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CEUX QUE J'AIME - Page 34

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de, Voyage

    Bulletin Nerval

    Bulletin Nerval nº 134 / 1er février 2015
     
     
    OUVRAGES
     
    - Le texte complet de la thèse de François Sylvos ("Gérard de Nerval et l'esprit critique, satire, révolte et utopie"; Gabrielle Chamarat dir., Caen, 1995) est désormais disponible sur le site des archives ouvertes HAL (https://tel.archives-ouvertes.fr/UNIV-REUNION/tel-01103244v1) ainsi qu'en version papier (voir pièce jointe).

    - Alan Raitt, Lectures croisées, textes édités par Francisco Manzini, Oxford, Berne, etc., Peter Lang, 2015 (chapitre 2 : "Time and instability in Nerval’s Sylvie"; chapitre 3 : "Sylvie and L'Education sentimentale »).
     
     
    ARTICLE
     
    Guy Barthelemy, " Verve et paradoxe chez Nerval", dans " Recherches et travaux" nº 85, "La verve", université Stendhal, 2014, pp. 75-87.


    COMPTES RENDUS 
     
    - Anthony Zielonka, CR de Gérard de NervalŒuvres complètes, xiii: Aurélia, ou Le Rêve et la vie (Édition critique par Jean-Nicolas Illouz, Bibliothèque du xixe siècle, Paris: Classiques Garnier, 2013. 184 pp., ill.), dans "French Studies", 2015, p. 102.

    - (anonyme), CR de Hamdi Abdelazim Abdelkader, L'Egypte dans le "Voyage en Orient" de Gérard de Nerval (Connaissances et savoirs, 2012), in Histoires littéraires, juillet-décembre 2014, n° 59-60, p. 284-285.
     
     
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    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes

    Hors-série : Bonnard - Peindre l'Arcadie

     

    Pierre Bonnard

     

    Peindre l'Arcadie

    9.50 € TTC

     
    25 mars 2015

    Après les expositions Bonnard organisées dans le monde entier, le musée d’Orsay se devait de lui consacrer une grande rétrospective représentative de toutes les périodes de sa création.
    Pierre Bonnard est sans aucun doute un des peintres les plus importants de la première moitié du XXe siècle et l’un des plus grands coloristes de la peinture occidentale. Après avoir été l’un des principaux représentants du
    nabisme, au côté notamment de Vuillard, Denis et Sérusier, il évolue vite vers une peinture très personnelle. D’abord confinée à l’austérité de couleurs qui traduisent l’atmosphère feutrée des scènes intimistes, sa palette s’éclaircit rapidement à partir de 1905. Bonnard découvre alors les impressionnistes, mais refuse de se laisser dominer par les spectacles de la nature. Il crée peu à peu un univers enchanté de jeunes femmes resplendissantes, de paysages inondés de soleil, de bouquets et de fruits miraculeusement préservés des atteintes du temps. Bonnard suit pourtant le fauvisme, cubisme, surréalisme mais s’en tient à l’écart. À partir de 1930, par un chromatisme de plus en plus éclatant, son œuvre s’affranchit de la réalité et parvient à exprimer l’espace par la seule juxtaposition des tons.

    Affichiste, décorateur, lithographe, Pierre Bonnard a influencé plusieurs générations de peintres. Son apport fondamental à l’élaboration du langage figuratif s’affirme dans l’exploration de la couleur, le refus de la perspective traditionnelle et l’affirmation du caractère bidimensionnel de l’espace pictural. Bonnard s’est consacré à son art avec humilité et passion tout au long de sa vie. Le hors-série qui accompagne l’exposition montre l’ensemble de ses périodes, des techniques employées et des thèmes abordés : du tableautin au grand format, du portrait à la nature morte, de la scène intime au sujet pastoral, du paysage urbain au décor antique. Sa palette aux couleurs vives et lumineuses en fait l’un des principaux acteurs de l’art moderne et un représentant éminent du courant arcadien.

    Exposition au musée d'Orsay
    du 17 mars 2015 au 19 juillet 2015


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401571
    Reliure : Broché

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Voyage

    Velázquez

     

     

     

    au Grand Palais

    9.50 € TTC

     
    01 avril 2015

    Sans aucun doute le plus célèbre des peintres espagnols du XVIIe siècle, Velázquez est l’invité d’honneur du Grand Palais au printemps 2015. Surnommé "le Siècle d’Or", le XVIIe siècle espagnol est celui d’une extraordinaire floraison artistique dans tous les domaines. Celui de la littérature avec des auteurs comme Cervantès, Lope de Vega, etc., et celui des beaux-arts avec une production artistique inspirée du baroque importé d’Italie. L’Espagne est alors prospère de son empire colonial américain et la monarchie espagnole est au sommet de sa puissance. Velázquez est le grand maître du Siècle d’or.
    Formé très jeune dans l’atelier de Francisco Paccheco, peintre influent et lettré de la capitale andalouse, il ne tarde pas à s’imposer et, encouragé par son maître devenu aussi son beau-père, il tente sa chance à la cour de Madrid. Après une première tentative infructueuse, il est nommé peintre du roi en 1623 marquant le début d’une ascension artistique et sociale qui le mènera aux plus hautes charges du palais et au plus près du souverain. Sa carrière est rythmée par deux voyages déterminants en Italie, le premier autour de 1630, le second autour de 1650, et par les naissances et décès successifs des héritiers au trône.

