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CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES - Page 268

  • Catégories : Des expositions, Venise

    J'ai aimé visiter en mai:FRAGILE – MURANO

    CHEFS-D’ŒUVRE DE VERRE DE LA RENAISSANCE AU XXIe SIECLE

    Après Canaletto, le musée Maillol prolonge le séjour à Venise. C’est en 1453, que les verriers vénitiens développent une technique du verre qui permet un rendu de la matière fine et claire (cristallo) telle qu’on la connaît aujourd’hui. De chefs-d’œuvre en brevets, ils sont les acteurs et les témoins de six siècles d’histoire.

    Deux cents œuvres sont présentées : de la coupe nuptiale en lattimo décorée d’émaux raffinés et miroirs audacieux du XVIe siècle, aux coupes gravées à la pointe de diamant du XVIIe, aux curieux meubles de verre et aux lustres fous des XVIIIe et XIXe siècles, à l’Art nouveau et aux objets du design, véritables signes sociaux de leur époque, jusqu’aux installations des grands artistes contemporains tels que Jean Arp, César, Jean-Michel Othoniel, Jan Fabre, Maria Grazia Rozin, Mona Hatoum  et d’autres.

    Sous le haut patronage de la Ville de Venise, avec la participation des Surintendances des musées de Venise, Rome, Naples, Florence et Milan, du Victoria and Albert Museum de Londres, du National Museum et du Museum of Decorative Arts de Prague, du Stiftung Museum Kunstpalast de Düsseldorf, du Kunstsammlungen der Veste Coburg de Cobourg, du Musée des Arts Décoratifs Paris, du Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, du Petit Palais, des plus importantes collections particulières internationales et des artistes contemporains.


    http://www.museemaillol.com/

    Précédente publication:

    12/05/2013 16:14

     
  • Catégories : Venise

    Venise en Bordelais

  • Catégories : Venise

    La Biennale de Venise à deux voix : Des représentations contrastées

    La Biennale de Venise à deux voix : Des représentations contrastées

    Le Journal des Arts - n° 394 - 21 juin 2013 - Frédéric Bonnet - 1153 mots

    Tour d’horizon des pavillons nationaux de la Biennale de Venise qui font preuve d’une belle énergie malgré des fausses notes.

    La Biennale de Venise à deux voix : Déconvenue

    Le Journal des Arts - n° 394 - 21 juin 2013 - Alain Quemin - 863 mots

    Le talent explosif de Camille Henrot élude une exposition internationale un peu terne. Après l’édition 2011 de la Biennale de Venise qui avait franchement déçu, l’édition 2013 suscitait bien des attentes.

  • Catégories : Venise

    Le petit théâtre de Tadao Ando

    Le petit théâtre de Tadao Ando

    Signature : Jérôme Coignard - 29 mai 2013
     
    Vue du Palazzo Grassi à Venise (©Palazzo Grassi /Studio Orch: Orsenigo Chemollo).

    Vue du Palazzo Grassi à Venise (©Palazzo Grassi /Studio Orch: Orsenigo Chemollo).

     

     

    Acquis en 2005 en même temps que le Palazzo Grassi par François Pinault, le Teatrino (petit théâtre) attenant au palais du XVIIIe siècle n’était plus qu’une ruine

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  • Catégories : Venise

    Anri Sala - A Venise, l’image (et le son) de la France

    Anri Sala - A Venise, l’image (et le son) de la France

    L'Oeil - n° 659 - Juillet-août 2013 - Philippe Piguet - 476 mots

    Il est un film qu’il a réalisé en 2003 et qui a fait le tour du monde. C’est un interminable travelling sur les façades colorées de sa ville natale, Tirana, capitale de l’Albanie. La voix off qu’on entend est celle de l’un de ses anciens camarades de l’Académie des arts (Edi Rama) dont il a suivi l’enseignement de 1992 à 1996.

  • Catégories : Venise

    A Venise, du côté de chez Tapies

    Adrien Goetz

    • Mis à jourle 10/06/2013 à 18:46
    • Publiéle 06/06/2013 à 07:00

    La première semaine de la Biennale d'art contemporain, à Venise, donne le ton de l'époque: la foule des critiques d'art, des collectionneurs, des galeristes et des heureux du monde s'est dirigée d'instinct, cette année, vers des lieux où la création semble se nourrir de fragments empruntés au passé. Il fallait attendre deux heures avant d'entrer à la Fondation Prada où était reconstituée la mythique exposition faite par Harald Szeemann, à Bern, en 1969. Dans les Giardini, sous la pluie, le pavillon français triomphait avec les vidéos d'Anri Sala, variations acoustiques et visuelles sur le thème du Concerto pour la main gauche de Maurice Ravel.

