Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le voile se lève sur le second Empire
Mis à jourle 22/03/2012 à 15:24| publiéle 21/03/2012 à 19:34

Portrait de l'empereur Napoléon III. Crédits photo : Osénat
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Mis à jourle 22/03/2012 à 15:24| publiéle 21/03/2012 à 19:34
L'exposition aura lieu du 3 mars au 23 juin 2012, du lundi au samedi de 10h à 19h, à l'Hôtel de Région Rhône-Alpes. Deux médiateurs seront présents au quotidien afin d'informer les visiteurs. Lors de ces quatre rendez-vous, des reportages et des documentaires seront diffusés en partenariat avec l’INA.
Le Plateau est situé dans le hall d'entrée du nouveau siège de la Région à Lyon Confluence (2e arrondissement).
REGION RHONE-ALPES
1 esplanade François Mitterrand - CS 20033
69269 Lyon Cedex 02
Téléphone :
04 26 73 40 00
Tram T1 arrêt Hôtel de Région-Montrochet (niveau 101 cours Charlemagne)
GPS : 45,740858, 4,819629
Plan et accès au siège
LE MONDE |16.03.2012 à 13h16 • Mis à jour le17.03.2012 à 23h42
Par Harry Bellet
Il a été de quelques-unes des plus belles aventures de l'art du XXe siècle : membre du groupe Abstraction-Création en 1932, surréaliste trois ans plus tard, attiré à nouveau vers l'abstraction après la Libération - il sera un des piliers du Salon des réalités nouvelles -, Gérard Vulliamy (1909-2005) est pourtant aujourd'hui bien oublié.
Et c'est injuste, comme le prouve une exposition au Musée de Besançon. Y sont montrées, en une centaine de peintures, dessins, illustrations et documents, ses années surréalistes avec, en point d'orgue, un chef-d'oeuvre : Le Cheval de Troie, une huile sur bois de 1936.
Fascination
Sur le plan technique, on est au niveau des grands peintres de la Renaissance des pays du Nord, sauf que Grünewald ou Holbein, s'ils eussent pu approuver les glacis, n'auraient sans doute pas compris que l'on puisse les poncer si violemment par endroits : l'invention est surréaliste, elle permet des effets de matière. Surréaliste aussi, l'inspiration, même si un Jérôme Bosch ne l'aurait pas désavouée. Aucun doute, Vulliamy est de la famille.
Au sens propre, puisque gendre de Paul Eluard, dont il illustre en 1946 l'hallucinant recueil Souvenirs de la maison des fous (réédité en 2011 chez Seghers), témoignage de l'asile de Saint-Alban, pionnier de l'ergothérapie où, durant la guerre, trouvèrent refuge juifs, résistants, et aussi Nusch et Eluard. Vulliamy s'y rend en 1945 et, comme Géricault plus d'un siècle avant lui, portraiture les aliénés. Les dessins sont saisissants : du surréalisme appliqué, en quelque sorte.
Le monde de Vulliamy tel qu'il se dévoile à Besançon est généralement plus fantasque. Des paysages tourmentés aux roches anthropomorphes dont certaines font songer aux sculptures d'Henry Moore - Le Cheval de Troie a aussi connu une version sculptée, en plâtre, qu'il fut question de réaliser à une échelle monumentale dans un parc de L'Isle-Adam, projet abandonné à cause de la guerre -, d'autres au Picasso de la période de Dinard, d'autres enfin à l'art d'Océanie, qu'il collectionne.
Il y a du Miró aussi, mais à nuancer, ainsi que l'avait compris le marchand d'art Pierre Loeb, qui lui fit sa première exposition personnelle en 1933 : "Chez Miró, il y a plein de petits éléments. Chez vous, c'est lié d'un bout à l'autre. Il y a un point de départ et on suit le mouvement des volutes." C'est sans doute cela qui, avec la technique des glacis et sa luminosité si particulière, explique la fascination provoquée par les tableaux de Vulliamy : l'oeil s'y pose, s'y promène jusqu'à s'y perdre.
Lui-même, dans les dessins préparatoires, fait évoluer son thème, l'enrichit, y intègre par exemple la vision d'une éruption du Stromboli à laquelle il assiste en 1937. Mais bien sûr, c'est une autre catastrophe qui se lit en filigrane dans Le Cheval de Troie. Celle qui se tient en Espagne et qui présage des heures noires que va vivre l'Europe, et le reste du monde : cette année-là, Picasso peint Guernica, et Ernst L'Ange du foyer. La vision de Vulliamy mérite de figurer dans le même panthéon tragique, et surréel.
