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CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES - Page 190

  • Catégories : Casablanca(Maroc):vie et travail, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES

    Institut Cervantès

    Institut Cervantès

     

    Institut Cervantès Institut Cervantès

    Présentation

    Parfois il y a des rêves que partagent des milliers de personnes. Apprendre l'espagnol et découvrir la culture des pays hispanophones appartiennent depuis 1991 à ceux là... Et grâce à l'Instituto Cervantes de Casablanca, ils sont désormais concevables. Vous aurez l'occasion de participer à des cours adaptés à votre niveau, des rencontres avec des artistes, des projections cinématographiques en espagnoles...

    Mot du Propriétaire

    L'Institut Cervantes est une institution espagnole créée en 1991 dans le but de promouvoir l'enseignement de la langue espagnole et de diffuser la culture de l'Espagne et des pays hispanophones.

    HORAIRES

    Secrétariat:
    De lundi à jeudi matin de 09:00-13:00 / après-midi de 15:00-18:30
    Vendredi 08:00-15:00

    Bibliothèque Ana María Matute:
    Du lundi au vendredi: de 10:00-19:00 /

     

    Situation

    Quartier:Gauthier

    Le Centre se situe à proximité de la cathédrale du Sacré Coeur, en plein centre de Casablanca.

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  • Catégories : Casablanca(Maroc):vie et travail, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES

    Comment Casablanca veut changer d’ici 2020

                   

    Mobilité, voiries et infrastructures en priorité
    Le détail du plan de développement 2015-2020
    Huit conventions adoptées par les élus de la ville
          
    Comment Casablanca veut changer d’ici 2020

    Le conseil de la région du Grand Casablanca vient d’adopter, lors de sa session extraordinaire qui s’est tenue jeudi 23 octobre, huit conventions relatives au plan intégré de développement 2015-2020. Ces dernières font partie des 10 conventions, signées devant le Souverain vendredi 26 septembre (cf. édition du 29 septembre 2014) pour une enveloppe globale de 33,6 milliards de DH. Objectif: faire de la région un véritable hub financier international, améliorer le cadre de vie de ses habitants, et préserver son environnement et son identité.

    - See more at: http://www.leconomiste.com/article/961028-comment-casablanca-veut-changer-d-ici-2020#sthash.aQiLE0SM.dpuf

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  • Catégories : Casablanca(Maroc):vie et travail, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES

    Casablanca, toute une histoire…

    Casablanca, toute une histoire…

    L’histoire de Casablanca remonte à loin, probablement à la préhistoire. Au fil des siècles, elle a subi de nombreuses influences : romaines, phéniciennes, arabes et berbères puis européennes voire américaines.
    Casablanca a été, tour à tour, construite, puis détruite, puis assiégée, puis reconstruite. Elle a connu la décadence et est tombée dans l’oubli pendant des siècles. Cependant, elle a également attiré, grâce à sa richesse, à son port et à son activité commerciale, de nombreux étrangers et marocains d’autres régions. Le Casablanca d’aujourd’hui, moderne, ouvert, vivant, bruyant et coloré a commencé à s’étendre dès l’aube du XXème siècle. Résultat: une ville attirante où se mêlent, depuis toujours, des populations différentes, logeant dans des habitations variées aux styles architecturaux hétéroclites, avant-gardistes et où la réflexion sur l’urbanisme a toujours présente.

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  • Casablanca et Rabat, sous le signe de l'Art Déco

    Casablanca et Rabat, sous le signe de l'Art Déco

    Histoires d'urbanisme et d'architecture

    Casablanca et Rabat, sous le signe de l'Art Déco

    C'est au début du XXe siècle que s'écrit l'histoire architecturale de Rabat et Casablanca, sous le protectorat français, et notamment sous l'impulsion du Maréchal Lyautey.
    En effet, à Rabat, désignée comme la capitale administrative du protectorat, et à Casablanca, poumon économique du royaume, les architectes les plus renommés de l'époque donnent naissance à un nouveau style architectural unique qui mêle influences islamiques, hispano-mauresques et Art Déco !
    Un nouvel espace urbain est créé, qui s'appuie d'une part sur la préservation des centres anciens, où les coutumes locales peuvent perdurer, d'autre part sur la naissance de quartiers modernes, administratifs dits « européens » : un héritage exceptionnel qui continue à inspirer les urbanistes et qui illustre la diversité et la richesse du patrimoine marocain.

    http://www.intermedes.com/voyage/maroc/casablanca-et-rabat-sous-le-signe-de-art-deco-3701.html

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  • Biennale des antiquaires

     

    Par Béatrice De Rochebouet Mis à jour le 14/09/2012 à 15:29 | publié le 14/09/2012 à 06:00  (2)

    Dans ce mastaba aux tonalités taupe, couleur fétiche du décorateur François-Joseph Graf, le visiteur chemine dans la pénombre jusqu'au buste monumental de Sésostris Ier
    en quartzite d'époque Moyen Empire (XIIe dynastie, XIXe siècle avant J.-C).
    Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/JC MARMARA/LE FIGARO
     
    Suite à une mise en demeure, je supprime cette photo
    •  
      Une scénographie signée Karl Lagerfeld, de nouveaux exposants, des acheteurs venus de l'Est… La manifestation redore son image.

