Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Toujours dans mon quartier
Des bougainvilliers(il y en a partout)
et ma salle de gym:Photos perso du samedi 11 avril 2015
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Des bougainvilliers(il y en a partout)
et ma salle de gym:Photos perso du samedi 11 avril 2015
Photo perso du samedi 11 avril 2015
Les contours du plan de développement de la région du Grand-Casablanca (2015-2020) se précisent. Cette fois-ci, c’est le volet culturel qui est mis en avant. Le Souverain a en effet donné le coup d’envoi jeudi 16 octobre aux travaux de construction du Grand Théâtre de Casablanca (Cas
Arts).
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Photo perso du samedi 11 avril 2015
Casablanca, c’est parti pour la 2e ligne du tramway !
(photo perso du samedi 11 AVRIL 2015: j'en ai d'autres que je garde pour un 15 e livre, suite de "Paysages marocains")
Les préparatifs pour faire aboutir le projet de la deuxième ligne du Tramway de Casablanca vont bon train. Cette deuxième ligne est déjà identifiée et va relier le quartier d’Aïn Sebaâ à Hay Mohammadi, en traversant le Bvd El Fida pour aller rejoindre la première ligne vers le quartier Hay Hassani. Selon Aziz Berrahou, Chef du département Développement et étude à Casa Transport, les études de cette deuxième ligne viennent d’être lancées. «L’appel d’offres relatif à ce projet vient d’être lancé. Et les études avant-projet sommaire de cette deuxième ligne ont été adjugées», fait savoir le responsable.
L’exposition réunit une centaine de peintures, dessins, gravures, photographies, s’étalant de 1964 à 2011, des premières études à l’école des Beaux-Arts de Séville jusqu’aux pièces monumentales récentes témoignant de l’engagement de l’artiste pour sa patrie. Elles proviennent de collectionneurs privés au Maroc et en Espagne ainsi que du fond d’atelier de l’artiste et de la collection Attijariwafa bank. Ahmed Ben Yessef né à Tétouan en 1945 et installé à Séville depuis 1967 est un des principaux piliers de l’école figurative du Nord. Il se distingua très tôt par des aptitudes exceptionnelles au dessin et à la peinture et une acuité à l’observation du réel, poétisée par une touche fluide, lumineuse et romantique. Son style est une école à lui tout seul, si bien qu’il figure dans le « Dictionnaire des peintres et sculpteurs espagnols du XXe siècle » et dans l’« Encyclopédie générale de l’Andalousie ». Son œuvre humaniste, porteuse de paix et d’espoir (la colombe est un de ses motifs récurrents), lui vaut la reconnaissance internationale et le place parmi les artisans du dialogue interculturel. Il est aussi celui qui immortalise les grands rendez-vous de notre histoire. C’est ainsi que sa toile de quatre mètres par trois sur le thème d’Al Massira fut reproduite sur une pièce de 100 dirhams pour la commémoration des 25 ans de l’accession au trône du roi Hassan II, avant d’illustrer le billet de 100 dirhams. Plus qu’un hommage, cette exposition entend mettre en exergue les étapes et outils décisifs qui ont forgé le « style» Ben Yessef, un style dont la rigueur académique est au service d’un souffle poétique quasi mystique. Une œuvre exclusivement figurative qui comme l’explique Ghita Triki Chraïbi, commissaire de l’exposition, « loin de se limiter à la surface visible, tente de sonder les profondeurs de l’âme humaine comme les mystères de la nature, ce qui lui confère un caractère lyrique, voire mélancolique, grâce à l’emploi de tonalités crépusculaires et irisées ». ◆
http://www.lesoir-echos.com/les-paysages-de-l%E2%80%99ame-de-ben-yessef/culture/45776/
Charles Baudelaire:"Bohémiens en voyage" dans "Les Fleurs du Mal."
Rouault s’est toujours intéressé aux fêtes foraines et aux clowns. Dans ses tableaux, on sent la misère de ces amuseurs publics que sont les clowns, les acrobates, et les autres personnages du cirque. Ils sont souvent le symbole de la souffrance humaine.