    Beaux Arts éditions accompagne cette incroyable exposition et restitue l’ensemble de la vie, l’œuvre et l’univers de celui que Manet saluait comme le "peintre des peintres". Ce sera également l’occasion de revenir sur l’influence qu’il a exercé auprès de ses contemporains. Le hors-série revient également sur son importance dans l’art du portrait – dont il libère et renouvelle le genre – tout en évoquant le paysage, la peinture d’histoire, la scène de genre ou la nature morte, genres dans lesquels il excelle tout autant. Beaux Arts éditions analyse ainsi le génie de l’art de Velázquez, qui préfigure déjà les audaces de l’art du XXe siècle.

    Exposition au Grand Palais à Paris
    du 25 mars 2015 au 13 juillet 2015


    Informations sur le livre: 68 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020401601
    Reliure : Broché
  • Art absolument

     

     
     
     

     
     
     

    Redécouvrez les artistes que nous aimons et soutenons.

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    • moi

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Ormesson Jean d'

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas

     

    Saison 1

    Jean d'Ormesson, la vie ne suffit pas - Saison 1
     
     

    Résumé

    Cette semaine, Frédéric Mitterrand s'intéresse à l'académicien Jean d'Ormesson. Né le 16 juin 1925, il a passé une partie de sa jeunesse en Bavière. C'est un acien élève de l'Ecole normale supérieure, licencié en histoire-géographie et agrégé de philosophie. Il a commencé sa carrière comme haut fonctionnaire à l'Unesco, dans différents cabinets ministériels et à l'ONU, puis il fut directeur du «Figaro». Le 18 octobre 1973, il est élu à l'Académie française, succèdant à Jules Romains. A 83 ans, il n'a rien perdu de sa verve et de son humour. Ce film rend hommage à l'oeuvre, la personnalité et l'histoire de ce symbole de la culture du XXe siècle.

    Autres

    • Frédéric Mitterrand / Réalisateur
    • Gilbert Balavoine / Auteur
    • Jean-Claude Guillebaud / Auteur
  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Truffaut François

    François Truffaut l'insoumis

    François Truffaut l'insoumis

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    Réalisateur: Alexandre Moix
    Producteur : ARTE GEIE, Les Films d’Ici et l'INA.
    Nationalité : France

    Truffaut s’engagea dans les grands combats de son époque. Portrait inattendu et intime d’un écorché vif.

    Pour beaucoup, François Truffaut incarne l’image d’un homme sage et rangé, d’un cinéaste devenu classique. Mais la façade "petite-bourgeoise" d’un artiste uniquement préoccupé par le cinéma est trompeuse, tant l’homme fut un écorché vif, aux nombreux engagements politiques. Mais, mesuré et humble, il n’en fit pas toujours la publicité auprès du grand public. Recoupant les témoignages de ses proches (dont Jean-François Stévenin et Georges Kiejman) avec des archives télévisées, Alexandre Moix compose le portrait diffracté d’un Truffaut méconnu, en colère contre son époque. "Je suis contre la société mais pas d’une façon forcenée. Je suis contre la notion de société", disait-il.
    Révolté, l’auteur de Fahrenheit 451 le fut dès son enfance, qu’il qualifiait de "boiteuse", marqué à vie par le désintérêt méprisant de ses parents. Très agressif, voire enragé dès qu’il parle de cinéma, sa  précoce monomanie, il se retrouve en centre pour mineurs délinquants. André Bazin l’en délivre. Le célèbre critique voit en lui une plume journalistique en devenir. Celui qui désertera lors de son service militaire apprend alors à "transformer sa colère contre la société en combat intellectuel" pour le cinéma. Mais sa plume virulente puis son art de cinéaste ne le détourneront pas de certains engagements concrets. Admirant Sartre, François Truffaut prend position avec Simone de Beauvoir pour la légalisation de l’avortement, soutient les déserteurs en Algérie et alerte l’opinion sur l’enfance maltraitée. En 1968, il se mêle aux manifestants qui stoppent le Festival de Cannes, arguant qu’"un artiste doit être un sceptique, celui qui râle et doute".

