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CEUX QUE J'AIME - Page 53

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de

    Bulletin Nerval nº 122 / 3 janvier 2013

    Bulletin Nerval nº 122 / 3 janvier 2013
     
     
    ARTICLE
     
    - Corinne Bayle, " Langue perdue, harmonie universelle: L'utopie du poème dans l'œuvre de Gérard de Nerval", in Actes du colloque "Le XIXe siècle et ses langues".
     
     
    - Jacques Clémens, "Un médecin agenais à Paris : le docteur Etienne Labrunie, père de Gérard de Nerval (1776-1859)", in "Revue de l'Agenais", 140e année, n° 4, oct.-déc. 2013, p. 587-600
     
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    Ce Bulletin vous tiendra informe(e) des renseignements concernant Nerval. Si vous desirez le recevoir gratuitement et y faire paraitre des informations ou des commentaires, veuillez envoyer vos coordonnees et vos messages a Michel Brix ou Hisashi Mizuno.
     
    Les anciens numéros du Bulletin sont installes sur le site Amitie-Nerval et sur le site du Centre Nerval de Namur.

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Nerval Gérard de

    Bulletin Nerval nº 123 / 1er février 2013

     

     
     
    OUVRAGES
     
    Violaine BONEU, " L'Idylle en France au XIXe siècle", Paris, PUPS, coll. "Lettres Françaises", 2014.
    [Un chapitre est consacré à Nerval: "Nerval : chimères et consolations poétiques" (p. 293-329).]

    Alain MONTANDON, "Théophile Gautier, le poète impeccable", Editions Aden, coll. "Le Cercle des poètes disparus", 2013 (nombreuses mentions de Nerval)


    EDITION
    G. de Nerval, "Aurélia ou le Rêve et la Vie", éd. Jean-Nicolas Illouz, Paris, Classiques Garnier, 2013 ("OEuvres complètes de Nerval", t. XIII).


    ARTICLE
    Gabrielle CHAMARAT, "Nerval dans l'oeuvre critique de Max Milner", in "L'Année Baudelaire", n° 16 (2012 ; paru en 2013), p. 13-24.
     
     
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  • La formidable collection Bruegel du Musée des Beaux-Arts de Vienne

    « Le Portement de Croix » de Peter Bruegel l’Ancien fait partie d’un remarquable ensemble de peintures du maître conservé dans la capitale autrichienne.

     

    27/12/11 - 17 H 21

     

     « Le Portement de Croix impose son éblouissante virtuosité. Autour du minuscul...

    « Le Portement de Croix impose son éblouissante virtuosité. Autour du minuscul...

    (Flikr/Michael Ducloux)

    « Le Portement de Croix impose son éblouissante virtuosité. Autour du minuscule Christ central, un monde s’affaire, cerné à gauche par l’arbre de vie et à droite par le gibet de mort ».

     

    (Flikr/Michael Ducloux)

    « Le Portement de Croix impose son éblouissante virtuosité. Autour du minuscule Christ central, un monde s’affaire, cerné à gauche par l’arbre de vie et à droite par le gibet de mort ».

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME

    Paul Valéry

    Honneur des Hommes, Saint LANGAGE,
    Discours prophétique et paré,
    Belles chaînes en qui s’engage
    Le dieu dans la chair égaré,
    Illumination, largesse!
    Voici parler une Sagesse
    Et sonner cette auguste Voix
    Qui se connaît quand elle sonne
    N’être plus la voix de personne
    Tant que des ondes et des bois!

  • Catégories : Balzac Honoré de, CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Venise

    Massimilla Doni (1839)

    À Venise, Emilio Cane Memmi est le chevalier-servant (le mot italien pour amant) de la sublime Duchesse Massimilla Cataneo née Doni. Cet amour reste chaste malgré l'envie irrépréssible des deux amants. Survient la Tinti, fameuse diva, en représentation à la Fenice. Elle offrira à Emilio ce que la duchesse ne lui donnait pas. Comment vivre dans cette imposture ? Comment concilier les deux faces de l'amour ? Il faudra l'intelligence et la médiation d'un médecin Français pour débrouiller le cas.

    http://hbalzac.free.fr/oeuvre.php?identificateur=2003067.0

  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Verlaine Paul

    Paul VERLAINE

    Kaléidoscope 

       

    À Germain Nouveau.

    Dans une rue, au cœur d’une ville de rêve,
    Ce sera comme quand on a déjà vécu :
    Un instant à la fois très vague et très aigu...
    Ô ce soleil parmi la brume qui se lève !
     
    Ô ce cri sur la mer, cette voix dans les bois !
    Ce sera comme quand on ignore des causes ;
    Un lent réveil après bien des métempsycoses :
    Les choses seront plus les mêmes qu’autrefois
     
    Dans cette rue, au cœur de la ville magique
    Où des orgues moudront des gigues dans les soirs,
    Où les cafés auront des chats sur les dressoirs,
    Et que traverseront des bandes de musique.
     
