Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
CEUX QUE J'AIME - Page 20
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Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CEUX QUE J'AIME, J'ai lu, Ma bibliothèque, Van Gogh Vincent
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Dans le miroir du Caravage(commencé le 20)
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des poèmes, Verlaine Paul
Nocturne parisien
Roule, roule ton flot indolent, morne Seine.
Sous tes ponts qu’environne une vapeur malsaine
Bien des corps ont passé, morts, horribles, pourris,
Dont les âmes avaient pour meurtrier Paris.
Mais tu n’en traînes pas, en tes ondes glacées,
Autant que ton aspect m’inspire de pensées ! -
PARIS ET LA SEINE
Toi, Seine, tu n'as rien. Deux quais, et voilà tout,
Deux quais crasseux, semés de l'un à l'autre bout
D'affreux bouquins moisis et d'une foule insigne
Qui fait dans l'eau des ronds et qui pêche à la ligne
Oui, mais quand vient le soir, raréfiant enfin
Les passants alourdis de sommeil et de faim,
Et que le couchant met au ciel des taches rouges,
Qu'il fait bon aux rêveurs descendre de leurs bouges
Et, s'accoudant au pont de la Cité, devant
Notre-Dame, songer, cœur et cheveux au vent !
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des bibliothèques, Nerval Gérard de
Je ramène à la BU: Lire Nerval au 21 e siècle
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Dans ma lecture de la presse du CDI: Virgule,octobre 2016
Victor Hugo,
Viens ! - une flûte invisible
Soupire dans les vergers. -
La chanson la plus paisible
Est la chanson des bergers.Pour le Jeudi en poésie des Croqueurs de mots:
http://croqueursdemots.apln-blog.fr/2016/11/28/defi-175-jeanne-fadosi-a-la-barre-no-actuality/
La suite ci-dessous
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des poèmes, Hugo Victor
Réponse à un acte d'accusation(dans ma lecture de "Virgule")
Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant.
La main du songeur vibre et tremble en l'écrivant ;
Read more at http://www.poesie-francaise.fr/victor-hugo/poeme-reponse-a-un-acte-d-accusation-II.php#eZTutmw8iWuTCEIi.99Pour le jeudi en poésie des Croqueurs:http://croqueursdemots.apln-blog.fr/2016/11/28/defi-175-jeanne-fadosi-a-la-barre-no-actuality/Lire la suite ci-dessous -
J'ai craqué hier soir à la médiathèque:Un été avec Victor Hugo
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Le mot du mois dans "Virgule" de Novembre
Alphonse de Lamartine,Jocelyn
Nous rions en voyant tous deux nos cheveux blancs,
Poudrés par les frimas, de givre ruisselants -
Catégories : Apollinaire Guillaume, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des poèmes, J'ai lu
Dans ma lecture du "Vieux saltimbanque":Apollinaire : Zone
p.59:
À la fin tu es las de ce monde ancien
Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin
Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine
Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes
La religion seule est restée toute neuve la religion
Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation
Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme
L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X
Et toi que les fenêtres observent la honte te retient
D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin
Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut
Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux
Il y a les livraisons à vingt-cinq centimes pleines d'aventures policières
Portraits des grands hommes et mille titres divers -
J'ai fini dans mon bain ce matin:Hors-série : Oscar Wilde l’impertinent absolu(ramené de l'expo Wilde au Petit Palais en oct 2016)
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Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne, Musique
J'ai craqué hier pour: "La nuit ne dure pas"(Dani) ET APRES L AVOIR ECOUTE JE SUIS LOIN DE REGRETTER
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Catégories : Buffet Bernard, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CEUX QUE J'AIME, Des bibliothèques, Des musées, J'ai aimé, J'ai lu, J'ai vu, L'art, La bibliothèque universitaire de Tréfilerie, La presse, La représentation des bohémiens:art et littérature, Le Musée d'Art Moderne(MAM) de la Ville de Paris, Ma bibliothèque, Paris(75,Ile de France):vécu,études, Voyage, Voyage à Paris du 21 au 24 octobre 2016
J'ai lu à la gym(ramené de l'expo de Paris vu en octobre):Bernard Buffet
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J'ai pu admirer à l'expo Rembrandt à Paris la semaine dernière
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J'ai fini hier le catalogue de l'expo vue la semaine dernière à Parid
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J'ai terminé hier soir:Une lame de lumière(médiathèque:commencé le 28)
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Catégories : Baudelaire Charles, Delacroix Eugène, Des expositions
J'ai aimé revoir dimanche dernier ce que j'avais vu en 2012:Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’hommage à Delacroix
Du 7 décembre 2011 au 19 mars 2012
Musée national Eugène Delacroix
1863, année du scandale du Déjeuner sur l’herbe de Manet au Salon des Refusés, est aussi celle de la mort d’Eugène Delacroix dans son appartement de la place de Fürstenberg.
