Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE - Page 263
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La presse
Comme tous les vendredis, je lis la presse papier :
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J'ai lu hier:Sculptures végétales(médiathèque)
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J'ai ramené de Gibert Paris la semaine dernière et je l'ai lu dans la foulée:L’invention de la vie de bohème (1830-1900)
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J'ai fini hier:N°16 Magazine Timbrés de l'orthographe
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J'ai terminé hier:Lots of love : Scott et Scottie : correspondance, 1936-1940 / [éditée par Massimo Bacigalupo, Francesca Gobbi, Brigitte Jensen]
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J'ai terminé hier soir:La cause était belle(médiathèque:commencé le 29 juillet)
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des poèmes
Helas ! combien de jours, helas ! combien de nuicts
Helas ! combien de jours, helas ! combien de nuicts
J'ay vescu loing du lieu, où mon cueur fait demeure !
C'est le vingtiesme jour que sans jour je demeure,
Mais en vingt jours j'ay eu tout un siecle d'ennuis. -
Je viens de terminer:Hors-série : L'Alhambra et le Généralife
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J'ai terminé à la gym:Connaissance des arts : Musée Institut du monde arabe
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J'ai vu en juillet 2016 les traces de Jeanne d'Arc à Rouen
a cité qui a vu le martyre et la mort de Jeanne d'Arc se devait, plus qu'aucune autre, d'élever un souvenir digne de la sainte héroïne. Plus d'une cinquantaine de projets de monuments à Jeanne d'Arc ont été comptabilisés à Rouen.
Les souvenirs se trouvent sur les lieux même de l'épopée johannique comme le donjon du chateau de Philippe-Auguste où elle fut enfermée, la place du Vieux-Marché avec le pilori et l'emplacement du bûcher, l'abbaye de St-Ouen, la Seine où l'on jeta ses cendres, l'archevêché ou plusieurs séances de son procès eurent lieu, l'abbaye de St-Ouen dont le cimetière fut le lieu de son abjuration. Tout comme Orléans, mais à un degré moindre, cette ville organise depuis 1878 ses fêtes Jeanne d'Arc au mois de mai.
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J'ai aimé la semaine dernière à la BM de Part-Dieu:Pasolini, Una vita violenta
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J'ai vu la semaine dernière à le BM de Part-Dieu:La démocratie par le foot
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Cela a été très émouvant de voir l'Eglise Saint-Sever de Rouen où mon mari est allé quand il était jeune
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Nous avons parcourir en juillet les LANDES DE PLOUMANAC'H
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Regard sur le patrimoine architectural de la ville de Guingamp(où nous passé une semaine en juillet 2016)
Le centre-ville de Guingamp, vue générale sud prise depuis la rive droite du Trieux (2008)
Présentation historique
Aux portes du Trégor, à la croisée d′anciennes voies romaines, Guingamp, Gwengamp en breton, est une ancienne ville comtale établie sur un escarpement rocheux dominant la rive droite du Trieux. Cette ville aux origines toutes médiévales a connu, vers le milieu du XIXème siècle, d′importantes transformations que Benjamin Jollivet a bien voulu présenter en ces termes 1 :« Cette ville avait une très grande importance militaire (...). Elle était entourée d′épaisses murailles, avec revêtement en pierre de taille, et bordées d′un parapet à créneaux et mâchicoulis. Douze bastions dont quelques-uns surmontés de tourelles, protégeaient ses murailles, au pied desquelles, pour plus de sûreté encore, on avait creusé de larges douves (...). Enfin, on y pénétrait par quatre portes principales, fermées par des herses et ponts-levis, et chargées de bas-reliefs représentant les armes des membres de la maison de Penthièvre (...). Guingamp n′est plus la cité des Penthièvre. Sa cuirasse de guerre est trouée de toutes parts, et n′apparaît plus que de loin en loin, par fragments épars, peu nombreux, sans point de contact désormais (...). Ses portes bardées de fer, que la trahison livra aux troupes du roi de France Charles VIII ; ses murailles épaisses précédées de douves ; son château ducal, où fut reçu Bertrand Du Guesclin ; le petit fort de Saint-Léonard, si vaillamment défendu par l′intrépide Gouicquet, à la tête de la jeunesse guingampaise ; tout cela a disparu sans pour ainsi dire laisser de traces ... Débarrassée maintenant de toute étreinte, la ville déploie ses ailes, franchit les limites étroites que lui avait imposée sa lourde ceinture de granit, et respire à l′aise. L′air circule en toute liberté au milieu de ses rues, qui partout s′élargissent ; les voitures pour y pénétrer, n′ont plus à redouter de voir crouler sur elles ces vieilles portes de Rennes et de Brest, sous lesquelles, il y a moins de 30 ans [vers 1830], les rouliers ne passaient qu′après en tremblant d′effroi ; les douves malsaines et dangereuses ont cédé leur place à un vaste champ de foire, parfaitement nivelé, où darde le soleil ; les anciens ponts Saint-Michel sont remplacés, les Cantons élargis, la jolie chapelle de l′hôpital dégagée des tristes masures qui la cachaient aux regards ; pour tout dire, en un mot, le vieux Guingamp n′existe plus ! ».
