Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Nous avons revu avec plaisir le Rick's café à Casablanca
Photo perso du samedi 11 avril 2015
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Photo perso du samedi 11 avril 2015
L'ancienne médina et le port
Dans l'ancienne médina vous trouverez de belles maisons qui côtoient les plus anciens monuments de Casablanca, dont la mosquée Dar El Makhzen, la Koubba de Sidi Bou Smara et la Skala.
Pour ce qui est du port il faut que vous assistiez à la criée le matin de préférence.
La place des Nations Unies est le centre de la ville nouvelle. Elle fait le lien entre l'ancienne médina et la ville nouvelle.
Contre Venise passéiste | Filippo Tommaso MARINETTI
et autres textes Traduit de l'italien par Pierre MUSITELLI Préface de : Maxime ROVERE |
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Genre : Art et Littérature Collection : Rivages Poche / Petite Bibliothèque |
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Poche | 128 pages. | Paru en : Février 2015 | Prix : 7.10 €
GENCOD : 9782743629670 Editions : Rivages |
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Hostile aux rêves éculés et aux souvenirs de pacotilles, le poète F.T. Marinetti (1876-1944), locomotive du futurisme, s’est attaqué dès le début du xxe siècle au triomphe des normes et de la nostalgie. Ses manifestes successifs, rédigés pour la plupart en français, n’ont rien perdu de leur énergie électrique. Sa verve souvent désopilante, son désir éperdu de l’avenir, sa soif de créer communiquent un élan joyeux, véritable antidote à l’industrie du bonheur frelaté, à la société endormie, à l’omniprésence du kitsch. |
http://www.payot-rivages.net/livre_Contre-Venise-passeiste-Filippo-Tommaso-MARINETTI_ean13_9782743629670.html
Rendez-vous incontournable de l’art contemporain, la Biennale de Venise ouvre ses portes le 9 mai pour six mois d’expositions à l’Arsenal, dans les pavillons des Giardini et en différents endroits de la ville. « Connaissance des Arts » a préparé votre visite.
Photo perso du samedi 11 avril 2015
DES TRAVAUX SE SONT ACHEVES
COMME CEUX DE CET IMMEUBLE DANS NOTRE QUARTIER
OU DE LA GARE "CASAPORT"(en haut):
PHOTOS PERSO DU SAMEDI 11 AVRIL 2015
RETROUVEZ LE DEBUT DE MON SEJOUR
CES DERNIERS JOURS SUR MON BLOG
OU EN PASSANT PAR
"PAYSAGES MAROCAINS"
ET/OU
CASABLANCA
On croit tout savoir sur Canaletto, sur la veduta à Venise, sur le voyage du peintre à Londres ou sur ses rivalités avec son neveu Belotto et son successeur Guardi.
Des bougainvilliers(il y en a partout)
et ma salle de gym:Photos perso du samedi 11 avril 2015
Photo perso du samedi 11 avril 2015
Les contours du plan de développement de la région du Grand-Casablanca (2015-2020) se précisent. Cette fois-ci, c’est le volet culturel qui est mis en avant. Le Souverain a en effet donné le coup d’envoi jeudi 16 octobre aux travaux de construction du Grand Théâtre de Casablanca (Cas
Arts).
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Photo perso du samedi 11 avril 2015
Casablanca, c’est parti pour la 2e ligne du tramway ! (photo perso du samedi 11 AVRIL 2015: j'en ai d'autres que je garde pour un 15 e livre, suite de "Paysages marocains")
Les préparatifs pour faire aboutir le projet de la deuxième ligne du Tramway de Casablanca vont bon train. Cette deuxième ligne est déjà identifiée et va relier le quartier d’Aïn Sebaâ à Hay Mohammadi, en traversant le Bvd El Fida pour aller rejoindre la première ligne vers le quartier Hay Hassani. Selon Aziz Berrahou, Chef du département Développement et étude à Casa Transport, les études de cette deuxième ligne viennent d’être lancées. «L’appel d’offres relatif à ce projet vient d’être lancé. Et les études avant-projet sommaire de cette deuxième ligne ont été adjugées», fait savoir le responsable.
