégories : A voir, L'art, L'histoire, La presse

    1939-1945 : Les Arts sous l'occupation

    Coédition Le nouvel Observateur

     

     
    octobre 2012

    Cet ouvrage raconte jour après jour la vie, les réalisations des créateurs pris dans le maelstrom de la guerre.
    De juin 39 à juin 40 ils se heurtent d’abord à la censure instituée par le gouvernement français. Ensuite sous l’Occupation, à la mise au pas instituée par la Propaganda Staffel allemande qui exige que des rangs des artistes, des cinéastes, des écrivains soient exclus les Juifs et que les créateurs « agréés » ne mettent
    jamais en cause les idées nazies. En outre il leur faut faire face à l’autre censure, celle de Vichy qui prône le retour à la terre, à la famille, aux valeurs chrétiennes et pourchasse les idées « qui nous ont fait tant de mal ». Des idées fort éloignées de la majorité des artistes français. Miracle ou pas, on est stupéfait quand on dresse le bilan final de cette période de l’incroyable créativité qui s’est déployée en France en dépit de difficultés pratiques rencontrés par ces hommes acharnés à survivre. Matisse, Braque, Picasso, Max Ernst, Picabia, Derain pour la peinture, mais aussi Carné- Prévert, Clouzot, Becker pour le cinéma, Guitry, Claudel, Sartre, Camus pour le théâtre : que d’œuvres en bonne place aujourd’hui au Panthéon des arts français !
    Les occupants pendant cette époque ne se sont pas gênés : vols, « aryanisation », destruction de chefs-d’œuvre, censure. Et donc en filigrane, l’éternelle question : fallait-il pour l’honneur de la France que ces artistes, à l’instar de René Char, cessent de créer, se réfugient dans l’anonymat, oublient pour un temps expositions et galeries ? Qui fut collabo, qui ne le fut pas ? En 1945 la Justice aura bien du mal à ranger les créateurs d’un côté ou l’autre de cette frontière mouvante.


    Informations sur ce numéro: 116 pages - 23 x 30 cm
    EAN : 9782842789459
    Reliure : Broché
     
     

    Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    Précédentes publications:

    15/11/2012 00:40

    30/11/2012 08:41

  • Catégories : A voir, Des évènements, Voyage

    Fin de:Empreintes d'un voyage au Japon

    Du 1er avril au 31 décembre

     

    L’exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 5 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis, aquarelles et peintures qu’il ramène en France à son retour.

    Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant.

    A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans son œuvre : œuvres en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, la collection présentée au Musée de Lamballe propose des peintures, dessins et estampes

    http://www.bretagne-japon2012.fr/empreintes-d-un-voyage-au-japon/

  • Catégories : A voir, Les polars

    "Montée aux Enfers" de Perceval Everett

    Ogden Walker, shérif adjoint d’une petite ville du Nouveau- Mexique, doit retrouver l’assassin d’une vieille femme. Problème : les seules empreintes de pas relevées sur les lieux du crime sont les siennes. Pour ne rien arranger, d’autres affaires surviennent, les meurtres s’accumulent et le FBI s’en mêle. Ogden tente de poursuivre le peu de pistes dont il dispose sur la foi de minces indices pour des raisons qui le sont peut-être plus encore. Des prostituées du quartier chaud de Denver aux hippies défoncés qui zonent dans les montagnes environnantes, Ogden s’enfonce pour les besoins de l’enquête dans une Amérique plus interlope que jamais…
    Avec Montée aux enfers, l’un des romanciers les plus pro - téiformes de la littérature contemporaine s’empare magistralement du genre policier pour mieux enquêter sur le cauchemar américain ordinaire, entre violence aveugle et terrifiante absurdité. Dans un roman énigmatique et fulgurant qu’aurait pu écrire Walter Mosley s’il avait lu Derrida (ou l’inverse), Percival Everett invente le polar suspect.

