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CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE - Page 183

  • Pâques au CDI

    Pour les chrétiens, Pâques est une des fêtes les plus importantes. Les chrétiens d’Orient  la célèbre à une date différente (autre calendrier, autre temps) mais pour tous, elle commémore  la résurrection de Jésus et est donc porteuse d’espoir. Alors que nous ressentons souvent nos vies comme des chemins de croix (pour vous changer les idées, je vous conseille le chemin de croix de Saint-Romain d’Ay en Ardèche-en plein air- à une heure de Lyon), nous avons besoin d’espérance.

    L’étymologie hébraïque du mot « Pâques », « passage » donne son nom à la fête juive, Pessah, qui commémore la sortie d’Egypte. J’en profite ici pour souhaiter de bonnes fêtes à mes amis juifs-en particulier au Maroc- qui nous ont si gentiment accueillis.

    Au CDI, la fête de Pâques nous intéresse car croyant ou pas, il nous semble important d’avoir un minimum de culture religieuse. Pâques nous intéresse d’autant plus qu’elle a inspiré-comme tant d’autres épisodes de la Bible- artistes et  écrivains qu’il est possible découvrir en venant nous voir sous les toits.

    L’espoir au CDI  a commencé à Noël avec le bel élan de générosité des élèves qui ont participé à nos  trois ateliers d’écriture pour les petits patients de l’U 500. Venez découvrir le recueil des poèmes au CDI.

    Cet élan se prolonge avec l’atelier d’écriture-lecture de « poèmes-paysages » que j’anime le lundi de 13 à 14h et le jeudi de 12 à 13h. Nos objectifs sont de participer à des concours, de lire des poètes paysagistes et des paysagistes poètes de tous temps et de composer un nouveau recueil.

    Enfin, je crois que cet atelier rejoint les symboliques de Pâques : espoir (que la poésie soit lue par nos jeunes), passage (du savoir sur la peinture), lumière (de la culture religieuse face à l’obscurantisme et au fanatisme)  et partage.

    Permettez –moi en conclusion d’adresser un salut à mon grand-père qui cachait les œufs dans le jardin.

     

    Laura VANEL-COYTTE, documentaliste au CDI

     

     paru en 2012  dans le journal de l'établissement où je travaillais

  • Regards 43 (où est publié en complet mon poème "Le miroir de son regard( ici extrait)

    Dans son regard, elle aime
    Se voir belle
    Excitante

    poème,miroir,regardhttp://www.regards.asso.fr/revue43.html

    Le poème complet est aussi lisible dans mon recueil "Paysages" en vente sur ce blog.

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  • Keith Haring, l'énergie vitale de l'art

     

    Home CULTURE Arts Expositions

    EN IMAGES - Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris rend tout son poids politique au prince du street art.

     
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    Keith Haring n'est pas mort à New York en février 1990, à 31 ans, des suites du sida. Il vit et travaille à Paris, comme le veut la formule consacrée de l'art. Star subversive du street art, ce dessinateur-né a été fêté dans un tourbillon de musique, de happenings et d'œuvres qui se répondent en un langage nouveau, signalétique et direct comme un feu vert à Manhattan. Comme tous les peintres au musée, il reste jeune pour l'éternité. Énergumène aux cheveux frisottés et aux grosses lunettes rondes de clown, il regarde en dehors du tableau, comme à la recherche d'une ligne de fuite (Self-Portrait, 1985). Le Musée d'art moderne de la Ville de Paris est littéralement balayé par le souffle décapant de cet artiste grave derrière l'éclat de la couleur et virtuose derrière la simplicité du trait qui danse. Un choc visuel, tout en messages, en questions et en émotions.

    Une énergie vitale transporte cet ensemble jamais réuni de quelque 250  œuvres, bâches, dessins, tableaux, céramiques et autres totems géants parcourus par cette nouvelle langue des signes. On monte à plus de 360, si l'on isole chaque élément des nombreuses séries historiques exposées (Storyboard, spectaculaire accrochage, dès la première salle, qui reconstitue l'exposition clé chez Tony Shafrazi à New York en 1980). «Qu'est-ce que cela change?», s'interroge-t-on en lisant la longue liste des expositions monographiques qui ont porté Keith Haring, mort ou vif, du Pittsburgh Center for Arts (1978) à la Kunsthalle de Vienne (2010), du Ludwig Museum de Budapest au Musée d'art contemporain de Lyon (2008). Ou, plus prosaïquement, des enchères de New York à la dernière foire d'Art Basel Miami Beach.

    Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique

    Dieter Buchhart

    «Tout simplement la mesure de l'artiste», souligne Fabrice Hergott, pas fâché que son musée rende sa taille héroïque à ce prince du street art. Keith Haring est souvent résumé à sa formule pop, à un tee-shirt rouge ou noir sur lequel figurent un bébé rayonnant, un chien qui aboie, un corps transpercé d'un soleil, une soucoupe volante des années 1950, un cœur avec deux croix, un sexe dressé comme une arme (son Pop Shop fut l'adresse miraculeuse au 292 Lafayette Street à Soho). Tout un codex apparemment gai - dans les deux acceptions du terme - qui semblait emprunter à la fureur de vivre des années 1980 à Manhattan, avant l'hécatombe de la drogue et du sida (à déguster, le polaroid de ­Madonna, si jeune et fraîche sous sa perruque rose de japonaise). C'est tout le propos de cette rétrospective bluffante par sa réunion de famille in extenso, les ­leçons sous-jacentes qu'elle en tire ­visuellement… Et les prêts princiers qu'elle a obtenus: tableau phare mis en couverture du catalogue, le héros ­traversé par les chiens, peint sur une ­bâche jaune ­soleil en 1982, est prêté par la Sheikha Salama Bint Hamdan al-Nayan, autrement dit la famille régnante d'Abu Dhabi!

    Prévenez les allergiques à l'esprit clairement engagé: Keith Haring, c'est politique. Le point de départ des commissaires de cette exposition «Keith Haring. The Political Line», Dieter Buchhart et Odile Burluraux, n'est pas une théorie fumeuse de plus. Tout est là, dans le cadre. «Chaque pièce de son œuvre est porteuse d'un message directement politique, analyse Dieter Buchhart. Au sens de l'individu dans l'espace public. Pour la liberté d'expression avec sa série de dessins à la craie dans le métro de New York. Pour le droit d'être différent et heureux avec tous ses dessins qui célèbrent l'amour libre. Contre l'homophobie, mais aussi le racisme aux États-Unis et la ségrégation en Afrique du Sud. Contre le capitalisme et ses excès d'esclavagiste.»

    Prévenez les parents, soucieux d'une enfance à jamais innocente: Keith Haring, c'est sexe. Comme chez son compatriote Robert Crumb. Le plus souvent entre hommes (Safe Sex, acrylique sur toile fort explicite, 1985), les femmes étant plutôt réservées à la maternité ou à la conception du monde, tota mulier in utero. Parfois - et c'est le plus terrifiant de ces fresques primitives si pimpantes avec leur rose, leur vert salade, leur mauve psychédélique - entre victimes et bourreaux, duels cruels entre chiens et loups (énorme diptyque de 1984 aux chiffres de l'Apocalypse, 666, qui sublime les défunts en anges parmi les ovnis).

    Prévenez les sceptiques: Keith ­Haring, c'est géant. Par les formats, par la variété des matériaux, de la voiture à l'énorme céramique maya, par la déclinaison du signe, joyeux, vivant jusqu'à la mort, atroce punition de la condition humaine.

    «Keith Haring. The Political Line», jusqu'au 18 août au Musée d'art moderne de la Ville de Paris.

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      Rudy Ricciotti, architecte en béton armé
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      Les trésors du Louvre Abu Dhabi
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    http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2013/04/19/03015-20130419ARTFIG00241-keith-haring-l-energie-vitale-de-l-art.php

  • Alpine et Caterham, la fin de la vie à deux ?

    Home LIFESTYLE Automobile
      • Par Sylvain Reisser
      • Mis à jour le 24/03/2014 à 17:51
      • Publié le 24/03/2014 à 17:50

    Le 5 novembre 2012, Carlos Ghosn et Tony Fernandes scellait le partenariat entre Alpine-Renault et Caterham.

     

    Suite à une mise en demeure, je supprime cette photo de cet article

     

    Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro

    Les rumeurs se multiplient sur une possible séparation à l'amiable entre Alpine et son partenaire Caterham. Cette rupture ne remettrait cependant pas en cause la sortie d'un modèle sportif en 2016.

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  • À Saint-Etienne, les finances du club sont au vert

     

    Les deux coprésidents de l'ASSE, Roland Romeyer et Bernard Caïazzo, lors de la 26e journée de ... SPORT
    À Saint-Etienne, les finances du club sont au vert

    L'AS Saint-Étienne se déplace le 8 avril au Parc des Princes pour rencontrer le Paris SG en demi-finale de la Coupe de France.Les « Verts », qui ont instauré une politique salariale rigoureuse, affichent un excédent budgétaire sur ...

