Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CEUX QUE J'AIME - Page 18
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André Derain, sculpteur et collectionneur d'art primitif(photo perso)
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La Femme aux yeux bleus Amedeo Modigliani(Dans ma lecture des "Indésirables")
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Au MAM de Troyes, j'ai découvert:Charles Malfray(photo perso)
Femme assise aux bras levés, 1919.
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Nous avons vu le 14 juillet au Musée d'Art Moderne de Troyes:Exposition Un autre Renoir
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Renoir 2017(photo perso)
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Statue et place Diderot à Langres(photo perso)
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Shakespeare romantique(jusqu'au 30 août 2017)
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Charles Baudelaire
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Lettres du Bosphore(médiathèque)
Edmund BURKE,« Pour que le mal triomphe seule suffit l'inaction des hommes de bien. "(exergue)
p.88:René Char: "Vivre, c'est s'obstiner à achever un souvenir."
p.222:
Oscar Wilde, La Ballade de la geôle de Reading (Première stance)
GF Flammarion 2008, Édition bilingue avec dossier – Traduction Pascal Aquien:Jamais je n’avais vu homme regarder
D’un œil aussi mélancolique
Le petit auvent bleu
Que les prisonniers nomment ciel,
Et les nuages poussés par le vent,
Entourés de leurs voiles d’argent. -
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Rénovation des salles consacrées à la peinture des écoles du Nord du 17e au 19e siècle
La bohémienne © 2007 Musée du Louvre / Angèle Dequier
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Film, J'ai aimé, J'ai vu, Le cinéma, Schiele Egon
J'ai vu hier au cinéma:EGON SCHIELE
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Le 13 juillet 2017,à 14h, nous quittons le musée DIDEROT pour le MBA
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Au Musée Diderot de Langres, l'affaire des cacouacs qui provoqua la démission de d'ALEMBERT
PHOTO PERSO de juillet 2017
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Au Musée Diderot de Langres, j'ai admiré:PORTRAIT DE LA MARQUISE DE POMPADOUR
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L'architecture du musée Diderot(photos perso)
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Langres. La Maison des Lumières Denis Diderot labellisée "Maison des Illustres"(photos perso)
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J'ai terminé hier:VERMEER DE DELFT UN PEINTRE ET SA VILLE(ramené de Delft EN JUILLET 2017)
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J'ai lu avant-hier :Chefs d'oeuvre au Van Gogh Museum(ramené du musée d'Amsterdam)
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JEROME BOSCH (1453-1516)
Jerôme Bosch
"L'Extraction de la Pierre de Folie"
48 x 35 cm
© Musée du Prado
MadridDe son véritable nom Hieronymus Van Haken, Jérôme Bosch est né dans une famille modeste originaire d'Aix la Chapelle, venue s'installer en Pays Bas deux siècles plus tôt.
Son grand-père Jan Van Haken et son père Anthonis Van Haken ont exercés déjà le métier de peintre, quand Hieronymus naît vers 1453 à S'Hertogenbosch au Pays Bas. On sait assez peu de chose sur sa vie, mais on sait qu'il se marie vers 1478 avec une aristocrate qui lui permet d'accéder à un statut social plus enviable et à une certaine sécurité matérielle. Vers 1486, Jerôme Bosch est cité comme membre d'une confrérie, "La Confrérie Notre Dame", proche d'une secte hérétique "Les Frères du Libre-Esprit".
Une citation de 1509 dans les registres de "La Confrérie de Notre Dame" le fait apparaître comme étant "Jheronymus Van Haken, le peintre qui signe "Bosch". C'est peut être pour se différencier des peintres de sa famille, mais aussi des villes des écoles néerlandaises qu'étaient Bruges, Louvain ou Tournai qu'il prend pour nom de peintre le nom de "Bosch" qui signifie "bois".
Si l'origine de l'art et de son évolution stylistique est assez complexe, le difficulté est accrue par le fait qu' aucune oeuvre n'est datée et que de nombreux panneaux qu'il a peint ont été détruits. La chronologie de son oeuvre est difficile à établir et repose en partie sur des hypothèses.
On ne sait que très peu de choses d'abord sur la période d'apprentissage de Jérôme Bosch, dont on peut cependant dire qu'elle n'a pas pu échapper d'abord à l'influence exercée par les oeuvres de son père. On peut supposer par ailleurs, que bien qu'on ne sache rien de sa formation ou de ses déplacements hors de sa cité natale qui l'auraient mis en contact avec d'autres artistes de son époque. Ses tableaux sont très marqués par les représentations du bien, du paradis, du mal, du vice, de la douleur, de la souffrance, propre aux préoccupations médiévales de son temps. Le salut, le jugement dernier, l'attente de l'avenir, de la mort ou de la fin du monde, prennent chez lui une forme très différente des peintres qui sont ses contemporains : tels les frères Van Eyck, Rogier Van der Weyden ou Memling, mais encore Dürer ou Léonard de Vinci. Ce n'est pas une résignation pieuse propre au Moyen-Age qui s'exprime chez lui, comme dans de nombreuses oeuvres de cette époque, mais à l'inverse, une interrogation par la représentation morale de la responsabilité des hommes ici bas, et ainsi en quelquesorte une ouverture à la modernité. -
Au Mauritshuis de La Haye , j'ai admiré:La Jeune Fille à la perle
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Au Rijksmuseum Amsterdam, j'ai admiré "La fiancée juive"
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C'est au Mauritshuis de la Haye que j'ai pu admirer:Vue de Delft
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