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CEUX QUE J'AIME - Page 34

  • Le Crépuscule du matin

    Le Crépuscule du matin

    La diane chantait dans les cours des casernes,
    Et le vent du matin soufflait sur les lanternes.

    C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
    Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents;
    Où, comme un oeil sanglant qui palpite et qui bouge,
    La lampe sur le jour fait une tache rouge;
    Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd,
    Imite les combats de la lampe et du jour.
    Comme un visage en pleurs que les brises essuient,
    L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient,
    Et l'homme est las d'écrire et la femme d'aimer.

    Les maisons çà et là commençaient à fumer.
    Les femmes de plaisir, la paupière livide,
    Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide;
    Les pauvresses, traînant leurs seins maigres et froids,
    Soufflaient sur leurs tisons et soufflaient sur leurs doigts.
    C'était l'heure où parmi le froid et la lésine
    S'aggravent les douleurs des femmes en gésine;
    Comme un sanglot coupé par un sang écumeux
    Le chant du coq au loin déchirait l'air brumeux
    Une mer de brouillards baignait les édifices,
    Et les agonisants dans le fond des hospices
    Poussaient leur dernier râle en hoquets inégaux.
    Les débauchés rentraient, brisés par leurs travaux.

    L'aurore grelottante en robe rose et verte
    S'avançait lentement sur la Seine déserte,
    Et le sombre Paris, en se frottant les yeux
    Empoignait ses outils, vieillard laborieux.

    Charles Baudelaire

     

  • Catégories : Baudelaire Charles, CEUX QUE J'AIME

    Le Paris moderne - vu par les yeux de Baudelaire dans -CRÉPUSCULE DU SOIR-, -CRÉPUSCULE DU MATIN-, -LE JEU- et -LE CYGNE-

    Titel: Le Paris moderne - vu par les yeux de Baudelaire dans -CRÉPUSCULE DU SOIR-, -CRÉPUSCULE DU MATIN-, -LE JEU- et -LE CYGNE- 

    Leseprobe

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    Content

    1 Introduction

    2 Analyse des quatre Poèmes choisisses
    2.1 Les deux Crépuscules
    2.1.1 Le Crépuscule du Soir
    2.1.2 Le Crépuscule du Matin
    2.1.3 Une Comparaison
    2.2 Le Jeu
    2.3 Le Cygne

    3 Un Image de Paris - Une Comparaison

    4 Conclusion

    5 Littérature

    1 Introduction

    „Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville change plus vite, hélas! que le coeur d’un mortel)[1].“ Voilà comment Baudelaire décrit ses sentiments face aux changements de sa ville et des gens qui y vivent; voilà comment il exprime l’ esprit du nouveau Paris qui devient de plus en plus moderne à la fin du 19ième siècle. Les changements deviennent visibles dans tout le rythme de la ville qui prend selon Baudelaire des traits humains - la ville n’est plus seulement habitée par des gens, elle vit, et en tout sa surface on peut découvrir des qualités de ses habitants. Baudelaire écrivit dans une lettre à Fernand Desnoyers, qui voulait éditer „Le Crépuscule du Soir“:

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, La presse

    Dossier de l'Art n° 227

    Dossier de l'Art n° 227
    VELÁZQUEZ

    N° 227 - mars 2015 - 9,50 €

    ISSN : 1161-3122

    Dossier de l'Art n° 227 - mars 2015

     

           

    Description du numéro Dossier de l'Art n° 227

    À l’occasion de l’exposition Velázquez du Grand Palais, qui offre un panorama complet de la carrière de l’artiste, de ses débuts à Séville à ses dernières années, et s’intéresse à la façon dont son art a marqué ses contemporains et héritiers, Dossier de l’art se plonge dans l’œuvre du peintre, moment d’excellence absolu dans l’Espagne du Siècle d’or.
    Peintre du roi et de sa famille, peintre des humbles, et surtout portraitiste de génie, l’immensité de son talent émerveille encore aujourd’hui.


    Articles

    Actualités

    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 226 - LES TRÉSORS DU MUSÉE NATIONAL DE LA RENAISSANCE
  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes

    Hors-série : Velázquez

    Hors-série : Velázquez

    Signature : CDA - 18 mars 2015
     
     Hors-série : Velázquez

    Figure majeure de l'histoire de l'art, Diego Velázquez (1599-1660) est sans conteste le plus célèbre des peintres de l’âge d’or espagnol.