    http://www.actes-sud.fr/catalogue/romans-policiers/montee-aux-enfers

  • Chagall et le livre 20 octobre 2012-11 février 2013

    •  02-015694En 1923, à Berlin, Chagall découvre la pratique de la gravure, en illustrant la version allemande de Ma Vie, recueil de ses souvenirs de jeunesse.
      Il ne cesse ensuite de s’intéresser à l’illustration des textes les plus variés : textes fondateurs, comme la Bible et l’Odyssée, textes classiques comme La Tempête, de Shakespeare, textes d’amis, puisque toute sa vie, il entretient des liens forts et durables avec de nombreux écrivains et poètes, revues d’art enfin, où sa participation est très recherchée après-guerre.
      Il est ainsi amené à travailler avec les plus grands éditeurs d’art du XXème siècle : Paul Cassirer, Ambroise Vollard, Tériade, Aimé Maeght, Alain Mazo, André Sauret, Gerald Cramer.
      Il s’affirme dès les années trente comme l’un des maîtres de la gravure, soucieux de transposer dans les modulations du noir et blanc, les valeurs de la couleur et de restituer le rythme et l’atmosphère d’un récit sans renoncer à sa propre part d’interprétation.
      A la fin de la Seconde Guerre mondiale, encore réfugié aux Etats-Unis, il découvre la lithographie, à l’occasion de la publication de Four Tales for Arabian Nights. Celle-ci devient ensuite son mode d’expression privilégié pour l’illustration. Il développe une totale maîtrise de cette technique dans l’atelier de Fernand Mourlot, où Charles Sorlier devient son compagnon de travail.
      L’exposition présente une grande partie des livres illustrés par Marc Chagall, avec, en regard de chacun d’eux, des peintures et des gouaches. L’artiste, en effet, reprend souvent les sujets de ses illustrations dans sa peinture. Le tableau précède ainsi dans le temps, ou au contraire prolonge, les planches d’un livre.
      -------------------------------------------

      Commissariat  général : Maurice Fréchuret, conservateur en chef du Patrimoine, directeur des musées  nationaux du XXème siècle des Alpes-Maritimes

      Commissaire : Elisabeth Pacoud-Rème, historienne de l’art, chargée des collections

    http://www.musees-nationaux-alpesmaritimes.fr/chagall/expositions/en-cours/

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

    Précédentes publications:

    16/12/2012 16:01

  • Catégories : A voir, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Le Grand Monde de Marcel Proust

    • Madame Standish, photo de Nadar, (Rmn) modèle de la duchesse de Guermantes pour Proust
    • Lieu : Maxim's
    • Date de début : 14 novembre 2012
    • Date de fin : 14 avril 2013
    • Description :

      Le musée Maxim's présente Le Grand Monde de Marcel Proust, ou les célébrités de la Belle Époque dont Proust s'est inspiré, à travers une centaine de portraits, tableaux, photographies, robes, bijoux et caricatures.

    http://www.offi.fr/expositions-musees/maxims-3833/le-grand-monde-de-marcel-proust-46984.html

  • Catégories : A voir

    Anna Karenine

    Par Julien Welter (L'Express), publié le03/12/2012 à 17:54, mis à jour le 04/12/2012 à 18:28

    Le Britannique Joe Wright dépoussière le chef-d'oeuvre de Tolstoï en évitant le classicisme attendu. La preuve par trois. 

    • Réalisé par Joe Wright
    • Sorti le 05 décembre 2012

    Note : 4(4)

    Commandez sur fnac.com

    En supplément sur Anna Karenine

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  • Catégories : A voir, Matisse Henri