où nous avons passé un très bon séjour il y a 2 semaines:
Allez voir leur site:
http://www.hotelsatlas.com/index.php/villes/casablanca/atlas-almohades-casablanca-city-center
L’exposition réunit une centaine de peintures, dessins, gravures, photographies, s’étalant de 1964 à 2011, des premières études à l’école des Beaux-Arts de Séville jusqu’aux pièces monumentales récentes témoignant de l’engagement de l’artiste pour sa patrie. Elles proviennent de collectionneurs privés au Maroc et en Espagne ainsi que du fond d’atelier de l’artiste et de la collection Attijariwafa bank. Ahmed Ben Yessef né à Tétouan en 1945 et installé à Séville depuis 1967 est un des principaux piliers de l’école figurative du Nord. Il se distingua très tôt par des aptitudes exceptionnelles au dessin et à la peinture et une acuité à l’observation du réel, poétisée par une touche fluide, lumineuse et romantique. Son style est une école à lui tout seul, si bien qu’il figure dans le « Dictionnaire des peintres et sculpteurs espagnols du XXe siècle » et dans l’« Encyclopédie générale de l’Andalousie ». Son œuvre humaniste, porteuse de paix et d’espoir (la colombe est un de ses motifs récurrents), lui vaut la reconnaissance internationale et le place parmi les artisans du dialogue interculturel. Il est aussi celui qui immortalise les grands rendez-vous de notre histoire. C’est ainsi que sa toile de quatre mètres par trois sur le thème d’Al Massira fut reproduite sur une pièce de 100 dirhams pour la commémoration des 25 ans de l’accession au trône du roi Hassan II, avant d’illustrer le billet de 100 dirhams. Plus qu’un hommage, cette exposition entend mettre en exergue les étapes et outils décisifs qui ont forgé le « style» Ben Yessef, un style dont la rigueur académique est au service d’un souffle poétique quasi mystique. Une œuvre exclusivement figurative qui comme l’explique Ghita Triki Chraïbi, commissaire de l’exposition, « loin de se limiter à la surface visible, tente de sonder les profondeurs de l’âme humaine comme les mystères de la nature, ce qui lui confère un caractère lyrique, voire mélancolique, grâce à l’emploi de tonalités crépusculaires et irisées ». ◆
http://www.lesoir-echos.com/les-paysages-de-l%E2%80%99ame-de-ben-yessef/culture/45776/
Giovanni Antonio Canal, dit Canaletto (1697-1768), est reconnu comme la figure emblématique du genre de la veduta, création artistique du XVIIIe siècle vénitien la plus admirée en Europe. L'exposition inaugurale de l’Hôtel de Caumont entend apporter un éclairage nouveau sur l’ensemble de l’oeuvre de Canaletto, avec un intérêt particulier pour le traitement de la lumière dans la peinture du maître vénitien. Une cinquantaine de tableaux et dessins issus de collections publiques et privées internationales va permettre de présenter la figure de Canaletto et les différentes phases de sa carrière artistique, à Rome, Londres et Venise.
On découvre dans un premier temps la première activité de Canaletto, celle de peintre de décors de théâtre réalisés en collaboration avec son père Bernardo Canal et son frère Cristoforo. Des livrets d’opéra sur lesquels apparaît le nom de Canaletto seront présentés aux côtés de ses premiers caprices, influencés par la musique, exécutés en 1720-1722, et des premières vues de Venise, composées selon les critères de la mise en scène.
Viennent ensuite dans l’exposition la présentation des grandes entreprises de jeunesse de Canaletto : les vues de Venise commandées par Joseph Smith (1722-1723), Joseph Wenzel de Liechtenstein (1723) et Stefano Conti (1725-1726), sont des toiles de grand format qui témoignent de l’adresse du jeune peintre.
Le séjour de Canaletto en Angleterre, son contact avec de nouveaux paysages et avec la lumière de la Tamise, le conduisent à modifier sa palette et sa touche. Une série de tableaux et de dessins montre les nouvelles solutions adoptées pour capter l’atmosphère et l’esprit de l’Angleterre. Canaletto peint Londres et s’attarde sur le pont de Westminster, deuxième pont sur la Tamise, alors en construction. Il peint aussi la campagne anglaise, allant jusqu’aux lisières de l’Écosse pour représenter Alnwick Castle, demeure du Duc de Northumberland.
Une section particulière est consacrée aux expérimentations techniques menées par l’artiste pendant toute sa carrière. Canaletto conçoit une manière systématique et scientifique pour retravailler les dessins réalisés en plein-air à l’aide de la camera oscura (chambre noire). L’exemplaire de camera oscura utilisée par le peintre est présenté à proximité de son fac-simile qui permet au visiteur de se rendre compte par lui-même de ce que pouvait voir le peintre grâce à ce dispositif. La reproduction des pages de son carnet de dessins, ainsi qu’un film, montrent le travail technique de l’artiste sur la représentation des vues de Venise.