     

    Ce hors-série met son oeuvre en dialogue avec de nombreuses toiles d'artistes de son temps qu'il a pu connaître, admirer ou influencer. Elle se penche également sur le passage entre naturalisme et caravagisme, ainsi que son égale habileté à exécuter paysages, portraits et peintures d'histoire.

     

    68 pages, 9,50 €

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Poussin Nicolas

    Poussin et Dieu

     

    Poussin et Dieu

     

    musée du Louvre

    9.00 € TTC

     
    01 avril 2015

    À l’occasion du 350e anniversaire de la mort de l’artiste (1594-1665), le musée du Louvre lui consacre une grande exposition qui a pour ambition de faire un premier point sur les lectures chrétiennes que l’on peut faire de la peinture de Poussin. Et sur l’une de ses grandes particularités : associer le sacré antique et le sacré chrétien. L’un des plus grands peintres français du XVIIe siècle, Nicolas Poussin incarne sans conteste le modèle du peintre philosophe mais la dimension chrétienne de sa peinture a été bien souvent occultée, voire contestée. Repenser l’œuvre de Poussin à l’aune de la religion semble d’autant plus nécessaire aujourd’hui que des études récentes ont mis en évidence de manière convaincante l’entourage immédiat de Poussin mais surtout l’originalité de sa peinture sacrée.
    Beaux Arts éditions enrichit sa collection de hors-série et propose un nouveau regard sur les œuvres sacrées de Nicolas Poussin. Le hors-série revient sur les influences du peintre, le replace dans son contexte et dans son dialogue avec ses contemporains, et analyse enfin son rapport au sacré et sa représentation dans ses œuvres.


    Informations sur le livre: 52 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401649
    Reliure : Broché

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-1007-Poussin-et-Dieu.html

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne

    Festival Beauregard 2015 : Les yeux dans les yeux avec Étienne Daho

    Mercredi 18 mars 2015 06:01 - Hérouville-Saint-Clair

    Festival Beauregard 2015 : Les yeux dans les yeux avec Étienne Daho

    ...
    photo etienne daho sera sur scène le dimanche 5 juillet au festival beauregard, à hérouville. © dr

    Etienne Daho sera sur scène le dimanche 5 juillet au festival Beauregard, à Hérouville.© DR

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    Spontané, Étienne Daho aime que les itw le force un peu à réfléchir. Alors avant sa venue au festival Beauregard, on l’a pris au mot. Avec comme fil rouge le thème du regard.

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  • Coralie Bugnazet et Adil Assim, Prix 2014 de l’École d’Art et de Design de Saint-Étienne

    Coralie Bugnazet, La cuisine familiale (2014), présentée dans l’exposition « On savait, on savait que cela n’allait pas durer », Cité du design, Saint-Étienne, 2015 (©Guy Boyer).

    Coralie Bugnazet et Adil Assim, Prix 2014 de l’École d’Art et de Design de Saint-Étienne

    Suite à la présentation des travaux des diplômés en art et design 2014 sous le titre « On savait, on savait que cela n’allait pas durer », le jury Arts plastiques a repéré Coralie Bugnazet pour son travail multimédia constitué de projections et de sérigraphies aux couleurs fluo dans une chambre obscure.

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de, Voyage

    Bulletin Nerval

    Bulletin Nerval nº 134 / 1er février 2015
     
     
    OUVRAGES
     
    - Le texte complet de la thèse de François Sylvos ("Gérard de Nerval et l'esprit critique, satire, révolte et utopie"; Gabrielle Chamarat dir., Caen, 1995) est désormais disponible sur le site des archives ouvertes HAL (https://tel.archives-ouvertes.fr/UNIV-REUNION/tel-01103244v1) ainsi qu'en version papier (voir pièce jointe).

    - Alan Raitt, Lectures croisées, textes édités par Francisco Manzini, Oxford, Berne, etc., Peter Lang, 2015 (chapitre 2 : "Time and instability in Nerval’s Sylvie"; chapitre 3 : "Sylvie and L'Education sentimentale »).
     
