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CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE - Page 182

  • J'ai terminé hier soir:L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 89


    DOLCE VITA ? DU LIBERTY AU DESIGN ITALIEN (1900-1940)

    N° 89 - avril 2015 - 9,50 €

    ISSN : 0998-8041

    L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 89 - avril 2015

     

           

    Description du numéro L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 89

    Le musée d’Orsay revient aux sources du design italien en proposant un dialogue fécond entre peinture et design, de 1900 à 1940. Quelque 180 tableaux, vases, meubles et objets du quotidien témoignent de la géniale inventivité des artistes italiens, de l’éclosion de l’Art Nouveau (ou « Liberty ») au développement de l’art abstrait en passant par le futurisme et le retour à l’ordre.
    En dépit des difficultés politiques, sociales et économiques, la jeune Italie bénéficie d’un patrimoine artistique exceptionnellement riche à d’une tradition artisanale séculaire, deux sources auxquelles les artistes, tels Carlo Bugatti, Gino Severini, Giorgio De Chirico ou Gio Ponti, vont puiser pour donner naissance au « style italien » qui connaîtra son apogée dans les années 1950.


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  • Hier,j'ai lu:Dossier de l'Art n° 228


    POUSSIN ET DIEU

    N° 228 - avril 2015 - 9,50 €

    ISSN : 1161-3122

     Dossier de l'Art n° 228 - avril 2015

           

    Description du numéro Dossier de l'Art n° 228

    Poussin, profane ou religieux ? Le sujet questionne depuis des siècles les historiens de l’art. L’exposition du musée du Louvre, qui honore aujourd’hui le grand peintre français du XVIIe siècle, à l’occasion du 350e anniversaire de sa mort, entend contribuer à la réflexion.

    Réunissant une centaine d’œuvres, dont plus de soixante peintures, sous le titre ambitieux de « Poussin et Dieu », elle met en scène ses tableaux religieux, jusqu’alors moins étudiés. Éclairant la spiritualité chrétienne qui en compose l’arrière-plan, elle révèle sous un jour nouveau l’extraordinaire synthèse du sacré et du profane, du chrétien et de l’antique, qu’incarne Nicolas Poussin.


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    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 227 - VELÁZQUEZ
     
    Pour voir comment les artistes et la presse influent sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog
  • Le Journal des Arts N°434

    Le Journal des Arts
    Le Journal des Arts N°434
    24 avril 2015

    La Normandie et la SNCF ont inauguré samedi dernier le premier « train de l’impressionnisme ». Plus qu’une liaison en train qui existait déjà entre Paris et Giverny, l’intérêt de cette initiative réside dans l’offre complète qui l’entoure : navettes, tarifs spéciaux et communication adaptée aux touristes. Le Normand et ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, dont le portefeuille couvre aussi celui du tourisme, veut accroître les revenus touristiques et vise les 100 millions d’étrangers à l’horizon 2020 contre 84 millions aujourd’hui. Notre enquête sur les châteaux proches de Paris montre qu’il y a encore des progrès à faire pour y amener ces visiteurs par les transports en commun. Si la notoriété mondiale de Versailles et les liaisons rapides depuis Paris par le train ou le RER lui assurent un public à la limite de la saturation, la situation est toute autre pour les treize lieux parmi la cinquantaine de châteaux visitables autour de Paris que nous avons sélectionnés. Transports peu commodes, horaires inadaptés, signalétiques défaillantes, peu est fait pour faciliter le confort de visite des parisiens, confort qui devrait démarrer dès la gare de départ. Nos journalistes en ont fait l’expérience

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  • J'ai lu hier soir:L'Oeil N°679

    L'Oeil
    L'Oeil N°679
    Mai 2015

    La gauche a-t-elle trahi la culture ? C’est la question que pose le journal Le Monde en novembre 2012, six mois après l’élection de François Hollande à la présidence de la République. L’article  fait suite à l’annonce de la diminution des crédits de la culture de 3,2 % par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, « une première pour un gouvernement de gauche », écrit le quotidien. Et une première erreur pour Hollande, qui s’attaque là davantage à un symbole de la gauche qu’à un poste dispendieux. Car la culture représente moins de 1 % du budget de l’État, et les symboles ont parfois leur importance, comme l’a compris Manuel Valls, dont vous lirez l’interview exclusive dans L’Œil, qui, dès son arrivée à Matignon en 2014, décide de garantir le budget de la culture. En 2012, la question du Monde n’est pas nouvelle. Elle est même régulièrement formulée en coulisses par les hommes et les ...

