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CEUX QUE J'AIME - Page 36

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de

    Bulletin Nerval nº 133 / 1er janvier 2015

    Bulletin Nerval nº 133 / 1er janvier 2015

     
    OUVRAGE
     
    Daniel S. Larangé, "Sciences et mystique dans le romantisme social. Discours mystiques et argumentation scientifique au XIXe siècle", préface de M. Angenot, Paris, L'Harmattan, 2014, p. 195-216 ("L"initiation libanaise de Gérard de Nerval")
     
    CONFERENCE 
     
    Hisashi Mizuno, "Aurélia ou une étude poétique de l’âme humaine.Du biographique à l’autobiographique dans les dernières œuvres de Gérard de Nerval", dans le cadre de "Après-midi d’étude Du Bellay / Nerval", le samedi 13 décembre 2014, à 15 h, Maison de la recherche-Sorbonne (Paris IV).
     
     
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    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
     
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.
  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de

    Bulletin Nerval nº 130 / 1er octobre 2014

                                 Bulletin Nerval nº 130 / 1er octobre 2014

     
    OUVRAGES
     
    - Ann Jefferson,  "Le défi biographique", Paris, PUF, 2012.  (chapitre 9. Les vertus de la marginalité dans "Les Illuminés" de Nerval [pp. 209-224]).
     
    - Edgard Pich, "Le Temps, la mort, le moi et la littérature", Lyon, éditions Jacques André, 2014 (plusieurs chapitres sur Nerval)
     
     
    TÉLÉFILM
     
    "La clinique du docteur Blanche"  Arte, 12 septembre 2014, à 20 h 50. 
    Réalisateur : Sarah Lévy
     
     
     
    MUSIQUE
     
    Choix de poèmes de Nerval mis en musique et chantés, à la guitare folk, par François Térrog
     
     
     
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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Venise

    Zoran Mušič

    Zoran Mušič, né le 12 février 1909 à Bukovica, hameau de Gorica (Gorizia), ville aujourd'hui traversée par la frontière italo-slovène et qui fait alors partie de l'empire austro-hongrois, et mort le 25 mai 2005 à Venise, est un peintre et graveur Slovène de la nouvelle École de Paris.

    alt=Description de cette image, également commentée ci-après

    De gauche à droite : Mušič avec les peintres Manessier et Eudaldo, début des années 1960.

     
    Naissance 12 février 1909
    Bukovica (Slovénie)
    Décès 25 mai 2005 (à 96 ans)
    Venise (Italie)
    Nationalité Drapeau de Slovénie Slovène
    Activités Artiste peintre
    Mouvement artistique École de Paris

    Sommaire

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Keats John

    John Keats

    John Keats

    Les rêveries de l’effacement

     

     

     

     

    John Keats

     

    Ici repose celui dont le nom était écrit dans l'eau (Here lies one whose name was writ in water).

     

    Cette simple épitaphe sur la tombe de John Keats, écrite et voulue par lui, dit tout de son passage « liquide » parmi nous.

    Il s'en va flottant dans les fleuves patients du temps, John Keats, basculé dans l'autre rive avant son temps, avant les fruits mûrs même.

    Pour lui Shelley, son "ami", son protecteur, qui se noya dix-huit mois après la mort de Keats, et sur qui l'on retrouva un recueil des poèmes de Keats aura écrit:

    Paix, Paix

    Il n'est pas mort,

    Il n'est pas endormi

    Il s'est réveillé

    De ce rêve qu'est la vie.(Adonaïs)

    Ils reposent côte à côte désormais au cimetière protestant de Rome.

     

    Paix donc à John Keats qui avait su dire « La poésie de la terre ne meurt jamais ».

    Mais aussi:

    Disparaître loin, m’évanouir, me dissoudre et oublier

    Ce que toi, ami des feuilles, tu n’as jamais connu,

    Le souci, la fièvre, le tourment d’être

    Parmi les humains qui s’écoutent gémir. (Ode à un rossignol, traduction Alain Suied)

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  • Alfred de MUSSET (1810-1857), A mon frère, revenant d'Italie

    Ainsi, mon cher, tu t'en reviens
    Du pays dont je me souviens
    Comme d'un rêve,
    De ces beaux lieux où l'oranger
    Naquit pour nous dédommager
    Du péché d'Ève.

