Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CE QUE J'AI LU,VU (et aimé) - Page 78
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Jeux olympiques : au revoir Tokyo, bonjour Paris 2024 !
À LA UNE -
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L’Eden-Roc, un palace familial au destin hollywoodien
L’Eden-Roc, un palace familial au destin hollywoodien
Par Jean-Michel de AlbertiHÔTELS MYTHIQUES. Propriété de la dynastie allemande Oetker, le majestueux cinq étoiles du cap d’Antibes continue de régner au sommet des hôtels de la Côte d’Azur. -
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La revanche du langage
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L'hôpital (où j'ai chopé mon COVID avant de pouvoir me faire vacciner)ne dit pas merci aux « anti-vax »
Le plan blanc est déclenché dans certaines régions pour prendre en charge des malades du Covid en très grande majorité non vaccinés. Au risque de devoir à nouveau déprogrammer des soins essentiels.
Par Étienne LefebvrePublié le 4 août 2021 à 11:15Mis à jour le 4 août 2021 à 14:34 -
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Charles Personnaz : « Agir pour un Moyen-Orient pluriel »
Charles Personnaz : « Agir pour un Moyen-Orient pluriel »
• Il y a un an, le 4 août 2020, une double explosion dévastait la capitale libanaise. Si vous étiez devant votre poste de télévision, vous vous rappellerez certainement de ces images irréalistes qui tournaient en boucle : un nuage en forme de dôme balayait tout sur son passage. Le bilan est lourd avec plus de 200 morts et plus de 6 000 blessés. Pour Charles Personnaz, passionné du monde oriental et directeur de l'Institut national du patrimoine, la situation s'est aggravée, depuis un an, dans ce pays qui vit l'une des pires crises de son histoire. Il partage avec nous ses craintes mais aussi ses espoirs.
« À Beyrouth, les monuments-clés sont les écoles, les universités et les hôpitaux. Si demain ils disparaissent, la crise aura emporté ce qui fait la spécificité de ce pays. »
Notre rencontre -
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J'ai visité hier avec sérieux et tristesse: national de la prison de Montluc
LE MÉMORIAL NATIONAL DE LA PRISON MONTLUC
La prison militaire de Montluc, localisée en face du fort Montluc, ouvre ses portes en 1921. Utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle devient prison civile à partir de 1947 et ferme ses portes en 2009 comme maison d’arrêt pour femmes.
Prison militaire du régime de Vichy de 1940 à 1943, elle est réquisitionnée par l’occupant nazi à partir de janvier 1943 et ce jusqu’au 24 août 1944. Montluc est alors à Lyon et pour toute la région, la principale porte d’entrée vers la déportation et les exécutions. Lieu d’internement de près de 10 000 hommes, femmes et enfants durant l’occupation allemande, et notamment des enfants d’Izieu, de Jean Moulin et de Marc Bloch, la prison de Montluc est un lieu emblématique des politiques de répression allemandes dans la région de Lyon.
Le Mémorial National de la prison de Montluc ouvre ses portes au public en 2010 avec pour objectif de rendre hommage aux milliers de Résistants, Juifs, et otages, victimes des nazis et de Vichy, pendant la période de la Seconde Guerre mondiale, et de mieux comprendre la mise en place des politiques de répression.
Haut lieu de la Mémoire nationale, le Mémorial a rejoint en 2010 les sites gérés par le Ministère de la Défense, propriétés de l’État. Ces hauts lieux de la mémoire nationale évoquent chacun un aspect de la mémoire des conflits contemporains. Ce sont des lieux de cérémonies et de recueillement, mais aussi de transmission de la mémoire où sont notamment organisées des actions pédagogiques à destination du jeune public.
Vous trouverez également un historique complet de la prison de Montluc dans le programme pédagogique du mémorial
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J'ai vu aussi hier: L'Odyssée moderne de Louis Bouquet
Louis Bouquet,
Autoportrait au papier-peint, vers 1918.
Collection particulière, © ADAGP, Paris, 2021. Image © Lyon MBA - Photo Martial Couderette -
J'ai terminé hier soir: Bluebird, bluebird (médiathèque: commencé le 1 er)
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Covid-19 : est-il possible d'atteindre l'immunité collective à l'automne ?
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J'ai fini de lire en buvant mon apero(eau gazeuse et tranche de citron vert:20 escapades à deux heures de Paris
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JO de Tokyo : Jean Quiquampoix en or au pistolet vitesse, après l'argent de Rio
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J'ai terminé hier soir: Les divinités / Parker Bilal(médiathèque: commencé le 28 juillet)
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J'ai fini hier soir: Le Paris disparu Histoires de Paris N°15
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JO de Tokyo : Florent Manaudou, la famille médaille
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L'express 15 juillet 2021(médiathèque)
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J'ai lu hier dans mon bain: LE POINT 22 JUILLET 2021(médiathèque)
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J'ai lu hier soir: Ces autres lieux qui ont fait la France / François-Guillaume Lorrain(médiathèque rayon nouveautés)
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Les incitations financières à la vaccination sont-elles éthiques ?
