Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE - Page 150
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Château La Coste
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Côte d'Aquitaine N° 11 du 21 décembre 2016
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J'ai pris à la médiathèque:Le bonheur à San Miniato(les gens laissent des livres et on peu les prendre)
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Je suis en train de lire:Le fabuleux destin des noms propres devenus communs
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Je suis en train de lire:Le Guide des 100 lieux du Patrimoine français
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Mon poème inédit sur ce blog:Sous le figuier
Semaine du 9 au 15 janvier 2017 - A l'ombre du figuier
Nous poursuivons notre balade dans les thèmes des deux premières années du site. Etaprès avoir dynamisé les verres à pied nous vous proposons de vous reposerA l'ombre du figuier.
Qu'il soit en prose ou en vers, nous vous demandons de nous adresser votre texte avant dimanche 8 janvier à minuit à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.comBonne semaine à tous -
Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes bouquets du dimanche, Mes photos
Mon bouquet du vendredi
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Le paysage, Mes photos
Paysage de froid et de neige de mes fenêtres hier matin
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Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photos
Mon mari m'a gagné hier au stand de tir de la Vogue d'hiver
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Mon poème inédit sur ce blog: Mon paysage imaginaire
Défi #436
Placez ces expressions dans un texte poétique :
- Le Grenier des Anges
- L'Encrier
- Les Orangers
- Grandeur Nature
- Hémisphère Sud
- La Maison Bleue
- Passion
- La Plume d'Oie
- Couleurs du Temps
- Vie Privée
- Bleu Ardoise
-D'après une idée proposée par Joe Krapov-
Nous attendons vos participations à
samedidefi@gmail.com
A tout bientôt !
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Anna la bonne(chanson parlée pour le jeudi en poésie des Croqueurs de mots)
Anna la bonne
Ah, Mademoiselle !
Mademoiselle Annabel
Mademoiselle Annabel Lee
Depuis que vous êtes morte
Vous avez encore embelli
Chaque soir, sans ouvrir la porte
Vous venez au pied de mon lit
Mademoiselle, Mademoiselle
Mademoiselle Annabel Lee
Sans doute, vous étiez trop bonne
Trop belle et même trop jolie
On vous portait des fleurs comme sur un autel
Et moi, j'étais Anna, la bonne
Anna, la bonne de l'hôtel
Vous étiez toujours si polie
Et peut-être un peu trop polie
Vous habitiez toujours le grand appartement
Et la chose arriva je ne sais plus comment
Si. Bref, j'étais celle qu'on sonne
Vous m'avez sonnée une nuit
Comme beaucoup d'autres personnes
Et ce n'est pas assez d'ennui
Pour... enfin... pour qu'on assassine
Nous autres, on travaille, on dort,
Les escaliers... les corridors
Mais vous, c'étaient les médecines
Pour dormir "Ma petite Anna,
Voulez-vous me verser dix gouttes ?
Dix, pas plus !" Je les verse toutes
Je commets un assassinat
Que voulez-vous, j'étais la bonne
Vous étiez si belle, si bonne
Vous receviez un tas d' gens
Vous dépensiez un tas d'argent
Et les sourcils qu'on vous épile
Les ongles et le sex-appeal !
{au Refrain}
Vous croyez que l'on me soupçonne
La police, les médecins
Je suis Anna, celle qu'on sonne
On cherche ailleurs les assassins
Mais vos princes, vos ducs, vos comtes
Qui vous adoraient à genoux
Plus rien de ces gens-là ne compte
Le seul secret est entre nous
Vous pensez que je m'habitue ?
Jamais. Elle viendra demain
Vraiment, ce n'est pas soi qui tue
Le coupable, c'est notre main
"Dix gouttes, Anna, mes dix gouttes"
Et je verse tout le flacon
Ah ! Cette histoire me dégoûte
Un jour, je finirai par sauter d'un balcon
Et cet enterrement ! Avez-vous une idée
De ce qu'il coûte au prix où revient l'orchidée ?
Elle devait partir sur son yacht pour Java
La Java !
On y va. On y va... On y va !
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Je suis en train de lire:LES MAITRES DE L'ART SACRE
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Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 81 - Voyage fabuleux en bus... (auquel je participe)
Pour ce 81ème Café Thé, je vous ai ptopsé de contempler ces photos d'un autobus du Pakistan enjolivé de décorations exubérantes (photographié au Musée des Civilisations à Ottawa) et de nous raconter ce que vous vouliez : un voyage fabuleux dans ce bus ou dans un autre...
Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...
Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er février 2017)
Vous êtes 4 à avoir participé.
Il s'agit maintenant de voter pour vos 2 participations préférées en utilisant le module de vote en bas à gauche, jusqu'au 31 janvier 2017.
votez-pour-determiner-le-gagnant-du-cafe-the-n-81-voyage-fabuleux-en-bus.html
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Mon poème inédit sur ce blog:Les paysages de verres
Semaine du 2 au 8 janvier 2017 - La dynamique des verres à pied
En 2017, l'idée "Impromptue" entame sa 13ième année !Quelle incroyable aventure qui, de Québec jusqu'en France, a vu se relayer des dizaines de personnes pour la faire vivre, et plusieurs centaines d'auteurs se livrer et confier leurs nouvelles et poèmes.
Comme grand nombre d'entre vous qui n'avez pas connu les premières années, Tisseuse et L'arpenteur d'étoiles n'ont commencé qu'à écrire ici en novembre 2006.
Nous avons donc imaginé vous proposer durant ces prochaines semaines une sélection des thèmes d'antan sur lesquels nous n'avons encore jamais écrit.
Dans cette sélection, nous allons démarrer l'année en vous suggérant d'écrire sur :
"La dynamique des verres à pied".Qu'il soit en prose ou en vers, nous vous demandons de nous adresser votre texte avant dimanche 8 janvier à minuit à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com
Et bien, entendu, nous vous souhaitons à tous, auteurs, et lecteurs, ainsi qu'à vos familles, une très bonne année 2017 ! -
Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes poèmes, Mes textes publiés
1ère ex-aequo du café thé 81:L'automne(ici extrait) publié dans "Regards" de juillet(lu hier)
Ecrire, décrire un jardin en automne
N’est pas une tâche facile
Après les grands poètes :
La « langueur monotone » de Verlaine -
Mon poème inédit sur ce blog:Grafanette ou l'utopie de la nouvelle année
image Mil et une
Le mot à insérer facultativement est : utopie
Les textes, avec titre et signature, sont à envoyer à notre adresse : les40voleurs(at)laposte.net
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Nous voilà en route vers une année nouvelle !
Qu'elle nous mène au gré de nos désirs et de notre imaginaire...
Bon réveillon et bonne année 2017 !
Mil et une
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Mon poème inédit: Paysages de brumes
Atelier d’écriture n° 246
Pour passer la nouvelle année, une photo avec de la brume, comme je les aime. ♥
Merci Anselme !
Publication des textes le lundi matin …
Genre et ton libres ! Lire la suiteCatégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photosNotre réveillon chez les pompiers
Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes poèmes, Mes textes publiésJe me permets de vous dire publié dans la revue "Regards" de Janvier 2017
Je me permets de vous dire
Je me permets de vous dire
Que j'ai beaucoup attendu de vous
Jusqu'à ne plus attendre rien du tout
De vous surtout et des autres aussi
Ne plus compter que sur nous deux réunis
Catégories : CE QUE J'AI ECRIT ET PUBLIE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes photosMes paysages(photos perso) du 31 décembre 2016
Pas de la neige mais du givre de -3 et d'une terre qui gèle ici chaque matin depuis 1 semaine au moins
Notre crèche
Je viens de terminer dans mon bain:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 529:Hyacinthe Rigaud, le catalogue raisonné
Mon poème inédit sur ce blog: Je suis la Reine
Défi #435
Une histoire, une histoire !!!
A vous d'imaginer ...
Histoire à envoyer à
samedidefi@gmail.com
Merci et bonnes fêtes !
Meilleurs voeux à toutes et à tous !
1 ERE DU Café Thé n° 79 - Valise fermée, code bloqué... avec La valise perdue(extrait)
La valise perdue
Cannelle avançait avec assurance vers le tapis des bagages.C’était Daniel qui hésitait devant leur vanity-case qui passa une première fois et qu’il ne prit pas malgré la certitude de CannelleLa vanity récupérée, l’ami venu les chercher repéré, il n’y avait plus que la valise à récupérer et avec elle (entre autres) leurs manteaux car il faisait quand même 10 degrés de moins dans leur pays qu’ils retrouvaient que dans le pays où ils étaient expatriés. En attendant la valise, Cannelle se sentait bizarrement sereine. Elle aurait pensé se sentir décalée en revenant au bout de deux ans dans son pays. Mais c’était Daniel qui était nerveux. Peu à peu, les passagers de leur vol s’en allaient avec leurs bagages. Il ne restait plus qu’eux et deux autres personnes.