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  • J'ai terminé hier soir:100 jours pour ne plus faire de fautes!

    100 jours pour ne plus faire de fautes!

     Le Point HS : 100 jours pour ne plus faire de fautes

     

    100 jours pour ne plus faire de fautes!

    Avr. - Mai 2015
    6,90 €En stock

    Force est de constater que nous commettons toutes et tous les mêmes erreurs! Doit-on pour autant parler de fatalité? Bien sûr que non!
    Genre de noms, accord des adjectifs ou du participe passé, redoublement de consonnes, conjugaisons, exceptions en tout genre…Tout y passe! Pour chaque difficulté abordée, un petit test vous permet de savoir où vous en êtes et une leçon claire vous aide à faire le point. Enfin, vous validez vos acquis avec des quiz!

    Ajoutez à cela bon nombre de pense-bêtes mnémotechniques et et vous voilà paré pour zéro faute!

    http://boutique.lepoint.fr/produit/620/100-jours-pour-ne-plus-faire-de-fautes

  • Grande Galerie n°29 (sept./oct./nov. 2014)

    Prochain numéro le 28 novembre 2014


    Au programme :
    - Maroc médiéval : de Fès à Grenade, un empire de lumière
    - À la rencontre des Égyptiens du Moyen Empire
    - Rembrandt : restauration d'un chef-d'œuvre

    http://www.beauxartsmagazine.com/grande-galerie/5-magazine.htm

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  • Casablanca et Maroc

    Transport de voyageurs, la fédération veut désamorcer la crise  

    Si le gouvernement a pu passer outre plusieurs blocages, il n’a pas réussi à réformer le secteur du transport de voyageurs. Ses propositions pour le déblocage de la situation anarchique de ce secteur ont été avortées, entre autres, par le Parlement. Aujourd’hui, la Fédération du transport a soumis au gouvernement de nouvelles propositions. Ces dernières portent sur la relation contractuelle entre le détenteur de l’agrément et l’exploitant de ce même agrément. Ce projet est actuellement traité au niveau de la primature. «Nous proposons d’instaurer une période transitoire de 5 années pour les agréments exploités de manière indirecte avant le 1er avril 2015, au lieu de la période d’un an proposée actuellement», a souligné à ce titre Abdelilah Hifdi, président de la Fédération du transport/CGEM, lors d’une rencontre organisée mardi 24 février à Casablanca.

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  • Numéro Spécial Le Maroc contemporain

    Numéro Spécial Le Maroc contemporainCe numéro spécial est le fruit d'une collaboration entre les revues Art Absolument et Diptyk, respectivement basées à Paris et Casablanca.

    Il accompagne la manifestation Le Maroc Contemporain, présentée à l'Institut du monde arabe du 15 octobre 2014 au 25 janvier 2015 en multipliant les points de vue sur la culture contemporaine au Maroc.

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  • Art absolument N°61 - Septembre/Octobre 2014

    Numéro 61Sommaire

    8 Actualités L'état des choses - Nuit noire - Chronique d'Emmanuel Daydé 10 Actualités Carnets de route - Drôme provençal - Chronique de Philippe Piguet 12 Actualités Choix d’événements artistiques - France/Salons/International 46 Actualités Lieu d’expositions - Crac de Sète - Questions à Noëlle Tissier 47 Actualités Lieu d’expositions - Melik Ohanian à Sète - Entretien entre l’artiste et Tom Laurent 52 DOSSIER L'ART AU MAROC Le Maroc Médiéval Musée du Louvre, Paris Par Emmanuel Daydé 58 DOSSIER L'ART AU MAROC Penser l’art du Maroc Entretien entre Mohamed Rachdi et Pascal Amel 64 DOSSIER L'ART AU MAROC Le Maroc contemporain Institut du monde arabe, Paris Par Tom Laurent 68 DOSSIER L'ART AU MAROC Identités – Art et société au Maroc Institut des cultures d’Islam, Paris Entretien entre Jamel Oubechou et Tom Laurent 72 Exposition Rome 1500 Les Borgia et leur temps, musée Maillol, Paris Le Pérugin, musée Jacquemart-André, Paris Par Emmanuel Daydé 80 Exposition Sonia et Robert Delaunay MAMVP et Centre Pompidou, Paris Par Pascale Lismonde 86 Artiste Charles Hossein Zenderoudi Par Pascal Amel 94 Artiste Camille Henrot Par François Salmeron 100 Artiste Anne et Patrick Poirier Entretien avec Philippe Piguet 106 Bibliothèque La chronique de Pascal Bonafoux 108 Bibliothèque Regard littéraire - Détails d’Opalka de Claudie Gallay 110 Bibliothèque Regard théorique - Tympans et portails romans de Michel Pastoureau 112 Bibliothèque Choix de livres
     
