Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Hopper est-il vraiment un grand peintre ?


Ombres la nuit, 1921: un chef-d'œuvre. Crédits photo : Philadelphia museum of art/Grand Palais
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En prélude à l’exposition de l’automne 2012 : Fables du paysage flamand, Bosch, Brueghel, Bles, Bril, BABEL est la première exposition exclusivement contemporaine sur le thème universel de la Tour de Babel, la plus célèbre des allégories architecturales de l’histoire de l’art.
BABEL présente une centaine d’oeuvres de 40 artistes qui illustrent les multiples facettes du mythe biblique dans l’art contemporain... L’engouement actuel pour la Tour de Babel répond à celui du XVIe siècle flamand. A l’exemple des tours de la Renaissance flamande, qui fourmillent de détails, l’immense richesse graphique de ces visions contemporaines entre en résonance avec certaines tragédies du monde moderne.
Dans la peinture, la photographie, le cinéma d’anticipation et la BD, les Babel contemporaines et futuristes confrontent l’hommes à sa propre vanité et à la part d’insensé qui gouvernent parfois ses actes, guidés par l’orgueil et l’ambition.
Dans cette perspective morale et philosophique, l’exposition condense les références anciennes, modernes et actuelles pour produire un effet de vertige dans le temps et dans l’espace.
(A. Kiefer ; J. & D. Chapman ; D. Zhenjun ; R. Fischer ; F. Schuiten…)
Commissaire de l’exposition : Régis Cotentin, Chargé de la programmation contemporaine.
Tarifs : 5 € - 3 € (exposition seule) et 8 € - 5 € (expo. + musée)
À p. du 06 octobre, inclus dans le billet musée + expositions :9 € - 6 €)
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Autour de l’exposition :
Mer. 14 nov. 12h30.
Les Greniers de Babel, visite-lecture. Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, Nocturne étudiants. Lun. 03 déc. 2012
Têtes de lecture. Lecture avec JC Carrière et C.Bouquet.
Catalogue de l’exposition : 88 pages, 65 illustrations, 12 €. Editions Invenit.
Application mobile gratuite pour iPhone et Android disponible sur AppStore et Google Play. En partenariat avec Audiovisit.
Téléchargez le dossier de presse de l’exposition BABEL.
Cette exposition est réalisée grâce au mécénat du Crédit du Nord, d’Avenir Public et de Air liquide. En partenariat avec Let’s motiv.
Elle est produite dans le cadre de FANTASTIC / lille3000.
The Wind, 2010 © Du Zhenjun - Galerie RX, Paris
Une expo photo proposée par l’ADIE
Du 25 octobre au 18 novembre
Par Jean-Luc Wachthausen Publié le 26/10/2012 à 06:00
Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression des sentiments les plus poignants, ou pures constructions… Lire la suite →
http://www.grandpalais.fr/grandformat/exposition/edward-hopper/
L'exposition Nicolas Poussin et Moïse présentée par la Galerie des Gobelins du 22 Mai au 15 Décembre 2012 dévoile un chef d’œuvre du XVIIème siècle : pour la première fois depuis sa fabrication, La Tenture de Moïse - une exceptionnelle tapisserie - sera exposée en France... Une occasion de rendre hommage aux travaux de Nicolas Poussin.
Par Eric Bietry-Rivierre Publié le 28/08/2012 à 06:00
Low Tide - Le Japon du chaos
À la Pinacothèque de Paris, du 03 octobre 2012 au 17 mars 2013
Dans le cadre du Mois de la Photo à Paris en novembre 2012, la Pinacothèque de Paris propose aux visiteurs de découvrir en accès libre l'exposition de Denis Rouvre.
Guy Boyer reçoit Alain Tapié, le commissaire de l'exposition "Fables du paysage flamand au XVIe siècle - Bosch, Brueghel, Bles, Bril." qui se tient au Palais des Beaux-Arts de Lille. Il nous explique pourquoi en Flandres, au XVIe siècle, le paysage, aux frontières du réel et de l'imaginaire, s'impose devant la figure ou le récit.
http://videos.connaissancedesarts.com/avant-premiere-fables-du-paysage-flamand-video-6466.html
LE MONDE |18.10.2012 à 15h45
Par Claire Guillot
Charles Nègre "Le sculpteur Auguste Préault devant le 21 quai Bourbon", Paris vers 1856. | Collection particulière
>> Lire également l'article Avec la bande à Le Gray, primitifs de la modernité
Exposition du 06 octobre 2012 - 14 janvier 2013
Cette exposition révèle le caractère merveilleux et fantastique de ces paysages du XVIe siècle qui suscitent aujourd’hui encore fascination, effroi ou questionnement. A cette époque, les artistes flamands inventent une nouvelle manière de peindre, attachante et inventive, aux frontières du réel et de l’imaginaire. La nature devient le lieu de tous les mythes, de toutes les fables, les arbres et les rochers sont anthropomorphes, les créatures les plus étranges côtoient les hommes absorbés par leurs occupations quotidiennes. Dans ces mondes hybrides se dessine pour le spectateur un chemin de vie ; le paysage devient le lieu de passage entre la réalité sensible et le monde spirituel.