    Tu l'as vu, ce ciel enchanté
    Qui montre avec tant de clarté
    Le grand mystère ;
    Si pur, qu'un soupir monte à Dieu
    Plus librement qu'en aucun lieu
    Qui soit sur terre.

    Tu les as vus, les vieux manoirs
    De cette ville aux palais noirs
    Qui fut Florence,
    Plus ennuyeuse que Milan
    Où, du moins, quatre ou cinq fois l'an,
    Cerrito danse.

    Tu l'as vue, assise dans l'eau,
    Portant gaiement son mezzaro,
    La belle Gênes,
    Le visage peint, l'oeil brillant,
    Qui babille et joue en riant
    Avec ses chaînes.

    Tu l'as vu, cet antique port,
    Où, dans son grand langage mort,
    Le flot murmure,
    Où Stendhal, cet esprit charmant,
    Remplissait si dévotement
    Sa sinécure.

    Tu l'as vu, ce fantôme altier
    Qui jadis eut le monde entier
    Sous son empire.
    César dans sa pourpre est tombé :
    Dans un petit manteau d'abbé
    Sa veuve expire.

    Tu t'es bercé sur ce flot pur
    Où Naple enchâsse dans l'azur
    Sa mosaique,
    Oreiller des lazzaroni
    Où sont nés le macaroni
    Et la musique.

    Qu'il soit rusé, simple ou moqueur,
    N'est-ce pas qu'il nous laisse au coeur
    Un charme étrange,
    Ce peuple ami de la gaieté
    Qui donnerait gloire et beauté
    Pour une orange ?

    Catane et Palerme t'ont plu.
    Je n'en dis rien ; nous t'avons lu ;
    Mais on t'accuse
    D'avoir parlé bien tendrement,
    Moins en voyageur qu'en amant,
    De Syracuse.

    Ils sont beaux, quand il fait beau temps,
    Ces yeux presque mahométans
    De la Sicile ;
    Leur regard tranquille est ardent,
    Et bien dire en y répondant
    N'est pas facile.

    Ils sont doux surtout quand, le soir,
    Passe dans son domino noir
    La toppatelle.
    On peut l'aborder sans danger,
    Et dire : " Je suis étranger,
    Vous êtes belle. "

    Ischia ! C'est là, qu'on a des yeux,
    C'est là qu'un corsage amoureux
    Serre la hanche.
    Sur un bas rouge bien tiré
    Brille, sous le jupon doré,
    La mule blanche.

    Pauvre Ischia ! bien des gens n'ont vu
    Tes jeunes filles que pied nu
    Dans la poussière.
    On les endimanche à prix d'or ;
    Mais ton pur soleil brille encor
    Sur leur misère.

    Quoi qu'il en soit, il est certain
    Que l'on ne parle pas latin
    Dans les Abruzzes,
    Et que jamais un postillon
    N'y sera l'enfant d'Apollon
    Ni des neuf Muses.

    Il est bizarre, assurément,
    Que Minturnes soit justement
    Près de Capoue.
    Là tombèrent deux demi-dieux,
    Tout barbouillés, l'un de vin vieux,
    L'autre de boue.

    Les brigands t'ont-ils arrêté
    Sur le chemin tant redouté
    De Terracine ?
    Les as-tu vus dans les roseaux
    Où le buffle aux larges naseaux
    Dort et rumine ?

    Hélas ! hélas ! tu n'as rien vu.
    Ô (comme on dit) temps dépourvu
    De poésie !
    Ces grands chemins, sûrs nuit et jour,
    Sont ennuyeux comme un amour
    Sans jalousie.

    Si tu t'es un peu détourné,
    Tu t'es à coup sûr promené
    Près de Ravenne,
    Dans ce triste et charmant séjour
    Où Byron noya dans l'amour
    Toute sa haine.

    C'est un pauvre petit cocher
    Qui m'a mené sans accrocher
    Jusqu'à Ferrare.
    Je désire qu'il t'ait conduit.
    Il n'eut pas peur, bien qu'il fît nuit ;
    Le cas est rare.