Bernard Buffethttp://arts.forumculture.net/t1184-le-clown-en-peinture
© Bernard Buffet
Gianni Esposito (mort en 1974 à 44 ans)
S'accompagnant d'un doigt
ou quelques doigts
le clown se meurt
S'accompagnant d'un doigt
ou quelques doigts
le clown se meurt
sur un petit violon
et pour quelques spectateurs
sur un petit violon
et pour quelques spectateurs
Ma chè n'ha fatto de male
sta povera creatura
ma chb c'iavete da ridere
et portaije iettatura !
D'une petite voix comme
il n'en avait jamais eue
D'une petite voix comme
il n'en avait jamais eue
il parle de l'amour
de la joie, sans étre cru
Se voi non comprendete
si vous ne comprenez pas
Se voi non comprendete
si vous ne comprenez pas
almeno non ridete
au moins ne riez pas !
almeno non ridete
au moins ne riez pas !
Ouvrez donc les lumières
puisque le clown est mort
Ouvrez donc les lumières
puisque le clown est mort
et vous applaudissez
admirez son effort
et vous applaudissez
admirez son effort.
Pour en savoir plus sur Giani Esposito, voir là
http://blogs.mediapart.fr/edition/je-me-souviens/video/161010/je-me-souviens-des-clowns
Samedi 3 décembre 2011-lundi 5 mars 2012
Le sujet est exaltant mais il va falloir hélas attendre encore un peu puisque cette exposition ne se tiendra au Grand Palais que du 24 septembre 2012 au 6 janvier 2013. Le fait qu’elle soit organisée par la RMN - Grand Palais et la fundación Mapfre, de Madrid est de plus alléchant et prometteur. Quels seront les tableaux présents ? Si Léonard de Vinci, van Gogh Modigliani et Picasso sont bien évidemment convoqués, je ne vous cacherai pas que je suis impatient, sur un tel sujet-roi, de découvrir ce qui en fera le détail, que ce soit en peinture, en littérature, en photographie ou en musique
, né le 27 août 1946 à Waregem (Belgique)
OH ! CIRQUE, QUI NOUS A FAIT REVER QUAND ON ETAIT PETIT
RESTE TOUJOURS NOTRE AMI
ET CONTINUE A NOUS FAIRE REVER TOUTE LA VIE.
Roland est né le jour de la grande fête de Waregem, et c’est également à Waregem qu'il a vu son premier spectacle de cirque, vers 5 ou 6 ans. En 1953, il déménage à Bruxelles en pleine période de la plus grande foire de Belgique, et à quelques mètres de celle-ci. Depuis, le cirque et la fête foraine sont totalement ancrés en lui.
l'âge de 13 ans, sur les bancs de l’école, il fait la connaissance de Jean, qui a les même passions que lui et ils deviennent vite de grands amis. Comme chez Jean, il y a beaucoup de place, ils y montent une petite salle de spectacle pour divertir leurs copains de classe les mercredis et samedis après-midi. C’est à cette époque qu'ils créent leur premier duo, Hardiny & Cafeôl (Roland y est clown et Jean illusionniste).
En 1964, ils font la connaissance de la famille Adler (une grande famille foraine) et tous les week-ends, les voilà partis pour les plus grandes foires de Belgique et du Luxembourg. La famille Adler est formidable et leur permet de bien connaître les coulisses de la vie foraine. Un jour, Arthur Adler leur dit : "Allez chercher votre matériel et montrez-moi ce que vous savez faire ! Vous vous produirez sur ma parade à la foire de Bruxelles." Il est satisfait mais apporte quelques changements : Roland prend alors le nom de Mario et Jean, le nom de Buffet.
Profitant du bon tremplin que constitue la parade foraine pour de jeunes artistes, le duo Mario et Buffet continue sur sa lancée. Quelques temps plus tard, Jean se marie et sa femme intègre le numéro. Le trio ‘Les Marbuly’ est né.
A cette époque, ils font la connaissance du clown Bouboule, un type formidable qui leur apprend beaucoup de choses sur le métier et qui leur ouvre quelques portes dans le milieu du spectacle en Belgique. En 1972, ils font leur entrée au cirque Piste, pour un remplacement de quelques jours.
En 1974 a lieu leur grand départ pour la France, grâce à un contrat au cirque Morallès. C’est là que Roland rencontre Gilbert Bertharion, lors d’un séjour à Clermont-Ferrand. Gilbert est comme lui un fou du cirque, et il y entraîne toute sa famille. Un an plus tard, sous le chapiteau de Morallès, installé place du Premier Mai à Clermont-Ferrand, Roland épouse la fille de Gilbert, Marie-Christine Bertharion
En 1976, il part en tournée avec le chapiteau ‘Les Oiseaux du Monde’. C’est là qu’au mois de juin, Gilbert annonce une grande surprise : la famille Van Halst – Bertharion va avoir son propre cirque !
