Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE - Page 8
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La/Les religion(s)
Mon vrai "Avent "NOEL:L’ange Gabriel annonce la naissance de Jean le Baptiste
1 | 3Numéro d’inventaireINV 1733, Recto
Anciens numéros d'inventaire :NIII 442
MA 434
Référence de l'inventaire manuscrit :vol.1, p.281CollectionArtiste / Auteur / Ecole / Centre artistiqueSARTO Andrea del (1486-1531), copie d'après
Ecole florentineDESCRIPTION
Dénomination / TitreL'ange annonçant à Zacharie la naissance de saint Jean-BaptisteDescription / DécorCommentaire :Copie d'après 'l'Annonce à Zacharie' réalisé par Andrea del Sarto pour la confrérie du Scalzo à Florence, SS. Annunziata [S. J. Freedberg, 'Andrea del Sarto. Catalogue raisonné', Cambridge, II, 1963, p. 123, note n° 3 ; D. Cordellier, 'Hommage à Andrea del Sarto', cat. exp. (Paris, Musée du Louvre, 1986-1987), Paris, 1986, p. 117].CARACTÉRISTIQUES MATÉRIELLES
DimensionsH. 0,235 m ; L. 0,29 mMatière et techniquePlume et encre brune, lavis brun, papier beige. Annotation à la plume et encre brune, an bas au centre : 'Andrea del Sarto'. Collé en plein.DONNÉES HISTORIQUES
Historique de l'œuvreE. Jabach ; Inventaire Jabach : Ecole de Florence, n° 43 (Andrea del Sarto) - Acquis pour le Cabinet du Roi en 1671 ; Paraphe de J.-Ch. Garnier d'Isle (L.2961, au recto) ; marques de la Commission du Museum (L. 1899) et du Conservatoire (L. 2207).Notice de l'inventaire Jabach :Dessin probablement issu de l'ensemble des dessins dits d'ordonnance collés et dorés de la collection d'Everhard Jabach acquis pour le roi en 1671
A. Critères de l'identification
Le dessin ne présente aucun des signes attestant sa provenance et son acquisition en 1671 :
- montage Jabach ivoire à large bande d'or fin ;
- numéro d'inventaire Jabach à la sanguine, au verso du montage ;
- paraphe Jabach à l'encre brune [L. 2959], au verso du montage ;
- marques, au verso du montage, du récolement des dessins Jabach effectué en 1690 par Jean Prioult, commissaire-enquêteur au Châtelet de Paris, à la suite du décès de Charles Le Brun, premier peintre du roi, directeur et garde général du Cabinet des tableaux et dessins :
- transcription en toutes lettres du numéro d'inventaire Jabach ;
- paraphe Prioult [L. 2953].
Sa présence dans les collections royales à la date de 1752 est attestée par le paraphe de Jean-Charles Garnier d'Isle, contrôleur des Bâtiments du roi, apposé lors du récolement effectué en 1752 [L. 2961].
L'iconographie, la technique et les dimensions du montage telles qu'on peut les restituer sont en accord avec la description donnée par l'une des notices de l'inventaire établi par Jabach en 1671.
B. Notice de l'Inventaire Jabach, février 1671. Minute.
Paris, Archives nationales, O1 1967.