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A Lyon mardi, j'ai craqué pour le marque-pages(dont je fais collection) du Musée urbain Tony Garnier
http://www.perluette-atelier.com/index.php/nouveautes/mutg/
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Pendant notre séjour en Bertagne, nous étions basés à Guingamp
« Le regard est source de connaissance »
Le patrimoine architectural est affaire de regard
Grâces, le bourg. L′église Notre-Dame (début du XVIème siècle) et le groupe scolaire (début du XXème siècle) (2008)
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J'avais lu avant de visiter l'expo: Jardins d'Orient(et l'IMA le 23 juillet 2016)
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Au Mont St Michel, nous avons dégusté:l'omelette de la Mère Poulard
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J'ai vu parout en Bretagne, un symbole que connais bien:Le Triskell
http://www.legendya.com/lng_FR_srub_594_iprod_7647-carte-postale-sandrine-gestin-triskell.html
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J'ai redécouvert en Bertagne(par carte postale interposée)
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J'ai ramené des Côtes d'Armor une carte postale représentant:le charpente sculptée de L'église de Loc-Envel (Bretagne)
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J'ai ramené de Fresnoy le Grand: une carte postale représentant:A mon seul désir (Dame Licorne, Cluny)
A mon seul désir (La Dame à la Licorne, Cluny)
Ref: Adl_7462X / petit modèle avec bordure - Prix spécial cadeau
Tapisserie A mon seul désir, appartenant à l´ensemble connu
sous le nom de La Dame à la Licorne, qui regroupe en fait 6
tapisseries différentes se trouvant toutes au Musée de Cluny
Tissée entre 1480 et 1500, ces tapisseries fûrent offertes en
cadeau par Jean Dechabannes à la famille Le Viste. Cette
tenture est restée fort longtemps à l´état d´abandon au château
Boussac en Creuse. Grâce à une intervention de Georges Sand les six
tapisseries de la dame à la Licorne purent être ramenées à Paris
La première tapisserie A Mon Seul Désir est accompagnée de cinq
autres représentant les cinq sens de l´homme
Le lion représente la force, la licorne la pureté, le griffon
sur le coussin la fidélité maritale, le chêne, le houx, l´oranger
et le pin, les quatre points cardinaux, le petit singe l´animalité
de l´homme. Les lièvres sont la symbolique de la vie souterraine
et le héron royal et le faucon symbolisent le bien et le mal.
Nous pouvons aussi reconnaître sur cette tenture une fameuse mode
dite des mille fleurs apparue en 1500
La dame à la licorne se dépouille de ces bijoux pour passer de
la vie matérielle à la vie spirituelle. D´autre part, les armes
aux croissants argentés représentent l´héraldique de Jean Le
Viste
Ce joyau de la tapisserie médiévale nous rappelle une mise en
scène respectant le triangle d´or technique, artistique et réputé
dans le monde de la peinture.
Composition : 100% coton - doublée d´une toile de coton
écrue avec une coulisse d´accroche et munie de son
certificat - Disponibilité prévue sous 3 à 4
semaines
Dimensions: Hauteur 50cm x Longueur 67cm
Attention dans cette finition avec bordure ajoutée, la tapisserie
fait environ 15 cm de plus en longueur et en hauteur
Fabrication artisanale française