En 1977, naît Matthias, son fils. Comme Roland est resté habiter en France, il a quitté Les Marbuly, qui sont retournés en Belgique. Et avec Gilbert et Marie-Christine, ils ont monté un nouveau trio. Le Cirque Halston et le trio du même nom ont vu le jour… En 1979 a lieu le grand départ du cirque Halston, une aventure formidable dont il espère un jour pouvoir écrire l’histoire.
Malheureusement, dans le courant de la saison 1980 tout s’arrête à cause de divers motifs. De plus, Marie-Christine part de son côté. Et en 1981, Roland retourne en Belgique avec son fils. Quelques mois plus tard, il rentre dans le trio Les Karlton‘s, mais pour gagner sa vie, il doit également prendre un autre boulot. Les Karlton’s parviennent à faire quelques galas. Mais les comités des fêtes, et par la même occasion les galas, diminuent d’année en année en France, et le trio doit s’arrêter.
Roland garde son autre emploi en Belgique, qui malheureusement n’a plus rien à voir avec le spectacle. Pendant son temps libre, il en a profité pour ranger tous les documents concernant le cirque. En 1995, il se retrouve sans profession. Espérant retrouver du travail, il présente son idée de centre du cirque à diverses personnes. Elles trouvent toutes l’idée très intéressante… mais ne donnent jamais aucune suite. Pour mieux faire connaître le centre de documentation et d’archives, il crée ce site Internet avec mon aide. Maintenant, il a retrouvé du travail, c'est un contrat d'huissier dans un service public. Mais il espère toujours exercer une nouvelle profession en rapport avec le Centre de Cirque.
http://www.circusnet.info/cirque/roland.php
La Bohémienne
" Carreau, c'est un autre language;
S'il vous échoit, vite il vous faut
Boucler votre malle aussitôt,
c'est le carreau c'
http://filsduvent.kazeo.com/Le-temps-envole/Bohemienne-cartomancienne,p612657.html
L'Oeil - n° 592 - Juin 2007
Musée national Picasso, hôtel Salé, 5, rue de Thorigny, Paris IIIe, tél. 01 42 71 25 21, www.musee-picasso.fr, jusqu’au 24 juin 2007.
http://www.artclair.com/oeil/archives/docs_article/00255/picasso.php
est-ce que je ne mérite pas qu'on m'achète mes livres à cette occasion?
A LA UNE Mardi 05 mai 2015
PARIS [05.05.15] - A deux semaines du déplacement de Laurent Fabius en Chine, François Pinault et Christian Deydier rendent à la Chine des trésors archéologiques. Problème : ils avaient déjà donné ces objets au Musée Guimet il y a 15 ans. Le ministère de la Culture les a convaincus d’annuler rétroactivement leur donation. Tout cela dans le plus grand secret. PAR Vincent Noce
GUILDFORD (SURREY, ROYAUME-UNI) [05.05.15] – Un incendie s’est déclenché le mercredi 29 avril dans les sous-sols de Clandon Park. Les intérieurs de ce manoir d’inspiration palladienne construit au XVIIIe siècle ont été entièrement détruits, alors qu’une partie des œuvres de sa riche collection a pu être sauvée. PAR Julie Paulais
PARIS [04.05.15] – Le service Internet du Groupe Drouot est parvenu à stopper une attaque informatique en cours destinée à subtiliser les adresses emails et mots de passe de ses abonnés. PAR Marie Potard
MILAN (ITALIE) [04.05.15] - La contestation de la rue et les retards de construction ont laissé un goût d’inachevé à l’ouverture de l’exposition universelle, malgré l’incontestable succès populaire. Reportage de notre envoyé sur place. PAR David Robert
Marc Partouche révèle son plan de réforme pour l’École nationale des arts décoratifs de Paris qu’il dirige depuis un an. PAR Jean-Christophe Castelain
Né à la toute fin des années 1970, le Centre de création contemporaine (CCC), à Tours, est sur le point d’écrire une nouvelle page de son histoire. À l’automne 2016, le centre intégrera ses nouveaux quartiers installés dans l’ancienne école des Beaux-Arts datant des années 1950, repensée par les architectes portugais Manuel et Francisco Aires Mateus. Il abritera les œuvres de la donation Debré. PAR Henri-François Debailleux
