Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Adil HAOUATA
galerienadar@gmail.com
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Souhaitons-nous notre vingtième St-Valentin
Aimons-nous plus qu’au premier matin
Invite-moi et je t’inviterais à un nouveau festin
Naviguons encore sur la vague de nos instincts
Tanguons, dansons sur un rythme argentin
Je l'avais envoyé pour "La semaine de la langue française" mais il n'a pas été selectionné.
Quichottine m'a récompensé en le publiant sur son blog:
Mon poème ci-dessous:
"Trouver l’amour et le garder
Entretenir la flamme
De la passion pour s’y consumer
Ou se réchauffer de tendresse" pour ceux qui l'ont déjà trouvé.
J’étais plus vieille que la petite fille de la photo mais au niveau de mon expérience de vie, j’étais encore une enfant qui n’avait jamais quitté la maison de ses parents sauf séjour linguistique, pèlerinage et escapade nocturne. Mon souhait de poursuivre mes études post-bac à Paris ressemblait à un caprice car j’aurais pu aller dans la capitale régionale où se trouvaient toutes les facultés. Mais ça me paraissait trop près alors qu’en termes de transport, Paris était bien plus pratique. Plus qu’un caprice, c’était une folie car j’avais choisi une filière pour « faire comme papa » dont le fort coefficient en mathématiques me condamnait à échouer. En fait, par ce « caprice », je m’éloignais et me rapprochais de mon père. D’autant que ce dernier passait beaucoup de temps sur Paris. Nous avions trouvé à me loger en très proche banlieue dans une chambre de bonne où je n’avais ni plus, ni moins de place que dans ma chambre d’ado : seize mètres carrés avec un lit, une table-bureau, un frigo de camping, une plaque à gaz et un évier. Comme je n’avais pas de douche chez moi, ça ne me choquait pas de ne pas en avoir dans mon logis parisien. Les toilettes sur le palier n’étaient pas non plus moins communes que celles de mon nid familial. Là-bas, les escaliers étaient raides, étroits et la patine du temps les avait rendu encore plus dangereux. A Paris, monter au sixième étage (sans ascenseur) était périlleux surtout en début et fin de semaine avec des bagages. Ça avait aussi plus de gueule cet escalier en colimaçon qui donnait le vertige quand on cognait la rampe branlante.
4 janvier 2016
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Je souhaiterais qu'en 2016
Nous soyons encore à l' aise
L'un avec l'autre; en 2016,
Il faudrait aussi que je m'apaise.
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime
Ce que j’écris, c’est essayer d’être une fille de feu nervalienne,
Celle qui brûle même quand ses rêves prennent l’eau et coulent.
Ecrire pour être l’éruption d’un volcan, à la fois feu et terre.
Ecrire pour s’envoler avec les papillons tels une chimère.
Parler de ce, celles et ceux que j’aime pour être celle qui reflète
Les actes et les œuvres qui me semblent confiner au sublime
Les femmes qui ont transcendé leur condition honteuse
Les êtres qui ont brulé leur vie et consumé leur âme plus que les autres
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, source et mer où se jettent les fleuves
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, montagne à gravir et pierre que l’on jette
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, l’air de rien, être un vent qui agite
Ce que j’écris, ce (ux) que j’aime, bougie et miroir qui la reflète
Comme il est émouvant de voir un enfant et sa joie
Hissé par un adulte sur un manège et un cheval de bois
Emporté par le mouvement du manège, l'enfant-roi
Vit ainsi l'instant présent comme toute une vie en soi
Adoré, photographié, les désirs de l'enfant font leur loi
Le cheval de bois est aussi lumière et musique en pavois
Danse, chante, joue, rit, mange, enfant, tu ne sais pas
Enfant, comme disait ma grand mère, qui te mangera
Belle simplicité du manège et de son cheval de bois
Onde pur et brute de partage avec l'enfant et sa joie
Innocence, insouciance, enthousiasme qu'on t'octroie
Sache la garder longtemps et intensément en toi
24 AOUT 2015
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Enfant, Cannelle a d’abord voulu être institutrice, comme beaucoup de petites filles, semble t -il. Une variante : puéricultrice, assez banal également dans la gent féminine des écoles maternelles et primaires. Pourtant, elle n’était pas très « poupées », « dînettes », « maîtresse » et autres jeux de fillette. Elle préférait les trains électriques, les « lego », « meccano », les billes. Bref, elle était ce qu’on appelle un « garçon manqué. » Cannelle n’était pas non plus très coquette et elle aurait eu du mal à l’être avec ses genoux toujours ornés de croûtes disgracieuses dues à de fréquentes chutes. Elle avait les cheveux courts et portait souvent des pantalons. On la prenait souvent pour un garçon. Choix personnel ou volonté maternelle ? Sa mère lui a raconté qu’elle ne réclamait pas tel ou tel vêtement comme l’a fait plus tard sa sœur et qu’elle l’habillait donc à son goût, en garçon. Pourquoi ? Peut-être sa mère voulait-elle un garçon…
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Le corps des hommes
Etait son terrain de jeu
Arthur Rimbaud
Sensation
" Sensation " est le second poème du Cahier de Douai.
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, |
ENVIES
Envie de te prendre dans mes bras
Naïve et rouée, t’emmener
Vers la sérénité et la sensualité
Inspirer ton parfum tendre
Expirer tous les ennuis et angoisses
Savourer chaque instant comme le dernier.
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Bonjour les Croqueurs !
Quelqu’un devait prendre la barre de la quinzaine,
je suis là, commandante Dômi ! Alors, je nous propose ce qui suit.
Pour lundi 30 novembre 2015 :
une belle rencontre, dans une des circonstances suivantes, au choix :
- en promenant son chien, ou tout autre animal favori,
- en attendant ses enfants à la sortie de l’école,
- en patientant dans une file d’attente.
Par “belle rencontre”, j’entends : pittoresque ou étonnante ou décisive.
Ou alors, si on n’est pas inspiré par ce sujet,
on pourra brosser en prose le portrait de ma proposition pour les jeudis, ci-après :
Pour les jeudis en poésie des 26 novembre et 3 décembre 2015 :
thème libre, ou proposition :
le portrait d’un animal ou d’un personnage célèbre (ou reconnaissable),
sans le nommer mais en donnant des indices au long de son poème.
Que l’inspiration soit avec nous !
Je me réjouis d’avance d’aller découvrir ce que chacun aura concocté,
espérant rattraper aussi mes retards de lecture.
Lenaïg
Le môt de Dômi
Moi je dis bienvenue à un peu de légèreté dans ce monde de brutes
Et le défi de Lénaïg tombe pile “poils”
Que l’inspiration soit avec vous les Croqueurs de Môts!!!
Bises amirales.
Dômi.
http://croqueursdemots.apln-blog.fr/2015/11/23/defi-155-mene-par-lenaig-une-belle-rencontre/
"My name is BOND
James BOND !"
Faites votre cinéma
à samedidefi@gmail.com
Bon tournage et
à tout bientôt !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2015/11/14/32925138.html#comments
Mon AGENDA
Envoyez vos notes à
samedidefi@gmail.com
A tout bientôt !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2015/10/10/32741602.html
Dans une lettre ouverte, publiée sur Le Monde, l'actrice de Much Loved explique pourquoi elle a décidé de quitter le Maroc pour se réfugier en France, après son agression dans les rues de Casablanca.
Par Samir Chennaoui le 31/10/2015 à 08h45 (mise à jour le 31/10/2015 à 09h10)
Le thème de la semaine