Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Un jour à Paris, j'irais
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22 février - 11 juin 2012
Claude Debussy est sans conteste le compositeur du tournant du XIXe siècle qui trouva l'essentiel de son inspiration dans le domaine de la poésie contemporaine et des arts visuels. D'emblée, il s'intéressa aux artistes les plus novateurs, aux figures les plus en marge des académismes en cours.
L'exposition propose d'évoquer les rencontres majeures du musicien avec les artistes et poètes de son temps, évoqués notamment par les collections de trois familles amies qui le soutinrent dans les années difficiles qui précédèrent la création de Pelléas et Mélisande : celle du peintre Henry Lerolle (1848-1929), du compositeur Ernest Chausson (1855-1899) et d'Arthur Fontaine (1860-1931), conseiller d'Etat.
En ces milieux où le raffinement, le goût et la simplicité excluent toute mondanité, le musicien pouvait admirer des œuvres de Degas, Renoir, Vuillard, Gauguin, Camille Claudel, Maurice Denis, Redon, Bonnard, Carrière, Puvis de Chavannes. Des tableaux, dessins et pastels seront accompagnés de lettres et photographies de ces artistes, d'éditions originales de Gide, Louÿs et Valéry, de manuscrits de Chausson et Debussy.
Autour de l'exposition
Visite-conférence
du 3 mars au 10 juin (durée : 1h30)
mercredi à 16h15
samedi et dimanche à 11h
(sauf jours fériés)
Atelier jeune public "Debussy" (8/12 ans)
du 7 mars au 6 juin (durée : 2h)
mercredi à 15h
Conférences à l'auditorium
mercredis 7, 14, 21 et 28 mars à 19h
Concerts du soir dans les salles des Nymphéas
vendredis 9 et 23 mars, 6 avril et 4 mai à 19h
Lecture
vendredi 11 mai à 19h
Film : Revoir Nijinski danser
tous les jours à 11h10 et 15h55 dans la salle audiovisuelle
Musique : Sonorisation de la 1ère salle des Nymphéas avec des œuvres de Claude Debussy
tous les jours à 11h et 15h (durée : 20 mn)
La Mer, trois esquisses symphoniques, par l'Orchestre Philarmonique de
Radio France sous la direction de Myung-Whun Chung
Récitant Didier Sandre
Le concert, enregistré le 28 janvier 2012 à la salle Pleyel, sera diffusé le samedi 28 avril à 16h sur France Musique, puis en réécoute pendant 1 mois sur le site de France Musique. Y sont présentées des correspondances entre Debusssy, Baudelaire, Verlaine et les peintres Turner, Whistler ou Monet.
TARIFS :
Plein Tarif : 11,00 euros
Tarif Réduit : 7,50 euros
Billet famille (2 adultes/2 jeunes) : 29,50€
Téléchargez les conditions tarifaires de l’exposition
COMMISSARIAT GENERAL :
Giovanni C. F Villa, professeur en histoire de l’art à l’Université de Bergame, spécialiste de la peinture vénitienne de la Renaissance
PRESENTATION DE L’EXPOSITION :
Aux côtés de Giovanni Bellini et de Vittore Carpaccio, Giovanni Battista Cima da Conegliano (1459-1517) compte parmi les grands peintres qui travaillent à Venise à la fin du XVe et au début du XVIe siècle, à l’époque où la ville devient un des pôles les plus brillants de la Renaissance italienne.
À Venise, Cima s’impose très vite comme le maître des grands retables en explorant des effets de composition inédits, où se mêlent de manière originale nature et architecture. Il introduit des asymétries et des échappées insolites, ménage des ouvertures surprenantes, comme dans la Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André (Parme, Galleria Nazionale). Partout apparaît son amour des vastes étendues, exaltées par la lumière, encadrées de montagnes et de collines, qui évoquent les reliefs caractéristiques de sa région natale. A la peinture de paysage, il donne un souffle nouveau. Nul autre avant Cima, n’a su rendre l’atmosphère argentée et légère de la Vénétie avec cette poésie qui n’appartient qu’à lui.