PARIS - Lorsqu’il inaugure sa galerie parisienne, au 2 avenue Matignon en mars 2010, en plus des deux autres qu’il a en Belgique et celle de Saint-Paul-de-Vence, Guy Pieters explique alors que « Paris redevient une place forte pour l’art contemporain, que le quartier change et devient dynamique pour le marché ». PAR Henri-François Debailleux
BERLIN (ALLEMAGNE) [29.04.15] - Le Tribunal de Munich avait confirmé la validité du testament de Gurlitt, désignant le Musée des beaux-arts de Berne légataire universel de ses biens. L’appel déposé par Uta Werner ne devrait pas retarder les premières restitutions d’œuvre spoliées par les nazis. PAR Isabelle Spicer (Correspondante à Berlin)
PARIS [29.04.15] - Jacques Goldstein, en exerçant le métier de sculpteur postérieurement à la fin de son contrat avec les époux Lalanne, a su développer « un travail de création propre », contrairement aux affirmations de Claude Lalanne qui l’avait attaqué pour concurrence déloyale et parasitisme. PAR Alexis Fournol (Avocat à la cour)
WASHINGTON (ETATS-UNIS) [28.04.15] - Le 14 avril 2015, une proposition de loi intitulée « Artist-Museum Partnership Act » a été déposée au Sénat pour permettre aux artistes donnant leurs œuvres à des musées ou à des institutions culturelles d’en déduire fiscalement le prix marchand et non plus le seul coût de production. PAR Alexis Fournol (Avocat à la cour)
Giovanni Antonio Canal, dit Canaletto (1697-1768), est reconnu comme la figure emblématique du genre de la veduta, création artistique du XVIIIe siècle vénitien la plus admirée en Europe. L'exposition inaugurale de l’Hôtel de Caumont entend apporter un éclairage nouveau sur l’ensemble de l’oeuvre de Canaletto, avec un intérêt particulier pour le traitement de la lumière dans la peinture du maître vénitien. Une cinquantaine de tableaux et dessins issus de collections publiques et privées internationales va permettre de présenter la figure de Canaletto et les différentes phases de sa carrière artistique, à Rome, Londres et Venise.
On découvre dans un premier temps la première activité de Canaletto, celle de peintre de décors de théâtre réalisés en collaboration avec son père Bernardo Canal et son frère Cristoforo. Des livrets d’opéra sur lesquels apparaît le nom de Canaletto seront présentés aux côtés de ses premiers caprices, influencés par la musique, exécutés en 1720-1722, et des premières vues de Venise, composées selon les critères de la mise en scène.
Viennent ensuite dans l’exposition la présentation des grandes entreprises de jeunesse de Canaletto : les vues de Venise commandées par Joseph Smith (1722-1723), Joseph Wenzel de Liechtenstein (1723) et Stefano Conti (1725-1726), sont des toiles de grand format qui témoignent de l’adresse du jeune peintre.
Le séjour de Canaletto en Angleterre, son contact avec de nouveaux paysages et avec la lumière de la Tamise, le conduisent à modifier sa palette et sa touche. Une série de tableaux et de dessins montre les nouvelles solutions adoptées pour capter l’atmosphère et l’esprit de l’Angleterre. Canaletto peint Londres et s’attarde sur le pont de Westminster, deuxième pont sur la Tamise, alors en construction. Il peint aussi la campagne anglaise, allant jusqu’aux lisières de l’Écosse pour représenter Alnwick Castle, demeure du Duc de Northumberland.
Une section particulière est consacrée aux expérimentations techniques menées par l’artiste pendant toute sa carrière. Canaletto conçoit une manière systématique et scientifique pour retravailler les dessins réalisés en plein-air à l’aide de la camera oscura (chambre noire). L’exemplaire de camera oscura utilisée par le peintre est présenté à proximité de son fac-simile qui permet au visiteur de se rendre compte par lui-même de ce que pouvait voir le peintre grâce à ce dispositif. La reproduction des pages de son carnet de dessins, ainsi qu’un film, montrent le travail technique de l’artiste sur la représentation des vues de Venise.