"Gérard Vulliamy, les dessins surréalistes 1930-1947". Musée des beaux-arts et d'archéologie, 1, place de la Révolution, Besançon (Doubs). Tél. : 03-81-87-80-49. Tous les jours sauf mardi de 9 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. Samedi et dimanche de 9 h 30 à 18 heures. Jusqu'au 2 avril. Entrée 5 €.
Sur le Web : www.musee-arts-besancon.org.
Harry Bellet
accueillera l’exposition inédite « Roulez carrosses ! ». Afin de préparer le musée à l’arrivée des impressionnantes œuvres du château de Versailles
(76 œuvres dont 6 carrosses pesant de 2,5 à 5 tonnes chacun) et pour accueillir les futurs visiteurs dans les meilleures conditions possibles, le musée des Beaux-Arts d’Arras fermera exceptionnellement ses portes au public du 27 février au 16 mars inclus.
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Le Café-lecture participera à cet événement accueilli par Le Fil !
Les mardi 20 et mercredi 21 mars 2012, ces rencontres professionnelles, co-construites, issues d’un partenariat actif entre acteurs de la culture et de l‘êconomie sociale et solidaire, permettront de partager des réflexions, d’êchanger, de produire de l’analyse sur les pratiques, les mécanismes et les enjeux de la coopération économique terńtoriale, dans le domaine culturel.
Les artistes
Yann CHATELIN, artiste peintre, calligraphe urbain, spécialisé dans la réalisation d'oeuvres de grandes dimensions
aux formats composés, vit aujourd’hui à Casablanca au Maroc.Il travaille depuis quatre ans autour de la lettre arabe.
Ses courbes, ses accentuations sont autant de traits qu’il a plaisir à explorer en pleins ou déliés. Le lettrage se retrouve
otage de son dessin jouant de ses formes sans considération de son sens ; il en fait un parfait vecteur d’expression.
Venu du graffiti, il a lentement troqué ses aérosols pour des couteaux et acrylique. Il explore le lettrage arabe
en s’initiant au Qalam, ce roseau taillé en pointe utilisé traditionnellement dans la calligraphie perse. Il a exposé
régulièrement ses peintures au Maroc, notamment à Casablanca et Marrakech.
Alexandre DUPEYRON, photographe professionnel. Il a passé ces six dernières années à parcourir le monde pour
réaliser divers reportages pour la presse internationale. La peinture de lumière est devenu depuis 4 ans son support
de création favori. Conciliant photographie et dessin, il écrit littéralement sur ses photos avec la lumière à la manière
d’un peintre qui compose sa toile. Ses lampes sont ses pinceaux, autant de formes et de couleurs à sa palette.
Installé à Singapour ces deux dernières années, il s’est pris de passion pour les caractères chinois : le sinogramme.
Il aura fallu une véritable convergence de sensibilités et de savoir-faire afin qu’ils atteignent ce point de synergie qui
signe chacune de leurs oeuvres.
Seule leur profonde amitié serait expliquer ce qu’ils vous donnent à voir. Une fois lancés, ils savent quand et comment
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Par Eric Bietry-Rivierre Publié le 04/03/2012 à 18:07 Réactions (11)
Julie Depardieu
Bruno Caron (Jérémie Renier) et sa femme, Marilyne (Julie Depardieu)[...]comme Julie Depardieu, en Lady Macbeth[...]Possessions , drame Éric Guirado, avec Jérémie Renier, Julie Depardieu, Alexandra Lamy, Lucien Jean-Baptiste
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22 février - 11 juin 2012
Claude Debussy est sans conteste le compositeur du tournant du XIXe siècle qui trouva l'essentiel de son inspiration dans le domaine de la poésie contemporaine et des arts visuels. D'emblée, il s'intéressa aux artistes les plus novateurs, aux figures les plus en marge des académismes en cours.
L'exposition propose d'évoquer les rencontres majeures du musicien avec les artistes et poètes de son temps, évoqués notamment par les collections de trois familles amies qui le soutinrent dans les années difficiles qui précédèrent la création de Pelléas et Mélisande : celle du peintre Henry Lerolle (1848-1929), du compositeur Ernest Chausson (1855-1899) et d'Arthur Fontaine (1860-1931), conseiller d'Etat.