La vie de Giovanni Battista Cima est celle d’un jeune homme sorti du lot, porté par son talent à faire une carrière remarquable. En effet, rien dans ses origines ne le prédestine à réussir à Venise en tant qu’artiste. Il n’y est même pas né, mais a grandi dans l’arrière-pays, dans une bourgade nommée Conegliano, située au pied du massif montagneux des Dolomites. De plus, son père travaille dans le textile (le nom « Cima » vient d’ailleurs du métier de cimatore exercé par son père). C’est donc un destin hors du commun que celui de ce provincial qui parvient à s’imposer comme un maître réputé, et cela en dépit de la concurrence qui fait rage à Venise où des dynasties de peintres, comme celles des Bellini ou des Vivarini, sont déjà fort bien implantées. Dans les années 1490, il est reconnu à Venise comme le peintre d’art sacré par excellence. Dans ce domaine, le doge lui-même le considère meilleur que Bellini ou que Carpaccio.
Cette ascension sociale, Cima la doit d’abord à une forme de perfection, fondée sur la minutie de son dessin, sa maîtrise de la peinture à l’huile (une technique alors relativement nouvelle dans l’histoire de la peinture vénitienne), l’étendue de sa palette aux couleurs lumineuses. Ce métier virtuose lui permet d’atteindre un haut niveau de précision dans la représentation des détails : la ciselure d’un bijou, la texture chatoyante d’une draperie, les boucles cuivrées d’une chevelure. Le soin fascinant avec lequel il décrit les visages, les expressions et les regards, souvent mélancoliques, lui permet de conférer à ses peintures une profonde humanité, perceptible notamment dans ses nombreuses Vierges à l’Enfant, comme celle conservée aux Offices de Florence.
La réussite de Cima réside aussi dans sa réceptivité aux idées nouvelles et dans son extraordinaire capacité d’assimilation. Dans le sillage d’Antonello de Messine et de Giovanni Bellini, notamment, il forge d’abord ses premières armes. Il ne tarde pas à proposer à son tour de nouveaux modèles auxquels Bellini lui-même ne sera pas insensible. De passage à Venise, Albrecht Dürer, attiré par la renommée de Cima, lui rend visite et est frappé par ses œuvres. Son influence est aussi déterminante pour les maîtres de la génération suivante, Lorenzo Lotto, Sebastiano del Piombo, Titien, qui tous sauront retenir les leçons de sa peinture et y puiser des idées pour leurs propres compositions. Au sommet de sa carrière, Cima sait encore reconnaître les avancées d’un peintre plus jeune, Giorgione, et modifier sa manière de peindre, en optant pour une touche plus vibrante et suggestive dont le Saint Jérôme au désert des Offices est un des plus beaux exemples. Ainsi, autour de Cima, ce sont plusieurs générations d’artistes qui ne cessent de dialoguer entre elles.
L’exposition Cima maître de la Renaissance vénitienne réunit des œuvres exceptionnelles, dont de grands tableaux d’autel, qui pour la première fois sont présentés hors de l’Italie. Elle permet de découvrir ainsi l’œuvre d’un artiste en phase avec son temps et de porter un nouveau regard sur la prestigieuse histoire de Venise.
L’exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais en collaboration avec Artematica.
(Visuel : Cima da Conegliano, Saint Sébastien, 1500-1502 © Musée des Beaux-Arts de Strasbourg, photo M. Bertola)
http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-10/
RÊVESDELAQUE
6 avril - 15 juillet 2012
70 laques, paravents, peintures, objets décoratifs et usuels présentés pour la première fois en France et à Paris, illustreront, au musée Cernuschi, l’art virtuose de Shibata Zeshin (1807-1891).
La carrière de Shibata Zeshin (1807-1891) se situe à la charnière de deux grandes époques de l'histoire du Japon: le Japon des samouraïs (époque d'Edo) et le Japon de la modernité (époque Meiji). Ses peintures et ses laques témoignent des transformations artistiques, politiques et sociales de la fin du XIXe siècle. Peintre au service des riches marchands, des citadins et des temples sous l'ancien gouvernement, il est nommé peintre du Bureau de la Maison impériale après la restauration de l'empereur Meiji en 1868.