Cette exposition est aussi l’occasion de mener pour la première fois une étude approfondie sur les dernières années de Canaletto à Venise. Les oeuvres exécutées après son retour de Londres à la fin de l’année 1755 illustrent les nouveaux centres d’intérêt de Canaletto et sa réponse au nouveau climat artistique de Venise, où Francesco Guardi (1712-1793) se fait alors connaître. Une attention toute particulière est consacrée à la passion inlassable de l’artiste pour l’étude de nouveaux effets lumineux et atmosphériques.
Commissaire général : Dr. Bozena Anna Kowalczyk, spécialiste de la peinture vénitienne du XVIIIe siècle.
Au Centre d’Art de l’Hôtel de Caumont, Culturespaces expérimente un nouveau type d’exposition immersif. En complément des œuvres des plus grands maîtres classiques, il fait la part belle aux supports numériques et multimédia pour enrichir l’expérience du visiteur. Dès l’entrée de l’exposition, un dispositif sonore subtil, à la pointe de la technologie, oriente le visiteur vers une approche musicale des premiers Caprices de Canaletto. Le visiteur se trouve en effet plongé aux premières sources d’inspiration du maître vénitien, baigné dans l’opéra et le travail de décorateur de théâtre de son père Bernardo Canal.
Dans la plus verte de nos vallées, Par les bons anges habitée, Autrefois un beau et majestueux palais, Un rayonnant palais dressait son front. C'était dans le domaine du monarque Pensée, C'était là qu'il s'élevait! Jamais séraphin ne déploya son aile Sur un édifice à moitié aussi beau. Il Des bannières blondes. superbes, dorées, A son dôme flottaient et ondulaient; (C'était, tout cela, c'était dans le vieux, Dans le très vieux temps.) Et, à chaque douce brise qui se jouait Dans ces suaves journées, Le long des remparts chevelus et pâles, S'échappait un parfum ailé. III Les voyageurs, dans cette heureuse vallée, A travers deux fenêtres lumineuses, voyaient Des esprits qui se mouvaient harmonieusement Au commandement d'un luth bien accordé. Tout autour d'un trône, où, siégeant Un vrai Porphyrogénète, celui-là! Dans un apparat digne de sa gloire, Apparaissait le maître du royaume. IV Et tout étincelante de nacre et de rubis Était la porte du beau palais, Par laquelle coulait à flots, à flots, à flots, Et pétillait incessamment Une troupe d'Échos dont l'agréable fonction Était simplement de chanter, Avec des accents d'une exquise beauté, L'esprit et la sagesse de leur roi. V Mais des êtres de malheur, en robes de deuil, Ont assailli la haute autorité du monarque. Ah! pleurons! Car jamais l'aube d'un lendemain Ne brillera sur lui, le désolé! Et tout autour de sa demeure, la gloire Qui s'empourprait et florissait N'est plus qu'une histoire, souvenir ténébreux Des vieux âges défunts. VI Et maintenant les voyageurs, dans cette vallée, A travers les fenêtres rougeâtres, voient De vastes formes qui se meuvent fantastiquernent Aux sons d'une musique discordante;
un classique que j'ai envie de relire, ramené des Quais du polar 2014 à Lyon
Sean, frère jumeau du journaliste Jack McEvoy, est retrouvé mort au volant de sa voiture de police. Le suicide ne fait aucun doute : Sean n'aurait pas supporté d'avoir échoué dans une enquête sur un crime sadique. Mais Jack n'y croit pas, et plusieurs indices demeurent inexpliqués. Le jour de sa mort, notamment, Sean devait voir un certain Rusher, qu'on n'a pas retrouvé... Jack rouvre le dossier. Il découvre que d'autres policiers se sont suicidés après avoir, eux aussi, échoué dans des enquêtes similaires. Une première conclusion s'impose : il y a eu meurtre et l'on a peut-être affaire à un tueur de flics particulièrement redoutable.
N° 79 - mai/juin 2015 - 6,90 €
ISSN : 1632-0859
L’histoire de la fauconnerie à travers les âges et la fascination des hommes pour les rapaces. Tantôt animal vénéré, tantôt dieu, tantôt compagnon de chasse, les rapaces ont une place particulière dans l’Histoire de l’humanité.
http://www.histoire-antique.fr/numero-79/fauconnerie-l-antiquite-moyen-age.4187.php