    Mantegna to Matisse: Master Drawings from the Courtauld Gallery

    October 2, 2012 to January 27, 2013

    In keeping with its tradition of exhibiting masterworks from collections outside of New York, the Frick will present fifty-eight drawings from The Courtauld Gallery, London. This exhibition marks the first time that so many of the principal drawings in The Courtauld's renowned collection — one of Britain's most important — have been made available for loan. The prized sheets represent a survey of the extraordinary draftsmanship of Italian, Dutch, Flemish, German, Spanish, British, and French artists active between the late Middle Ages and the early twentieth century. The survey features works executed in a range of drawing techniques and styles and for a variety of purposes, including preliminary sketches, practice studies, aide-mémoires, designs for other artworks, and finished pictures meant to be appreciated as independent works of art. Among the artists in the Frick's exhibition will be Andrea Mantegna, Leonardo da Vinci, Albrecht Dürer, Michelangelo Buonarroti, Peter Paul Rubens, Jusepe de Ribera, Rembrandt Harmensz van Rijn, Jean-Antoine Watteau, Charles-Joseph Natoire, Thomas Gainsborough, Francisco Goya y Lucientes, Joseph Mallord William Turner, Théodore Géricault, Edgar Degas, Paul Cézanne, Vincent van Gogh, Georges Seurat, Henri Matisse, and Pablo Picasso.

    The exhibition is organized by Colin B. Bailey, the Frick's Deputy Director and Peter Jay Sharp Chief Curator, and Stephanie Buck, Martin Halusa Curator of Drawings at The Courtauld Gallery. The show, which is accompanied by a scholarly catalogue, opened first at The Courtauld Gallery and ran from June 14 to September 9, 2012. It travels to New York this October and will be a highlight of the Frick's fall exhibition program.

    Support for the presentation in New York is generously provided by Jean-Marie and Elizabeth Eveillard, The Christian Humann Foundation, The Peter Jay Sharp Foundation, the late Melvin R. Seiden in honor of Neil and Angelica Rudenstine, the Joseph F. McCrindle Foundation, Diane Allen Nixon, and an anonymous gift in honor of Colin B. Bailey and in memory of Melvin R. Seiden. The exhibition is also supported by an indemnity from the Federal Council on the Arts and the Humanities.

    Peter Paul Rubens (1577–1640), Helena Fourment, c. 1630, black, red, and white chalk and pen and ink, 24 x 21 1/2 inches; The Courtauld Gallery (Samuel Courtauld Trust)

    http://www.frick.org/exhibitions/courtauld

  • Catégories : A voir, Saint-Etienne(Loire(42,Rhône-Alpes: vie, travail)

    Traces, fossiles, dinosaures & Cie

    Saint-Étienne - Traces, fossiles, dinosaures & Cie ... à l'Espace archéologique Forez-Jarez

    Que sont ces traces ? D'où viennent-elles ? Comment travaillent les paléontologues ?

    par le 13/12/2012 à 06:00

    http://www.leprogres.fr/loire/2012/12/13/saint-etienne-traces-fossiles-dinosaures-cie-a-l-espace-archeologique-forez-jarez

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  • Catégories : A voir, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Jef Aérosol fait « Chuuuttt !!! » dans la grande symphonie urbaine de Paris

    Street art / Art de la rue - 
    Article publié le : vendredi 17 juin 2011 - Dernière modification le : vendredi 17 juin 2011

     

    Jef Aérosol a réalisé "Chuuuttt !!!"
    Jef Aérosol a réalisé "Chuuuttt !!!"
    sf
    Par Siegfried Forster

    Pendant une semaine, il a réalisé au centre de Paris l’un des plus grands pochoirs jamais réalisées au monde. « Chuuuttt !!! » sera inauguré ce 18 juin. Jef Aérosol, né en 1958 à Nantes sous le nom de Jean-François Perroy, est l’un des pionniers de l’art urbain. Le virtuose de la technique pochoir-carton est aussi musicien et se définit d’une manière multiple : peintre, pochoiriste, artiste du street art, de l’art urbain, de l’art contemporain, du pop art. Entretien sur le monde qui nous entoure.