D’une grande sensibilité, formé à la peinture réaliste auprès des peintres de l’école de Kyôto Maruyama-Shijô, il s’illustra dans des peintures à l’encre sur soie, créant des effets de trompe-l’œil, mais inventa encore la peinture à la laque colorée sur papier. Dans l’art du laque, il mit au point des procédés décoratifs uniques, tels que les laques noirs à décor ton sur ton, les laques imitant le fer ou le bronze ou, comble de raffinement, la fine texture du bois de rose.Ses compositions picturales souvent d’une extrême concision évoquent les fameux poèmes japonais dépouillés et incisifs, les haiku dont il était épris.
Ses œuvres présentées dans les Expositions Universelles, dont celle de Vienne en 1873 et celle de Paris en 1884, ainsi que dans les expositions nationales furent récompensées par de nombreux prix, admirées et collectionnées par les amateurs occidentaux, comme l'Anglais Dresser et l'Allemand Samuel Bing, créateur de l'Art Nouveau. Elles jouèrent un rôle prépondérant sur l'évolution du goût en Occident.
L'histoire de la bibliothèque Kandinsky s'enracine tant dans l'historique des collections du Musée national d'art moderne que dans les activités de l'ancien CNAC (Centre national d'art contemporain) et profile largement les contours de ses collections. Leur ampleur et leur qualité positionnent la Bibliothèque Kandinsky comme un des grands outils internationaux pour la recherche et une ressource pour l'écriture et l'exposition de l'histoire de l'art des 20ème et 21ème siècles, mais les 5000 artistes, designers et architectesprésents dans la collection des œuvres y bénéficient d'un soin documentaire prioritaire.
Tous les medias et supports, susceptibles de contenir des données ayant valeur de sources sur la création visuelle de cette période, intéressent la Bibliothèque Kandinsky et sont conservés par elle.
Six grands secteurs de collection accueillent cette documentation : les imprimés, les périodiques, les archives, la collection photographique, l'audiovisuel et les dossiers documentaires.
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Le Palais Lumière accueille pour la première fois en France les chefs d’oeuvre issus du Liechtenstein museum de Vienne
qui abrite la plus importante collection privée européenne de nos jours. Le Baroque sera largement représenté à travers la peinture et la sculpture italienne (Marcantonio Franceschini, Guido Reni, Canaletto ou encore Massimiliano Benzi Soldano) et la peinture flamande (Rubens, Rembrandt ou encore Van Dyck...). Environ 70 tableaux (dont des oeuvres de dimensions monumentales), 20 sculptures et 15 pièces de mobilier sélectionnés pour leur exceptionnelle qualité seront ainsi visibles pour la première fois en France.
Un deuxième grand ensemble sera consacré au classicisme et au Biedermeier, un mouvement pictural initié par Amerling,
Gauermann ou Waldmüller au XIXe siècle.
En guise de prologue, une salle sera consacrée à l’histoire de la famille Liechtenstein. Des portraits des princes mécènes témoigneront d’une passion pour l’art, ininterrompue depuis plusieurs siècles.
Commissariat : Johann Kräftner, directeur du Liechtenstein museum et Caroline Messensee, historienne de l’art .
Tous les jours 10h30-19h (lundi 14h-19h). Les jours fériés, se renseigner au préalable.
Nocturnes vendredi 5 et 19 août jusqu'à 22h
Quai Albert-Besson, 74500 Evian. Tél. +33(0)4 50 83 15 90 .
Légende : Peter Paul Rubens, Mars et Rhea Silvia, 1616/17 © Collections Princières du Liechtenstein, Vaduz-Wien.
Charles-Joseph Natoire, Nemi : l’église Saint-François et le lac, encre et aquarelle sur papier, 31 x 43,6 cm (MONTPELLIER, MUSÉE ATGER).
Vues campagnardes ou urbaines, scènes bucoliques ou ruines tourmentées, l’art du paysage se décline à la pierre noire, la sanguine, le lavis d’encre ou encore l’aquarelle. Avec en contrepoint une sélection de treize dessins du XIXe siècle.