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  • François TRUFFAUT chez soi

    Chez soi

    L'option de luxe, c'est le coffret que publie TF1 vidéo : l'intégrale Truffaut, soit, on le rappelle, vingt-et-un longs métrages, pour 99 euros. Quoique... Même si l'on est heureux de pouvoir faire le tour complet d'un cinéaste – comme on peut le faire de Pialat ou Rohmer – des problèmes de droit rendent ce coffret très hétérogène. Un peu d'histoire : au début des années 2000, Madeleine Morgenstern, la veuve de François Truffaut, accordait les droits d'exploitation du catalogue des Films du Carosse à MK2, la société de Marin Karmitz. Soit douze films que MK2 sortait en DVD, alors que le support venait de naître, croissait et proliférait encore, dans de belles éditions critiques (bonus à gogo) supervisées par Serge Toubiana. Les autres films, fruits de coproduction avec des majors américaines, sont sortis de façon éparse, dans des éditions désormais datées : c'est le cas des films Artistes Associés, comme L'Homme qui aimait les femmes, qui n'est pas encodé en 16/9 (on voit le film dans un petit rectangle sur son écran télé).

     

    Le coffret est donc un patchwork qui réunit :

    1/ les DVD MGM/UA franchement obsolètes,

    2/ un catalogue MK2 que l'on transfère peu à peu en HD et Blu-ray, et qui accuse aussi, du moins partiellement, son âge,

    3/ des masters plus récents, comme celui de La Nuit américaine, restauré par la Warner,

    4/ un inédit DVD : Une Belle Fille comme moi, disponible ici dans son pressage allemand, avec menu en allemand et des instructions précises pour enlever les sous-titres en gothique. Etrange, non ? « On a négocié avec la Columbia pour avoir un DVD français, explique Pierre Olivier, chargé du projet chez TF1 vidéo, mais on a vu que ça prendrait trop de temps, qu'on raterait l'événement de l'automne 2014. Et tous les titres du catalogue MK2 auront peu à peu leur version blu-ray... » Le coffret n'est pas parfait, mais il a le mérite d'exister. Et les puristes rachèteront sans doute, dans la mesure de leurs moyens, les éditions ultérieures - a fortiori si les représentants des studios se mettent un peu au boulot. Choix cornélien, d'ici là.

    Paradoxe ultime : certaines diffusions télé proposeront sans doute des masters supérieurs à ceux des DVD. C'est le cas de... L'Homme qui aimait les femmes le 20 octobre, en troisième partie de soirée (quand même) sur France 2. Arte offre un hommage plus tardif, du 27 octobre au 7 novembre, avec trois longs métrages en première partie de soirée (La Peau douce, le 27 octobre, Le Dernier métro le 2 novembre, Les Quatre Cents Coups le 3 novembre), un doc inédit (Truffaut l'insoumis, d'Alexandre Moix, etc.)

    P-S. : Pour l'instant, il n'y a pas de Truffaut sur Netflix...

    http://www.telerama.fr/cinema/truffaut-qu-y-a-t-il-au-programme,117524.php

  • J'ai fini cet après-midi:Dossier de l'Art n° 225

    Dossier de l'Art n° 225
    GUSTAVE MOREAU. L'ARTISTE ET SON MUSÉE

    N° 225 - janvier 2015 - 9,50 €

    ISSN : 1161-3122

    Dossier de l'Art n° 225 - janvier 2015

     

           

    Description du numéro Dossier de l'Art n° 225

    Artiste mythique du Paris fin-de-siècle, "assembleur de rêves » comme il aimait à se définir, Gustave Moreau a passé ses dernières années à transformer sa demeure en un musée à la gloire de son oeuvre. L'institution, devenue le musée Gustave Moreau dès 1903, a ouvert en 2015 une nouvelle page de son histoire en réhabilitant de façon exemplaire son rez-de-chaussée.
    Ce numéro revient sur sa muséographie somptueuse et vous propose de plonger dans l'œuvre fascinant d'un maître qui sut renouveler de façon magistrale les formes de la peinture d’histoire.


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    Numéro précédent : Dossier de l'Art n° 224 - ANDRÉ-CHARLES BOULLE, ÉBÉNISTE DE LOUIS XIV
  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Picasso Pablo

    L’affaire Picasso enfin résolue ?

    L’affaire Picasso enfin résolue ?

    Pendant trente-sept ans, 271 œuvres de Pablo Picasso ont été conservées dans le garage d’un couple. Pierre Le Guennec et sa femme, accusés de recel par les héritiers du maître, ont assisté à leur procès au tribunal correctionnel de Grasse du mardi 10 au jeudi 12 février.