Le piano du film "Casablanca" vendu à un prix record
Le piano orange aux motifs marocains qui figurait dans le célèbre film "Casablanca", sorti en 1942, a été vendu à 3,41 millions de dollars (soit 30,25 millions de dirhams) lors d’une vente aux enchères qui s’est tenue à New York lundi 24 novembre. Un prix record pour le mythique piano sur lequel Sam (Dooley Wilson) joue "As time goes by" à la demande de Ilsa Lund (Ingrid Bergman). C’est sur cette chanson que l’héroïne du film et son ancien amour Rick (Humphrey Bogart) se sont aimés. L’instrument sert également à cacher les laissez-passer qui permettent à l’héroïne et à son mari, le résistant Victor Laszlo (Paul Henreid), d’échapper aux nazis.
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A quoi ressemble le mariage 2.0 au Maroc ?
Sur le site Marocannonces.com, entre les voitures d'occasion et les offres d'emploi, la catégorie "demande en mariages" rencontre un franc succès. 36.400 demandes lancées sur Internet, à raison d'une trentaine par jour. D'abord, il y a les pragmatiques. L'amour, pourquoi pas, mais si on y trouve un intérêt économique. Ici, ce ne sont pas des femmes vénales, mais des hommes qui comptent sur leur future épouse pour leur assurer une certaine stabilité financière. D'autres donnent la priorité au physique, évidemment, mais sans forcément être trop regardants. La plupart cherche une fille "pas trop belle, mais quand même" comme cet annonceur de Casablanca. Côté femmes, la plupart répètent qu'elles cherchent "quelqu'un de sérieux", "un vrai homme", et souvent "un prince charmant". Mention spéciale à "Nadia sincère" pour son annonce "femme stérile cherche homme stérile". Elle cherche un homme qui ne "désire pas avoir d'enfants (…) en vue de fonder une famille heureuse". Parfois, ce sont les familles qui s'occupent de poster des annonces pour leurs filles. Comme ce père casaoui, qui cherche un mari pour la sienne, âgée de 37 ans. Pour finir, des fautes d’orthographe nous ont fait sourire, nous avons juste gardé les plus jolies coquilles, comme celle de Khadija, qui aspire à"fondre une famille". Abdou, qui "cherche sa moite". Et Khaloua, qui avoue n'être "ni mouche, ni belle".
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