    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/06/06/03015-20130606ARTFIG00001--venise-du-cote-de-chez-tapies.php

  • Catégories : Venise

    Anri Sala

    À VENISE, L’IMAGE (ET LE SON) DE LA FRANCE

     
     

    Il est un film qu’il a réalisé en 2003 et qui a fait le tour du monde. C’est un interminable travelling sur les façades colorées de sa ville natale, Tirana, capitale de l’Albanie. La voix off qu’on entend est celle de l’un de ses anciens camarades de l’Académie des arts (Edi Rama) dont il a suivi l’enseignement de 1992 à 1996.

     
     
     
  • J'ai admiré dans l'expo sur Murano au Musée Maillol en mai

    table-emeaux-aventurine

    Datée de la seconde moitié du 19ème siècle, cette table conçue par Antonio Salviati est une illustration parlante de la diversité des influences qui inspirèrent les verriers de Murano ainsi que de l’innovation technique dont ils firent inlassablement preuve au cours de l’histoire. 

    table-emeaux-aventurine

     

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  • Catégories : Venise

    Paolo Baratta: «La Biennale de Venise est le lieu où il faut être»

    Paolo Baratta: «La Biennale de Venise est le lieu où il faut être»

    INTERVIEW - Président de la Biennale de 1998 à 2000, puis de nouveau depuis 2008, cet ancien ministre italien explique au Figaro comment il a redressé une énorme entreprise culturelle où accourt désormais le monde entier, Vatican et pays émergents compris.

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  • Catégories : Venise, Voyage

    J'ai vu cette expo:Casanova, la passion de la liberté

    Pietro Longhi, Il ridotto, vers 1757, huile sur toile - Venise - Fondazione Querini Stampalia

    • Pietro Longhi, Il ridotto, vers 1757, huile sur toile - Venise

    du 15 novembre 2011 au 19 février 2012 François-Mitterrand / Grande Galerie

    La BnF a acquis en février 2010 le splendide manuscrit, écrit en français, de l’Histoire de ma vie de Giacomo Casanova (né à Venise en 1725, mort à Dux, en Bohême en 1798).
    Pour célébrer cet événement, elle consacre une grande exposition à cet étonnant personnage et écrivain. Le nom de Casanova a longtemps été synonyme d’« homme à femmes », un Casanova ou un Don Juan étant des termes plus ou moins interchangeables. S’il y a une différence dans la manière dont ces deux personnages conçoivent la séduction, il n’y a aucune commune mesure dans leur statut : Don Juan est une création légendaire, Casanova a été créé par Casanova lui-même, aussi talentueux pour l’art de la mise en scène que pour l’allant de la narration. Le but premier de cette exposition est de révéler cette force d’écriture au grand public. Et, dans le même mouvement, d’entraîner le visiteur sur les pas de cet extraordinaire aventurier du plaisir. Toujours soucieux de ne jamais sacrifier sa liberté ni à une femme, ni à une cause, ni au goût de la possession, Casanova est un infatigable voyageur. Ouvert à toutes les rencontres, il parcourt les routes de Venise à Madrid en passant par Moscou, et incarne, entre ombres et lumières, des facettes contrastées de son temps. Le scénario de l’exposition est construit comme une pièce en dix actes (à l’image des dix livres que comporte le manuscrit) qui invite à la découverte du monde sensuel, audacieux et baroque de Casanova. À travers la présentation de pièces exceptionnelles (gravures, peintures, sculptures, vues d’optique, objets, collections d’étoffes, films et musiques), l’exposition fait appel à tous les sens du visiteur. L’inventive mise en scène de Massimo Quendolo transmet la formidable énergie et la magie qui animent Casanova.

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  • Catégories : Venise

    J'ai lu hier soir:FACINO CANE

    Accueil

    FACINO CANE

    par Anne GEISLER

     

    I. L'HISTOIRE

    Facino Cane, l'un des récits les plus brefs de La Comédie Humaine (treize pages dans l'édition Furne) se compose de deux parties de dimension inégale, centrée chacune sur l'évocation des pouvoirs surnaturels d'un personnage. Le narrateur, dans les premières pages, affirme avoir découvert un certain nombre de drames enfouis au fond des hommes, grâce à son don de seconde vue qui lui permet de se transposer en pensée dans l'âme et le corps de ceux qu'il observe. Entre toutes ces « odyssées oubliées », il choisit de rappeler celle d'un vieux joueur de clarinette aveugle, pensionnaire des Quinze-Vingts, Marco Facino Cane, aliasle Père Canet, qu'il a rencontré au cours d'une noce de la rue de Charenton en 1820. 