Choqué par la tiédeur des hommages officiels rendus à l’artiste lors de sa disparition, Fantin-Latour se lança dans la réalisation de son fameux Hommage à Delacroix pour le Salon suivant : toile-manifeste qui rassemblait une nouvelle génération d’artistes novateurs, et de critiques comme Baudelaire et Champfleury, autour de l’austère effigie du maître disparu. Manet, Whistler, Legros, Bracquemond et les autres n’étaient pourtant pas des disciples fidèles, mais en se plaçant sous son égide, ils revendiquaient une même liberté artistique face aux conventions. -
J'ai aimé revoir au Musée du Luxembourg dimanche dernier ce que j'avais vu en 2012 au Musée Delacroix:Exposition Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’Hommage à Delacroix
Une exposition présentée au musée Delacroix, Paris (7 décembre 2011 - 19 mars 2012).
Publié le mercredi 18 janvier 2012L’exposition du musée Delacroix retrace l’aventure de la peinture de Fantin-Latour "Hommage à Delacroix" sa conception, les variantes, les élus et les exclus parmi les figurants. Cette grande toile-manifeste rassemble une nouvelle génération d’artistes novateurs et de critiques autour du portrait de Delacroix, et révèle leur révolte contre le poids de la tradition académique.
Commander le catalogue d’exposition "Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’Hommage à Delacroix" -
J'ai revu dimanche dernier avec plaisir ce que j'avais vu en 2012:Exposition Fantin-Latour, Manet, Baudelaire, L’Hommage à Delacroix au musée Delacroix, Paris
LES ENFANTS DE DELACROIXpar Camille VievilleFantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’hommage à Delacroix, nouvelle exposition du confidentiel Musée national Eugène Delacroix, raconte la fascination qu’exerce le peintre de La Mort de Sardanapale dans les années 1860 sur un petit cénacle d’artistes et de critiques.
1863. Eugène Delacroix disparaît. L’artiste a marqué son siècle par son indépendance radicale à l’égard des conventions académiques — son œuvre fit souvent scandale — indépendance teintée d’ambivalence, tant il cherchait aussi la reconnaissance institutionnelle. Objet d’un culte fiévreux porté par certains, auréolé de commandes officielles, c’est pourtant dans une indifférence relative que se déroulent ses obsèques. Indigné, le jeune et fervent Henri Fantin-Latour (1836-1904) prépare sa réponse, un ambitieux hommage pictural au Maître.
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J'ai aimé cet après-midi au cinéma:LE MYSTÈRE JÉRÔME BOSCH
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Dans ma lecture de "Métronome", p.53
Œuvres complètes : Odes et Ballades. Essais et Poésies diverses. Les Orientales, Ollendorf, 1912, 24 (pp. 195-199).Le Génie
à M. Le Vicomte de Chateaubriand
Les circonstances ne forment pas les hommes ; elles les montrent : elles dévoilent, pour ainsi dire, la royauté du Génie, dernière ressource des peuples éteints. Ces rois qui n’en ont pas le nom, mais qui règnent véritablement par la force du caractère et la grandeur des pensées, sont élus par les événements auxquels ils doivent commander. Sans ancêtres et sans postérité, seuls de leur race, leur mission remplie ils disparaissent en laissant à l’avenir des ordres qu’il exécutera fidèlement.F. DE LA MENNAIS.
I
Malheur à l’enfant de la terre,
Qui, dans ce monde injuste et vain,
Porte en son âme solitaire
Un rayon de l’esprit divin !
Malheur à lui ! l’impure envie
S’acharne sur sa noble vie,
Semblable au Vautour éternel,
Et, de son triomphe irritée,
Punit ce nouveau Prométhée
D’avoir ravi le feu du ciel !
La Gloire, fantôme céleste,
Apparaît de loin à ses yeux ;
Il subit le pouvoir funeste
De son sourire impérieux !
Ainsi l’oiseau, faible et timide,
Veut en vain fuir l’hydre perfide
Dont l’œil le charme et le poursuit,
Il voltige de cime en cime,
Puis il accourt, et meurt victime
Du doux regard qui l’a séduit.
Ou, s’il voit luire enfin l’aurore
Du jour, promis à ses efforts ;
Vivant, si son front se décore
Du laurier, qui croît pour les morts ;
L’erreur, l’ignorance hautaine,
L’injure impunie et la haine
Usent les jours de l’immortel.
Du malheur imposant exemple,
La Gloire l’admet dans son temple,
Pour l’immoler sur son autel !
II
Pourtant, fallût-il être en proie
À l’injustice, à la douleur,
Qui n’accepterait avec joie
Le génie, au prix du malheur ?
Quel mortel, sentant dans son âme
S’éveiller la céleste flamme
Que le temps ne saurait ternir,
Voudrait, redoutant sa victoire,
Au sein d’un bonheur sans mémoire,
Fuir son triste et noble avenir ? -
Catégories : A lire, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, CEUX QUE J'AIME, Des musées, J'ai aimé, J'ai vu, L'art, La presse, Le Musée Marmottan Monet(Paris 16e), Ma bibliothèque, Monet Claude, Munch Edvard, Paris(75,Ile de France):vécu,études, Voyage, Voyage à Paris du 21 au 24 octobre 2016
J'ai ramené de l'expo et il faut que je le lise:Hodler Monet Munch
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J'ai aimé visiter dimanche dernier:HODLER MONET MUNCH
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J'avais lu:Dans l’intimité de Rembrandt pour préparer ma visite de samedi dernier à Paris