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A voir - Page 49

  • Catégories : A voir, Des expositions, Le paysage, Lille(Nord,59:études)

    Fables du paysage flamand

      

    Exposition du 06 octobre 2012 - 14 janvier 2013

    Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
    Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
    L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.

    Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.

    Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
    Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
    Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.

    Achetez vos places en ligne ! Cliquez ici.

    Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
    Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
    Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.

    - Autour de l’exposition :
    Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée.
    - Jeu. 25 oct. 18h30
    Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection.
    - Merc. 21 nov. 19h
    La Nuit fantastique, nocturne étudiants.
    - Mardi 27 nov. 19h30
    Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet.
    - Lundi 03 déc. 18h30
    Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
    - Dim. 13 Janv. 20h
    Fables polyphoniques, concert de clôture.

    http://www.pba-lille.fr/spip.php?article2418

     

  • Catégories : A voir, Des expositions

    La collection Michael Werner

    /5octobre2012-3mars2013/

    J’ai assis la Beauté sur mes genoux. (…) Et je l’ai injuriée. Rimbaud

    Gaston Chaissac Grande porte de bois peint 1953 Peinture sur bois Donation Michael Werner au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris © ADAGP, Paris 2012 photo © Lothar Schnepf, Köln
    Image prédécente
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    L’exposition « La Collection Michael Werner » réunit près de 900 œuvres dont une partie des 127 peintures et sculptures données récemment au musée par le marchand d’art allemand.  Rassemblant une quarantaine d’artistes, cette présentation rend hommage au travail accompli par Michael Werner au cours des cinquante années de son activité de galeriste et de collectionneur.

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  • Musée Frieder Burda à Baden-Baden

    Museum Frieder Burda

    Le nouveau musée du collectionneur Frieder Burda, sur la Lichtentaler Allee, est un bijou exceptionnel dans le parc thermal de Baden-Baden. La structure de ce musée, baignée par la lumière du jour, conçue par l’architecte new-yorkais renommé Richard Meier, est aussi spectaculaire que la collection qui abrite des œuvres d’art uniques. Les 500 tableaux, gravures, sculptures et objets dessinent la « voie royale » de l’art des 100 dernières années.

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  • Catégories : A voir, Des anniversaires, Des évènements, Le paysage, Voyage

    Tricentenaire de Francesco Guardi

     

    Le Musée Correr de Venise célèbre le tricentenaire de la naissance de Francesco Guardi (1712-1793) à travers une centaine de peintures et de dessins. Après une formation picturale auprès de son père Domenico, en compagnie de ses frères Nicolò et Antonio, les toiles de ses débuts représentent des scènes de vie proches de celles de Pietro Longhi tel Le ridotto ou Le parloir des nonnes de San Zaccaria. Ses premières vedute, vers 1755, s’inspirent de celles de Canaletto et Marieschi comme la Place Saint-Marc de la National Gallery à Londres. En 1746, un anglais lui commande deux grandes vues de la Place Saint-Marc, puis il peint les douze toiles des Fêtes doganales d’après les estampes que Giambattista Brustolon grava lui-même d’après les toiles de Canaletto. Suivront en 1782, les quatre peintures commémorant la Venue du pape Pie VI à Venise puis des toiles célébrant le voyage « incognito » de l’archiduc de Russie sous le nom de comte du Nord. Son style devient de plus en plus libre et allusif, les proportions entre les divers éléments moins importantes, les figures se conçoivent en quelques traits de couleurs, la lagune se dissout dans des vastes étendues d’eau et de cieux. Ses Fantaisies et Caprices représentent des villes imaginaires immergées dans le vert de la campagne vénitienne. Oublié à sa mort en 1793, le 19e le redécouvre. Pietro Zampetti lui consacre une grande exposition au palazzo Grassi en 1965.

    Gilles Kraemer

    Infos pratiques
    Francesco Guardi
    Du 28 septembre 2012 au 6 janvier 2013
    Musée Correr
    San Marco 52 - 30124 Venezia
    Tél.                              +39 041 240 52 11         +39 041 240 52 11         +39 041 240 52 11


    www.correr.visitmuve.it
    - Direction scientifique Gabriella Belli
    Commissariat de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco
    Catalogue Francesco Guardi sous la direction de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco, éditions Skira.

    http://lagoradesarts.fr/Tricentenaire-de-la-naissance-de-Guardi.html

  • Catégories : A voir, J'ai aimé, J'ai lu

    Hors série : Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres

    Signature : CDA - 29 août 2012
     
    Hors série : Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres

    Les musées royaux de Belgique possèdent une importante collection de tableaux anciens des Pays-Bas datant du Siècle d'or (XVIIe siècle), le siècle de Rubens, Jordaens, Van Dyck et de tant d'autres.