    La Biennale des antiquaires est-elle le dernier temple de l'art qui résiste aux bombardements de la crise? Sous la verrière du Grand Palais réinventée par le très médiatique Karl Lagerfeld, les plus grands collectionneurs de la planète sont venus, dès mercredi soir, participer au dîner de gala. Avec légèreté, ils ont foulé la moquette en imitation de pavés conduisant aux places et avenues de la capitale autour desquelles sont alignés des stands-vitrines comme sous le second Empire.

    Jadis, on attendait les Américains comme des sauveurs. Aujourd'hui, ce sont ceux des pays émergents: les Chinois comme Yue Sai Kan, connue pour avoir construit un empire dans le secteur de la cosmétologie à Shanghaï, ou les Ukrainiens, à l'image du puissant homme d'affaires Andrey Adamovski, amateur discret des plus grands noms de l'art moderne à Kiev.

    Près de 1400 de ces nouveaux riches de l'art, manne inespérée pour nos marchands plutôt inquiets de l'avenir de leur métier dans l'Hexagone, sont venus célébrer cet événement qui participe encore au rayonnement de la France à travers le monde. Évitant les caméras, Bernard Arnault était passé avant l'ouverture. Mais jusqu'au vernissage aucun ministre ne s'était annoncé. À l'exception de Laurent Fabius, invité à titre personnel à la table du décorateur François-Joseph Graf qui fit entrer à la Biennale son frère, François, et son XIXe triomphant, avant qu'il ne disparaisse. D'importants conservateurs faisaient figure de dinosaures au milieu des nuées de jeunes Chinoises outrageusement bijoutées. Elles n'ont pas hésité à se faire prendre en photo devant la statue Bamileke du Cameroun au sexe proéminent sur le stand de Bernard Dulon, jouxtant celui de Bulgari. Mais pas une question sur sa provenance et son prix, preuve encore d'une difficile cohabitation entre bijoutiers omniprésents et antiquaires…

    «Valeur refuge»

    C'est grâce à une campagne tous azimuts, de Berlin à Hongkong en passant par Istanbul et Sao Paulo, que le président de la Biennale, Christian Deydier, a pu renouveler son public, soit deux tiers d'étrangers pour cette 26e édition. La seule issue pour cette manifestation jusque-là en perte d'image, face à une concurrence effrénée de salons et de foires dans le monde et, surtout, à la montée en puissance de Maastricht et de Bâle qui captent désormais tous les ténors de l'art moderne, du contemporain et du design. «Le marché de l'art international n'est pour l'instant pas touché par la crise, confirme le président du Syndicat national des antiquaires (SNA). C'est une valeur refuge mais s'il le faut, moi et mes confrères, nous n'hésiterons pas à délocaliser nos activités si la situation s'aggrave ici.» L'idée est déjà en marche avec deux nouvelles Biennales de Paris à New York, à l'automne, et à Moscou, au printemps 2013.

    Ce n'est pas non plus sans grincements de dents que le président a changé la donne de cette manifestation jugée toujours très franco-française, avec seulement 27 galeries étrangères. Il y a des départs regrettés contre 49 nouvelles arrivées sur les 118 participants. Mais ces nouveaux venus plus jeunes ou moins reconnus qui inaugurent à l'étage la réouverture du salon d'honneur émanent pour la plupart du SNA. Et leurs petits stands, alignés à touche-touche et très disparates, n'ont pas leur place dans un tel salon de prestige. L'ouverture est nécessaire mais avec des noms plus prometteurs. La sélection reste aussi à revoir dans les allées du Paris de l'Exposition universelle de Karl Lagerfeld. Les meilleurs exposants sont sur l'avenue centrale allant de la Concorde aux Champs-Élysées. Pour les autres, relégués à l'étroit derrière, point de salut!

    Grand Palais (Paris VIIIe), jusqu'au 23 septembre. www.grandpalais.fr

    LIRE AUSSI:

    » Biennale des antiquaires: lèche-vitrines au Grand Palais

    http://www.lefigaro.fr/sortir-paris/2012/09/14/03013-20120914ARTFIG00543-la-biennale-des-antiquaires-change-de-decor.php

    Précédente publication:

    25/09/2012 19:21

  • Keith Haring, l'énergie vitale de l'art

     

    Home CULTURE Arts Expositions

    EN IMAGES - Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris rend tout son poids politique au prince du street art.