     
    ARTICLE
     
    Guy Barthelemy, " Verve et paradoxe chez Nerval", dans " Recherches et travaux" nº 85, "La verve", université Stendhal, 2014, pp. 75-87.


    COMPTES RENDUS 
     
    - Anthony Zielonka, CR de Gérard de NervalŒuvres complètes, xiii: Aurélia, ou Le Rêve et la vie (Édition critique par Jean-Nicolas Illouz, Bibliothèque du xixe siècle, Paris: Classiques Garnier, 2013. 184 pp., ill.), dans "French Studies", 2015, p. 102.

    - (anonyme), CR de Hamdi Abdelazim Abdelkader, L'Egypte dans le "Voyage en Orient" de Gérard de Nerval (Connaissances et savoirs, 2012), in Histoires littéraires, juillet-décembre 2014, n° 59-60, p. 284-285.
     
     
    …………………………………………………………………………….
     
    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes

    Hors-série : Bonnard - Peindre l'Arcadie

     

    Pierre Bonnard

     

    Peindre l'Arcadie

    9.50 € TTC

     
    25 mars 2015

    Après les expositions Bonnard organisées dans le monde entier, le musée d’Orsay se devait de lui consacrer une grande rétrospective représentative de toutes les périodes de sa création.
    Pierre Bonnard est sans aucun doute un des peintres les plus importants de la première moitié du XXe siècle et l’un des plus grands coloristes de la peinture occidentale. Après avoir été l’un des principaux représentants du
    nabisme, au côté notamment de Vuillard, Denis et Sérusier, il évolue vite vers une peinture très personnelle. D’abord confinée à l’austérité de couleurs qui traduisent l’atmosphère feutrée des scènes intimistes, sa palette s’éclaircit rapidement à partir de 1905. Bonnard découvre alors les impressionnistes, mais refuse de se laisser dominer par les spectacles de la nature. Il crée peu à peu un univers enchanté de jeunes femmes resplendissantes, de paysages inondés de soleil, de bouquets et de fruits miraculeusement préservés des atteintes du temps. Bonnard suit pourtant le fauvisme, cubisme, surréalisme mais s’en tient à l’écart. À partir de 1930, par un chromatisme de plus en plus éclatant, son œuvre s’affranchit de la réalité et parvient à exprimer l’espace par la seule juxtaposition des tons.

    Affichiste, décorateur, lithographe, Pierre Bonnard a influencé plusieurs générations de peintres. Son apport fondamental à l’élaboration du langage figuratif s’affirme dans l’exploration de la couleur, le refus de la perspective traditionnelle et l’affirmation du caractère bidimensionnel de l’espace pictural. Bonnard s’est consacré à son art avec humilité et passion tout au long de sa vie. Le hors-série qui accompagne l’exposition montre l’ensemble de ses périodes, des techniques employées et des thèmes abordés : du tableautin au grand format, du portrait à la nature morte, de la scène intime au sujet pastoral, du paysage urbain au décor antique. Sa palette aux couleurs vives et lumineuses en fait l’un des principaux acteurs de l’art moderne et un représentant éminent du courant arcadien.

    Exposition au musée d'Orsay
    du 17 mars 2015 au 19 juillet 2015


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401571
    Reliure : Broché

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Voyage

    Velázquez

     

     

     

    au Grand Palais

    9.50 € TTC

     
    01 avril 2015

    Sans aucun doute le plus célèbre des peintres espagnols du XVIIe siècle, Velázquez est l’invité d’honneur du Grand Palais au printemps 2015. Surnommé "le Siècle d’Or", le XVIIe siècle espagnol est celui d’une extraordinaire floraison artistique dans tous les domaines. Celui de la littérature avec des auteurs comme Cervantès, Lope de Vega, etc., et celui des beaux-arts avec une production artistique inspirée du baroque importé d’Italie. L’Espagne est alors prospère de son empire colonial américain et la monarchie espagnole est au sommet de sa puissance. Velázquez est le grand maître du Siècle d’or.
    Formé très jeune dans l’atelier de Francisco Paccheco, peintre influent et lettré de la capitale andalouse, il ne tarde pas à s’imposer et, encouragé par son maître devenu aussi son beau-père, il tente sa chance à la cour de Madrid. Après une première tentative infructueuse, il est nommé peintre du roi en 1623 marquant le début d’une ascension artistique et sociale qui le mènera aux plus hautes charges du palais et au plus près du souverain. Sa carrière est rythmée par deux voyages déterminants en Italie, le premier autour de 1630, le second autour de 1650, et par les naissances et décès successifs des héritiers au trône.

