Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Corto Maltese bat un record du monde aux enchères
Corto Maltese bat un record du monde aux enchères
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Corto Maltese bat un record du monde aux enchères
Henri de Toulouse-Lautrec : ses 150 ans célébrés sur Google
Référence bibliographique : Corinne Bayle, Nocturne de l'âme moderne, Le Spleen de Paris de Charles Baudelaire, Presses universitaires de Rouen et du Havre, collection "Cours", 2014. EAN13 : 9791024003528.
Inachevé et posthume, ce recueil en prose paru en 1869 est l’emblème de la modernité. La nouveauté de sa forme surprend par ses ruptures, du poème au conte, du discours à la fiction. Entre lyrisme et cynisme, sarcasme et mélancolie, il dessine la figure de l’artiste en promeneur solitaire de la métropole industrielle, baignant dans un univers hostile à l’idéal. C’est dans le renversement de cet exil que la littérature puise sa force de résistance. S’invente une poétique ou le prosaïque, la rêverie et l’ironie font pièce a la misère, la médiocrité ou la folie, dans le heurt d’images urbaines traversées par l’angoisse du Mal. Esquisses, scènes fugitives, ekphraseis contemporaines, promeuvent la poésie insolente d’un bizarre crépusculaire, au miroir d’un spleen dont l’intensité déchirante fait signe jusqu’à nous.
Corinne Bayle est professeur de littérature française (poésie des XIXe et XXe siècles) à l’École normale supérieure de Lyon.
Truffaut, la passion du cinéma
Marseille : Etienne Daho, sensuel et électrique, galvanise le Silo
Après six ans d'absence et avoir frôlé la mort, Etienne Daho est plus souple que jamais, vif. L'élégant rockeur ponctue ses ballades électriques de son ...
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Une
Lors de la vente d’art moderne et impressionniste du mercredi 5 novembre chez Christie’s, à New York, l’œuvre « Le Printemps » d’Édouard Manet a été acquise par le J. Paul Getty Museum de Los Angeles, par l’intermédiaire du marchand new-yorkais Otto Naumann, pour la somme de 65,125 millions de dollars (soit environ 52,2 millions d’euros).
Pierre et Jean
Couverture de l'édition Livre de poche
Manitas de Plata : son amitié avec Picasso sous l'œil de Lucien Clergue
Publié le 29/10/2014 à 16H06, mis à jour le 29/10/2014 à 17H34
Brigitte Fossey et Charles Denner dans "L'homme qui aimait les femmes" de François Truffaut - 1977
© UnifranceEn 1976, François Truffaut, réalisateur emblématique de la Nouvelle Vague, posait ses caméras à Montpellier pour tourner "L'homme qui aimait les femmes". 38 ans après, Cinemed rendait hommage au film en présence de l'une de ses héroïnes, Brigitte Fossey, et d'un documentariste de la région qui est parti sur les traces des figurantes montpelliéraines.
Par Julia Baudin Publié le 03/11/2014 à 10:45
Par Julia Baudin Publié le 03/11/2014 à 10:45
Sur Arte ce dimanche soir, un beau documentaire, signé Alexandre Moix, évoque l'enfance et les tribulations d'insoumis de François Truffaut.
François Truffaut, l'insoumis, ce dimanche soir sur Arte.
Raymond Cauchetier/Arte
Alors qu'il donnera ce soir le coup d'envoi d'une série de quatre concerts à l'Olympia, voici cinq bonnes raisons de vous rendre à l'un des concerts de la tournée française d'Etienne Daho !
Des scénarios prochainement adaptés, une correspondance à découvrir, une suite au Hitchbook… Le “Mois Truffaut” prend fin, mais pas notre Truffautmania.
Le fragile mais controversé Autoportrait de Léonard de Vinci sera de nouveau visible