En ces milieux où le raffinement, le goût et la simplicité excluent toute mondanité, le musicien pouvait admirer des œuvres de Degas, Renoir, Vuillard, Gauguin, Camille Claudel, Maurice Denis, Redon, Bonnard, Carrière, Puvis de Chavannes. Des tableaux, dessins et pastels seront accompagnés de lettres et photographies de ces artistes, d'éditions originales de Gide, Louÿs et Valéry, de manuscrits de Chausson et Debussy.
Autour de l'exposition
Visite-conférence
du 3 mars au 10 juin (durée : 1h30)
mercredi à 16h15
samedi et dimanche à 11h
(sauf jours fériés)
Atelier jeune public "Debussy" (8/12 ans)
du 7 mars au 6 juin (durée : 2h)
mercredi à 15h
Conférences à l'auditorium
mercredis 7, 14, 21 et 28 mars à 19h
Concerts du soir dans les salles des Nymphéas
vendredis 9 et 23 mars, 6 avril et 4 mai à 19h
Lecture
vendredi 11 mai à 19h
Film : Revoir Nijinski danser
tous les jours à 11h10 et 15h55 dans la salle audiovisuelle
Musique : Sonorisation de la 1ère salle des Nymphéas avec des œuvres de Claude Debussy
tous les jours à 11h et 15h (durée : 20 mn)
La Mer, trois esquisses symphoniques, par l'Orchestre Philarmonique de
Radio France sous la direction de Myung-Whun Chung
Récitant Didier Sandre
Le concert, enregistré le 28 janvier 2012 à la salle Pleyel, sera diffusé le samedi 28 avril à 16h sur France Musique, puis en réécoute pendant 1 mois sur le site de France Musique. Y sont présentées des correspondances entre Debusssy, Baudelaire, Verlaine et les peintres Turner, Whistler ou Monet.
TARIFS :
Plein Tarif : 11,00 euros
Tarif Réduit : 7,50 euros
Billet famille (2 adultes/2 jeunes) : 29,50€
Téléchargez les conditions tarifaires de l’exposition
COMMISSARIAT GENERAL :
Giovanni C. F Villa, professeur en histoire de l’art à l’Université de Bergame, spécialiste de la peinture vénitienne de la Renaissance
PRESENTATION DE L’EXPOSITION :
Aux côtés de Giovanni Bellini et de Vittore Carpaccio, Giovanni Battista Cima da Conegliano (1459-1517) compte parmi les grands peintres qui travaillent à Venise à la fin du XVe et au début du XVIe siècle, à l’époque où la ville devient un des pôles les plus brillants de la Renaissance italienne.
À Venise, Cima s’impose très vite comme le maître des grands retables en explorant des effets de composition inédits, où se mêlent de manière originale nature et architecture. Il introduit des asymétries et des échappées insolites, ménage des ouvertures surprenantes, comme dans la Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André (Parme, Galleria Nazionale). Partout apparaît son amour des vastes étendues, exaltées par la lumière, encadrées de montagnes et de collines, qui évoquent les reliefs caractéristiques de sa région natale. A la peinture de paysage, il donne un souffle nouveau. Nul autre avant Cima, n’a su rendre l’atmosphère argentée et légère de la Vénétie avec cette poésie qui n’appartient qu’à lui.
La vie de Giovanni Battista Cima est celle d’un jeune homme sorti du lot, porté par son talent à faire une carrière remarquable. En effet, rien dans ses origines ne le prédestine à réussir à Venise en tant qu’artiste. Il n’y est même pas né, mais a grandi dans l’arrière-pays, dans une bourgade nommée Conegliano, située au pied du massif montagneux des Dolomites. De plus, son père travaille dans le textile (le nom « Cima » vient d’ailleurs du métier de cimatore exercé par son père). C’est donc un destin hors du commun que celui de ce provincial qui parvient à s’imposer comme un maître réputé, et cela en dépit de la concurrence qui fait rage à Venise où des dynasties de peintres, comme celles des Bellini ou des Vivarini, sont déjà fort bien implantées. Dans les années 1490, il est reconnu à Venise comme le peintre d’art sacré par excellence. Dans ce domaine, le doge lui-même le considère meilleur que Bellini ou que Carpaccio.