     
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    Keith Haring n'est pas mort à New York en février 1990, à 31 ans, des suites du sida. Il vit et travaille à Paris, comme le veut la formule consacrée de l'art. Star subversive du street art, ce dessinateur-né a été fêté dans un tourbillon de musique, de happenings et d'œuvres qui se répondent en un langage nouveau, signalétique et direct comme un feu vert à Manhattan. Comme tous les peintres au musée, il reste jeune pour l'éternité. Énergumène aux cheveux frisottés et aux grosses lunettes rondes de clown, il regarde en dehors du tableau, comme à la recherche d'une ligne de fuite (Self-Portrait, 1985). Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris est littéralement balayé par le souffle décapant de cet artiste grave derrière l'éclat de la couleur et virtuose derrière la simplicité du trait qui danse. Un choc visuel, tout en messages, en questions et en émotions.

    Une énergie vitale transporte cet ensemble jamais réuni de quelque 250  œuvres, bâches, dessins, tableaux, céramiques et autres totems géants parcourus par cette nouvelle langue des signes. On monte à plus de 360, si l'on isole chaque élément des nombreuses séries historiques exposées (Storyboard, spectaculaire accrochage, dès la première salle, qui reconstitue l'exposition clé chez Tony Shafrazi à New York en 1980). «Qu'est-ce que cela change?», s'interroge-t-on en lisant la longue liste des expositions monographiques qui ont porté Keith Haring, mort ou vif, du Pittsburgh Center for Arts (1978) à la Kunsthalle de Vienne (2010), du Ludwig Museum de Budapest au Musée d'art contemporain de Lyon (2008). Ou, plus prosaïquement, des enchères de New York à la dernière foire d'Art Basel Miami Beach.

    Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique

    Dieter Buchhart

    «Tout simplement la mesure de l'artiste», souligne Fabrice Hergott, pas fâché que son musée rende sa taille héroïque à ce prince du street art. Keith Haring est souvent résumé à sa formule pop, à un tee-shirt rouge ou noir sur lequel figurent un bébé rayonnant, un chien qui aboie, un corps transpercé d'un soleil, une soucoupe volante des années 1950, un cœur avec deux croix, un sexe dressé comme une arme (son Pop Shop fut l'adresse miraculeuse au 292 Lafayette Street à Soho). Tout un codex apparemment gai - dans les deux acceptions du terme - qui semblait emprunter à la fureur de vivre des années 1980 à Manhattan, avant l'hécatombe de la drogue et du sida (à déguster, le polaroid de ­Madonna, si jeune et fraîche sous sa perruque rose de japonaise). C'est tout le propos de cette rétrospective bluffante par sa réunion de famille in extenso, les ­leçons sous-jacentes qu'elle en tire ­visuellement… Et les prêts princiers qu'elle a obtenus: tableau phare mis en couverture du catalogue, le héros ­traversé par les chiens, peint sur une ­bâche jaune ­soleil en 1982, est prêté par la Sheikha Salama Bint Hamdan al-Nayan, autrement dit la famille régnante d'Abu Dhabi!

    Prévenez les allergiques à l'esprit clairement engagé: Keith Haring, c'est politique. Le point de départ des commissaires de cette exposition «Keith Haring. The Political Line», Dieter Buchhart et Odile Burluraux, n'est pas une théorie fumeuse de plus. Tout est là, dans le cadre. «Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique, analyse Dieter Buchhart. Au sens de l'individu dans l'espace public. Pour la liberté d'expression avec sa série de dessins à la craie dans le métro de New York. Pour le droit d'être différent et heureux avec tous ses dessins qui célèbrent l'amour libre. Contre l'homophobie, mais aussi le racisme aux États-Unis et la ségrégation en Afrique du Sud. Contre le capitalisme et ses excès d'esclavagiste.»

    Prévenez les parents, soucieux d'une enfance à jamais innocente: Keith Haring, c'est sexe. Comme chez son compatriote Robert Crumb. Le plus souvent entre hommes (Safe Sex, acrylique sur toile fort explicite, 1985), les femmes étant plutôt réservées à la maternité ou à la conception du monde, tota mulier in utero. Parfois - et c'est le plus terrifiant de ces fresques primitives si pimpantes avec leur rose, leur vert salade, leur mauve psychédélique - entre victimes et bourreaux, duels cruels entre chiens et loups (énorme diptyque de 1984 aux chiffres de l'Apocalypse, 666, qui sublime les défunts en anges parmi les ovnis).

