Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Jean-Théobald JACUS
CHAQUE MATIN EST UNE SURPRISE
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CHAQUE MATIN EST UNE SURPRISE
Les films, les livres, les expos, les infos, les poèmes nourrissent ce blog mais aussi mes 13 livres en vente ici:
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Arrêt RER Nanterre-Université. Une petite traversée du campus et voici les cirques sous leurs chapiteaux multicolores. C'est juste après. On longe une palissade sur laquelle sont peintes, avec une grâce graphique digne de L'Empire des signes, des portées de musique. Ce jour-là, le soleil encore haut d'un début de soirée darde ses rayons dorés dans un ciel bleu, lavé par les giboulées cinglantes. Les feuilles des arbres scintillent. Un merle sautille dans une flaque.
À lire sur Tranströmer : une page sur le site du printemps des poètes, un article de Marc Blanchet dans le Matricule des anges, et un extrait sur Poezibao.
Ce texte est repris par Laurent Margantin sur son site Œuvres ouvertes - à découvrir au passage.
Tranströmer vient de recevoir le prix Nobel de littérature 2011.
La parution dans la collection Poésie / Gallimard des œuvres poétiques complètes du Suédois Tomas Tranströmer nous permet de découvrir une figure essentielle de la poésie contemporaine, figure reconnue internationalement mais encore mal connue en France. Il faut rendre hommage aux éditions Le Castor astral qui ont publié Baltiques traduit par Jacques Outin en 1996.
L’académie suédoise a décerné le prix Nobel de littérature à l’un des compatriotes, le poète Tomas Tranströmer, âgé de 80 ans.
Je précise que cette article n'est pas de moi mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Philippe Jaroussky sort lundi 9 septembre, chez Erato, un album dédié à Farinelli. Crédits photo : Jaroussky©Marc Ribes Erato-Warner Classics
Les contre-ténors Philippe Jaroussky et Franco Fagioli font renaître la rivalité qui opposait, au XVIIIe siècle, les deux vedettes de l'opéra.
Jules de Balincourt, Bang Big, 2011, huile sur bois, 243,8 x 218,4 cm (Courtesy de l’artiste et de la Galerie Thaddaeus Ropac, Paris).
Né en France (en 1972), Jules de Balincourt vit à New York depuis son enfance. Il s'y est formé, y a amorcé une carrière désormais internationale. Mais c'est ici la première exposition de l'artiste dans un musée français. Le peintre se définit comme « un touriste de la mondialisation qui consomme la culture visuellement et intellectuellement et transmet ou diffuse ses visions personnelles par le biais de l'image ». Sa peinture est un mélange original de néo-pop, avec des couleurs volontiers acides, et d'un style « fait main » qu'on pourrait rapprocher de certains art outsiders : réalisme plutôt expressif (et vaguement naïf) que photographique, matière picturale marquée, usage fréquent de couleurs à l'huile, supports en bois préférés à la toile. L'image naît directement sur le support, sans médiation d'un document photographique, d'où l'impression de spontanéité. Les sujets reflètent les préoccupations de la société américaine.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.