Invantaire de 517 desseins d'ordonnances escole florentinne :
43
Un ange qui paroist a un pape ou il y a 6 figure entiere a la piere de mine lavé et rehaussé sur de papier gris de 13 1/2 pouce de long sur 11 1/2 pouce d'haut
dudit [de André del Serto [Sarto]]Inventaire du musée Napoléon :Inventaire du Musée Napoléon. Dessins. Vol.1, p.57, chap. : Ecole florentine, carton 3. (...) Numéro : 434. Nom du maître : Andrea del Sarto. Numéro d'ordre dans l'oeuvre du maître : 1er. Désignation des sujets : L'Ange du Seigneur et Zacharie. Dessin lavé au bistre,exposé en l'an dix sous le n° 4 et en 1811 également sous le n° 4.mention d'exposition barrée au crayon Dimensions : H. 24,5 x L. 29,5cm. Origine : Collection ancienne#Magazin au crayon.Prix de l'estimation de l'objet : 700francs. Emplacement actuel : Galerie d'Apollon#Rentré au crayon. Observations : Remis au Musée le 7 juin 1827 pour être exposé à l'encre. Signe de recollement : Vu au crayon#signe en forme de croix / au crayon / à gauche du n° d'ordre#trait oblique / au crayon / sous le n° Morel d'Arleux#trait oblique / au crayon / sur le n° d'ordre. Cote : 1DD33Détenteur précédent / commanditaire / dédicataireDernière provenance : Jabach, EverhardDate d’acquisition1671LOCALISATION DE L'ŒUVRE
Emplacement actuelPetit format
L'œuvre est visible sur rendez-vous en salle de consultation des Arts graphiques.INDEX
CollectionsLieuxPersonnesTechniquesEXPOSITIONS
Dernière mise à jour le 06.09.2021
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Notice complète sur l'inventaire informatisé du département des Arts graphiques :
http://arts-graphiques.louvre.fr/detail/oeuvres/1/2425-Lange-annoncant-a-Zacharie-la-naissance-de-saint-Jean-BaptisteDÉCOUVRIR AUSSI
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Des évènements
Crooner devenu acteur, Guy Marchand est mort à 86 ans
L’artiste né à Paris en 1937 «s’est éteint paisiblement» ce vendredi 15 décembre à l’hôpital de Cavaillon (Vaucluse), ont annoncé ses enfants. Il avait notamment incarné le détective Nestor Burma à la télévision.publié le 15 décembre 2023 à 15h17Les multiples rediffusions sur TF1 n’y sont sans doute pas pour rien mais si la première image qui nous revient de Guy Marchand, mort ce vendredi à Cavaillon (Vaucluse) à l’âge de 86 ans, est celle du chanteur de Destinée dans les Sous-doués en vacances (échouant pourtant à séduire Grace de Capitani), c’est aussi que cela réunit en une scène les deux facettes les plus évidentes du bonhomme : l’acteur populaire dont le visage est sans doute l’un des plus évidents du cinéma des années 70 et 80 et le crooner à la voix suave et un peu surannée. La reprise de la chanson dans le Père Noël est une ordure achèvera de lui assurer une notoriété un peu paradoxale.
Il avait tourné chez Pialat (Loulou), Miller (Garde à vue, César du meilleur second rôle) ou Tavernier (Coup de torchon), près de 150 films, mais son grand rôle à l’écran sera sur le petit : celui de Nestor Burma, le flic interlope et un peu anar de Léo Malet, dont lui, le séducteur un peu dilettante, était l’incarnation parfaite. Car si Burma, dont l’imper lui collera à la peau de 1993 à 2001, lui allait si bien, c’est que Guy Marchand était un vrai Parisien, volontiers gouailleur et enjôleur. Fils de ferrailleur, il était né en mai 1937 dans le XIXe arrondissement de Paris. C’était un gamin de Belleville où il ramassait, aux abords de la place des Fêtes avec son copain Claude Moine (le futur Eddy Mitchell) les chewing-gums déjà mâchés, s’encanaillant dans les salles de boxe enfumées de la rue de Crimée. Il passera là, sur les hauteurs de Paris, toute son enfance au son des disques de Django Reinhardt, ne quittant sa colline que pour aller au lycée Voltaire d’abord, puis dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés, la clarinette au bec. Jazzman averti, il tâte aussi du saxophone et du piano, mais c’est grâce à sa voix de velours travaillée qu’il se fait d’abord un nom avec la Passionata en 1965, chanson d’hidalgo faussement ténébreuse qu’Henri Salvador agrémentera de mimiques lors d’un légendaire passage télévisuel.