http://www.chateaudegoutelas.fr/
La structure d’Anish Kapoor a rendu, le 23 juin, son dernier souffle. Après l’arrêt des turbines qui le maintenaient en vie, le Léviathan conçu par l’artiste pour Monumenta, un monstre de caoutchouc haut de 17,35 m pour 100 m de long, a fini de cracher les 72 000 m3 d’air envoyés dans ses poumons. Mort, le Léviathan ? Pas sûr, il est comme le monstre de Job : « inébranlable », capable de rire « du frémissement du javelot ». Même si l’artiste a fait référence au Léviathan de Hobbes, allégorie de l’État, le Léviathan de Kapoor partage avec celui de la Bible ce pouvoir de faire se retirer « les vagues de la mer »… afin que s’ouvrent les colonnes des journaux étrangers. Du New York Times à Der Spiegel, d’El País au Chicago Tribune, la presse internationale a unanimement salué la prestation de l’artiste britannique, le critique du Telegraph confessant même avoir été « complètement ...conquis ».
http://www.artclair.com/oeil/couvertures/numeros/parus_couverture/00555/oeil-juillet-aout-2011.php
cf.
http://www.lauravanel-coytte.com/search/j'ai%20lu
http://www.lauravanel-coytte.com/la_presse/
parce que j'aime lire la presse magazine, quotidienne, hebdo, mensuelle, généraliste ou spécialisée
et que ce blog parle de ce que j'aime
Mots clés : vacances
G. D.Film d’animation polonais et britannique de Suzie Templeton (2006/41 min/dès 7 ans)
Ciné-concert exceptionnel avec le conservatoire le 18 mai 14h30 et 20h
Malgré les récriminations de son grand-père, un petit garçon courageux, aidé par un oiseau farceur et un canard rêveur, cherche à attraper un loup menaçant. Une splendeur visuelle, adaptée du conte musical de Serge Prokofiev...
Avec Stefan Knüpfer, Lang Lang...
Film autrichien et allemand de Robert Cibis et Lilian Franck (2009/1h33/VOST)
Pianomania emporte le public dans un voyage plein d’humour à travers le monde secret du son et accompagne Stefan Knüpfer dans son travail extraordinaire avec les plus grands pianistes du monde. Un des meilleurs accordeurs de piano du monde dans son « combat » avec les grands pianistes de notre temps. Un film sur l’amour, la perfection et une note de folie.
Avec Victor Sjöstrom, Edith Erastoff, John Ekman...
Film suédois de Victor Sjöstrom (1918/2h16/VOST)
SAMEDI 21 MAI • 20h15 Les proscrits Grâce au concours de l’Institut de Film Suédois, le Gran Lux, La Rotonde et Le France sont heureux de vous convier à la projection d’un chef d’oeuvre rare du cinéma muet. Rituel annuel : Île de Faro. Dans la salle de projection privée d’Ingmar Bergman, les films de son maître, Sjöström, tournent en boucle.
Avant programme : Disques stroboscopiques de XIXème siècle. (16mm/couleur/muet/13’ 40) Reconstitution hypnotique de pré-cinéma.
Séance unique le 21 mai 20h15
Islande au milieu du XIXème (...)
Avec Jacques Dutronc, Alexandra London, Bernard Le Coq...
Film français de Maurice Pialat (1991/2h38)
[CINÉ-CLUB PLAN[S] LIBRE[S]
JEUDI 19 MAI 19h
Van Gogh Maurice Pialat, France, 1991. Acteurs : Jacques Dutronc, Jacques Lamblin, Elsa Zilberstein. "Pialat rejoint la peinture, mais avec son outil à lui, le cinéma. Aux torsions des toiles, il répond par des blocs de séquences entrechoqués. Un style unique, une forme qui paraît façonnée à mains nues. Un chaos dompté. A la croisée du naturalisme et de l’impressionnisme, Pialat fait la part belle aux paysages, aux corps féminins, aux gens du peuple. Et, bien sûr, à Dutronc. (...)
Avec Keir Dullea, Gary Lockwood...
Film britannique, américain de Stanley Kubrick (1968/2h21/VOST)
A l’aube de l’Humanité, la découverte d’un monolithe noir inspire au chef des singes assiégés un geste inédit et décisif. Brandissant un os, il passe à l’attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est né. En 2001, quatre millions d’années plus tard, un vaisseau spatial évolue en orbite lunaire au rythme langoureux du « Beau Danube Bleu ». A son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête secrètement sur la découverte d’un monolithe noir qui émet d’étranges signaux vers (...)
Avec Mateusz Kosciukiewicz, Olga Frycz, Jakub Gierszal...