Cette exposition est aussi l’occasion de mener pour la première fois une étude approfondie sur les dernières années de Canaletto à Venise. Les oeuvres exécutées après son retour de Londres à la fin de l’année 1755 illustrent les nouveaux centres d’intérêt de Canaletto et sa réponse au nouveau climat artistique de Venise, où Francesco Guardi (1712-1793) se fait alors connaître. Une attention toute particulière est consacrée à la passion inlassable de l’artiste pour l’étude de nouveaux effets lumineux et atmosphériques.
Commissaire général : Dr. Bozena Anna Kowalczyk, spécialiste de la peinture vénitienne du XVIIIe siècle.
Au Centre d’Art de l’Hôtel de Caumont, Culturespaces expérimente un nouveau type d’exposition immersif. En complément des œuvres des plus grands maîtres classiques, il fait la part belle aux supports numériques et multimédia pour enrichir l’expérience du visiteur. Dès l’entrée de l’exposition, un dispositif sonore subtil, à la pointe de la technologie, oriente le visiteur vers une approche musicale des premiers Caprices de Canaletto. Le visiteur se trouve en effet plongé aux premières sources d’inspiration du maître vénitien, baigné dans l’opéra et le travail de décorateur de théâtre de son père Bernardo Canal.
N° 369 - mai/juin 2015 - 9,50 €
ISSN : 1141-7137
Dans une Gaule romaine pacifiée et prospère, les habitants adoptent l'usage d'afficher leurs activités du quotidien sur leurs monuments funéraires. Ils laissent derrière eux des images qui sont comme des instantanés de vie ordinaire, ainsi qu'une formidable source de connaissance pour les archéologues : habillage, métiers, transports, petite enfance, autant de thèmes que ce numéro des Dossiers d'Archéologie vous propose de découvrir.
http://www.dossiers-archeologie.com/numero-369/vie-quotidienne-gaule-romaine.4186.php
06/05/2015 - 22/11/2015 |
Pour la 56e Exposition internationale d’art contemporain de la Biennale de Venise, Céleste Boursier-Mougenot compose une œuvre poétique qui évoque les folies des parcs romantiques du XVIIIe siècle tout en laissant transparaître une dimension politique |
http://sendstudio.smol.fr/link.php?M=486617&N=3000&L=4450&F=H
1453 : la chute de Constantinople marque un tournant dans l’histoire.
http://www.connaissancedesarts.com/civilisation/actus/visions-ottomanes-aux-beaux-arts-110651.php
Peintres de la lumière, Sargent et Sorolla Du 15 février au 13 mai 2007 Composée de 100 œuvres issues de collections privées et de musées du monde entier, cette exposition permet de redécouvrir deux maîtres du dessin, de la couleur et du décor. Elle se présente comme une lecture parallèle des trajectoires artistiques de ces deux peintres qui se croisèrent à Paris en 1903 lors d'une exposition au Salon de la Société de l'Art français, avant de tomber peu à peu, à partir des années 1910 dans un injuste oubli. Les deux artistes peignent des portraits et des scènes naturalistes et expriment avec un pinceau virtuose leur goût pour la couleur et les effets lumineux. L’exposition propose de suivre six thèmes emblématiques à l’origine de leur succès : la peinture de genre, les portraits privés et publics, les scènes de plage, les projets de grandes peintures murales (Boston Public Library pour Sargent, Hispanic Society pour Sorolla), les aquarelles, les vues de jardin. Cette exposition s'inscrit dans la tradition du Petit Palais d'organiser des expositions consacrées au XIXe siècle, à ses artistes et à ses courants artistiques (expositions Hodler en 1983, Winterhalter en 1988, Symbolisme en 1989, James Ensor en 1990, Bonington en 1992). Elle est le fruit d’une collaboration entre le ministère de la Culture espagnol, le musée Thyssen-Bornemisza , la Fondation Caja Madrid et le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=6228&document_type_id=2&document_id=25803&portlet_id=14049
Frederic Edwin CHURCH, Crépuscule sur une étendue sauvage, huile sur toile. Cleveland Museum of Art, États-Unis.