    Padoue est un fort bel endroit,
    Où de très grands docteurs en droit
    Ont fait merveille ;
    Mais j'aime mieux la polenta
    Qu'on mange aux bords de la Brenta
    Sous une treille.

    Sans doute tu l'as vue aussi,
    Vivante encore, Dieu merci !
    Malgré nos armes,
    La pauvre vieille du Lido,
    Nageant dans une goutte d'eau
    Pleine de larmes.

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  • Catégories : ARAGON Louis, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Venise

    Louis Aragon:Chante la beauté de Venise afin d'y taire tes malheurs.

    Tout est sans prix
    L'amour sans prise
    Un plaisir seul n'est pas un leurre
    Et la lumière se divise à l'arc-en-ciel rompu des pleurs
    Car nulle part comme à Venise on ne sait déchirer les fleurs
    Nulle part le coeur ne se brise comme à Venise la douleur


    Le Roman inachevé
    Read more at http://www.dicocitations.com/citation_auteur_ajout/62606.php#zRp0HPHyRAFI4Q7m.99

  • Alexandre Blok

    Le poète de la musique des autres mondes

     

    Le rossignol au cœur gelé

     

     

    Blok

     

     

    Dans les bribes de paroles

    J’entends la marche brumeuse

    des autres mondes

    et du temps le sombre vol,

    je sais chanter avec le vent...

    (traduction Serge Venturini)

     

    Être poète russe, voulait dire encore il y a peu en Russie et sans doute encore, être un voyant.

    Alexandre Blok fut cela, et, autant que Pouchkine, il aura marqué les lettres russes. Il aura été sans le vouloir à la jonction des mondes qui s'opposaient, et dans le passage fiévreux d’espoir de l'un à l’autre. Il pressentait qu’il lui faudrait vivre dans un autre temps. Il le désirait : il en fut terrassé de déceptions.

    Et il se laissa quasiment mourir de désolation pour sa « patrie malade ». Alexandre Blok sera victime d'une sorte de non-désir de vivre : «  Le poète meurt parce qu'il ne peut plus respirer. La vie a perdu son sens », a-t-il écrit. Comme ses amis poètes - Nicolas Goumilev, Serge Essénine, Maïakovski, Marina Tsvétaéva, Ossip Mandelstam...- il sera fauché avant que les blés ne soient mûrs. À 41 ans, le 7 août 1921, il disparaît, laissant dans la glaciation qui s’étend, une Russie figée où n’émergent qu’Anna Akhmatova et Pasternak réduits au silence et à l’effroi.

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  • Catégories : ARAGON Louis, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Venise

    Louis Aragon

    Louis Aragon

    Par Jean Montenot publié le 01/06/2011

    Né en 1897, cet intellectuel français fut un des créateurs du mouvement surréaliste. Homme engagé pendant les deux guerres mondiales pour lesquelles il a été décoré, militant du mouvement communiste, son oeuvre évoluera sous l'influence d'Elsa Triolet, sa muse.


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/louis-aragon_1008232.html#9GqTRojiSaOcdvUh.99
     
    Aragon hélas... Aragon tout de même ! Tout commence par cette enfance invraisemblable, entre comédie de boulevard et drame : un père préfet de police qui se fait passer pour son parrain, et une mère, qui se fait passer pour sa soeur. Ni sans famille, ni en famille, déjà à plein dans les faux-semblants, pas encore le "mentir-vrai" mais de vraies blessures dans les coulisses de son moi-théâtre. Puis il y eut la Grande Guerre : la révélation de sa véritable ascendance, la rencontre avec André Breton et l'expérience du front - pas encore le "front rouge" - mais avec du sang, du vrai, une première croix de guerre en sus. Il faut imaginer en ancien combattant de vingt et un ans cet "enfant de l'automne", sensible, délicat, perturbé - on le serait à moins - déjà poète assurément ! Il ne pouvait que prendre le large, fuir là-bas dans cet imaginaire où des oiseaux bariolés sont ivres. Dada, surréalisme, roaring twenties, ce fut le temps des amours mondaines, des élans et des retombées, jusqu'au suicide manqué... Puis il y eut Elsa qui vint à sa rencontre, la reconstruction de soi et le parti communiste, l'ancrage solide, définitif. Le déboussolé avait trouvé une famille : Triolet et Parti à perpétuité ou presque. Le surréaliste provocateur un rien dépravé s'était mué en bolchevique du genre stalinien : ce fut Front rouge(1931) - "Descendez les flics/Camarades/descendez les flics/Plus loin plus loin vers l'ouest où dorment/les enfants riches et les putains de première classe [...] Feu sur Léon Blum/Feu sur Boncour Frossart Déat/Feu sur les ours savants de la social-démocratie" et - en avant tovarischi ! - Vive le Guépéou(1931). 
    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/louis-aragon_1008232.html#9GqTRojiSaOcdvUh.99

