Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Un été avec Baudelaire
Un été avecBaudelaire
par Antoine Compagnon
du lundi au vendredi à 7h55

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Le 7/9 Un été avec Baudelaire
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du 24/07/2014
En 1848, Baudelaire s'enthousiasma pour la Révolution, avant de déchanter devant le coup d’État de 1851 et surtout le plébiscite qui le légitima ensuite. Il en conçut une profonde méfiance pour le suffrage universel, qui avait consacré un tyran.
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LE CATEAU-CAMBRÉSIS [05.06.14] – Carrie Pilto va quitter le Musée Matisse le 14 juillet prochain. Patrice Deparpe, conservateur au musée depuis 2010 va assurer l’intérim en attendant la désignation du nouveau directeur qui pourrait être... Patrice Deparpe.
Entre 1853 et 1870, des travaux gigantesques dirigés par le préfet Haussmann ont totalement remodelé Paris. Beaucoup critiqué, Haussmann a pourtant aéré et assaini la capitale, et lui a donné l'essentiel de son aspect actuel.
Déjà les beaux jours, - la poussière,
Un ciel d'azur et de lumière,
Les murs enflammés, les longs soirs ;
- Et rien de vert : - à peine encore
Un reflet rougeâtre décore
Les grands arbres aux rameaux noirs !
Ce beau temps me pèse et m'ennuie.
- Ce n'est qu'après des jours de pluie
Que doit surgir, en un tableau,
Le printemps verdissant et rose,
Comme une nymphe fraîche éclose
Qui, souriante, sort de l'eau.
(Recueil : Odelettes)
Ce poème -comme d'autres - est analysé dans mon mémoire en vente sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval"; cf. bannière en haut de ce blog.
La critique a déjà largement exploré les territoires de l’imaginaire et de la folie. Ce colloque se propose donc d’aborder un autre Nerval, plus soucieux du réel qu’on ne le croit généralement, un Nerval attentif à son temps, à la politique et au cours de l’histoire, comme nous le montrent ses premiers recueils poétiques (Napoléon et la France guerrière, Élégies nationales) ainsi que les Illuminés sous-titrés Les précurseurs du socialisme, les articles du journaliste « qui tourne au rouge », le théâtre politique (Léo Burckart), le roman historique inachevé (Le marquis de Fayolle), les nombreuses considérations géopolitiques qui émaillent le Voyage en Orient, ou encore les rêves politico-eschatologiques d’Aurélia. Les Faux-Saulniers et Angélique nous laissent deviner un écrivain hostile à la répression et à la censure, qui réagit aux événements contemporains, par exemple à l’amendement Riancey qui porte atteinte à la liberté d’expression. Nerval politique et, sinon penseur ou historiographe, du moins écrivain de l’histoire, tel sera le sujet de ce colloque. Nous nous interrogerons sur les perspectives politiques de l’œuvre nervalienne, sur l’implication d’une pensée du temps et de l’histoire, sur les formes diverses de l’écriture du politique, sur le rapport entre fiction et histoire, et sur l’utilisation ou le rejet des représentations historiographiques et des modèles littéraires (ceux de Dumas par exemple) de l’époque. Les communications s’intéresseront d’autant plus à l’articulation de l’esthétique et de l’idéologique que Nerval lui-même n’hésite pas à faire de cette relation le sujet de fictions méta-poétiques (avec l’histoire d’Adoniram, ou celle du narrateur dans Angélique).
Dimanche 3 et mardi 5 août, rendez-vous traditionnels sur la Piazza Grande avec deux projections gratuites pour un avant-goût du 67e Festival del film Locarno : Les Aventuriers de l’arche perdue et Les Quatre Cents Coups.
Le Rennais était venu aux Charrues il y a quatre ans. "Hyper heureux de revenir", le chanteur a offert un retour dans le temps à une partie du public de Kerampuilh. Sans décevoir.
Voilà plus de cinquante ans qu’Armand Scholtès (né en 1935 en Moselle où il vécut jusqu’en 1986 avant de s’installer à Nice) travaille sans relâche et construit une œuvre abstraite et colorée dont il revendique le caractère « inclassable » et qui embrasse les champs de la peinture, du dessin, de la sculpture ou de l’installation.
Le cadavre du Coréen Yoo Byung-eun, photographe connu sous le pseudonyme d’Ahae et propriétaire de Chonghaejin Marine, opérateur du ferry naufragé « Sewol », a été retrouvé dans un verger à Suncheon, au sud de Séoul.
1er décembre 2013
Hector Hanoteau (1823-1890), peintre paysagiste, fut à son époque un artiste renommé, influent auprès de ses pairs. La prochaine exposition du musée Courbet dévoilera une quarantaine d’œuvres (peintures, sculptures, aquarelles, photographies) invitant à découvrir ou redécouvrir ce peintre aujourd’hui méconnu, qui partageait avec Gustave Courbet un même engouement pour la peinture de paysage.
Hector Hanoteau est né à Decize, dans la Nièvre, le 25 mai 1823. Son goût pour la peinture s'affirme assez tôt. Il intègre l'atelier de Jean Gigoux à Paris et fréquente en parallèle l'École des Beaux-Arts de Paris. S’il lui est arrivé de peindre quelques œuvres orientalistes lors d’un séjour en Algérie, Hector Hanoteau est avant tout un paysagiste attaché à sa région natale. À partir de 1847 il participe chaque année au Salon, jusqu’en 1889. Reconnu pour ses toiles «si vraies, si vivantes, si sincères» (Albert de la Fizelière, L’union des Arts, 1864), les années 1860 voient sa consécration : il obtient plusieurs médailles dont une hors concours qui lui permet de voir tous ses envois acceptés chaque année au Salon sans passer par le jury.
Installé à Briet, il fonde une école de paysagisme qui sera réputée. Il travaille sur le motif, dans la Nièvre qu'il parcoure avec ses élèves. Parmi eux se trouvent Louis Marandat, Louis Tixier, Alfred Garcement et Paul Martin des Amoignes.
Courbet et Hanoteau étaient très proches et fréquentaient tous deux la Bohème parisienne, en particulier la Brasserie Andler.
Quelques œuvres en témoignent comme le Portrait d’Hanoteau par Courbet (1863 – collection privée) et une œuvre réalisée en collaboration, Baigneuses (1858), qui sera prêtée par le Musée d’Orsay, à l’occasion de cette exposition
L'exposition d'un «faux» Van Gogh dans un coffee shop fait polémique
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