    Lire la suite>

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  • Catégories : Mes poèmes

    J'ai fait l'amour(extrait)

    couv paysages amoureux 2.jpgJ’ai fait l’amour avec la mort

    J’ai résisté à son appel

    Mais elle a crié si fort

    L’occasion était trop belle


    Le poème (complet) est lisible dans mon recueil "Paysages amoureux et érotiques" en vente sur ce blog.

    Celui qui a inspiré ce poème est mort il y a  2 ans, je l'ai appris la semaine dernière...

  • J'ai craqué hier et j'ai lu dans la foulée:L'Atelier de Courbet

     

    L'Atelier de Courbet

     

    musée d'Orsay

    8.00 € TTC

     
    01 avril 2015

    L’immense Atelier est sans doute la composition la plus mystérieuse de Courbet. Il fait l’objet en 2015 d’une grande restauration. Événement d’autant plus exceptionnel que celle-ci se fera en présence du public. Placé dans une enceinte de protection transparente innovante, le tableau sera visible par l’ensemble des visiteurs du musée.
    Nous accompagnons cette restauration avec la publication d’un hors-série. Après avoir dessiné un portrait de l’artiste, nous reviendrons sur l’ensemble de ses œuvres, sur le caractère choquant, parfois scandaleux de certaines pour l’époque. Nous nous attarderons sur les origines du tableau, son histoire, sa conception. Et évidement sur sa restauration. Courbet se heurte à l’incompréhension de ces contemporains notamment pour ce tableau. En effet, l’usage était de réserver les grands formats au sujet de l’histoire ou de la religion, et de les traiter avec noblesse. Avec Courbet, la population anonyme des campagnes, prend brutalement la place des héros d’hier. « C’est le monde qui vient se faire peindre chez moi. » C’est à dire tous les amis, les travailleurs, les amateurs du monde de l’art.


    Informations sur le livre: 36 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401496
    Reliure : Broché
  • Lu entier dans la presse aujourd'hui:Poussin au confessionnal

    De Rome à Paris, les facettes de la Contre-Réforme

    <i>Le Christ enfant</i> (détail) par Le Bernin.

    Le Christ enfant (détail) par Le Bernin. Crédits photo : RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Tony Querrec

    En parallèle à l'exposition consacrée à Poussin, Le Louvre se penche sur l'iconophilie de la Rome pontificale et la traduction qu'en a donnée l'École française entre 1580 et 1660.

    Contre le protestantisme qui condamne peintures et sculptures religieuses, accusées de susciter l'idolâtrie, le concile de Trente réaffirme l'utilité de l'image. Mais à l'époque de Poussin, la réflexion sur ce que doit être une image sacrée prend des tours multiples. D'autant que dans la Rome pontificale, puis à Paris, les grands chantiers d'églises et de palais se multiplient au point qu'on n'a jamais assisté à un tel foisonnement d'expériences.

    Louis Frank, conservateur en chef au département des arts graphiques du Louvre, et Philippe Malgouyres, conservateur en chef au département des objets d'art, détaillent ces années d'intenses fabriques de saintes images, de 1580 à 1660.

    Ils ont sélectionné 85 dessins et gravures, des peintures (dont La Mort de la Vierge de Caravage), objets d'art et quelques sculptures. Ils esquissent les options et différences de Caravage, des Carrache, Guido Reni, Bernin, Cortone à Rome ; puis de Vouet, Le Sueur, Philippe de Champaigne et des frères Le Nain à Paris. Ils parlent d'iconophilie triomphale dans la Ville éternelle. Quant à Paris, ils soulignent une esthétique plus en retenue, la cohabitation des catholiques et protestants après la pacification apportée par l'édit de Nantes expliquant cette importante nuance, bientôt caractéristique du style français.

    Méditation autour d'un marbre

    Il faut voir toutes les beautés présentées. Parmi les plus flamboyantes, qui écrasent celles d'un premier temps de pureté dévote, et en guise de l'indéplaçable et magistrale Transverbération de Thérèse d'Avila, joyau de Santa Maria della Vittoria, les commissaires mettent en valeur un marbre plus modeste du Bernin. Cet Enfant Jésus jouant avec un clou (notre illustration ci-dessus) est d'emblée conscient de sa destinée. Le clou est un des outils de son père adoptif. D'autres, identiques, seront enfoncés dans sa chair lors de sa crucifixion. Bernin a imaginé ce relief qui fut donné en cadeau à la jeune reine de France. Avec cette sculpture, elle pouvait méditer sur les souffrances du Christ et trouver comment accepter les siennes.