Film polonais de Jacek Borcuch (2011/1h35/VOST)
En Pologne, printemps 1981, l’époque est à la contestation. Quatre amis qui n’aiment rien tant que gratter leurs guitares et martyriser les fûts de batterie créent un groupe. Leur passion ? Le punk rock, plutôt : Anarchy, No future ! Et tous ces slogans revigorants. Dans les rues, le syndicat Solidarité de Lech Waleza déclenche des grèves massives. L’époque est à la répression. Et le punk rock n’est pas très bien vu des (...)
Avec Kevin Spacey, Annette Bening, Thora Birch...
Film américain de Sam Mendes (1999/2h02/VOST)
JEUDI 2 JUIN • 20h00 TWIN PEAKS / AMERICAN BEAUTY FOCUS (association d’étudiants de l’école d’architecture) propose un double programme consacré au cynisme/désenchantement de l’Amérique des « nineties ». Pour leur carte blanche, ils ont décidé de ressortir des cartons deux films qui ont marqué les esprits : TWIN PEAKS
- Fire walks with me de David Lynch et AMERICAN BEAUTY de Sam Mendes (les Noces rebelles/Les sentiers de la perdition/Away we go).
Tarif : 10 € les 2 films
Etudiants (ENSASE et autres) (...)
Avec José Garcia, Anna Mouglalis, Samuel Benchetrit...
Film français de Samuel Benchetrit (2011/1h40/VF)
À partir du 6 mai
Gino, installé depuis trente ans à Bruxelles, tient une pizzéria achetée avec les économies de son épouse Simone. Sa vie est bouleversée par la nouvelle de la mort prochaine de son oncle d’Italie, un parrain de la mafia rendu milliardaire par ses activités illicites. Une grosse part d’héritage est promise à Gino...
Avec Rémy Girard, Lubna Azabal...
Film canadien de Denis Villeneuve (2010/2h03/VOST)
« Un thriller dévastateur du cinéaste québécois Denis Villeneuve, qui vous happe et ne vous quitte plus. Il n’y a aucune façon de chasser ce film de vos rêves. » Parfois, une image vaut littéralement 1000 mots. Les milliers et milliers de mots incandescents employés par le dramaturge Wajdi Mouawad pour sa pièce sont en effet devenus des images fortes, violentes, justes, troublantes dans le film de Denis Villeneuve. Du texte dramatique épique, homérique, est né un long métrage au confluent du thriller et de la tragédie (...)
Avec Vitus Zeplichal, Elke Aberle...
Film allemand de Rainer Werner Fassbinder (1976/1h50/VOST)
Du 25 au 6 juin
Le jeune Peter purge une peine de dix ans pour le meurtre d’un patron de café. Il raconte son histoire au psychologue de la prison. Peter est attentionné, généreux, serviable, mais timide et écrasé par ses parents. Il ne cesse de vouloir acheter aux autres l’amour qui lui a été refusé dans son enfance.Chaque jour, il couvre ceux qu’il aime de nouveaux cadeaux, malgré les soucis financiers (...)
Film d’animation italien et français de Dominique Monféry (2009 - 1h20 - dès 3 ans)
Du 11 au 22 mai
Natanaël a bientôt 7 ans, mais il ne sait toujours pas lire... Lorsque sa tante Eléonore lui lègue sa bibliothèque contenant des centaines de livres, Natanaël est très déçu ! Pourtant, chacun de ces contes va livrer un merveilleux secret : à la nuit tombée les petits héros, la délicieuse Alice, la méchante fée Carabosse, le terrible capitaine Crochet, sortent des livres... Ils doivent prévenir Natanaël qu’ils courent un grand danger et risquent de disparaître à jamais. Pour sauver ses minuscules amis et leurs (...)
Avec Necati Şasmaz, Gürkan Uygun, Kenan Çoban, plus
Film turc de Zübeyr Şaşmaz (2010/1h45/VOST)
INTERDIT AUX MOINS DE 12 ANS
Polat et ses hommes organisent une expédition punitive afin de venger leurs frères, tués sur un bateau de ravitaillement. Leur mission est claire : Trouver les responsables de cette attaque. Polat Alemdar enquête en se rapprochant pas à pas de sa cible. Mais la mission va s’avérer plus dangereuse que prévue : Leur ennemi juré leur donnera du fil à retordre de par l’atrocité de ses actes et des moyens technologiques dont il (...)