Cette ascension sociale, Cima la doit d’abord à une forme de perfection, fondée sur la minutie de son dessin, sa maîtrise de la peinture à l’huile (une technique alors relativement nouvelle dans l’histoire de la peinture vénitienne), l’étendue de sa palette aux couleurs lumineuses. Ce métier virtuose lui permet d’atteindre un haut niveau de précision dans la représentation des détails : la ciselure d’un bijou, la texture chatoyante d’une draperie, les boucles cuivrées d’une chevelure. Le soin fascinant avec lequel il décrit les visages, les expressions et les regards, souvent mélancoliques, lui permet de conférer à ses peintures une profonde humanité, perceptible notamment dans ses nombreuses Vierges à l’Enfant, comme celle conservée aux Offices de Florence.
La réussite de Cima réside aussi dans sa réceptivité aux idées nouvelles et dans son extraordinaire capacité d’assimilation. Dans le sillage d’Antonello de Messine et de Giovanni Bellini, notamment, il forge d’abord ses premières armes. Il ne tarde pas à proposer à son tour de nouveaux modèles auxquels Bellini lui-même ne sera pas insensible. De passage à Venise, Albrecht Dürer, attiré par la renommée de Cima, lui rend visite et est frappé par ses œuvres. Son influence est aussi déterminante pour les maîtres de la génération suivante, Lorenzo Lotto, Sebastiano del Piombo, Titien, qui tous sauront retenir les leçons de sa peinture et y puiser des idées pour leurs propres compositions. Au sommet de sa carrière, Cima sait encore reconnaître les avancées d’un peintre plus jeune, Giorgione, et modifier sa manière de peindre, en optant pour une touche plus vibrante et suggestive dont le Saint Jérôme au désert des Offices est un des plus beaux exemples. Ainsi, autour de Cima, ce sont plusieurs générations d’artistes qui ne cessent de dialoguer entre elles.
L’exposition Cima maître de la Renaissance vénitienne réunit des œuvres exceptionnelles, dont de grands tableaux d’autel, qui pour la première fois sont présentés hors de l’Italie. Elle permet de découvrir ainsi l’œuvre d’un artiste en phase avec son temps et de porter un nouveau regard sur la prestigieuse histoire de Venise.
L’exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais en collaboration avec Artematica.
(Visuel : Cima da Conegliano, Saint Sébastien, 1500-1502 © Musée des Beaux-Arts de Strasbourg, photo M. Bertola)
http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-10/
RÊVESDELAQUE
6 avril - 15 juillet 2012
70 laques, paravents, peintures, objets décoratifs et usuels présentés pour la première fois en France et à Paris, illustreront, au musée Cernuschi, l’art virtuose de Shibata Zeshin (1807-1891).
La carrière de Shibata Zeshin (1807-1891) se situe à la charnière de deux grandes époques de l'histoire du Japon: le Japon des samouraïs (époque d'Edo) et le Japon de la modernité (époque Meiji). Ses peintures et ses laques témoignent des transformations artistiques, politiques et sociales de la fin du XIXe siècle. Peintre au service des riches marchands, des citadins et des temples sous l'ancien gouvernement, il est nommé peintre du Bureau de la Maison impériale après la restauration de l'empereur Meiji en 1868.
D’une grande sensibilité, formé à la peinture réaliste auprès des peintres de l’école de Kyôto Maruyama-Shijô, il s’illustra dans des peintures à l’encre sur soie, créant des effets de trompe-l’œil, mais inventa encore la peinture à la laque colorée sur papier. Dans l’art du laque, il mit au point des procédés décoratifs uniques, tels que les laques noirs à décor ton sur ton, les laques imitant le fer ou le bronze ou, comble de raffinement, la fine texture du bois de rose.Ses compositions picturales souvent d’une extrême concision évoquent les fameux poèmes japonais dépouillés et incisifs, les haiku dont il était épris.
Ses œuvres présentées dans les Expositions Universelles, dont celle de Vienne en 1873 et celle de Paris en 1884, ainsi que dans les expositions nationales furent récompensées par de nombreux prix, admirées et collectionnées par les amateurs occidentaux, comme l'Anglais Dresser et l'Allemand Samuel Bing, créateur de l'Art Nouveau. Elles jouèrent un rôle prépondérant sur l'évolution du goût en Occident.
