Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
"A une passante"
Le 7/9 Un été avec Baudelaire
Un été avecBaudelaire
par Antoine Compagnon
du lundi au vendredi à 7h55
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le 7/9 Un été avec Baudelaire
par Antoine Compagnon
du lundi au vendredi à 7h55
Le 7/9 Un été avec Baudelaire
par Antoine Compagnon
du lundi au vendredi à 7h55
Les haines de Baudelaire sont extrêmes, par exemple dans ses Salons où il a ses « phares », comme Delacroix, ou William Haussoullier en 1845, Eugène Boudin en 1859, mais aussi ses têtes de Turc, comme Horace Vernet.
C’est sans doute l’un des plus célèbres tableaux de l’histoire de l’art. L’un des plus mystérieux aussi.
Si vous comptez vous rendre à Paris prochainement (les chanceux!), deux expositions présentées à la Cinémathèque française sont à marquer dans vos agendas. D'abord, celle de François Truffaut, disparu il y aura 30 ans en octobre.
Le cinéaste et sa relation profonde avec la littérature seront à l'honneur avec une exposition-événement qui retrace son foisonnant parcours à partir de scénarios annotés, d'ouvrages raturés, de correspondances, de notes manuscrites et de carnets, d'objets, de photos et d'affiches. Autant d'archives appartenues au réalisateur de La nuit américaine que sa famille a déposé à la Cinémathèque à la fin des années 1990.
L'autre expo à retenir sera dédiée au grand Michelangelo Antonioni (Blow up, Zabriskie Point). Là aussi, le public aura l'occasion de découvrir de nombreuses archives. Photographies, lettres, témoignages, peintures et textes permettront d'explorer l'univers d'un des plus impressionnants créateurs du XXe siècle.
Appelez-moi madame Thor
Le 29/07/2014
Publié le 25/07/2014 à 17H00, mis à jour le 25/07/2014 à 17H22
Érasme Quellin, maître de banquet
Figures incontournables de l’art moderne, acteurs marquants de l’abstraction, Hans Hartung (1904-1989) et Anna-Eva Bergman (1909-1987) ont traversé l’histoire du 20ème siècle et en ont bravé les drames. Dans les années soixante, ils font l’acquisition d’une oliveraie de deux hectares sur les hauteurs d’Antibes et y établissent, selon les plans de Hartung lui-même, leur villa et leurs ateliers. Ce lieu où ils ont vécu et travaillé jusqu’au terme de leur existence est aujourd’hui une fondation ouverte au public, conservant des fonds d’oeuvres et d’archives exceptionnels et un ensemble architectural remarquable, inscrit au patrimoine du 20ème siècle.
En savoir plus
http://www.fondationhartungbergman.fr/sitehhaeb/
Alors que les Américains et les Allemands continuent à dominer le classement Artindex des artistes internationaux, six Français emmenés par Anri Sala restent en bonne place.
Paul Signac, Vue de Constantinople, La Corne d’Or, matin, 1907, huile sur toile, 73,7 x 92,5 cm (Marseille, Musée des Beaux Arts. Photo de Presse RMN).
Bibliographie de Michael Fried.
Michael Fried, historien d'art, s'interroge sur l'émergence de la modernité et sur l'évolution du "modernisme" tel que défini par Clement Greenberg, dont il a été proche. C'est aussi un ami de Stanley Cavell.
A l'âge de 28 ans, il écrit un texte qui a fait date, Art et objectité. Dans cet article largement commenté, attaqué et discuté, il soutient qu'une sensibilité théatrale apparue dans les années 1960 menace la possibilité même de l'oeuvre d'art. A partir du moment où le spectateur et l'oeuvre partagent le même espace, leur rapport change de nature. La volonté d'emporter la conviction par un travail sur le support, la substance, la couleur ou la forme, encore dominant dans la peinture moderniste, est remplacée par une relation de type anthropomorphique, où l'objet occupe la place d'une autre personne avec laquelle le spectateur entre en relation (objectité).
Avec des nuances et beaucoup de prudence, Michael Fried n'a jamais renoncé à cette analyse. Selon lui l'art suppose un certain éloignement, une mise à distance du spectateur, du genre de celle que Diderot a décrite au 18ème siècle. Les peintres qu'il admire comme Morris Louis ou Kenneth Noland prolongent cette tradition, tandis que les minimalistes comme Donald Judd ou Tony Smith lui apparaissent comme des fossoyeurs de l'art.
Cette tension trouve sa source en France, dans la mutation qui conduit à la peinture moderne. Vers 1750, avec Chardin puis d'autres peintres comme Greuze, émerge un nouveau concept de tableau : celui où les personnages, absorbés dans leur activité, s'isolent du regard du spectateur. Michael Fried appelle cet état absorbement. Il est théorisé par Diderot, qui valorise le silence, la solitude, l'oubli de soi, la méditation.
La réaction contre cet absorbement ou anti-théatralité prendra des formes diverses. Au 18ème siècle, on recherche l'expression vraie et dramatique. Au 19ème siècle, Gustave Courbet trouvera une solution originale. Dans ses autoportraits, la peinture semble entrer en congruence avec son corps, dans un auto-absorbement qui conduit à la fusion entre le peintre, le modèle et le spectateur - comme si l'effort mental et physique de peindre était l'essentiel de ce qu'il qualifie de réalisme.
Manet et certains peintres de sa génération trouveront une autre solution. En s'adressant directement au spectateur, en bâtissant le tableau autour de sa présence, Manet privilégie une instantanéité de perception qui menace l'unité et l'intelligibilité du tableau. Si ses oeuvres font scandale, c'est parce qu'elles laissent apparaître des traces ou des restes difficilement compréhensibles dans la logique académique. Il y a en elles une tension fondamentale, une discordance, une disparité interne qui reste sensible au spectateur d'aujourd'hui.
Sérigraphie
Signée et numérotée au crayon
papier : 52x44 cm - image : 43x35 cm
Tirage de l'édition : 250 ex
Année : 2000
Prix : Vendu
Ref. 02594 # 150
L E S F E N O U I L L E D E S .n° 273. 2010.
Huile sur toile.
54 x 65 cm.
http://www.online-expo.fr/2014/02/catherine-jaeg/le-passage-des-panoramas/
" Qui m'aime me suive " [2004]
Hauteur : 55 cm / 21,7 in.
Largeur : 46 cm / 18,1 in.
Epaisseur : 2,5 cm / 1,0 in.
Techniques : acrylique
Supports : toile sur châssis
http://www.pictabilis.fr/fr/danielle_bonniol_ferrus_/fiche_18_?from=liste_tous