Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
A Casablanca, je retrouve avec plaisir l'Océan Atlantique
Photos perso: au loin, on aperçoit le phare et il y a des pêcheurs sur la corniche:
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Photos perso: au loin, on aperçoit le phare et il y a des pêcheurs sur la corniche:
Photo perso du samedi 11 avril 2015
Photo perso du samedi 11 avril 2015
Casablanca, c’est parti pour la 2e ligne du tramway !
(photo perso du samedi 11 AVRIL 2015: j'en ai d'autres que je garde pour un 15 e livre, suite de "Paysages marocains")
Les préparatifs pour faire aboutir le projet de la deuxième ligne du Tramway de Casablanca vont bon train. Cette deuxième ligne est déjà identifiée et va relier le quartier d’Aïn Sebaâ à Hay Mohammadi, en traversant le Bvd El Fida pour aller rejoindre la première ligne vers le quartier Hay Hassani. Selon Aziz Berrahou, Chef du département Développement et étude à Casa Transport, les études de cette deuxième ligne viennent d’être lancées. «L’appel d’offres relatif à ce projet vient d’être lancé. Et les études avant-projet sommaire de cette deuxième ligne ont été adjugées», fait savoir le responsable.
L’exposition réunit une centaine de peintures, dessins, gravures, photographies, s’étalant de 1964 à 2011, des premières études à l’école des Beaux-Arts de Séville jusqu’aux pièces monumentales récentes témoignant de l’engagement de l’artiste pour sa patrie. Elles proviennent de collectionneurs privés au Maroc et en Espagne ainsi que du fond d’atelier de l’artiste et de la collection Attijariwafa bank. Ahmed Ben Yessef né à Tétouan en 1945 et installé à Séville depuis 1967 est un des principaux piliers de l’école figurative du Nord. Il se distingua très tôt par des aptitudes exceptionnelles au dessin et à la peinture et une acuité à l’observation du réel, poétisée par une touche fluide, lumineuse et romantique. Son style est une école à lui tout seul, si bien qu’il figure dans le « Dictionnaire des peintres et sculpteurs espagnols du XXe siècle » et dans l’« Encyclopédie générale de l’Andalousie ». Son œuvre humaniste, porteuse de paix et d’espoir (la colombe est un de ses motifs récurrents), lui vaut la reconnaissance internationale et le place parmi les artisans du dialogue interculturel. Il est aussi celui qui immortalise les grands rendez-vous de notre histoire. C’est ainsi que sa toile de quatre mètres par trois sur le thème d’Al Massira fut reproduite sur une pièce de 100 dirhams pour la commémoration des 25 ans de l’accession au trône du roi Hassan II, avant d’illustrer le billet de 100 dirhams. Plus qu’un hommage, cette exposition entend mettre en exergue les étapes et outils décisifs qui ont forgé le « style» Ben Yessef, un style dont la rigueur académique est au service d’un souffle poétique quasi mystique. Une œuvre exclusivement figurative qui comme l’explique Ghita Triki Chraïbi, commissaire de l’exposition, « loin de se limiter à la surface visible, tente de sonder les profondeurs de l’âme humaine comme les mystères de la nature, ce qui lui confère un caractère lyrique, voire mélancolique, grâce à l’emploi de tonalités crépusculaires et irisées ». ◆
http://www.lesoir-echos.com/les-paysages-de-l%E2%80%99ame-de-ben-yessef/culture/45776/
3 lieux de travail
3 lieux de vie
4 déménagements
1 dédicace au salon du livre de Paris que je regrette d'avoir refusé de faire... par conscience professionnelle
Plusieurs publications collectives en anthologie ou revue, plusieurs prix à des concours littéraires
Et surtout beaucoup d'écriture et de lecture nourrie de douleurs, de paysages et de bonheurs
Certains m'ont aidé, je les en remercie
Les autres, j'essaie de les oublier
sur Sté, Lyon et la région
En attendant, commandez mes livres en passant par les bannières de ce blog ou contactez -moi par le formulaire de contact pour recevoir un de mes xemplaires dédicacé
Poète du mois de janvier 2004 pour Vous et moi (3 e prix)
Poète du mois de février 2004 pour La foi (3 e prix)
5e prix au concours « La plume d’or des quatre saisons, printemps 2004 » : J’aime bien la mer (poème)
Lauréate du concours de poésie « Printemps des poètes
2004 » de Mantes la Ville dans la catégorie adultes 25/40 ans : Si j’étais une artiste
Poète du mois de juillet 2004 pour J’ai laissé mon cœur (3 e prix)
Poème remarqué au concours Evasion 2004 : Ariège
Poème remarqué à La chaîne des poètes 2004 : J’ai construit un début.
Déambuler dans le recueil de la Poésie contemporaine
Ecrivain public : article dans le progrès de Saint-Etienne
3 e prix au concours Poésie passion 2004 : Dans ma petite maison d’Irlande
Le grand écart entre la super bonne élève de la 3e encore et la cancre je m'en foutiste de la seconde à la terminale.
Me voilà donc au 2 e tour, après des oraux dans mes matières à fort coefficient, avec mon bac sciences éco avec mention assez bien
Je vais enfin pouvoir quitter cette maison, cette famille et cette ville qui m'étouffent... pour faire une prépa HEC à Paris
Partir ... pour suivre la voie de mon père détesté et admiré: encore un grand écart et un paradoxe
à personne
Ne plus parler
De rien à personne
Y arriver
Se taire
un classique que j'ai envie de relire, ramené des Quais du polar 2014 à Lyon
Sean, frère jumeau du journaliste Jack McEvoy, est retrouvé mort au volant de sa voiture de police. Le suicide ne fait aucun doute : Sean n'aurait pas supporté d'avoir échoué dans une enquête sur un crime sadique. Mais Jack n'y croit pas, et plusieurs indices demeurent inexpliqués. Le jour de sa mort, notamment, Sean devait voir un certain Rusher, qu'on n'a pas retrouvé... Jack rouvre le dossier. Il découvre que d'autres policiers se sont suicidés après avoir, eux aussi, échoué dans des enquêtes similaires. Une première conclusion s'impose : il y a eu meurtre et l'on a peut-être affaire à un tueur de flics particulièrement redoutable.
N° 369 - mai/juin 2015 - 9,50 €
ISSN : 1141-7137
Dans une Gaule romaine pacifiée et prospère, les habitants adoptent l'usage d'afficher leurs activités du quotidien sur leurs monuments funéraires. Ils laissent derrière eux des images qui sont comme des instantanés de vie ordinaire, ainsi qu'une formidable source de connaissance pour les archéologues : habillage, métiers, transports, petite enfance, autant de thèmes que ce numéro des Dossiers d'Archéologie vous propose de découvrir.
http://www.dossiers-archeologie.com/numero-369/vie-quotidienne-gaule-romaine.4186.php
mes services d'écrivaine publique et mes 14 livres avant que ne sorte le 15 e
et mes 14 livres
sont mes voiles
et mes 3 sites
sont mon visage
Nuages qui pleurent
Même les paysages tristes
Font mon bonheur
dans un soupir
pour exprimer vos désirs
Je n'attends que ça
Contactez-moi
quand ça bouillonne à l'intérieur
Difficile de se dire que les mots
Se passent de la fureur