    La fabrique des saintes images, rome-Paris, 1580-1660, du 2 avril au 29 juin 2015, www.louvre.fr

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      De Rome à Paris, les facettes de la Contre-Réforme

      En parallèle à l'exposition consacrée à Poussin, Le Louvre se penche sur l'iconophilie de la Rome pontificale et la traduction qu'en a donnée l'École française entre 1580 et 1660.

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      En parallèle à l'exposition consacrée à Poussin, Le Louvre se penche sur l'iconophilie de la Rome pontificale et la traduction qu'en a donnée l'École française entre 1580 et 1660.

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  • Maroc

    2,325 milliards DH empochés par les autoroutes du Maroc en 2014  

    Les recettes de péage de la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) se sont établies à 2,325 milliards de dirhams (MMDH) en 2014 enregistrant ainsi une croissance de 2,2 %. Pour l’ADM qui vient de tenir son Conseil d'Administration sous la présidence du ministre de l'Equipement, du transport et de la logistique, Aziz Rabbah, cette performance s’explique par le fait que la circulation autoroutière au Maroc a connu une croissance de plus de 2,3 % sur l'ensemble du réseau en 2014.
Ainsi, cette augmentation est due principalement à la croissance qu'a connue le trafic sur les sections autoroutières entre Kenitra et Berrechid. Par ailleurs, en termes de développement du réseau, l'année 2014 a été marquée par l'inauguration par SM le Roi Mohammed VI, le mai 2014, du tronçon autoroutier Khouribga-Béni Mellal.
 Le total bilan est passé, quant à lui, de 46,7 MMDH en 2013 à 48,5 MMDH en 2014, soit une augmentation de près de 4 %. Une hausse due essentiellement aux investissements liés à la réalisation des tronçons autoroutiers Berrechid- Beni Mellal, El Jadida- Safi et du contournement de Rabat.

    Pour voir en quoi le Maroc influe sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

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  • "Quel opportuniste !"

    Où l’on apprend qu’un artiste a trouvé le bon plan.
    Vous n'arrivez pas à voir les images ? Contactez-nous sur jean@artips.fr

    L'artiste Jorge Pardo devant sa maison de Sea View Lane
    Voir en grand

    En 1993, le Musée d'Art Contemporain de Los Angeles décide d'organiser une exposition autour de Jorge Pardo, jeune artiste de 30 ans connu pour ses idées provocatrices.
    Pardo accepte d’exposer son travail. Toutefois, il pose ses propres conditions… Son œuvre sera bien présentée, mais hors du musée !

    S'inspirant de l'architecture du XXème siècle, Pardo décide de faire construire un bungalow en bois de rose sur le Mont Washington. Son édifice moderniste (à l’aspect épuré et fonctionnel) s’étend sur près de 2800 m², et s’adapte à la pente du site. Ses fenêtres sont toutes ouvertes vers la plage.

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    Jorge Pardo, 4166 Sea View Lane, 1993-1998, Los Angeles
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    Les projets de Pardo se situent toujours à la frontière entre l'art et le design. Il conçoit lui-même l’intégralité du mobilier du bungalow : les lampes, les poignées des portes, les tables… et même le frigo !
    Une belle pièce d'architecture ? Une œuvre d'art à grande échelle ? Pas seulement...

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    Jorge Pardo, 4166 Sea View Lane, 1993-1994, Los Angeles
    Voir en grand

    Lorsque l'exposition prend fin, le public est choqué d’apprendre que Pardo emménage dans cette demeure de rêve avec femme et enfants ! Le terrain sur lequel il a décidé de réaliser son œuvre était en réalité le sien.
    Parce qu’il a en partie fait bâtir sa maison aux frais du musée, certains l’accusent d’opportunisme...

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    Jorge Pardo, 4166 Sea View Lane, 1993-1994, Los Angeles
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    Quoi qu’il en soit, l’artiste remet ainsi en cause le concept d’institution muséale qui, selon lui, biaise le sens des œuvres en exposant celles-ci de façon soi-disant « neutre ».
    En construisant cette maison pour une exposition, puis en y habitant, Pardo brouille les limites entre vie quotidienne et art. Aujourd’hui encore, il habite dans son œuvre…

    Portrait de Jorge Pardo
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    Pour en savoir plus :

    Sur l'artiste

    Sur son intervention au musée des Augustins de Toulouse en 2014



    Pour recommander cet Artips :

    Racontée par
    Line Ajan
    Validée par Gérard Marié,
    professeur d'histoire de l'art
    Sciences Po Paris
    Jeu Concours : L'avant première
    Les résultats
    Bravo aux gagnantes du tirage au sort
    Anne L. et Dominique T. !
    Chacune gagne deux livres Artips ou une place d'exposition de leur choix.