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  • Catégories : Le Maroc:vie et travail, Mes photos, Voyage

    Dernier séjour à Casablanca:De notre chambre d'hôtel , nous voyiions

    100_2085.JPG10/11/2011 00:47

    une partie de la ville et la mosquée Hassan II QUI POSSEDE LE MINARET LE PLUS HAUT DU MONDE

    Je publierai peu de photos de  ce voyage car je pense en faire un livre

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  • Pâques au CDI

    Pour les chrétiens, Pâques est une des fêtes les plus importantes. Les chrétiens d’Orient  la célèbre à une date différente (autre calendrier, autre temps) mais pour tous, elle commémore  la résurrection de Jésus et est donc porteuse d’espoir. Alors que nous ressentons souvent nos vies comme des chemins de croix (pour vous changer les idées, je vous conseille le chemin de croix de Saint-Romain d’Ay en Ardèche-en plein air- à une heure de Lyon), nous avons besoin d’espérance.

    L’étymologie hébraïque du mot « Pâques », « passage » donne son nom à la fête juive, Pessah, qui commémore la sortie d’Egypte. J’en profite ici pour souhaiter de bonnes fêtes à mes amis juifs-en particulier au Maroc- qui nous ont si gentiment accueillis.

    Au CDI, la fête de Pâques nous intéresse car croyant ou pas, il nous semble important d’avoir un minimum de culture religieuse. Pâques nous intéresse d’autant plus qu’elle a inspiré-comme tant d’autres épisodes de la Bible- artistes et  écrivains qu’il est possible découvrir en venant nous voir sous les toits.

    L’espoir au CDI  a commencé à Noël avec le bel élan de générosité des élèves qui ont participé à nos  trois ateliers d’écriture pour les petits patients de l’U 500. Venez découvrir le recueil des poèmes au CDI.

    Cet élan se prolonge avec l’atelier d’écriture-lecture de « poèmes-paysages » que j’anime le lundi de 13 à 14h et le jeudi de 12 à 13h. Nos objectifs sont de participer à des concours, de lire des poètes paysagistes et des paysagistes poètes de tous temps et de composer un nouveau recueil.

    Enfin, je crois que cet atelier rejoint les symboliques de Pâques : espoir (que la poésie soit lue par nos jeunes), passage (du savoir sur la peinture), lumière (de la culture religieuse face à l’obscurantisme et au fanatisme)  et partage.

    Permettez –moi en conclusion d’adresser un salut à mon grand-père qui cachait les œufs dans le jardin.

     

    Laura VANEL-COYTTE, documentaliste au CDI

     

     paru en 2012  dans le journal de l'établissement où je travaillais

  • Regards 43 (où est publié en complet mon poème "Le miroir de son regard( ici extrait)

    Dans son regard, elle aime
    Se voir belle
    Excitante

    poème,miroir,regardhttp://www.regards.asso.fr/revue43.html

    Le poème complet est aussi lisible dans mon recueil "Paysages" en vente sur ce blog.

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  • Keith Haring, l'énergie vitale de l'art

     

    Home CULTURE Arts Expositions

    EN IMAGES - Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris rend tout son poids politique au prince du street art.

     
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    Keith Haring n'est pas mort à New York en février 1990, à 31 ans, des suites du sida. Il vit et travaille à Paris, comme le veut la formule consacrée de l'art. Star subversive du street art, ce dessinateur-né a été fêté dans un tourbillon de musique, de happenings et d'œuvres qui se répondent en un langage nouveau, signalétique et direct comme un feu vert à Manhattan. Comme tous les peintres au musée, il reste jeune pour l'éternité. Énergumène aux cheveux frisottés et aux grosses lunettes rondes de clown, il regarde en dehors du tableau, comme à la recherche d'une ligne de fuite (Self-Portrait, 1985). Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris est littéralement balayé par le souffle décapant de cet artiste grave derrière l'éclat de la couleur et virtuose derrière la simplicité du trait qui danse. Un choc visuel, tout en messages, en questions et en émotions.