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  • Catégories : A voir, Courbet Gustave, Des expositions

    Les chasses de monsieur Courbet

     

      du 24 novembre au 25 février 2013

     Courbet-Le-renard-dans-la-neige.jpg

    Gustave Courbet, Renard dans la neige, 1860, huile sur toile 

     Dallas museum of Art

     

    Exposition organisée en collaboration avec le Musée de la Chasse, Paris

    Commissariat général : Musée Gustave Courbet

    Commissaire scientifique : Gilbert Titeux, docteur en histoire de l’art, auteur d’une thèse portant sur les

    représentations de la chasse dans la peinture de Courbet

    Assisté de :

    - Dominique de Font-Réaulx, conservateur en chef au Musée du Louvre

    - Laurence des Cars, conservateur en chef, directrice scientifique de l’agence France Museum

    - Raphaël Abrille, conservateur au Musée de la Chasse et de la Nature (Paris)

    - Noël Barbe, ethnologue, chercheur au IIAC, Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de

    l’institution de la culture (CNRS, EHESS, ministère de la culture), directeur de l’Ethnopôle

    Musée Courbet

    - Pierre Feuvrier, Directeur de la Fédération des la chasse et de la nature du Doubs

     

    Courbet a réalisé plus de cent-trente tableaux évoquant la chasse, les chasseurs ou le gibier. Ces oeuvres n’ont guère été étudiées à ce jour et en dehors d’une exposition présentée au Japon en 2002-2003 intitulée « A Painter with Hunter’s Eye » et celle du Grand Palais en 2007 où une salle leur avait été spécialement consacrée, les oeuvres cynégétiques de Courbet n’ont jamais, à elles seules, constitué le thème privilégié d’une exposition. Ce projet s’inscrit dans le cadre du label Ethnopôle (Pôle national de recherche et de ressources en ethnologie)attribué par le Ministère de la Culture au Musée Courbet en 2010, au titre des activités relevant des thématiques suivantes : les relations entre activités artistiques, population et Gustave Courbet, Renard pris au piège, vers 1860, Musée Courbet territoire ; les modalités de représentation d’un territoire ; les modalités d’intervention artistique et d’action culturelle.

     

    Visites guidées sans réservation, tous les samedis à 15h et dimanches à 11h00.

    Visites guidées pour les groupes à partir de 10 personnes sur réservation obligatoire .

    Visites proposées également en anglais, allemand et espagnol.

    Le service des réservations est ouvert du lundi au vendredi de 10h à 12h :  reservationpaysdecourbet@doubs.fr Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir - tél : 03 81 86 59 55  

     

    http://www.musee-courbet.fr/

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  • J'ai aimé vendredi:Van Gogh:rêves de Japon

     la Pinacothèque de Paris, du 03 octobre 2012 au 17 mars 2013

    rêves de Japon

    Les deux expositions présentées simultanément sur les deux sites de la Pinacothèque, permettent aux visiteurs de confronter l'oeuvre de Van Gogh à celle d'Hiroshige.

    Tout a été dit sur la fragilité psychologique de Van Gogh, sur ses troubles bipolaires, sa schizophrénie et sur ses crises de délire accompagnées d’hallucinations, ainsi que sur leurs conséquences directes sur son œuvre et sa manière de voir le monde. Mais il est légitime de se demander si l’analyse de ses troubles graves, mise en relation avec l’analyse de ses œuvres n’a pas finalement fait oublier l’essentiel.

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  • J'ai aimé vendredi l'expo de Jacquemart André et samedi, nous avons aimé celle de Maillol

     Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées


     

     
     
    Canaletto à Paris. Rivalité dans les musées

    La rentrée culturelle parisienne 2012 sera italienne ou ne sera pas.

    Après les expositions Fra Angelico (Jacquemart-André), Cima (musée du Luxembourg), Le paysage à Rome (Grand Palais), ou encore Titien, Tintoret, Véronèse (Louvre), l’engouement pour la Renaissance italienne se semble pas prêt de s’achever. Pour notre plus grand plaisir.

    C’est Canaletto, « le peintre de Venise », qui sera bientôt au centre de toutes les attentions car sujet d’un véritable petit duel muséal. Les prestigieux musées Maillol et Jacquemart-André présenteront simultanément une exposition consacrée au maître vénitien en septembre. Acte manqué ou guerre ouverte ?