    La seconde partie du récit est tout entière consacrée à retracer la vie de ce personnage. Riche et noble sénateur de Venise, Facino Cane devient hors-la-loi en 1760, après avoir assassiné le mari de sa belle. Arrêté par un rival, avec lequel il se bat, il est enfermé dans un cachot des puits, à Venise, et condamné à la décapitation. Mais il parvient à s'évader en creusant un souterrain et il tombe… sur le trésor secret de la République vénitienne. Le flair surnaturel dont il est doué depuis la naissance lui a permis de sentir l'or à distance. Il y puise à pleines mains, parvient à fuir à Smyrne, puis à Amsterdam, Madrid et Paris, où il vit dans le luxe et le plaisir. Mais tout ce bonheur se transmue en malheur : la cécité le frappe, peut-être en punition de l'abus de puissance visuelle qu'il a pratiquée. Sa maîtresse le trahit, le vole, l'abandonne, puis le fait enfermer. Un espoir pourtant lui reste : son interlocuteur est jeune, fougueux, et il aime l'or. Avec lui, il pourrait recommencer la chasse au trésor …

     

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  • Catégories : Venise

    J'ai terminé ce matin d'insomnie:"Brunetti et le mauvais augure"

    Livre Brunetti et le mauvais augure auteur Donna Leon -Calmann LévyPas de repos pour le commmissaire Brunetti en cet été caniculaire. Pendant que sa famille profite de la fraîcheur des montagnes, Brusca, son ami d'enfance, vient lui demander son aide. Il y aurait des cas de corruption au tribunal de Venise et une juge y serait mêlée. Pour Brunetti, c'est une occasion de plus de s'opposer à sa hiérarchie, peu pressée d'enquêter au sein du système judiciaire de la Sérénissime. Evidemment, des notables sont impliqués dans cette affaire, mais aussi dans l'enquête officieuse qu'il mène en parallèle avec l'inspecteur Vianello. La tante de ce dernier, vieille dame crédule, obsédée par les horoscopes, divinations et prédictions en tous genres, retire de grosses sommes d'argent : est-elle victime d'un gourou peu scrupuleux qui lui extorque des fonds ?
       Quand un greffier est assassiné, les maigres espoirs qu'avait encore Brunetti de profiter de vacances bien méritées sont défintivivement anéantis...

    http://www.editions-calmann-levy.com/livre/titre-455076-Brunetti-et-le-mauvais-augure.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Voyage, Zurich,Suisse

    Max Ernst, maître onirique de l'univers

    Home CULTURE Arts Expositions
    <i>La ville entière</i>, 1935-1936. Ce tableau venu de la Kunsthaus de Zurich joue sur la géométrisation de la nature. Le titre est énigmatique car il s'agit de ruines, peut-être inspirées par les photographies des voyageurs de la fin du XIXe siècle.

    La ville entière, 1935-1936. Ce tableau venu de la Kunsthaus de Zurich joue sur la géométrisation de la nature. Le titre est énigmatique car il s'agit de ruines, peut-être inspirées par les photographies des voyageurs de la fin du XIXe siècle.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage, Voyage

    J'ai lu hier soir:GERMAIN Sylvie,Joachim Patinir, Paysage avec saint Christophe

    que mon père nous a offert pour nos futurs anniversaires

    Sylvie Germain entre dans l’univers fantastique de Patinir grâce à ce Paysage de saint Christophe portant l’Enfant Jésus (v.1480-1524), conservé au musée départemental de Flandre de Cassel.

    Sylvie Germain convoque la Meuse, Charles Péguy et Jeanne d’Arc autour des paysages laiteux de Patinir, afin de nous conter l’histoire du géant Réprouvé devenu le Porteur du Christ. Alors que nous entrevoyons avec elle l’infinité d’un monde que ne parvient pas à cacher la monumentalité de saint Christophe et son précieux fardeau, Sylvie Germain nous arrête sur « ce moment où la puissance, presque animale, de l’homme, est mise à l’épreuve, vacille et se retourne, déjouée par la fragilité et la candeur d’un petit enfant venu proposer une toute autre idée de la force et de la grandeur que celle à laquelle les hommes sont habitués ».