    Prévenez les sceptiques: Keith ­Haring, c'est géant. Par les formats, par la variété des matériaux, de la voiture à l'énorme céramique maya, par la déclinaison du signe, joyeux, vivant jusqu'à la mort, atroce punition de la condition humaine.

    «Keith Haring. The Political Line», jusqu'au 18 août au Musée d'art moderne de la Ville de Paris.

    • Préc
      Rudy Ricciotti, architecte en béton armé
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      Les trésors du Louvre Abu Dhabi
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    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/04/19/03015-20130419ARTFIG00241-keith-haring-l-energie-vitale-de-l-art.php

  • Le Journal des Arts N°433

    Le Journal des Arts
    Le Journal des Arts N°433
    10 avril 2015

    Il est significatif que les deux derniers actes visibles de la présidence d’Alain Seban au Centre Pompidou aient concerné les recettes commerciales. C’est bien le grand enjeu des musées aujourd’hui. Entre la location d’œuvres et d’expositions (comme de son nom) à la ville de Málaga et l’augmentation d’1 euro du billet d’entrée à Paris, le Centre espère récolter entre 3 et 5 millions d’euros supplémentaires, soit environ 10 % de ses ressources propres. Mais ces deux leviers ont des rayons d’action limités. Les 100 000 œuvres de la collection du Musée national d’art moderne ne sont pas toutes des pièces maîtresses et il va lui être difficile de présenter des ensembles cohérents à Paris, à Metz et dans les futurs « Centre Pompidou provisoire » que l’ex-président voulait essaimer sur la planète. L’augmentation du prix du billet, beaucoup plus simple à mettre en œuvre, est cependant tout aussi risquée. En dix ans, le billet d’entrée aux collections permanentes et aux expositions temporaires a augmenté de 40 % quand l’inflation, elle, n’a crû que de 14 %. L’élasticité au prix n’est pas infinie. À 14 euros, le prix du billet se situe entre les 11 ...

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  • À Saint-Etienne, les finances du club sont au vert

     

    Les deux coprésidents de l'ASSE, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo, lors de la 26e journée de ... SPORT
    À Saint-Etienne, les finances du club sont au vert

    L'AS Saint-Étienne se déplace le 8 avril au Parc des Princes pour rencontrer le Paris SG en demi-finale de la Coupe de France.Les « Verts », qui ont instauré une politique salariale rigoureuse, affichent un excédent budgétaire sur ...

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  • MAROC

    bannière le20heures

    Paris abritera le 2ème forum parlementaire Maroc-France  

    Une première séance de travail, axée sur les grands thèmes du Forum, regroupera le 15 avril à Paris, les présidents des quatre Assemblées: Rachid Talbi Alami, Cheikh Mohamed Biadillah, Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale et Gérard Larcher, président du Sénat. Le 2ème Forum parlementaire élargi aux élus français se tiendra le lendemain au siège de l'Assemblée nationale. Les débats seront consacrés aux moyens susceptibles de développer la coopération franco-marocaine dans de nombreux domaines, ainsi que sur des questions liées à la lutte contre le terrorisme et aux défis sécuritaires au Maghreb et au Sahel. La journée sera également marquée par la signature d'un accord de coopération bilatérale entre les instances législatives des deux pays. Le président du groupe d'amitié France-Maroc au Sénat français, Christian Cambon, s'est récemment félicité du réchauffement des relations entre les deux pays. "Le rythme des relations est redevenu ce qu'il aurait dû toujours être", a-t-il affirmé

    Marrakech abritera conférence des ministres du commerce africains du 8 au 9 avril  

    La ville ocre abritera ainsi du 8 au 9 avril, une conférence des ministres du commerce africains sous le thème « 20 ans de l’OMC : célébration des succès, et défis pour l’avenir ». Cette conférence internationale à laquelle prendront part le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, le Directeur Général de l’OMC, Roberto Azevedo, le Ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissements et de l’Economie numérique du Maroc, Moulay Hafid Elalamy, ainsi qu’une trentaine de panelistes de haut niveau verra la participation de représentants des autres organisations internationales chargées du commerce, des finances et du développement ainsi que des parlementaires et d’éminentes personnalités du monde diplomatique et académique. La conférence sera l’occasion de faire le point sur les vingt ans de participation de l’Afrique au système commercial multilatéral incarné par l’OMC. Il sera également question d’examiner les priorités et les attentes des pays africains par rapport au programme de travail futur, en prévision de la reprise des négociations du programme de Doha pour le développement et de la tenue de la 10ème Conférence Ministérielle de l’OMC au Kenya du 15 au 18 décembre 2015.
    Qu'en pensez-vous?