    A partir de vendredi, les compteurs sont remis à zéro, et le concours reprend.

    Bonne chance à vous !
    Les maisons sont faites pour être habitées, non pour être vues.
    Francis Bacon
  • Venise

     
    More Festival 2015 : expos, concerts et fêtes à Venise
    ParisBouge
    Du 4 au 7 juin 2015, en parallèle de la Biennale d'Art Contemporain de Venise, les rives de la mer Adriatique accueilleront le festival More. Quatre ...
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    Alitalia : Venise intercontinentale, Caracas suspendue
    La compagnie aérienne Alitalia inaugure dimanche sa première liaison intercontinentale au départ de Venise, vers Abou Dhabi, base de son ...
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    Air-Journal
    Alitalia met le cap sur Abou Dhabi depuis Venise
    Selon le chairman d'Alitalia Luca di Montezemolo, « Venise a été choisie pour le premier nouveau vol intercontinental en raison de son potentiel pour ...
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    Le Quotidien du Tourisme
    Alitalia lance son Venise-Abu Dhabi
    La première nouvelle route lancée par Alitalia depuis le 1er janvier 2015, date à laquelle Etihad a pris une participation de 49% dans la compagnie, ...

    Pour voir en quoi Venise influe sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

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  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose

    Journées marteau : les commissaires en cage à la Conciergerie !

    Journées marteau : les commissaires en cage à la Conciergerie !

     

     

    Le tableau <i>La Conciergerie</i>, de Paul Aïspiri, est acheté 4250 euros sous le marteau d'Éric Pillon.

    Le tableau La Conciergerie, de Paul Aïspiri, est acheté 4250 euros sous le marteau d'Éric Pillon.

    NOUS Y ÉTIONS - Pour la première fois, 40 commissaires-priseurs se sont relayés jeudi soir pour des enchères insolites à la Conciergerie, à Paris. Une des ventes événements organisées partout en France, jusqu'à dimanche.

     

    Pour voir l'influence de l'art sur moi, cf. mes 14 livres en vente sur ce blog

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  • Archéologia n° 531

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    Archéologia n° 531
    Irak. Destructions massives des œuvres archéologiques

    N° 531 - avril 2015 - 6,90 €

    ISSN : 0570-6270

    Archéologia n° 531 - avril 2015

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    Description du numéro Archéologia n° 531

    Le conflit en Syrie n'épargne pas les œuvres archéologiques des pays limitrophes : des fanatiques religieux s'en sont pris à des merveilles irakiennes, taureaux ailés monumentaux et sculptures divines, témoins de la splendeur de l'Orient antique. 

    Le Kosovo et les Balkans sont à l'honneur au travers deux articles. Le premier présente les stars du Néolithiques de cette région, pour la première fois sorties de leur pays d'origine et exposées au musée d'Archéologie nationale (Saint-Germain-en-Laye). Le second montre que la présence des chrétiens remonte au début du Moyen Âge et propose la reconstitution d'un complexe religieux passionnant. 

    Quant à l’Égypte, qui ne cesse de nous fasciner, elle recèle encore bien des merveilles. Une étude des décors des mastabas (tombes) montre un lien surprenant entre les jeunes garçons et la huppe, un oiseau hautement symbolique. 

    Plus proches de nous, mais tout aussi énigmatiques, les vestiges tricotés de notre passé restent encore à découvrir. De fil en aiguille, et de découvertes archéologiques en analyses approfondies, une histoire se tricote. 

    Pour voyager et pour découvrir que l'archéologie peut être socialement utile, il faut se rendre en Argentine dans la province de Catamarca, dans les cimes des Andes, au cœur du Musée intégral de la Réserve de biosphère de Laguna Blanca. 

    Une sélection de livres récemment parus ainsi qu'une présentation du dernier ouvrage de Grégor Marchand sur la Préhistoire atlantique complète ce sommaire du numéro d'avril d'Archéologia. 


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    Numéro précédent : Archéologia n° 530 - La Victoire de Samothrace

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