Dans ces images où se mêlent la foi chrétienne et les superstitions populaires, où se rencontrent le beau et le bizarre, le merveilleux et le monstrueux, la nature s’écrit dans un langage symbolique dont nous ne détenons plus tous les codes, et nous emmène dans un monde qui nous dépasse, cosmique, légendaire et infini.
L’originalité et la puissance de ces images, signées par des maîtres reconnus tels que Bosch, Brueghel, Bles, Bril ou Patinir, mais aussi par des artistes moins connus, mais néanmoins brillants comme Mandijn, ou de Keuninck, se révèlent dans leur composition d’ensemble comme dans le détail et repoussent la réalité du paysage au-delà du visible, jusqu’au fantastique.
Pour en savoir plus, téléchargez le Communiqué de Presse ou le Dossier de Presse de l’exposition.
Tarifs : 6 50 € et 5 € (exposition seule) - 9 € et 6 € (musée + expositions).
Visioguide : 1 € (FR, GB, NL). Application téléchargeable sur Appstore et Google Play.
Catalogue : 39 €. Éditions Somogy, réalisé avec le soutien de AG2R La Mondiale.
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Cette exposition est organisée par le Palais des Beaux-Arts et la Ville de Lille, dans le cadre de FΔNTΔSTIC / lille3000. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France et bénéficie a ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’Etat.
Elle est réalisée grâce au soutien du Conseil régional Nord-Pas de Calais et de Lille Métropole Communauté urbaine. Elle est réalisée avec le soutien du gouvernement flamand, et a reçu le label de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.
Elle bénéficie du mécénat de la Caisse d’Epargne Nord France Europe, de GDF SUEZ et d’Auchan.
Autour de l’exposition :
Le dimanche à 16 h 30 et le lundi à 14 h 30 : visite guidée. Jeu. 25 oct. 18h30
Vivaldi / Cage – 8 seasons, concert-projection. Merc. 21 nov. 19h
La Nuit fantastique, nocturne étudiants. Mardi 27 nov. 19h30
Le Palais des Délices, visite suivie d’un banquet. Lundi 03 déc. 18h30
Têtes de lecture, lecture avec JC Carrière et C.Bouquet. Dim. 13 Janv. 20h
Fables polyphoniques, concert de clôture.
Edgar Degas 30. septembre 2012 – 27. janvier 2013
J’ai assis la Beauté sur mes genoux. (…) Et je l’ai injuriée. Rimbaud
L’exposition « La Collection Michael Werner » réunit près de 900 œuvres dont une partie des 127 peintures et sculptures données récemment au musée par le marchand d’art allemand. Rassemblant une quarantaine d’artistes, cette présentation rend hommage au travail accompli par Michael Werner au cours des cinquante années de son activité de galeriste et de collectionneur.
Le nouveau musée du collectionneur Frieder Burda, sur la Lichtentaler Allee, est un bijou exceptionnel dans le parc thermal de Baden-Baden. La structure de ce musée, baignée par la lumière du jour, conçue par l’architecte new-yorkais renommé Richard Meier, est aussi spectaculaire que la collection qui abrite des œuvres d’art uniques. Les 500 tableaux, gravures, sculptures et objets dessinent la « voie royale » de l’art des 100 dernières années.
Le Musée Correr de Venise célèbre le tricentenaire de la naissance de Francesco Guardi (1712-1793) à travers une centaine de peintures et de dessins. Après une formation picturale auprès de son père Domenico, en compagnie de ses frères Nicolò et Antonio, les toiles de ses débuts représentent des scènes de vie proches de celles de Pietro Longhi tel Le ridotto ou Le parloir des nonnes de San Zaccaria. Ses premières vedute, vers 1755, s’inspirent de celles de Canaletto et Marieschi comme la Place Saint-Marc de la National Gallery à Londres. En 1746, un anglais lui commande deux grandes vues de la Place Saint-Marc, puis il peint les douze toiles des Fêtes doganales d’après les estampes que Giambattista Brustolon grava lui-même d’après les toiles de Canaletto. Suivront en 1782, les quatre peintures commémorant la Venue du pape Pie VI à Venise puis des toiles célébrant le voyage « incognito » de l’archiduc de Russie sous le nom de comte du Nord. Son style devient de plus en plus libre et allusif, les proportions entre les divers éléments moins importantes, les figures se conçoivent en quelques traits de couleurs, la lagune se dissout dans des vastes étendues d’eau et de cieux. Ses Fantaisies et Caprices représentent des villes imaginaires immergées dans le vert de la campagne vénitienne. Oublié à sa mort en 1793, le 19e le redécouvre. Pietro Zampetti lui consacre une grande exposition au palazzo Grassi en 1965.