Avec Rafael Spregelburg, Daniel Araoz...
Film argentin de Gaston Duprat et Mariano Cohn (2011/1h50/VOST)
JEUDI 26 MAI • 20h40 Ciné latino : El hombre al lado
L’HOMME D’À CÔTÉ : 5 récompenses des Premios Argentins (l’équivalent de nos César), dont celui du meilleur film. Une excellente comédie grinçante qui s’avance gentiment, dans un climat burlesque et raisonnablement satirique, avant de bifurquer sur des chemins moins balisés, et de trouver une gravité inattendue et assez perturbante. C’est le 2ème film d’un duo de cinéastes argentins qu’il faudra suivre de près... Interroger un homme sur ses intentions de (...)
Film français, espagnol et argentin de Diego Lerman (2010/1h35/VOST)
Avec Julieta Zylberberg, Osmar Núñez...
Buenos Aires, mars 1982. Dans les rues de la capitale argentine, la dictature militaire est contestée. María Teresa est surveillante au Lycée National de Buenos Aires, l’école qui forme les futures classes dirigeantes du pays. Elle a 23 ans et veut bien faire. M. Biasutto, le surveillant en chef, décèle tout de suite en elle l’employée zélée qu’il attendait et lui apprend à être l’oeil qui voit tout, mais qui échappe aux regards des autres : l’oeil invisible. María Teresa se lance alors dans une surveillance (...)
Avec Ken’ichi Matsuyama, Rinko Kikuchi...
Film japonais de Tran Anh Hung (2010/2h13/VOST)
Tokyo, fin des années 60. Kizuki, le meilleur ami de Watanabe, s’est suicidé. Watanabe quitte alors Kobe et s’installe à Tokyo pour commencer ses études universitaires. Alors qu’un peu partout, les étudiants se révoltent contre les institutions, la vie de Watanabe est, elle aussi, bouleversée quand il retrouve Naoko, ancienne petite amie de Kizuki. Fragile et repliée sur elle-même, Naoko n’a pas encore surmonté la mort de Kizuki. Watanabe et Naoko passent les dimanches ensemble et le soir de l’anniversaire des (...)
Avec Michael Aspel, Peter Graham...
Film britannique de Peter Watkins (1965/48 min)
Interdit aux moins de 12 ans
Une bombe atomique sovietique s’abat en Angleterre. A partir de cette hypothese faite dans le contexte de la guerre froide, Peter Watkins imagine les consequences immediates de l’attaque, l’eventualite et les conditions d’une survie.
Avec Eliane Annie Adalto, Pierre Barbieux, Bernard Bombeau...
Film français de Peter Watkins (2000/3h30/VOST)
Grâce à l’étonnante énergie relationnelle de près de 300 comédiens et techniciens convaincus par la pertinence du sujet et l’évidence du propos, Peter Watkins a pu reconstituer et restituer l’exceptionnelle expérience de La Commune. Peter Watkins nous réveille et nous rappelle qu’à tout moment nous pouvons en devenir les acteurs lucides, conscients et responsables.
Avec Melvil Poupaud, Audrey Marnay...
Film français et allemand de Géraldine Bajard (2010/1h40)
Du 19 au 31 mai
François, jeune médecin fraîchement diplômé, quitte Paris pour s’installer à Beauval, une ville nouvelle, où les pavillons flambant neufs s’alignent avec monotonie. A peine arrivé, il devient la cible d’un groupe d’adolescents, emmené par le charismatique Cédric. A la lisière de la forêt, le groupe s’adonne à des jeux dangereux, pour tromper son ennui. Jusqu’au jour où un de leurs jeux de rôles tourne (...)
Avec Elio Germano, Raoul Bova...
Film français et italine de Daniele Luchetti (2010/1h33/VOST)
Claudio, ouvrier dans le bâtiment, travaille sur un chantier dans la banlieue de Rome. Il est très amoureux de sa femme, enceinte de leur troisième enfant. Un drame inattendu va soudain bouleverser l’insouciance de cette vie simple et heureuse. Pour survivre, Claudio va affronter avec rage l’injustice intime et sociale qui le touche. Le soutien de sa famille, de ses amis et l’amour de ses enfants vont (...)