    Une énergie vitale transporte cet ensemble jamais réuni de quelque 250  œuvres, bâches, dessins, tableaux, céramiques et autres totems géants parcourus par cette nouvelle langue des signes. On monte à plus de 360, si l'on isole chaque élément des nombreuses séries historiques exposées (Storyboard, spectaculaire accrochage, dès la première salle, qui reconstitue l'exposition clé chez Tony Shafrazi à New York en 1980). «Qu'est-ce que cela change?», s'interroge-t-on en lisant la longue liste des expositions monographiques qui ont porté Keith Haring, mort ou vif, du Pittsburgh Center for Arts (1978) à la Kunsthalle de Vienne (2010), du Ludwig Museum de Budapest au Musée d'art contemporain de Lyon (2008). Ou, plus prosaïquement, des enchères de New York à la dernière foire d'Art Basel Miami Beach.

    Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique

    Dieter Buchhart

    «Tout simplement la mesure de l'artiste», souligne Fabrice Hergott, pas fâché que son musée rende sa taille héroïque à ce prince du street art. Keith Haring est souvent résumé à sa formule pop, à un tee-shirt rouge ou noir sur lequel figurent un bébé rayonnant, un chien qui aboie, un corps transpercé d'un soleil, une soucoupe volante des années 1950, un cœur avec deux croix, un sexe dressé comme une arme (son Pop Shop fut l'adresse miraculeuse au 292 Lafayette Street à Soho). Tout un codex apparemment gai - dans les deux acceptions du terme - qui semblait emprunter à la fureur de vivre des années 1980 à Manhattan, avant l'hécatombe de la drogue et du sida (à déguster, le polaroid de ­Madonna, si jeune et fraîche sous sa perruque rose de japonaise). C'est tout le propos de cette rétrospective bluffante par sa réunion de famille in extenso, les ­leçons sous-jacentes qu'elle en tire ­visuellement… Et les prêts princiers qu'elle a obtenus: tableau phare mis en couverture du catalogue, le héros ­traversé par les chiens, peint sur une ­bâche jaune ­soleil en 1982, est prêté par la Sheikha Salama Bint Hamdan al-Nayan, autrement dit la famille régnante d'Abu Dhabi!

    Prévenez les allergiques à l'esprit clairement engagé: Keith Haring, c'est politique. Le point de départ des commissaires de cette exposition «Keith Haring. The Political Line», Dieter Buchhart et Odile Burluraux, n'est pas une théorie fumeuse de plus. Tout est là, dans le cadre. «Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique, analyse Dieter Buchhart. Au sens de l'individu dans l'espace public. Pour la liberté d'expression avec sa série de dessins à la craie dans le métro de New York. Pour le droit d'être différent et heureux avec tous ses dessins qui célèbrent l'amour libre. Contre l'homophobie, mais aussi le racisme aux États-Unis et la ségrégation en Afrique du Sud. Contre le capitalisme et ses excès d'esclavagiste.»

    Prévenez les parents, soucieux d'une enfance à jamais innocente: Keith Haring, c'est sexe. Comme chez son compatriote Robert Crumb. Le plus souvent entre hommes (Safe Sex, acrylique sur toile fort explicite, 1985), les femmes étant plutôt réservées à la maternité ou à la conception du monde, tota mulier in utero. Parfois - et c'est le plus terrifiant de ces fresques primitives si pimpantes avec leur rose, leur vert salade, leur mauve psychédélique - entre victimes et bourreaux, duels cruels entre chiens et loups (énorme diptyque de 1984 aux chiffres de l'Apocalypse, 666, qui sublime les défunts en anges parmi les ovnis).

    Prévenez les sceptiques: Keith ­Haring, c'est géant. Par les formats, par la variété des matériaux, de la voiture à l'énorme céramique maya, par la déclinaison du signe, joyeux, vivant jusqu'à la mort, atroce punition de la condition humaine.

    «Keith Haring. The Political Line», jusqu'au 18 août au Musée d'art moderne de la Ville de Paris.

    • Préc
      Rudy Ricciotti, architecte en béton armé
      Suiv
      Les trésors du Louvre Abu Dhabi
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