    5 Marocains dans le top 100 des arabes les plus riches du monde  

    Le magazine américain Forbes a publié son classement 2015 des plus fortunés du monde arabe. 5 Marocains figurent parmi les 100 personnes les plus riches du monde arabe. Sans surprise, Othman Benjelloun arrive en tête, le PDG de la BMCE totalisant des avoirs estimés par le magazine à 2,3 milliards de dollars. Derrière le patron de la BMCE, vient le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, (et famille) qui devance cette fois Miloud Chaâbi avec une fortune qui atteint 1,7 milliard de dollars. Akhannouch est ainsi la 28ème personnalité la plus riche dans le monde arabe contre la 33ème position en 2014. Quant au patron du groupe Ynna Holding, il arrive à la 34ème positon cette année contre la 26ème en 2014. Les avoirs de Chaâbi sont estimés à 1,3 milliard de dollars contre 1,9 milliards de dollars l’année dernière. Cette année, Alamy Lazraq, 57ème en 2014 avec 414 millions de dollars, ne figure pas dans le Top 100 de Forbes. Les deux autres fortunés marocains sont Anas Sefrioui et Fouad Fahim. Le premier cumule des avoirs estimés à 593 millions de dollars contre 1 milliard 250 millions de dollars l’année dernière. Il est ainsi la 58ème personnalité la plus riche du monde arabe alors qu’il occupait la 39èmeplace en 2014. Quant à Fouad Fahim, il dispose d’avoirs estimés à 185 millions de dollars contre plus de 220 millions de dollars en 2014. L’année dernière, Fahim était classé à la 82ème place contre la 89ème cette fois.
    Qu'en pensez-vous?

    Société

    «Citoyens du Maroc» pointe du doigt les failles dénonce de l’éducation nationale  

    Le système éducatif du Maroc est défaillant et ce malgré les diverses réformes mises en place afin de l’améliorer. Ce constat est aujourd’hui officiellement appuyé par un collectif de la société civile. L’association «Citoyens du Maroc», qui a tenu vendredi dernier une rencontre dans ce sens, pointe du doigt la faillite de l’éducation nationale, due principalement au «parachutage» de nouveaux concepts et à la montée des intérêts «corporatistes». Les représentants de l’association ont signalé que le gouvernement actuel s’inscrit dans cette «inconstance des politiques». Dans le souci d’insuffler une nouvelle dynamique dans le secteur, l’association a rendu publics les résultats de son étude. Le dispositif tend à proposer de nouveau paradigme afin d’assainir le système actuel et rehausser le niveau de l’éducation nationale. L’étude menée sur une durée de deux ans a connu la participation d’une cinquantaine d’experts nationaux et internationaux. Premier enseignement tiré : la création en urgence d’un système pluriel. «Le gouvernement doit créer les conditions de l’émergence d’autres types d’offres éducatives. Des offres mixtes faisant intervenir des opérateurs extérieurs sous la régulation de l’État», apprend-on des «Citoyens du Maroc». L’association appelle donc à muter le rôle de l’État vers la régulation de l’offre éducative, intervenant ainsi sur la qualité de l’éducation proposée et les tarifs appliqués dans le secteur privé-payant. Le gouvernement est ainsi appelé à créer des conditions d’émergence d’autres variantes d’offres éducatives. La mixité des propositions, sous la régulation de l’État, impliquera donc des opérateurs externes. Une coalition qui apporterait ainsi une nouvelle vision et un nouveau souffle.
    Qu'en pensez-vous?

    International

    L'ONU réclame un accès humanitaire au camp de Yarmouk  

    Le Conseil de sécurité de l'ONU a réclamé lundi que les agences humanitaires puissent avoir accès aux milliers de Palestiniens bloqués dans le camp de Yarmouk en Syrie qui est assiégé, notamment, par le groupe État islamique (EI), pour les évacuer en toute sécurité. "Nous appelons à protéger les civils dans le camp, à assurer un accès humanitaire à cette zone pour fournir une aide vitale" aux quelque 18 000 Palestiniens assiégés, a déclaré la présidente du Conseil, l'ambassadrice jordanienne Dina Kawar, à l'issue de consultations à huis clos. Elle a plaidé notamment pour "un passage sécurisé et une évacuation des civils". Les 15 pays membres du Conseil sont prêts "à envisager les mesures supplémentaires qui pourraient être prises afin de fournir la protection et l'assistance nécessaires" aux Palestiniens de Yarmouk, a ajouté l'ambassadrice, sans donner de précisions. Mme Kawar a aussi rappelé des résolutions de l'ONU sur la Syrie qui font obligation "à toutes les parties (au conflit en Syrie) de lever les sièges imposés aux zones habitées" et d'y faciliter la distribution de l'aide humanitaire.

