Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CEUX QUE J'AIME - Page 20
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Film, J'ai aimé, J'ai vu, Le cinéma, Schiele Egon
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Le 13 juillet 2017,à 14h, nous quittons le musée DIDEROT pour le MBA
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Au Musée Diderot de Langres, l'affaire des cacouacs qui provoqua la démission de d'ALEMBERT
PHOTO PERSO de juillet 2017
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Au Musée Diderot de Langres, j'ai admiré:PORTRAIT DE LA MARQUISE DE POMPADOUR
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L'architecture du musée Diderot(photos perso)
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Langres. La Maison des Lumières Denis Diderot labellisée "Maison des Illustres"(photos perso)
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J'ai terminé hier:VERMEER DE DELFT UN PEINTRE ET SA VILLE(ramené de Delft EN JUILLET 2017)
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J'ai lu avant-hier :Chefs d'oeuvre au Van Gogh Museum(ramené du musée d'Amsterdam)
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JEROME BOSCH (1453-1516)
Jerôme Bosch
"L'Extraction de la Pierre de Folie"
48 x 35 cm
© Musée du Prado
MadridDe son véritable nom Hieronymus Van Haken, Jérôme Bosch est né dans une famille modeste originaire d'Aix la Chapelle, venue s'installer en Pays Bas deux siècles plus tôt.
Son grand-père Jan Van Haken et son père Anthonis Van Haken ont exercés déjà le métier de peintre, quand Hieronymus naît vers 1453 à S'Hertogenbosch au Pays Bas. On sait assez peu de chose sur sa vie, mais on sait qu'il se marie vers 1478 avec une aristocrate qui lui permet d'accéder à un statut social plus enviable et à une certaine sécurité matérielle. Vers 1486, Jerôme Bosch est cité comme membre d'une confrérie, "La Confrérie Notre Dame", proche d'une secte hérétique "Les Frères du Libre-Esprit".
Une citation de 1509 dans les registres de "La Confrérie de Notre Dame" le fait apparaître comme étant "Jheronymus Van Haken, le peintre qui signe "Bosch". C'est peut être pour se différencier des peintres de sa famille, mais aussi des villes des écoles néerlandaises qu'étaient Bruges, Louvain ou Tournai qu'il prend pour nom de peintre le nom de "Bosch" qui signifie "bois".
Si l'origine de l'art et de son évolution stylistique est assez complexe, le difficulté est accrue par le fait qu' aucune oeuvre n'est datée et que de nombreux panneaux qu'il a peint ont été détruits. La chronologie de son oeuvre est difficile à établir et repose en partie sur des hypothèses.
On ne sait que très peu de choses d'abord sur la période d'apprentissage de Jérôme Bosch, dont on peut cependant dire qu'elle n'a pas pu échapper d'abord à l'influence exercée par les oeuvres de son père. On peut supposer par ailleurs, que bien qu'on ne sache rien de sa formation ou de ses déplacements hors de sa cité natale qui l'auraient mis en contact avec d'autres artistes de son époque. Ses tableaux sont très marqués par les représentations du bien, du paradis, du mal, du vice, de la douleur, de la souffrance, propre aux préoccupations médiévales de son temps. Le salut, le jugement dernier, l'attente de l'avenir, de la mort ou de la fin du monde, prennent chez lui une forme très différente des peintres qui sont ses contemporains : tels les frères Van Eyck, Rogier Van der Weyden ou Memling, mais encore Dürer ou Léonard de Vinci. Ce n'est pas une résignation pieuse propre au Moyen-Age qui s'exprime chez lui, comme dans de nombreuses oeuvres de cette époque, mais à l'inverse, une interrogation par la représentation morale de la responsabilité des hommes ici bas, et ainsi en quelquesorte une ouverture à la modernité. -
Au Mauritshuis de La Haye , j'ai admiré:La Jeune Fille à la perle
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Au Rijksmuseum Amsterdam, j'ai admiré "La fiancée juive"
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C'est au Mauritshuis de la Haye que j'ai pu admirer:Vue de Delft
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Au Rijjksmuseum, j'ai admiré les Vermeer
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Au Rijksmuseum Amsterdam, j'ai admiré "La toilette" de Jan Steen
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J'ai adoré voir "La ronde de nuit" à Amsterdam
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J'ai bien-sûr adoré au Rijksmuseum d'Amsterdam:De molen bij Wijk bij Duurstede, Jacob Isaacksz. van Ruisdael, ca. 1668 - ca. 1670
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Nous avons été ravis de déjeuner à Haarlem(après ma visite du musée Franz Hals)
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Rembrandt et le crépuscule d'un dieu
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Bruegel, le moulin et la croix
Année 1564, alors que les Flandres subissent l’occupation brutale des Espagnols, Pieter Bruegel l’Ancien, achève son chef d’œuvre "Le Portement de la croix", où derrière la Passion du Christ, on peut lire la chronique tourmentée d’un pays en plein chaos.
Le film plonge littéralement le spectateur dans le tableau et suit le parcours d’une douzaine de personnages au temps des guerres de religions. Leurs histoires s’entrelacent dans de vastes paysages peuplés de villageois et de cavaliers rouges. Parmi eux Bruegel lui-même, son ami le collectionneur Nicholas Jonghelinck et la Vierge Marie. -
Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres
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Dossier de l'Art n° 236 JÉRÔME BOSCH, VISIONS DE GÉNIE
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Van Gogh, prince des nuits d'Amsterdam
É. B.-R. ( à Amsterdam )
16/02/2009 | Mise à jour : 11:11 -
Goltzius et la Compagnie du Pélican (en souvenir de la Ronde nuit vu à Amsterdam en juillet 2017)
Goltzius et la Compagnie du Pélican est le deuxième volet de ce qui est désormais annoncé par le cinéaste Peter Greenaway comme une trilogie sur les Deutsch Masters, à savoir les peintres hollandais les plus réputés. Ainsi, La ronde de nuit auscultait la création de la fameuse toile de Rembrandt sur fond de manigances politiques et de meurtre, tandis que le troisième volet annoncé pour 2016 rendra hommage à l’œuvre de Jérôme Bosch.
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Pays-Bas. 16ème siècle.
Hendrik Goltzius est un célèbre peintre et graveur d’œuvres érotiques. Il aimerait ouvrir une imprimerie pour éditer des livres illustrés. Il sollicite alors le Margrave (Marquis) d’Alsace et lui promet un livre extraordinaire avec des images et des histoires de l’Ancien Testament regroupant les contes érotiques de Loth et ses filles, David et Bethsabée, Samson et Dalila, Saint Jean-Baptiste et Salomé. Pour le séduire davantage, il lui offre alors de mettre en scène ces histoires érotiques pour sa cour.