    Une partie de cette collection est exceptionnellement présentée au musée Marmottan-Monet. Partant de cette exposition, ce hors-série décrypte le baroque flamand, de la peinture d'histoire aux scènes de genre.

  • Boudoir cherche mécènes

    Par Claire Bommelaer Publié le 07/09/2012 à 06:00
     
    Ce lit de repos, commandé par Joséphine à l'ébéniste Jacob-Desmalter, fait grise mine avec soieries brûlées par le temps. Crédits photo : DR
     

    Pour récolter des fonds, le château de Fontainebleau expose le mobilier turc de Joséphine, à Paris.

    Les mécènes ne viennent pas à nous, nous irons à eux: voici le simple raisonnement tenu par Jean-François Hébert, président du Château de Fontainebleau, avant de lancer son opération «des mécènes pour Fontainebleau». Il y a trois jours, le mobilier du boudoir turc de l'impératrice Joséphine, stocké dans les réserves du château depuis des décennies, a été transporté en plein cœur de Paris, dans la galerie Aveline. La petite pièce y a été fidèlement reconstituée, avec ses décors peints. Jusqu'au 29 septembre, et tandis que la Biennale des antiquaires battra son plein, le public pourra venir contempler le boudoir. Originellement, il est situé au-dessus du boudoir argenté de Marie-Antoinette, une des curiosités du château de Fontainebleau.

    Jean-François Hébert espère susciter des vocations de mécènes parmi les visiteurs. Lit, fauteuils et bergère, commandés par Joséphine à l'ébéniste en vogue Jacob-Desmalter, font aujourd'hui grise mine, avec leurs soieries brûlées par le temps. On ne retrouve pas trace des couleurs blanche et corail qui les paraient, et le motif oriental se devine à peine. Mais si des entreprises ou des particuliers jouent le jeu, le tout sera restauré.

    Travailler à l'ancienne

    Tassinari, un des derniers soyeux lyonnais sachant travailler à l'ancienne, retissera le tissu de velours de soie à la main, et les décors de la petite pièce imaginés par les frères Rousseau seront ­refaits. «Nous souhaiterions rouvrir le boudoir au premier semestre 2013», explique Xavier Salmon, conservateur du Château. Il faut pour cela recueillir 270.000 euros, sachant que 230.000 ont déjà été récoltés.

    Pour la direction, cette exposition parisienne a aussi valeur de test. Fontainebleau souffre de son éloignement, les tour-opérateurs préférant emmener les touristes à Versailles. «La tendance est difficile à inverser, admet Jean-François Hébert, mais une opération comme celle-ci permettra à la fois de mesurer et d'accroître notre notoriété».

    Galerie Aveline, 94, Fbg Saint-Honoré, Paris VIIIe. Tél.: 01 42 66 60 29.

  • Catégories : A voir, Des évènements, Voyage

    Empreintes d'un voyage au Japon

    Empreintesd’unvoyageauJapon

    Du 1er avril au 31 décembre

    L’exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 5 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis, aquarelles et peintures qu’il ramène en France à son retour.

    Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant.

    http://www.bretagne-japon2012.fr/empreintes-d-un-voyage-au-japon/

    A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans son œuvre : œuvres en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, la collection présentée au Musée de Lamballe propose des peintures, dessins et estampes.

  • Catégories : A voir, Des musées, Le paysage

    Musée des Beaux-Arts de Beaune

    L’originalité de la scénographie révélera les collections sous un angle inattendu et insolite. Elle constituera sans aucun doute un véritable événement culturel pour la saison estivale.

    Par une approche et un discours renouvelés, le musée offrira un double parcours au fil des salles, à la fois thématique et chronologique. Les collections pourront être vues et appréhendées d’une manière nouvelle. La confrontation des œuvres se fera en fonction de thématiques ou de sujets iconographiques communs. A l’occasion de ce nouveau regard porté sur les fonds du Musée, certains thèmes ont été privilégiés : l’histoire de Beaune, la représentation du paysage entre le XVIIe et le XIXe siècle, ou bien encore l’Orient qui a fasciné grand nombre d’artistes bourguignons.

