Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le prix Nobel de la paix décerné aux journalistes Maria Ressa et Dmitri Muratov
|
|
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
|
|
L’ancien patron d’Europe 1, du « Journal du dimanche » et du « Figaro » a dirigé les programmes de TF1 de 1987 à 2007. Il est mort jeudi 7 octobre, à Paris, à l’âge de 81 ans.
Article réservé aux abonnés
|
|
|
ce matin:
omelette
yaourt sans sucre
pain aux céréales et au levain
thé ce matin
ce midi:
rôti de veau
ce soir:
soupe aux légumes
pour l'équilibre
ananas au sirop parce que je n'avais plus de fruits frais
beure et confiture
bulles avec et sans alcool
saucisson halal
fromage
pour le plaisir
oeufs coque
pain aux céréales
melon
thé ce matin
ce midi: 3 sucrines
tartare de saumon
poireaux chauds
danse
soupe aux légumes
endives
polenta découverte à Venise en 2013
yaourt sans sucre
ce soir
pour l'équilibre
omelette
ce matin: melon en fruit
faisselle
pain+ confiture et beurre en plaisirs
thé
L'événement va bientôt commencer !
Georgia O'Keeffe, « Inside Red Canna » (détail), 1919. Collection Sylvia Neil and Daniel Fischel © Georgia O’Keeffe Museum/Adagp Paris 2021 Photo © Christie's Images / Bridgeman Images
Le Centre Pompidou présente la première rétrospective en France de Georgia O’Keeffe (1887 – 1986), l’une des plus grandes figures de l’art nord-américain du 20e siècle. Riche d’une centaine de peintures, dessins et photographies, l'exposition propose un parcours complet à travers sa carrière artistique. Disparue à 98 ans, Georgia O’Keeffe aura traversé l’essentiel des aventures esthétiques du siècle précédent. Dans les années 1920, elle appartient au cercle restreint des inventeurs du modernisme américain, puis participe, dans les années 1930, à la recherche identitaire qui marque les États-Unis, avant de devenir dans les années 1960 une pionnière de la peinture abstraite « hard edge ».
Accès avec le billet « Georgia O'Keeffe » + Musée et expositions
Réservation fortement recommandée
Cette exceptionnelle réunion d’œuvres a été rendue possible grâce au soutien des principales collections privées et publiques internationales, principalement nord-américaines : Musée Georgia O'Keeffe de Santa Fe, MoMA, Metropolitan Museum de New York, Whitney Museum of American art, Art Institute de Chicago, Musée Thyssen-Bornemisza de Madrid… Le parcours de l’exposition, délibérément fluide et ouvert, déroule chronologiquement la trajectoire artistique de Georgia O'Keeffe ; des premiers vertiges « cosmiques » que lui inspire l’immensité des plaines texanes en 1910, aux métropoles et aux paysages ruraux de l’État de New York des années 1920-1930, jusqu’au Nouveau Mexique, où elle s’établie définitivement après la Seconde Guerre mondiale.
Lieu déterminant dans la carrière artistique de Georgia O’Keeffe, l’exposition s’ouvre sur un espace consacré à la Galerie 291. Lors de son installation à New York en 1918, elle y découvre les artistes et mouvements novateurs de l’art moderne européen, qui l'inspirent. Le photographe Alfred Stieglitz, co-fondateur de la galerie, organise entre autres les premières expositions américaines d’Auguste Rodin, Henri Matisse, Francis Picabia et Paul Cézanne.
La Galerie édite la revue Camera Work, dans laquelle Georgia O’Keeffe découvre la traduction d’un extrait du Spirituel dans l’art (1912) de Vassily Kandinsky. Elle se reconnaît dans l’esthétique du peintre russe, ancrée dans un symbolisme conciliant sentiment romantique de la nature et spiritualisme. Cette filiation revendiquée par O’Keeffe conduit l’historiographie américaine, Barbara Rose et Barbara Novak notamment, à placer son œuvre dans la postérité du premier paysagisme américain incarné par Thomas Cole, Albert Bierstadt, Thomas Moran, ainsi qu’à la rattacher à l’enseignement « transcendentaliste » du philosophe Ralph Waldo Emerson et à la poésie de Walt Whitman.
Alfred Stieglitz est le premier à exposer les dessins de Georgia O’Keeffe à la galerie 291 (Special No. 15, 1916-1917) ; un coup de foudre artistique, puis amoureux s’opère entre la jeune peintre et le photographe qui consacrera dès lors chaque année une exposition aux œuvres récentes d’O’Keeffe. Il associe à sa peinture les « plumes » les plus perspicaces de la critique de son temps, contribuant à sa reconnaissance publique et à conforter sa place sur un marché de l’art en pleine expansion. En 1929, elle est la première artiste femme à intégrer les expositions du MoMA qui vient d’être créé. Plus tard, elle est la première encore à qui les plus grands musées américains consacrent une rétrospective (Chicago en 1943, le MoMA en 1946). Pour la génération d’artistes féministes des années 1960, Georgia O’Keeffe fait figure de « brise-glace », elle est celle qui ouvre la voie à la reconnaissance d’un art qui n’est plus nécessairement associé au genre de son auteur.
Au-delà des peintures de fleurs qui ont fait sa renommée, l’exposition « Georgia O'Keeffe » au Centre Pompidou restitue à son œuvre sa complexité et sa richesse iconographique. Des gratte-ciels de New York et des granges de Lake George aux ossements de bovins qu’elle rapporte de ses promenades dans les déserts indiens (Ram’s Head, White Hollyhock-Hills, 1935), la peinture de Georgia O’Keeffe se réinvente au cours des décennies. Si l’inspiration végétale est un motif récurrent de l’artiste, l’exposition la replace dans une tradition qui s’enracine dans le grand sentiment de la nature hérité du Romantisme historique. Réinventé par le panthéisme de l’écrivain D.H. Lawrence, il innerve l'œuvre d’O'Keeffe et teinte d’érotisme ses paysages et motifs végétaux.
marché pour les légumes
retour en cuisine jusqu'à midi où je cuis pour cette semaine de rentrée
dont je ne sais pas trop comment elle va se passer
puisque ce sont 2 nouveaux établissements(l'un, je ne sais pas)