    Beaux Arts éditions accompagne cette incroyable exposition et restitue l’ensemble de la vie, l’œuvre et l’univers de celui que Manet saluait comme le "peintre des peintres". Ce sera également l’occasion de revenir sur l’influence qu’il a exercé auprès de ses contemporains. Le hors-série revient également sur son importance dans l’art du portrait – dont il libère et renouvelle le genre – tout en évoquant le paysage, la peinture d’histoire, la scène de genre ou la nature morte, genres dans lesquels il excelle tout autant. Beaux Arts éditions analyse ainsi le génie de l’art de Velázquez, qui préfigure déjà les audaces de l’art du XXe siècle.

    Exposition au Grand Palais à Paris
    du 25 mars 2015 au 13 juillet 2015


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401601
    Reliure : Broché
  • Art absolument

     

     
     
     

     
     
     

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Ormesson Jean d'

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas

     

    Saison 1

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas - Saison 1
     
     

    Résumé

    Cette semaine, Frédéric Mitterrand s'intéresse à l'académicien Jean d'Ormesson. Né le 16 juin 1925, il a passé une partie de sa jeunesse en Bavière. C'est un acien élève de l'Ecole normale supérieure, licencié en histoire-géographie et agrégé de philosophie. Il a commencé sa carrière comme haut fonctionnaire à l'Unesco, dans différents cabinets ministériels et à l'ONU, puis il fut directeur du «Figaro». Le 18 octobre 1973, il est élu à l'Académie française, succèdant à Jules Romains. A 83 ans, il n'a rien perdu de sa verve et de son humour. Ce film rend hommage à l'oeuvre, la personnalité et l'histoire de ce symbole de la culture du XXe siècle.

    Autres

    • Frédéric Mitterrand / Réalisateur
    • Gilbert Balavoine / Auteur
    • Jean-Claude Guillebaud / Auteur
  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Truffaut François

    François Truffaut l'insoumis

    François Truffaut l'insoumis

    +

     

     

    Réalisateur: Alexandre Moix
    Producteur : ARTE GEIE, Les Films d’Ici et l'INA.
    Nationalité : France

    Truffaut s’engagea dans les grands combats de son époque. Portrait inattendu et intime d’un écorché vif.

    Pour beaucoup, François Truffaut incarne l’image d’un homme sage et rangé, d’un cinéaste devenu classique. Mais la façade "petite-bourgeoise" d’un artiste uniquement préoccupé par le cinéma est trompeuse, tant l’homme fut un écorché vif, aux nombreux engagements politiques. Mais, mesuré et humble, il n’en fit pas toujours la publicité auprès du grand public. Recoupant les témoignages de ses proches (dont Jean-François Stévenin et Georges Kiejman) avec des archives télévisées, Alexandre Moix compose le portrait diffracté d’un Truffaut méconnu, en colère contre son époque. "Je suis contre la société mais pas d’une façon forcenée. Je suis contre la notion de société", disait-il.
    Révolté, l’auteur de Fahrenheit 451 le fut dès son enfance, qu’il qualifiait de "boiteuse", marqué à vie par le désintérêt méprisant de ses parents. Très agressif, voire enragé dès qu’il parle de cinéma, sa  précoce monomanie, il se retrouve en centre pour mineurs délinquants. André Bazin l’en délivre. Le célèbre critique voit en lui une plume journalistique en devenir. Celui qui désertera lors de son service militaire apprend alors à "transformer sa colère contre la société en combat intellectuel" pour le cinéma. Mais sa plume virulente puis son art de cinéaste ne le détourneront pas de certains engagements concrets. Admirant Sartre, François Truffaut prend position avec Simone de Beauvoir pour la légalisation de l’avortement, soutient les déserteurs en Algérie et alerte l’opinion sur l’enfance maltraitée. En 1968, il se mêle aux manifestants qui stoppent le Festival de Cannes, arguant qu’"un artiste doit être un sceptique, celui qui râle et doute".

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