    Journées du Patrimoine de Rabat-Salé  

    La première édition des Journées du Patrimoine de Rabat-Salé (JDP) est prévue du 17 au 19 avril. Ces Journées visent à faire redécouvrir aux visiteurs et aux habitants des deux villes jumelles leur environnement historique et patrimonial. Ainsi figurent au menu des visites guidées, des conférences et des animations culturelles au profit des citoyens. Pour cette première édition, seront privilégiés les monuments emblématiques de part et d'autre du Bouregreg. C'est ainsi qu'en plus du Chellah, les sites et monuments retenus s'intègrent dans le cadre de deux circuits, celui des Oudayas et celui de Salé, qui démarre à Bab Mrissa et se termine à Borj Roukni. Les visiteurs découvriront également des lieux habituellement fermés au grand public. Ainsi à Salé, les visiteurs auront accès à Borj Al Doumoue et Borj Roukni et à Rabat, les trois salles composant les thermes romains, ou encore le pavillon jouxtant la grande porte d'entrée au Chellah. Seront également ouverts au public l'entrepôt d'armes de Moulay Yazid, et la Sqala du Sultan Mohammed Ben Abdellah à la Kasbah des Oudayas.
    Qu'en pensez-vous?

    Sciences et Technologies

    Wifi gratuite dans les espaces publics de Casablanca  

    La ville de Casablanca et les trois opérateurs Télécom nationaux (Maroc télécom, Meditel et Inwi) viennent de signer une convention de partenariat pour la mise en place du wifi Outdoor dans des espaces publics. Cette convention vise à mettre à la disposition des habitants de la métropole casablancaise et ses visiteurs l’accès au service wifi dans certaines zones de la ville, indique un communiqué de la Wilaya de Casablanca. La convention concerne, dans un premier temps la mise en place du wifi Outdoor dans des zones pilotes comme le Parc de la ligue Arabe et place Nevada, la Gare de casa port, l’Université Hassan II « Sciences juridiques et économique (Hay Hassani) », la Place Mohamed V, l’Esplanade de la Mosquée Hassan II, la rue du Prince Moulay Abdallah, la Faculté de Médecine, la Place des Nations unies, Derb Ghallef et Màarif /Twin center.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le Maroc:vie et travail

    MAROC

     

    Le débat sur le patrimoine immatériel du Maroc s’élargit  

    La marque, dans toutes ses dimensions, constitue une richesse immatérielle non négligeable. C’est ce qui a été souligné, jeudi, lors d’un séminaire organisé par l’Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC). La rencontre à laquelle ont pris part des chercheurs nationaux et internationaux met le point sur la contribution de la propriété industrielle en tant qu’actif immatériel au service de la croissance des entreprises. Dans une ère de consommation, la notoriété de la marque et l’engouement que l’on lui porte sont des valeurs mesurables. «Quand l’entreprise est détentrice d’une marque connue et reconnue, les aléas du marché seront évidemment beaucoup moins forts que pour une société qui n’en dispose pas. La marque stabilise la cotation de la valeur aussi bien en termes de création de richesse que de son exportation», souligne à ALM Ahmed Rahhou, en sa qualité de membre du Conseil économique, social et environnemental. Le Maroc a connu, dernièrement, une puissante montée de marques dans le champ commercial et économique. La prise de conscience observée dans ce sens a poussé les professionnels à penser un nouveau concept d’identification orienté «marque». L’émergence de nouvelles signatures a été couronnée par l’amélioration du classement du Maroc au niveau mondial.
    Qu'en pensez-vous?

    SARA : le Maroc, un modèle pour l’Afrique  

    «Je me réjouis du choix du Maroc comme invité d’honneur du Salon de l’agriculture et des ressources animales 2015», a souligné Alassane Ouattara, président de la Côte d’Ivoire, qui s’exprimait, vendredi 3 avril, à l’ouverture des grandes Assises de l’agriculture tenues en marge du Salon. Dans le même sillage, le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Colibaly, s’est félicité de l’appui technique consenti par le Maroc pour la réussite de ce Salon, faisant savoir que compte tenu de l’expertise accumulée, le Royaume peut servir de modèle pour la Côte d’Ivoire dans le domaine agricole. «Le Maroc est toujours disposé à mettre son expertise et son savoir-faire avérés dans le domaine agricole au profit des pays africains frères et amis et cela, chaque fois que le Royaume se trouve sollicité», a souligné, pour sa part, Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime, samedi, dans une déclaration à la presse, en marge du Salon. «Le Plan Maroc Vert, dont le succès est fort remarquable malgré la persistance de certains défis à relever, peut servir de source d’inspiration pour nombre de pays africains», a estimé le ministre notant que certains pays qui l’ont étudié, ont établi des études et se trouvent actuellement dotés de programmes qui leur sont propres.

