Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES - Page 252
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Victor Baltard et les Halles centrales de Paris.
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"Les halles" de retour au Petit Palais
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William Henry Fox Talbot (Lacock Abbey, 1800 - Lacock Abbey, 1877),Boulevard de Capucines et des Italiens avec la rue de la Chaussée d'Antin
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OLIVIER CATTÉ - SUBURBIA
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Véronique Ellena,Etretat, série PAYSAGES, 2009. Musée Paul Dini
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La Corcoran Gallery of Art (Washington): 1874-2014. Une nécrologie.
Du plus vieux musée d'art de Washington, la Corcoran Gallery of Art sise près de la Maison Blanche, on se souvient qu'elle fut à l'amorce d'une des plus virulentes "guerres culturelles" des années 1980-90 (qui ne sont pas d'ailleurs sans évoquer celles qui se déroulent aujourd'hui en France). Bref, la Corcoran fut le lieu infâme où on décida d'annuler l'étape de l'exposition Robert Mapplethorpe: The Perfect Moment par peur d'une rétorsion du Congrès américain, via les protestations des associations familialistes et religieuses (hé oui!). Financée en partie par le NEA, l'exposition, organisée par Janet Cardon, devait être accompagnée par un don d'un ami de Mapplethorpe, Lowell Blair Nesbitt, qui, voyant la Corcoran reculer, décida d'en changer la destination et en gratifia la Philips Collection (qui montra, elle, les photographies de Mapplethorpe à Washington). L'exposition alla alors à Cincinnati, où le conservateur du centre d'art contemporain fut inculpé pour obscénité (puis jugé non coupable par un jury)... Mais c'est une autre histoire: ce qu'on retient de cette reculade de la Corcoran, c'est le précédent qu'elle a créée, et, l'accompagnant, la question de la liberté d'expression, pivot de la constitution américaine....
Mais l'actualité de la Corcoran n'est pas toute dans le viseur de ce qui se passe en France.
Car le musée, son bâtiment, son college, sa collection, bref l'institution est menacée tout simplement d'extinction. C'est l'histoire que suit le washington post :" des décennies de gestion erratique et souvent incompétente ont mené l'institution jusqu'à sa perte. Les (17000 ) oeuvres d'art seront remises à la National Gallery of Art, qui prendra la crème et distribuera le reste via un programme encore à définir . Une petite galerie "mémorielle" avec des oeuvres sentimentalement associées à la future-défunte Corcoran sera conservée quelque part dans le bâtiment de style "Beaux-arts", repris par la Georges Washington University (qui aura pour charge de le rénover). (Si la National Gallery of Art devrait aussi y produire des expositions), l'université absorbera l'établissement d'enseignement (le "college of Art and Design", part intégrale du Corcoran). En tant qu'entité légale, la Corcoran continuera, même si elle consiste en un conseil d'orientation et une plaque sur le bâtiment du musée, 17è rue, NW." Pour l'instant, le sort du personnel semble avoir été laissé de côté.
C'est donc au démantèlement d'une institution qu'on va bientôt assister: celle qui fut fondée en 1869 par William Wilson Corcoran, banquier philanthrope "du génie américain", ouvrant son musée en 1874, lequel s'installa en 1897 dans son bâtiment actuel par l'architecte Renwick (le projet d'extension de Gehry fut finalement rejeté en 2005).
L'institution déclinait sa mission "en trois C": collection, college, communauté.
Son histoire, comme les oeuvres -- la "period room": le "salon doré" du XVIIIè par Chalgrin; l'accentuation de "l'américanité" (de Bierstadt, Church, Healy, Eakins, Cassatt y compris la statue d' Esclave Grecque d'Hiram Powers), outre les peintures européennes, l'importante collection de photographies...-- figurent un état du goût et de la muséologie dans la deuxième moitié du XIXè siècle, et la représentation des artistes noirs- -remontant jusqu'à 1806- y est plus importante que partout ailleurs dans les musées américains.
Débacle prochaine le 7 avril -
FONDATION LUMA
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Henri-Joseph Harpignies (1819-1916)
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Kate Mccgwire
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- La Galerie Particulière / Galerie Foucher-Biousse [+]
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KABAKOV
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Un espace réinventé
"Je trace d’abord sur la surface à peindre un quadrilatère […] qui est pour moi une fenêtre ouverte par laquelle on puisse regarder l’histoire."