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  • Les écrivains et leurs villes

    Les écrivains et leurs villes

    Les écrivains et leurs villes

    Nedim GÜRSEL
     
    Seuil, Cadre vert ,  ,  280 p.

    Reprenant ses vagabondages à travers les villes où ont vécu et écrit les grands écrivains de notre siècle, Nedim Gürsel nous emmène cette fois dans la Venise d'Aragon, d'Hemingway et de Proust, à travers les steppes de Gogol et le Moscou des poètes, l'Allemagne de Goethe et de Kafka et la Méditerrannée de Camus et de Mahmoud Darwich, pour ne citer que ces quelques auteurs. Ces villes si distantes, aux lumières si différentes, prennent alors une dimension nouvelle et jusque-là inconnue : elles existent parce qu'elles ont été écrites et vivent dans les pas de cet écrivain d'aujourd'hui parti sur les traces des mots d'autrefois.


    ISBN : 2021092046

    Quelques mots à propos de :  Nedim GÜRSEL

    Né en Turquie en 1951, Nedim GÜRSEL est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages, romans, nouvelles, récits de voyage, essais littéraires. Lauréat de plusieurs grands prix, dont le prix France-Turquie, il occupe une place primordiale dans la littérature de son pays et son œuvre est traduite dans de nombreuses langues. Il vit à Paris, où il est directeur de recherche au CNRS et enseigne à l'École des langues orientales.

    http://cetobac.ehess.fr/index.php?1372

  • Catégories : Baudelaire Charles, CEUX QUE J'AIME

    Baudelaire

    Baudelaire, un moderne antimoderne ?
    Télérama.fr
    Si la poésie de Baudelaire révéla l'esthétique de la vie moderne, l'écrivain en fut aussi un critique fervent. Dans leurs essais, Antoine Compagnon et ...
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    ladepeche.fr
    Baudelaire : un nœud de contradictions
    Antoine Compagnon a pris le parti de mettre à nu les contradictions de la personnalité complexe de Baudelaire. Le poète exècre la modernité de son ...
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  • Louis ARAGON,Après l'amour

     

     

     

     

    Je me souviens de cette ville
    Dont les paupières étaient bleues
    Où jamais les automobiles
    Ne s'arrêtent que quand il pleut



    Une lessive jaune et rose
    Y balançait au bord du ciel
    Où passaient des canards moroses
    Avec un ventre couleur miel



    On y a des manières d'être
    Qu'ailleurs on ne voit pas souvent
    Juste s'entrouvre une fenêtre
    Qu'un rideau blanc s'envole au vent



    Toutes les filles le dimanche
    S'en vont flâner au bord de l'eau
    Elles se gardent les mains blanches
    Pour attirer les matelots



    Le plus souvent marins d'eau douce
    Rencontrés sous les peupliers

    On voit qu'ils ne sont plus des mousses
    Comme ils dénouent les tabliers



    Tout est vraiment sans importance
    Un jour ou l'autre on se marie
    Les charpentiers dans l'existence Épousent la
    Vierge
    Marie



    Les hommes facilement chantent
    Et jurent plus facilement
    Quand leurs femmes se font méchantes
    Ils leur procurent des amants



    Le conjoint rentre sur le tard
    Avec une haleine d'anis
    L'épouse élève ses bâtards
    Et leurs héritiers réunis



    C'était peu après l'autre guerre

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  • Chateaubriand sur Venise

    J'ai pris Venise autrement que mes devanciers : j'ai cherché des choses que les voyageurs, qui se copient tous les uns les autres, ne cherchent point. Personne, par exemple, ne parle du cimetière de Venise; personne n'a remarqué les tombes des juifs au Lido ; personne n'est entré dans les habitudes des gondoliers, etc. Vous verrez tout cela. » (Lettre à M°» Récamier, du 15 septembre).