     

    JOACHIM PATINIR (Dinant ou Bouvignes entre 1475 et 1485 - Anvers 1524). Contemporain « méconnu » de Bosch, il est pourtant l’inventeur de la peinture paysagiste, l'initiateur du paysage panoramique, imaginaire, où se mêlent fiction (fantastique) et réalité (flamande). Les premières cartes représentant le monde et les récits fabuleux des grands explorateurs ont nourri son imagination ; les paysages qu’il peint recréent un monde idéal, où se mêlent exotisme et scènes de sa Flandre natale et d’où ressort, surtout, ce bleu si particulier qui aspire vers un ailleurs. À Anvers il fit la connaissance de Dürer et de Quentin Metsys, qui a peint les personnages dans plusieurs de ses oeuvres. On suppose d’ailleurs que Metsys est l’auteur des deux figures du Paysage avec saint Christophe portant l’Enfant Jésus du musée de Cassel, car elles échappent totalement à la perspective générale et semblent autonomes par rapport au paysage. Le thème du tableau est tiré de La Légende dorée, dans laquelle Christophe, converti à la religion chrétienne, avait pour mission de faire traverser les voyageurs. Un jour, il chargea sur son dos un enfant qui durant la traversée se mit à peser si lourd que le passeur atteignit l’autre rive exténué. L’enfant lui répondit alors : « Ne t’étonne pas, Christophe, tu as porté non seulement le monde mais aussi celui qui l’a créé. »


    http://www.invenit-editions.fr/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage.tpl&product_id=16&option=com_virtuemart&vmcchk=1&Itemid=30
  • Catégories : Bienne,Suisse, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Venise

    La haute joaillerie de Chanel éblouit Venise

    La collection "Sous le signe du lion" de la maison de la rue Cambon est présentée dans la cité des Doges

    Par Fabienne Reybaud

    "Sous le signe du lion", une collection de haute joaillerie signée Chanel Photos Chanel Joaillerie / Archive Chanel

    Chanel dévoile une somptueuse collection de haute joaillerie, Sous le signe du lion, hommage à l'animal fétiche de Gabrielle Chanel et symbole de la cité des Doges.

    La marque au double C présente Sous le signe du lion, dans la cité des Doges. Cinquante-huit modèles précieux qui témoignent d'un parti pris cohérent. Et parfaitement abouti.

    Revêtue de briquettes sombres, la façade râpeuse de la Scuola Grande della Misericordia, érigée au XVIe siècle dans le Cannaregio, quartier populaire de la cité des Doges, aurait certainement plu à Gabrielle Chanel. D'autant qu'à l'intérieur, le contraste est saisissant. Près d'une soixantaine de lions d'or et de diamants jaillit d'une myriade d'écrins noirs, leur éclat se démultiplie dans des miroirs de Plexiglas, reflets ultra-contemporains des eaux argentées de la lagune... Jusqu'à samedi, à Venise, la griffe de la rue Cambon met magistralement en scène sa collection de haute joaillerie 2013, qui sera présentée à Paris au début du mois de juillet, pendant la Semaine de la haute couture. Un thème sur mesure pour Coco Chanel, qui vit le jour le 19 août 1883, à Saumur. « Je suis une abeille née sous le signe du lion », disait-elle. Sous la métaphore perce la dimension profondément double de cette figure du XXe siècle qui, dans les Années folles, révolutionne non seulement la mode et le parfum mais également la joaillerie française.

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  • Catégories : Venise, Voyage

    Nus vénitiens

     Nus vénitiens

    Apollinaire voyait en Venise le 'sexe femelle de l'Europe '. Bien plus qu'un décor, bien plus qu'un fantasme, elle a semé le trouble dans l'imaginaire et l'érotique des écrivains comme jamais aucune autre ville. Avec son carnaval et ses jeux de masques, avec ses palais et ses maisons closes, avec l'incarnat de ses églises et le Styx de son Grand Canal, avec les vénus profanes du Titien et les frasques concupiscentes de Casanova, elle se situe aux frontières du réel et du fictif, de l'Éros et de Thanatos.
    Le topos même de l'érotisme. De cette mythologie propre à la Cité des Doges, Lucien Clergue a tiré un scénario en images que Marc Lambron a traduit en mots. Ensemble, l'oeil et la voix, ils restituent la vision fugitive de deux femmes, l'une brune, l'autre blonde qui, lors d'une journée de 1979 où le soleil pénétrait brutalement par les fenêtres ouvertes, furent saisies par l'objectif dans toute leur beauté nue, magnétique. Dans ce somptueux palazzo baigné de clair-obscur, elles font fresque.
    ' Qui sont-elles, sur fond noir, à l'instant du cliché ? Promeneuses solitaires dans Venise, ou bien l'ombre d'une vérité, le mystère d'avoir été là ? 'Le narrateur les questionnent, elles se présentent : Amelia et Laura. Leurs corps offerts comme en un rite inconnu le renvoient à ses souvenirs de femmes rencontrées, désirées, aimées souvent, interdites parfois. Leur présence énigmatique, leurs bouches convoitées, leurs étreintes invoquées, s'adressent à son sang et à son désir.
    Apparues puis disparues comme un songe, elles deviennent son secret. L'écrivain signe alors la fable du monde, la ferveur d'un été, avant de s'effacer à son tour.

    de Lucien Clergue, Marc Lambron

    Editeur : Seghers Parution : 18 Octobre 2012

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