«Moi, je suis un chanteur»
Cette chanson, il l’avait écrite durant son service militaire pour une fête de la Légion étrangère. Il avait été para puis légionnaire, le voilà pris par le showbiz, porté un détachement farouche qui restera sa marque de fabrique.
Il aimait les chevaux (sa pub «aujourd’hui avec le PMU, on joue comme on aime» est devenue culte) et les spaghettis et aura attendu, avant d’occuper réellement le devant de la scène sur un plateau de cinéma, de fêter ses 70 ans en patriarche émouvant dans l’Arbre et la Forêt d’Olivier Ducastel et Jacques Martineau après avoir été remis en selle en vieux chômeur rital par Christophe Honoré dans Dans Paris en 2007. Lucide et amusé, il disait alors : «Honoré m’a laissé être naturel : légèrement branleur.»
Homme à femmes assumé et cabotin (il avait presque 40 ans d’écart avec la dernière), cultivant une apparence de vieux beau bourru qui n’en pense pas moins, à la fois titi et dandy, il savait avoir multiplié les navets («J’ai fait beaucoup de très mauvais films et c’est grâce à l’un d’eux que j’ai eu la critique dont je suis le plus fier : le film est nul mais Guy Marchand est insubmersible») et préférait sa carrière de chanteur (son Moi je suis tango, tango est resté dans quelques mémoires). De fait son album Buenos Aires, publié en 1995, mérite qu’on lui jette bien plus qu’une oreille. Il confessait d’ailleurs, en 2003 : «Moi, je suis un chanteur, et je ne fais le comédien que pour des raisons fiscales.»
Jouisseur désinvolte et attachant, revendiquant avec dérision «jouer très bien les rôles de con», il avait joué au polo contre Charles III (et l’avait traité de «gros cul» au passage). En 2007, il avait titré son autobiographie : le Guignol des Buttes-Chaumont.
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La presse du vendredi 15 décembre 2023
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La presse du jeudi 14 décembre 2023
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Le Chardin d'hiver
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Pour rendre homage à mon mari,mort il y a 4 ans, achetez "Paysages à mon mari"
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J'ai lu hier:Tribune de Lyon
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Il y a 4 ans aujourd'hui... ce qui s'est passé, ce qui a changé
Nous sommes partis au Maroc la première semaine des vacances de Toussaint:
http://www.lauravanel-coytte.com/voyage-au-maroc-de-la-toussaint-2019/
Le dimanche, après avoir recupéré notre voiture à l'aéroport de Lyon, nous sommes allés visiter le site principal de la Biennale de Lyon:
http://www.lauravanel-coytte.com/la-biennale-de-lyon-2019/
le lundi, nous sommes allées au centre anti douleur (j'y suis allée plus souvent pour voir le psyet maintenant seulement tous les 6-8 mois car le psy estmoins au centre que l'ancien font je vais maintenant voir la fille en cabinet privé) pour mes céphalées:on m'a annoncé un nouveau traitement (essayé après sa mort)qui m'a soulagé pendant plus d'un an jusqu'çà ce qu'il soit arrêté car trop cher et il aurait fallu l'acheter à l'étranger. Mon mari y serait sans doute allé.
Il m'a emmené et est venu me rechercher à la piscine
Jeudi, nous sommes descendus à la gare(comme je vais le faire tout à l'heure)
J'ai pris la presse et lui le train
vendredi soir, je suis allée au cinéma vor le film sur Aznavour(hier, j'y étais)
ma soeur m'a laissé un message
je la rapelle car je suis inquiète pour elle
puis j'en parle à mon mari
on se dit à demain
le novembre 2019: je lui laisse un sms
et peu après, mon beau-père m'annonce que mon mari est mort
je descends à la gare(où il devait arriver dans la journée) avant midi
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J'ai craqué à Lyon et j'ai lu à mon retour:Lyon capitale novembre 2023
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Passage du désir
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La presse du vendredi 27 octobre 2023
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