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  • VENISE

     
     
    lalibre.be
    La Flandre ira aussi à la Biennale de Venise
    lalibre.be
    Cette année, le pavillon belge à la Biennale de Venise est, comme on le sait, occupé par la Communauté française qui a choisi pour la représenter ...
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    Le Télégramme
    Venise n'est pas en Italie
    Le Télégramme
    Venise n'est pas en Italie, Venise c'est chez n'importe qui (. ... il tombe éperdument amoureux, sa vie se complique lorsqu'elle l'invite à venir à Venise.
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  • Roanne: Inès, 15 ans, est-elle partie faire le djihad?

    mardi 07 avril 2015

     
     
    Roanne: Inès, 15 ans, est-elle partie faire le djihad?  
    Roanne: Inès, 15 ans, est-elle partie faire le djihad?  

    Sans nouvelles de l'adolescente disparue il y a deux semaines, une mère de famille de Roanne craint le pire et espère trouver des témoins.

     
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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, L'Afrique

    AFRIQUE

    Il fait l'actualité  
     
         
     
      Les echos  
         
      Béji Caïd Essebsi  
         
     

    Les plaisanteries de leur président rassurent les Tunisiens, qui avaient apprécié, lors de sa campagne électorale, qu’il rende visite à son guignol, convaincus, sans doute à juste titre, que quand on a de l’esprit, on court moins le risque de devenir dictateur

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le monde

    Monde

     
      La "pacification" des favelas de Rio n'est pas durable
    À un an des JO, le retour en force des trafiquants dans certaines favelas "pacifiées" a conduit les autorités à renforcer les effectifs policiers. Lire
     
      L'armée française libère un otage néerlandais retenu par Aqmi
    L'homme avait été enlevé au Mali il y a plus de trois ans. Il a été secouru par des soldats des forces spéciales françaises. Lire
     
      Besson : revue de "La Presse" abonnés
    Patrick Besson dissèque plusieurs articles du quotidien tunisien "La Presse" et revient notamment sur les abominations de Boko Haram. Lire
     
      Chrétiens d'Orient dans le métro : la RATP fait machine arrière
    Sur Twitter, le Premier ministre avait demandé à la régie de rétablir la mention initiale qui figurait sur l'affiche du concert des Prêtres. Lire

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  • La librairie des colonnes

    Maison fondée en 1949

    La Librairie des Colonnes naquit un jour d’été 1949, sur le Boulevard, quand le monde entier se donnait rendez-vous à Tanger. C’est la famille Gerofi, qui veille aux débuts éclairés de la librairie. Robert, l’aîné venu de Belgique est professeur au Lycée Regnault, archéologue, conservateur du Musée de la Kasbah. Fin lettré, il entretient une correspondance avec André Gide, traverse l’Atlantique sur le yacht de Malcom Forbes pour offrir une bague à l’effigie de l’empereur Hadrien à Marguerite Yourcenar, encourage plus que quiconque la littérature et les arts dans la cité du Détroit. Son épouse et sa soeur, les Dames Gerofi, vont gérer la librairie dès 1951 en proposant un fonds en plusieurs langues. Aussi la Librairie des Colonnes devient très vite un lieu de rencontre et de savoir, fréquenté par de grands noms de la littérature, Samuel Beckett, Jean Genet, Juan Goytisolo, Tennessee Williams, Truman Capote, Paul Morand… Gallimard s’en servira de comptoir, Jane et Paul Bowles de boîte aux lettres, Mohamed Choukri de salle de lecture, Tahar Ben Jelloun de bibliothèque, les Tangérois et visiteurs de passage comme d’un refuge de l’esprit.

     

     

     

    En 1973, Rachel Muyal, reprend la gérance de la librairie, en continuant à proposer des publications anti-franquistes à quelques kilomètres de l’Espagne, des ouvrages dans toutes les langues connues et de toute obédience. Elle y invitera entre autres Amin Maalouf, Patricia Highsmith, Driss Chraïbi, John Hopkins… organisera expositions et signatures. Quelque fut l’actualité du monde, la Librairie des Colonnes a toujours su maintenir un espace d’expression, de liberté, par la consultation du savoir et sa diffusion.