    Giovanni Antonio Canal (1697-1768), plus connu sous le nom de Canaletto, est la figure phare de la peinture vénitienne, surtout célèbre pour ses sublimes vues des canaux de la ville flottante. Ses œuvres d’une stupéfiante précision doivent beaucoup de leur beauté à la parfaite maîtrise que Canaletto avait de l’étude de la lumière. Contrairement à la majorité de ses contemporains, le peintre travaillait beaucoup en extérieur, d’où peut être son talent à « fixer » l’air si particulier de Venise.

    1er état des lieux des expositions :

    Le musée Maillol concentrera son propos sur la seule figure de Canaletto avec une sélection de plus de 50 œuvres du maître vénitien (en collaboration avec La Fondazione Musei Civici di Venezia ainsi qu’avec le Polo Museale Veneziano).

    Jacquemart-André se distinguera par une étude comparée de Canaletto et Francesco Guardi. L’essentiel des œuvres présentées chez Jacquemart proviendra de prêts londonien et américain : British Museum, National Gallery, Collection Royale de la Couronne britannique, Frick Collection (New-York) et Philadelphia Museum of Art. La couronne britannique est en effet propriétaire de la plus importante collection de peintures et de dessins de Canaletto. Huit de ces œuvres seront exposées pour la première fois à Paris.

    L’approche de Maillol pourrait se définir comme celle d’un véritable hommage au peintre ainsi qu’à la ville de Venise. Le musée affiche son désir de clore un cycle d’expositions consacrées aux vedutisti (De l’italien vues. Désigne l’étude très détaillée d’un paysage, le plus souvent urbain) en Europe dont Canaletto était la figure centrale.

    C’est plus précisément à ce genre pictural que Jacquemart-André s’intéressera en démontrant la filiation des études de Canaletto et de Guardi. Les vedutisti de Canaletto auraient en effet grandement influencées celles de Guardi.

    On attend avec impatience de comparer la différence d’approche des deux musées en relisant l’ Éloge de Venise, de Luigo Grotto Cieco d’Hadria, prononcée pour la consécration du Doge Sérénissime Luigi Mocenigo, le 23 août 1570 :

    « (…) qui ne la loue est indigne de sa langue, qui ne la contemple est indigne de la lumière, qui ne l’admire est indigne de l’esprit, qui ne l’honore est indigne de l’honneur. Qui ne l’a vue ne croit point ce qu’on lui en dit et qui la voit croit à peine ce qu’il voit. Qui entend sa gloire n’a de cesse de la voir, et qui la voit n’a de cesse de la revoir. Qui la voit une fois s’en énamoure pour la vie et ne la quitte jamais plus, ou s’il la quitte c’est pour bientôt la retrouver, et s’il ne la retrouve il se désole de ne point la revoir. De ce désir d’y retourner qui pèse sur tous ceux qui la quittèrent elle prit le nom de venetia, comme pour dire à ceux qui la quittent, dans une prière douce: Veni etiam, reviens encore. »

     

    Infos pratiques :

    Musée Jacquemart-André : Canaletto- Guardi. Les deux maîtres de Venise (14 septembre 2012-14 janvier 2013)

    Musée Maillol : Canaletto à Venise (19 septembre 2012- 10 février 2013)

    Photo :
    Le Grand Canal vu de San Vio à Venise. Peinture à l’huile (XVIIIe siècle)
    © Archives Larbor


    http://toutelaculture.com/2012/08/canaletto-a-paris-rivalite-dans-les-musees/
  • Catégories : A voir, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Raphaël à Rome : les années de maturité (1512-1520)

    Raphaël, Autoportrait avec un ami (Détail)

    Raphaël, Autoportrait avec un ami (Détail)

    Grande rétrospective sur les années de maturité de Raphaël à Rome, le parcours se concentrant sur la fin de sa vie, de 1512 à 1520. Cette exposition événement sera organisée avec le musée du Prado, qui possède avec le Louvre l’une des plus importantes collections d’oeuvres de Raphaël. Les collections de ces deux institutions seront réunies pour la première fois et témoigneront de l’épanouissement comme de l’évolution stylistique de l’artiste dès son arrivée à Rome.

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