(L. B. Alberti, De pictura) -
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La révolution de Paris - sentier métropolitain
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Panama City : ouverture du Biomusée signé Frank Gehry
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La galerie Valérie Delaunay présente Melik Ouzani – SERIEUSEMENT LUDIQUE -
Exposition du 27 mars au 10 mai 2014
Vernissage le 27 mars 2014 -
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Julien Crépieux
Fluctuans Corpusculum, 2005
Vidéo. 2'40
Edition de 3 ex -
En garde, mousquetaires !
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Les Verts accueillis en héros par des centaines de supporters
EN IMAGES. / Photos Claude Essertel et Celik Erkul
Le retour des Stéphanois au centre d'entraînement de L'Etrat, dans la nuit de dimanche à lundi, après leur victoire à Gerland (2-1), s'est faite dans la joie et les fumigènes. Ils étaient peut-être plus d'un un millier à faire une haie d'honneur au bus des Verts. -
Dessin, mon beau dessein
Hans Hartung, «PI947-8», pastel sur papier. Crédits photo : Galerie Applicat-Prazan
Le Salon du dessin ouvre ses portes la semaine prochaine à Paris, au palais Brongniart. Mélange harmonieux de valeurs sûres et de nouveautés : les amateurs sont gâtés.
Source Le Figaro MagazineRapidement devenu un rendez-vous obligé, le Salon du dessin a trouvé son public: d'abord réservé à quelques spécialistes, il a attiré l'année dernière plus de 13 000 visiteurs. Mais surtout, il a fait découvrir à un nombre croissant d'amateurs l'art du dessin dans ce qu'il a de plus fascinant: révéler l'émotion première de l'artiste. Moyen indispensable à l'élaboration de l'œuvre, le dessin se diversifie par le nombre des techniques employées, par le champ de recherches qu'ouvre l'invention de procédés pris et repris au fil du temps. Il y a dans le dessin une «probité», pour reprendre le mot si juste d'Ingres, qui le place d'emblée en première ligne et justifie la passion des collectionneurs. Dans le sillage du Salon du dessin, 23 musées participeront, avec leur cortège d'expositions (dont une très belle sélection de dessins de François-André Vincent au musée Cognacq-Jay), à la Semaine du dessin tandis que sera remis le prix du dessin contemporain de la très active Fondation Daniel & Florence Guerlain.
«Etude de têtes» de Gaetano Gandolfi (Galerie Arnoldi-Livie), dessin à la plume et encre noire ou brune. Crédits photo : ARNOLDI-LIVIE
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Le musée passger contre l'exclusion culturelle
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Christian BABOU à la Semiose Galerie(Paris 3 e)
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L'architecture, de Vitruve à Piranèse
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J'ai terminé hier soir: soir:L'ultime secret de Frida K.
Dans une galerie d'art mexicaine, un tableau de Frida Kahlo a été volé. On trouve au sol des douilles de kalachnikov, l'arme favorite des narcotrafiquants. Quant au galeriste, son crâne a été fracassé à coups de statuette représentant la Santa Muerte, un squelette en robe de mariée, ou Vierge des délinquants. Au même moment, des autels dédiés à son culte sont profanés, des strip-teaseuses assassinées, la Vierge macabre tatouée sur le coeur. Plongée dans les bas-fonds de Mexico sur les traces de ce mystérieux autoportrait que Frida aurait peint en 1940 pour son amant caché, Trotski, installé dans la maison bleue du couple étrange que forment Kahlo et le muraliste Diego Rivera. Si l'on accepte le prétexte d'un message caché dans un tableau censé ne pas exister, on passe alors des heures délicieuses dans l'intimité de la belle Frida et de son révolutionnaire en exil
http://www.lepoint.fr/livres/l-ultime-secret-de-frida-k-10-05-2012-1697946_37.php
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Le Maroc vu par Harry Gruyaert
Harry Gruyaert présente un très petit nombre de tirages d’exception à la galerie La Forêt verte, à Paris, jusqu’au 21 décembre. Suivez ici l'invitation de Courrier international à découvrir l'œuvre du photographe et consultez en ligne les extraits de son ouvrage Maroc.- Courrier international
- | Pascal Philippe