Avec Lissa Balera, Tayerou M’Baye
Moyen-métrage sénégalais de Djibril Diop Mambety (1998/45 min/dès 4 ans)
MERCREDI 25 MAI • 14h30 La petite vendeuse de Soleil A l’issue de la séance, retour sur le film avec Nicole Cornut.
Du 25 au 31 mai
Depuis longtemps, la vente des journaux a la criee dans les rues de Dakar etait l’apanage des garcons. Mais ce matin, cette mainmise est contestée.
Avec James Mason, Sue Lyon, Peter Sellers...
Film britannique de Stanley Kubrick (1962/2h33/VOST)
Durant l’été, dans la petite ville de Ramslade, Humbert, un professeur de lettres divorcé et séduisant, loue une chambre dans la maison de Charlotte Haze, une matrone éprise de culture. Celle-ci essaie de séduire Humbert, mais ce dernier se montre beaucoup plus attiré par la juvénile Lolita
Court-métrages français de Grégoire Solotareff (2003/29 min/dès 2 ans)
Du 1er au 5 juin
Loulou, le jeune loup, se retrouve seul au monde. Comment survivre quand on ne sait ni ce qu’on est ni ce qu’on est censé manger ? Ce film est accompagné de quatre courts métrages sur le thème du loup...
Avec Pina Bausch, Regina Advento...
Documentaire français et allemand de Wim Wenders (2011/1h43/VOST)
Hommage du cinéaste allemand à la chorégraphe et danseuse Pina Bausch disparue en 2009. « Dansez, dansez, sinon vous êtes perdus » le leitmotiv en quelque sorte de la créatrice pour qui la danse était d’abord la vie, la façon la plus vraie de s’exprimer dans un monde parfois hostile. Wim Wenders revient sur ce travail, ce langage et la femme qu’était Pina, grâce à la collaboration de sa troupe, le Tanztheater (...)
VILLE EN PARTAGE QUINZAINE HANDICAP 18/29 mai VENDREDI 27 MAI • 21h30 PLEIN-AIR : BENDA BILILI
Place de l’Hotel de ville dans le cadre de Une Ville en partage, Quinzaine du Handicap en partenariat avec le Méliès et le Festival des 7 Collines avant la venue du groupe en juillet à St Etienne.
SEANCE GRATUITE !!
Ricky avait un rêve : faire de Staff Benda Bilili le meilleur orchestre du Congo. Roger, enfant des rues, désirait plus que tout rejoindre ces stars du ghetto kinois qui écument la ville sur des (...)
Court-métrages letton de Dace Riduze, Janis Cimermanis (2010/40min/dès 3 ans)
18H Soirée de clôture enfant remise des prix - Jurys "mini-mules" et "mulet" suivi de Popeye
Du 11 au 15 mai
trois courts métrages de Dave Fleischer...
Retrouvez le légendaire Popeye dans trois court-métrages : Aladin et la lampe merveilleuse, Popeye et Ali Baba, Popeye et Sinbad !
Film d’animation polonais et britannique de Suzie Templeton (2006/41 min/dès 7 ans)
3 court-métrages : Le moine et le poisson, Père et filles et Pierre et le loup. Malgré les récriminations de son grand-père, un petit garçon courageux cherche à attraper un loup menaçant. Une splendeur visuelle, adaptée du conte musical de Serge Prokofiev...
Avec Avec Luca Capriotti, Francesco Campobasso, Marco Cocci...
Film italien de Cristiano Bortone (2004/1h30/dès 10 ans)
Du 25 au 28 mai
Mirco perd la vue à l’âge de dix ans et doit poursuivre sa scolarité dans un institut spécialisé. Loin de son père, il ne peut plus partager avec lui sa passion du cinéma. Il trouve pourtant le moyen de donner vie aux histoires qu’il s’invente : il enregistre des sons sur un magnétophone puis coupe les bandes, les colle et les réécoute. L’école très stricte n’approuve pas du tout ses expériences et fait tout pour l’en écarter. Mais Mirco, loin de se résigner, poursuit sa (...)
Avec Jonathan Zaccaï, Golshifteh Farahani...