À LA UNE Les incitations financières à la vaccination sont-elles éthiques ? Depuis ce vendredi 30 juillet, la mairie de New York offre 100 dollars à tous les résidents de la ville qui reçoivent une première dose de vaccin contre le... Lire plus -
L'express 24 juin 2021(médiathèque)
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J'ai aimé ce midi: Flops ! Quand le design s’emmêle et Round 5
Qu’ont en commun les Google Glass, des verres à vin siamois et un miroir pour mythomane ? Ils font Flops ! Mais ils nous invitent également à nous questionner sur les raisons de leur inadéquation. Quelles sont les causes qui mènent une innovation à l’échec ou au succès ? Comment les ratés peuvent-ils servir l’innovation ? Qu’est-ce qui déclenche l’appropriation par les utilisateurs ? Les flops, les bides, les ratés sont des éléments utiles pour comprendre les problématiques de la création. Ils nous amènent également à comprendre ce qui fait qu’un produit devient culte et satisfait les rêves et désirs d’une société. L’exposition Flops ! Quand le design s’emmêle vous propose un regard décomplexé et plein d’humour sur les flops du design.
Les erreurs ont presque toujours un caractère sacré. N’essayez jamais de les corriger.
Les Improbables
Mais comment ont-ils pu arriver sur le marché ? A posteriori, l'existence même des quarante produits exposés paraît hautement improbable. La preuve ? Tous sont des flops, des échecs commerciaux ou financiers retentissants, avec un point commun : leur utilisation est problématique. Leur usage est malaisé, malaisant ou même impossible. Entre leur conception et leur mise en service, le design a échoué ou a été tout simplement oublié. Les questions que posent le designer – « à quoi cela sert-il ? qu'est-ce que cela évoque ? dans quel environnement cela s'inscrit-il ? à quel besoin cela répond-il ? -n'ont pas été posées, n'ont pas été entendues, ou n'ont jamais abouties à la remise en cause du projet.Résultat : les erreurs, issues de domaines différents – conception, management, techniques ou technologiques, matériaux – ont toutes contrarié la fiabilité du produit ou son appropriation par les usagers. Tous ces défauts ne signent pas la fin de l’histoire. Pris en compte, analysés, décortiqués dans un processus de design avec l’utilisateur au centre, ils ont parfois servi de base à de grands succès. C’est un des enseignements voulus par Samuel West, fondateur du Museum of Failure, le musée de l’échec, ouvert en Suède en 2017, dont est issue la sélection d’objets présentée.
Les Introuvables
Leurs formes sont surprenantes, leurs noms étonnants et leur fonction toujours particulière. Issus ou inspirés du Catalogue d'objets introuvables de Jacques Carelman, tous ces engins, outils, ustensiles ou dispositifs sont dénués de toute ambition utilitaire. S'ils servent, c'est à rire ou à pleurer, à s'interroger sur l'origine des machines ou peut-être découvrir le pourquoi du comment. Une seule certitude, ils sont « parfaitement inutilisables », soulignait l'illustrateur et pataphysicien en quatrième de couverture de son ouvrage. À vous de tester ces objets, par le geste ou l'imagination. De déceler leurs plus grandes failles ou leurs meilleures intentions. Ils sont « le contraire de ces gadgets dont notre société de consommation est si friande », écrivait encore Carelman. Ils trouvent leur origine dans le fameux catalogue « Manufrance, Manufacture française d'armes et cycles » qu'il feuilletait enfant et qui lui a « procuré [ses] premières et inoubliables émotions poétiques » grâce à ces étranges objets aux fonctionnements inconnus et aux noms barbares.
Les Inconfortables
En déconstruisant le langage invisible du design dans notre réalité domestique, Katerina Kamprani apporte de légères modifications aux propriétés fondamentales d'objets simples du quotidien, et questionne nos attentes concernant la fonctionnalité. Les modèles conceptuels établis sont brisés, ce qui conduit à une appréciation du conventionnel à travers un design défectueux. La sémiotique de l'objet d'origine est maintenue, mais l'observateur est trompé lorsqu'il tente de simuler son fonctionnement, ce qui bouleverse ses attentes et donne à ces objets usuels un aspect inconfortable, absurde, et souvent surréaliste.
Conciliant humour, art et design, Katerina Kamprani analyse et redessine les objets du quotidien afin de les rendre inconfortables.
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J'ai aimé ce matin: VESTIGES INDUSTRIELS, DANS L'OEIL DU PHOTOGRAPHE(mais on ne m'a pas indiqué qu'il y avait 2 autres expos....rrrr)
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J'ai lu hier soir:L'express 8 juillet 2021(médiathèque)
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Je viens de lire dans mon bain(pour soulager un peu mon dos) L'express 1 er juillet 2021(médiathèque)