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne

    DAHO

      Champagne, Monsieur Daho

    Sud Ouest
    Merci Etienne Daho ! Le chanteur de retour avec son "Diskönoir tour" m'aura permis d'aller (enfin) assister à un concert aux Bourdaines à Seignosse, ...

    Étienne Daho. Parrain chic de la pop frenchy

    Le Télégramme
    Étienne Daho, ici aux Vieilles Charrues, à Carhaix, en juillet, n'en finit plus de tracer un itinéraire à part. (Photo Claude Prigent/Le Télégramme) ...

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  • J'ai lu cette semaine:Hors-série : Camille Claudel

     

    Signature : CDA - 20 novembre 2014
     
    Hors-série : Camille Claudel

    Edité à l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Camille Claudel, ce hors-série revient sur les pièces phares de l'artiste.

     

    Il permet, en parallèle de l'exposition que lui consacre La Piscine - Musée d'Art et d'Industrie André Diligent - Roubaix, de replacer son oeuvre dans la valse de l'Art Nouveau.

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne

    DAHO

    Etienne Daho au Transbordeur

    FM et LH | 05/12/2014 - 00:00 | 0 commentaire(s) | Envoyer | Imprimer |

    daho-604-tt-width-600-height-400-crop-1-bgcolor-000000.jpg
    ©DR



    Étienne Daho mange du Lyon. Il nous a déjà filé une claque sans précédent lors de son dernier concert estival à Fourvière, fusionnel jusqu’au moment de grâce, début d’une tournée qui se prolonge aujourd’hui toujours avec quatre musicos batterie / guitares, la scéno en plus. Le revoilà en décembre au Transbordeur dans le cadre de sa tournée Diskönoir, alors même qu’il vient de sortir le disque live avec pratiquement la même set list. Le dandy de la pop française fait (à juste titre) l’objet d’un culte tel que les fans ne rateront pas ce deuxième rendez-vous. La question qu’ils ne manqueront pas de se poser est : “Ce concert est-il la copie conforme de cet été, mais dans un lieu fermé, bonjour l’arnaque”. Visiblement non. Ses premiers pas à l’Olympia début novembre révèlent qu’un temps plus appuyé est consacré à son dernier album “Les chansons de l’innocence retrouvées”, dont Le Baiser du destin ou L’Homme qui marche. Évidemment, comme il est difficile de résister à un public qui vous suit à genoux depuis 30 ans et à ses petits nouveaux, nostalgiques de ce qu’ils n’ont pas vécu, on passera par la grande revue discographie habituelle. Mais avec une véritable évolution: un ton plus rock appuyé de guitares saturées et des alternatives aux tubes habituels, notamment en appuyant sur les raretés de l’époque Jacno qui font se déhancher ce fringant quinqua comme au temps de ses 20 ans. Ainsi, aux fondations du mythe, Week-end à Rome cède sa place à son élégant voisin de plage Sortir ce soir. Le résultat est le même : une foule en délire susurrant mot à mot les mélopées du bel Étienne, comme sur un Bleu comme toi extatique promis en bis. Quant aux clichés diffusés par les habituels détracteurs… Désolé ! Cet été, non seulement Étienne avait de la voix, mais en plus on ne l’a jamais vu chanter aussi juste, sans avoir besoin de se raccrocher aux accords avec ses pattes de chat. Le concert de l’hiver à ne pas rater. Seul hic : il vous faudra ruser en système D pour obtenir encore quelques places par miracle.

     


    Étienne Daho. Diskönoir Tour Vendredi 5 décembre à 20 h. 45 €. Transbordeur. 3 boulevard Stalingrad. Villeurbanne. 04 78 93 08 33. www.transbordeur.fr