Film français de Hiner Saleem (2010/1h30/VF)
À partir du 4 mai
Philippe, qui vient de sortir de prison, rencontre Avdal, un kurde à la recherche d’un criminel irakien. Les deux hommes se lient d’amitié. Avdal, qui rêve de rester en France, a prévu de faire venir à Paris sa fiancée, Siba. Soudain, Avdal meurt. Philippe se retrouve seul à devoir s’occuper de ses funérailles. Siba arrive à Paris et apprend la mort de son fiancé...
Avec Harry Dean Stanton, David Bowie, Moira Kelly...
Film américain de David Lynch (1991/2h15/VOST)
JEUDI 2 JUIN • 20h00 TWIN PEAKS / AMERICAN BEAUTY FOCUS (association d’étudiants de l’école d’architecture) propose un double programme consacré au cynisme/désenchantement de l’Amérique des « nineties ». Pour leur carte blanche, ils ont décidé de ressortir des cartons deux films qui ont marqué les esprits : TWIN PEAKS
- Fire walks with me de David Lynch et AMERICAN BEAUTY de Sam Mendes (les Noces rebelles/Les sentiers de la perdition/Away we go).
Tarif : 10 € les 2 films
Etudiants (ENSASE et autres) (...)
Film d’animation français de Serge Elissalde (2005/1h15/dès 6 ans)
Du 1er au 5 juin
Une licorne prénommée U vient au secours de Mona, une petite fille désespérée par la cruauté de ses parents adoptifs. Le temps passe, Mona grandit et se transforme en une jolie adolescente rêveuse et très préoccupée par son aspect physique.Un jour débarquent dans ce pays imaginaire les membres d’une famille de bruyants et loufoques musiciens et, parmi eux, le charmeur Kulka...
ECOLE D’ARCHITECTURE DE SAINT-ETIENNE ET LE CINEMA[S] LE FRANCE
(Les chefs-d’oeuvre invisibles du cinéma mondial d’hier et d’aujourd’hui)
LIEU DE PROJECTION : "LE FRANCE" RUE DE LA VALSE SAINT-ETIENNE
CARTE D’ABONNEMENT AUX 8 SÉANCES : 32 EUROS / SÉANCES À 19 HEURES tarifs habituelles et cartes abonnement Ciné-club ouvert à tous..
JEUDI 19 MAI 19h
Van Gogh Maurice Pialat, France, 1991. Acteurs : Jacques Dutronc, Jacques Lamblin, Elsa Zilberstein. "Pialat rejoint la peinture, mais avec son outil (...)
MARDI 24 MAI • 20h00
Depuis trois mois et dans la continuité des séances de 2010 sur la Palestine, nous travaillons à une meilleure visibilité des films qui interrogent notre rapport à l’histoire du conflit israëlo-palestinien. Dans cette perspective, nous avons invité des cinéastes du réel, qui travaillent en Israël et en Palestine, Eyal Sivan est de ceux-là. Avec ce premier épisode de ROUTE 181 départ d’une épopée de plus de 4 heures, nous vous proposons un regard inédit sur les habitants de Palestine-Israël, le (...)
Justine et Richard ont trois enfants et quinze ans de vie commune. Tous les deux vont se séparer. Richard vit déjà dans un autre appartement et vient d'accepter un travail à l'étranger.
Un retour vers le passé et les souvenirs d'enfance de Justine : le père qui fiche le camp, la première déception amoureuse et la rencontre avec Richard.
C'est bientôt Noël et ils ne se sont pas revus. Justine et les enfants vivent toujours dans le même quartier, dans le même immeuble où Richard passe ce soir-là. Une année s'est écoulée.
Un choix d’œuvres du peintre lyonnais Jean Chevalier (1913-2002) permettra de découvrir le parcours de celui qui est d’abord connu comme un élève du cubiste Albert Gleizes.
Aux compositions géométriques de ses débuts succèdent des peintures marquées par l’œuvre de Robert Delaunay, avant que ne s’épanouisse l’abstraction de la période de la maturité : lignes de force et plages de couleurs s’y déploient, suivant la cadence du geste.
Thème rouge et bleu, 1957-58
http://www.mba-lyon.fr/mba/sections/fr/expositions-musee/prochainement/jean-chevalier