Gilles Kraemer
Francesco Guardi
Du 28 septembre 2012 au 6 janvier 2013
Musée Correr
San Marco 52 - 30124 Venezia
Tél.
+39 041 240 52 11 +39 041 240 52 11 +39 041 240 52 11
www.correr.visitmuve.it Direction scientifique Gabriella Belli
Commissariat de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco
Catalogue Francesco Guardi sous la direction de Alberto Craievich et Filippo Pedrocco, éditions Skira.
http://lagoradesarts.fr/Tricentenaire-de-la-naissance-de-Guardi.html
Une partie de cette collection est exceptionnellement présentée au musée Marmottan-Monet. Partant de cette exposition, ce hors-série décrypte le baroque flamand, de la peinture d'histoire aux scènes de genre.
Les mécènes ne viennent pas à nous, nous irons à eux: voici le simple raisonnement tenu par Jean-François Hébert, président du Château de Fontainebleau, avant de lancer son opération «des mécènes pour Fontainebleau». Il y a trois jours, le mobilier du boudoir turc de l'impératrice Joséphine, stocké dans les réserves du château depuis des décennies, a été transporté en plein cœur de Paris, dans la galerie Aveline. La petite pièce y a été fidèlement reconstituée, avec ses décors peints. Jusqu'au 29 septembre, et tandis que la Biennale des antiquaires battra son plein, le public pourra venir contempler le boudoir. Originellement, il est situé au-dessus du boudoir argenté de Marie-Antoinette, une des curiosités du château de Fontainebleau.
Jean-François Hébert espère susciter des vocations de mécènes parmi les visiteurs. Lit, fauteuils et bergère, commandés par Joséphine à l'ébéniste en vogue Jacob-Desmalter, font aujourd'hui grise mine, avec leurs soieries brûlées par le temps. On ne retrouve pas trace des couleurs blanche et corail qui les paraient, et le motif oriental se devine à peine. Mais si des entreprises ou des particuliers jouent le jeu, le tout sera restauré.
Tassinari, un des derniers soyeux lyonnais sachant travailler à l'ancienne, retissera le tissu de velours de soie à la main, et les décors de la petite pièce imaginés par les frères Rousseau seront refaits. «Nous souhaiterions rouvrir le boudoir au premier semestre 2013», explique Xavier Salmon, conservateur du Château. Il faut pour cela recueillir 270.000 euros, sachant que 230.000 ont déjà été récoltés.
Pour la direction, cette exposition parisienne a aussi valeur de test. Fontainebleau souffre de son éloignement, les tour-opérateurs préférant emmener les touristes à Versailles. «La tendance est difficile à inverser, admet Jean-François Hébert, mais une opération comme celle-ci permettra à la fois de mesurer et d'accroître notre notoriété».
Galerie Aveline, 94, Fbg Saint-Honoré, Paris VIIIe. Tél.: 01 42 66 60 29.
Du 1er avril au 31 décembre
L’exposition est entièrement dédiée à l’œuvre de Mathurin Méheut, né en 1882 à Lamballe. Le peintre, issu de l’école des Beaux-Arts de Rennes, poursuit une brillante carrière à Paris avant d’entreprendre un voyage au Japon en 1914. Durant ce séjour de 5 mois, il observe les paysages et personnages rencontrés à travers les provinces d’Osaka, Nara ou encore Kyôto. Ebloui par la beauté du Japon, il réalise de nombreux croquis, aquarelles et peintures qu’il ramène en France à son retour.
Ce voyage au Pays du Soleil Levant confirme ses choix iconographiques et marque son style japonisant.
http://www.bretagne-japon2012.fr/empreintes-d-un-voyage-au-japon/
A travers estampes et dessins, l’influence du japonisme perdure dans son œuvre : œuvres en obliques, découpage du motif par le cadre, ou le format en hauteur. Du Porteur de palanches à La cérémonie du thé, en passant par Les tortues sacrées, la collection présentée au Musée de Lamballe propose des peintures, dessins et estampes.
L’originalité de la scénographie révélera les collections sous un angle inattendu et insolite. Elle constituera sans aucun doute un véritable événement culturel pour la saison estivale.
Par une approche et un discours renouvelés, le musée offrira un double parcours au fil des salles, à la fois thématique et chronologique. Les collections pourront être vues et appréhendées d’une manière nouvelle. La confrontation des œuvres se fera en fonction de thématiques ou de sujets iconographiques communs. A l’occasion de ce nouveau regard porté sur les fonds du Musée, certains thèmes ont été privilégiés : l’histoire de Beaune, la représentation du paysage entre le XVIIe et le XIXe siècle, ou bien encore l’Orient qui a fasciné grand nombre d’artistes bourguignons.