L'histoire de la bibliothèque Kandinsky s'enracine tant dans l'historique des collections du Musée national d'art moderne que dans les activités de l'ancien CNAC (Centre national d'art contemporain) et profile largement les contours de ses collections. Leur ampleur et leur qualité positionnent la Bibliothèque Kandinsky comme un des grands outils internationaux pour la recherche et une ressource pour l'écriture et l'exposition de l'histoire de l'art des 20ème et 21ème siècles, mais les 5000 artistes, designers et architectesprésents dans la collection des œuvres y bénéficient d'un soin documentaire prioritaire.
Tous les medias et supports, susceptibles de contenir des données ayant valeur de sources sur la création visuelle de cette période, intéressent la Bibliothèque Kandinsky et sont conservés par elle.
Six grands secteurs de collection accueillent cette documentation : les imprimés, les périodiques, les archives, la collection photographique, l'audiovisuel et les dossiers documentaires.
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Le Palais Lumière accueille pour la première fois en France les chefs d’oeuvre issus du Liechtenstein museum de Vienne
qui abrite la plus importante collection privée européenne de nos jours. Le Baroque sera largement représenté à travers la peinture et la sculpture italienne (Marcantonio Franceschini, Guido Reni, Canaletto ou encore Massimiliano Benzi Soldano) et la peinture flamande (Rubens, Rembrandt ou encore Van Dyck...). Environ 70 tableaux (dont des oeuvres de dimensions monumentales), 20 sculptures et 15 pièces de mobilier sélectionnés pour leur exceptionnelle qualité seront ainsi visibles pour la première fois en France.
Un deuxième grand ensemble sera consacré au classicisme et au Biedermeier, un mouvement pictural initié par Amerling,
Gauermann ou Waldmüller au XIXe siècle.
En guise de prologue, une salle sera consacrée à l’histoire de la famille Liechtenstein. Des portraits des princes mécènes témoigneront d’une passion pour l’art, ininterrompue depuis plusieurs siècles.
Commissariat : Johann Kräftner, directeur du Liechtenstein museum et Caroline Messensee, historienne de l’art .
Tous les jours 10h30-19h (lundi 14h-19h). Les jours fériés, se renseigner au préalable.
Nocturnes vendredi 5 et 19 août jusqu'à 22h
Quai Albert-Besson, 74500 Evian. Tél. +33(0)4 50 83 15 90 .
Légende : Peter Paul Rubens, Mars et Rhea Silvia, 1616/17 © Collections Princières du Liechtenstein, Vaduz-Wien.
Charles-Joseph Natoire, Nemi : l’église Saint-François et le lac, encre et aquarelle sur papier, 31 x 43,6 cm (MONTPELLIER, MUSÉE ATGER).
Vues campagnardes ou urbaines, scènes bucoliques ou ruines tourmentées, l’art du paysage se décline à la pierre noire, la sanguine, le lavis d’encre ou encore l’aquarelle. Avec en contrepoint une sélection de treize dessins du XIXe siècle.
http://www.chateaudegoutelas.fr/
La structure d’Anish Kapoor a rendu, le 23 juin, son dernier souffle. Après l’arrêt des turbines qui le maintenaient en vie, le Léviathan conçu par l’artiste pour Monumenta, un monstre de caoutchouc haut de 17,35 m pour 100 m de long, a fini de cracher les 72 000 m3 d’air envoyés dans ses poumons. Mort, le Léviathan ? Pas sûr, il est comme le monstre de Job : « inébranlable », capable de rire « du frémissement du javelot ». Même si l’artiste a fait référence au Léviathan de Hobbes, allégorie de l’État, le Léviathan de Kapoor partage avec celui de la Bible ce pouvoir de faire se retirer « les vagues de la mer »… afin que s’ouvrent les colonnes des journaux étrangers. Du New York Times à Der Spiegel, d’El País au Chicago Tribune, la presse internationale a unanimement salué la prestation de l’artiste britannique, le critique du Telegraph confessant même avoir été « complètement ...conquis ».
http://www.artclair.com/oeil/couvertures/numeros/parus_couverture/00555/oeil-juillet-aout-2011.php
cf.
http://www.lauravanel-coytte.com/search/j'ai%20lu
http://www.lauravanel-coytte.com/la_presse/
parce que j'aime lire la presse magazine, quotidienne, hebdo, mensuelle, généraliste ou spécialisée
et que ce blog parle de ce que j'aime
Mots clés : vacances
G. D.