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  • Catégories : A voir, Nerval Gérard de

    L'album des écrivains: Raymond Jean en 1989

     

    vidéoSade est à l'honneur de cette émission d'Apostrophes. Pour parler de lui Bernard Pivot a réuni quelques écrivains dont Raymond Jean pour son livre «Un portrait de Sade». Avec l'Ina.fr

    http://www.liberation.fr/programmes-podcasts/040138-album-des-ecrivains

    Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Catégories : A voir

    Francesca Woodman au Guggenheim

    Depuis le début des années 90, de nombreux spécialistes interprètent les images de cette jeune américaine qui a mis fin à ses jours en se défenestrant à l’age de 22 ans. Son univers étrange et sa fin tragique ont contribué à en faire une photographe culte dans monde de l’art. Comme Eugène Atget, sa notoriété n’est arrivée que post mortem et à son insu. Fille d’un couple d’artistes, Francesca Woodman avait pris l’habitude de se House - Providence Rhode Rhode Island, 1976photographier depuis l’âge de treize ans en se mettant en scène. Attirée très jeune par la photographie, elle va suivre des études d’art qu’elle finalisera au Rhode Island School of design. Au cours de sa brève existence elle a développé un univers personnel qui mélange fantastique, introspection et érotisme. Le 19 janvier 1981, elle laisse derrière elle un peu plus de huit cents clichés. Totalement inconnue à la fin des années 70, elle est considérée par Chris Townsend (l’auteur de ce livre et maître de conférences au Department of Media Arts du Royal Holloway de l’université de Londres) comme une artiste manjeure de l’art américain des trentes dernières années.

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  • Catégories : A voir

    A Tours, l'art foisonnant de la pré-Renaissance

    Exposition
    17/03/2012 05:38

    A Tours, l'art foisonnant de la pré-Ren

    17/03/2012 05:38

    Le musée des Beaux-Arts accueille une magnifique exposition “ Tours 1500, capitale des arts ”. Certaines œuvres n’ont jamais été exposées en France.

    Pascale Charron, maître de conférence à l'université de Tours, l'un des quatre commissaires scientifiques de l'exposition, devant un tryptique de la Crucifixion de Jean Poyer. - (Photos NR, Hugues
     
     
     
     
     
     
    Le Guellec)
     

    Le musée des Beaux-Arts accueille une magnifique exposition “ Tours 1500, capitale des arts ”. Certaines œuvres n’ont jamais été exposées en France.

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  • Le Tintoret en majesté aux écuries du Quirinal

     

    Par Richard Heuzé Mis à jour le 09/04/2012 à 14:07 | publié le 08/04/2012 à 17:32
    <i>Saint-Marc libère l'esclave de la torture</i>, du Tintoret. (Venise, Gallerie de l'Académie ).
    Saint-Marc libère l'esclave de la torture, du Tintoret. (Venise, Gallerie de l'Académie ). Crédits photo : Saint-Marc libère l'esclave de la torture (1548) - Venise, Gallerie de l'Académie
    • Soixante œuvres rendent hommage à Rome au peintre vénitien du XVIe siècle.

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  • Catégories : A voir

    To Rome with Love de Woody Allen, la bande-annonce

     

    Par Aurélia Vertaldi Publié le 04/04/2012 à 13:58
    Le prochain film du réalisateur new-yorkais, sur les écrans le 4 juillet prochain, dévoile des personnages particulièrement en forme, plongés dans la féerie de la capitale italienne.

    Penélope Cruz en sulfureuse prostituée, Roberto Benigni, en homme politique harcelé par la presse jusque dans sa salle de bains, Alec Baldwin et Jesse Eisenberg, sont autant de protagonistes hauts en couleur qui se croisent dans Rome, le temps d'un été. Côté intrigue, le trailer ne dévoile rien de probant.

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  • Catégories : A voir, Lyon(Rhône,69:études,travail)

    J'ai aimé hier soir:Jean Martin : Les années expressives

     
     

    Exposition-dossier, du 3 mars au 4 juin 2012

    À la suite de l’exposition Le Poids du monde. Marcel Michaud (1898-1958), le musée des Beaux-Arts de Lyon rend hommage au peintre lyonnais Jean Martin.

    En 2009, le musée reçoit en donation de la femme de l'artiste, le tableau Les Aveugles (1937) ainsi qu'un ensemble de dessins des années 1930-1940. Aujourd’hui, l'exposition permet de découvrir le parcours de l’une des personnalités artistiques majeures de l’entre-deux-guerres.

    Fils d’ouvrier, Jean Martin est né à Lyon, dans le quartier industriel de Vaise, en 1911. Artiste autodidacte, il s’initie à la peinture auprès du peintre Lucien Féchant, sociétaire du salon du Sud-Est, et se lie à ses débuts avec le peintre Jean Couty et le sculpteur Georges Salendre, avec lesquels il expose à partir de 1935 à la galerie du décorateur André Sornay, rue Paul Chenavard, non loin du musée des Beaux-Arts. Dès 1933, il participe au salon d’Automne où son envoi est salué par le poète, critique et galeriste Marcel Michaud, puis expose annuellement au salon du Sud-Est à partir de l’année suivante.

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