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  • Catégories : Le Maroc:vie et travail

    El Jadida(inscrite au patrimoine de l'Unesco)

     

    Les fortifications portugaises de Mazagan, qui font aujourd’hui partie de la ville d’El Jadida, à 90 km au sud-ouest de Casablanca, furent édifiées comme colonie fortifiée sur la côte atlantique au début du XVIe siècle. La colonie fut reprise par les Marocains en 1769. Les fortifications, avec leurs bastions et remparts, constituent un exemple précoce de l’architecture militaire de la Renaissance. Les édifices portugais encore visibles sont la citerne et l’église de l’Assomption, construite dans le style manuélin (gothique tardif). La ville portugaise de Mazagan, l’un des premiers établissements en Afrique occidentale des explorateurs portugais qui faisaient route vers l’Inde, offre un témoignage exceptionnel des influences croisées entre les cultures européenne et marocaine, qui apparaissent clairement dans l’architecture, la technologie et l’urbanisme.

    Justification d'inscription

    Critère (ii) : La ville portugaise de Mazagan est un exemple exceptionnel de l’échange d’influences entre les cultures européennes et la culture marocaine, et l’un des tout premiers peuplements des explorateurs portugais en Afrique de l’Ouest, sur la route de l’Inde. Ces influences se reflètent clairement dans l’architecture, la technologie et l’urbanisme de la ville.

    Critère (iv) : La ville fortifiée portugaise de Mazagan est un exemple exceptionnel et l’un des premiers de la réalisation des idéaux de la Renaissance, intégrés aux techniques de construction portugaises. Parmi les constructions les plus remarquables de la période portugaise figurent la citerne et l’église de l’Assomption, bâtie dans le style manuélin du début du XVIe siècle.

    http://whc.unesco.org/fr/list/1058

    photo:http://www.mincom.gov.ma/french/reg_vil/villes/eljadida/eljadida.html

     

    A l'ombre de sa citadelle, El Jadida vous promène jusqu'au bastion de l'Ange qui domine le port. Quelques pas encore et vous aurez le droit de vous reposer sur l'une des plus belles plages de l'Atlantique.

    medium_bastion.jpghttp://www.mincom.gov.ma/french/reg_vil/villes/eljadida/eljadida.html

    1 ere publication:

    10/04/2007 02:40

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  • Turquie. Istanbul, cosmopolitismes d’hier et d’aujourd’hui

    Turquie. Istanbul, cosmopolitismes d’hier et d’aujourd’hui

    Publié le 13/03/2015 - 17:19

    Les plus lus

    Sciences. Que se passe-t-il dans le cerveau de quelqu’un qui va mourir ?

     

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    Kenya. Le pays sous le choc après l’attentat de Garissa

    Belgique. Comment annoncer le suicide d’un grand homme politique accusé de viol ?

    Vue aérienne d'Istanbul.– AFP

    La métropole turque a accueilli au cours de son histoire nombre d’étrangers. De cette tradition d’accueil que reste-t-il aujourd’hui ? Voyage aux côtés de l’auteur allemand Bernd Brunner, qui s’est installé dans l’ancienne Constantinople.

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  • Hôtel : bienvenue au palais

    Hôtel : bienvenue au palais

    Le Point - Publié le 14/03/2015 à 10:25 - Modifié le 14/03/2015 à 16:43

    Immersion au coeur du palazzo Papadopoli loué par la princesse de Savoie-Aoste au groupe hôtelier Aman. Un des hôtels les plus prestigieux de la Sérénissime.

    Le palais Papadopoli, édifié au XVIe siècle sur le Grand Canal.Le palais Papadopoli, édifié au XVIe siècle sur le Grand Canal. © Aman

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  • J'ai craqué hier et j'ai lu dans la foulée:L'Atelier de Courbet

     

    L'Atelier de Courbet

     

    musée d'Orsay

    8.00 € TTC

     
    01 avril 2015

    L’immense Atelier est sans doute la composition la plus mystérieuse de Courbet. Il fait l’objet en 2015 d’une grande restauration. Événement d’autant plus exceptionnel que celle-ci se fera en présence du public. Placé dans une enceinte de protection transparente innovante, le tableau sera visible par l’ensemble des visiteurs du musée.
    Nous accompagnons cette restauration avec la publication d’un hors-série. Après avoir dessiné un portrait de l’artiste, nous reviendrons sur l’ensemble de ses œuvres, sur le caractère choquant, parfois scandaleux de certaines pour l’époque. Nous nous attarderons sur les origines du tableau, son histoire, sa conception. Et évidement sur sa restauration. Courbet se heurte à l’incompréhension de ces contemporains notamment pour ce tableau. En effet, l’usage était de réserver les grands formats au sujet de l’histoire ou de la religion, et de les traiter avec noblesse. Avec Courbet, la population anonyme des campagnes, prend brutalement la place des héros d’hier. « C’est le monde qui vient se faire peindre chez moi. » C’est à dire tous les amis, les travailleurs, les amateurs du monde de l’art.


    Informations sur le livre: 36 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401496
    Reliure : Broché