    Ce sera si fatal qu’on en croira mourir :
    Des larmes ruisselant douces le long des joues,
    Des rires sanglotés dans le fracas des roues,
    Des invocations à la mort de venir,
     
    Des mots anciens comme un bouquet de fleurs fanées !
    Les bruits aigres des bals publics arriveront,
    Et des veuves avec du cuivre après leur front,
    Paysannes, fendront la foule des traînées
     
    Qui flânent là, causant avec d’affreux moutards
    Et des vieux sans sourcils que la dartre enfarine,
    Cependant qu’à deux pas, dans des senteurs d’urine,
    Quelque fête publique enverra des pétards.
     

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Picasso Pablo

    Olivier Widmaier Picasso, l'art en héritage

     

    Ne dites pas à Olivier Widmaier Picasso qu'il ressemble à un Picasso. C'est une évidence un peu courte, tant ce brun Méditerranéen - par sa mère Maya, fille naturelle du Minotaure et de la douce Marie-Thérèse Walter - est chez lui dans la tribu des mâles trapus et toniques dessinés par le maître du XXe siècle. Ce gène fort n'est pas vraiment une spécificité, si l'on connaît sa sœur cadette, Diana, belle chasseresse sortie tout droit d'un tableau de la période néoclassique. Ou, plus frappants encore, ses oncle et tante Claude et Paloma, les enfants de Françoise Gilot, que l'objectif de Richard Avedon a saisis en Picasso plus vrais que nature en 1966. Paradoxe ? Ce précieux patronyme lui est venu par les femmes, puisque Picasso était le nom de la mère de Pablo avant de devenir sa signature, en 1901. D'abord nom d'usage ajouté à Widmaier, il est devenu le nom de famille définitif de sa fratrie, en 2003, par décision de Jean-Pierre Raffarin, alors premier ministre.

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME

    Vertiges de la guerre

    Vertiges de la guerre

    Vertiges de la guerre

    Byron, les philhellènes et le mirage grec

    Que la guerre puisse être un objet de désir ? L'idée nous est presque devenue étrangère, tant les deux guerres mondiales ont puissamment déromantisé l’expérience combattante. Mais, à l’âge romantique, la guerre n’était pas tant jugée cruelle et sordide que belle et glorieuse avant tout. Arrimée à la culture de l’héroïsme et au modèle militaro-viril issus des grands conflits européens de la période 1792-1815, elle restait alors pourvoyeuse des plus hautes valeurs morales et esthétiques. C’est ainsi que, dès 1821, désespérant de l’éclipse des champs de bataille après Waterloo, des engagés volontaires venus de tout l’Occident, mêlant vétérans et jeunes romantiques, s’ébranlèrent vers l’Orient, fous d’enthousiasme, pour libérer les Grecs de quatre siècles de domination ottomane.



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  • Catégories : Klimt Gustav

    "Nuda Veritas" (1899) de Gustav Kimt

    retour« la Vérité nue », est une version agrandie de la petite figure de Nika ,personnification de la Victoire, représentée sur le tableau Athéna-Pallas, le personnage tendant ici au spectateur le miroir de la vérité. On peut interpréter le serpent comme un puissant symbole sexuel. L'inscription placée en haut est une citation du grand poète et dramaturge allemand
     
    Friedrich von Schiller:
     
    « Si tu ne peux plaire à tous par tes actes et ton art,plais à peu. Plaire à beaucoup est mal. »
     

    Cette phrase illustre la nouvelle voie dans laquelle Klimt s'engagea à la fin des années 1890 par son adhésion à la Sécession.

    http://art.mygalerie.com/les%20maitres/klimt5.html

  • La carte postale de l'été1/6

    Le Bord de mer à Palavas" Gustave Courbet (1854, 37x46cm, Musée Fabre)

    Par Judith Benahmou-Huet | 19/07 | 06:00
     
     

    Vous souvenez-vous ? C'était un matin. Vous vous êtes levé plus tôt que tout le monde dans la maison. On dormait tard. On était en vacances. Vous êtes sorti pour aller admirer la mer. Et là vous avez été saisi par la force de la nature. Le vent. Le bleu du ciel et celui des flots. A l'infini. La puissance des vagues. Vous avez été pris par un sentiment lyrique qui vous avez rarement traversé jusque-là. En 1854 c'est une sensation semblable qui a certainement inspiré à Courbet ce tableau.

    La scène se passe à Palavas. On a du mal à reconnaître le paysage de la station balnéaire populaire de la périphérie de Montpellier, mais c'est pourtant ici que prend place ce tableau romantique. Comme l'image de l'homme pensif placé au sommet de la montagne peint par l'Allemand Caspar David Friedrich, voici le chef-d'oeuvre français de celui qui salue la sublime nature. Mais descendons de nos sommets nuagueux pour revenir au niveau de la mer. Si Gustave Courbet le Franc-Comtois avait fait le déplacement jusqu'à Montpellier, c'est tout simplement parce qu'il y avait été invité par un banquier riche amateur d'art du nom d'Alfred Bruyas.

    C'est la première fois qu'il vient à la rencontre de celui qui va jouer un rôle crucial dans sa carrière de peintre-entrepreneur. Aujourd'hui on dirait que Bruyas est son « backeur ». En saluant la mer, ce jour-là, Courbet salue aussi son destin, qui a mis sur sa route un homme capable de financer ses colossales ambitions.

     
    Judith Benhamou-Huet

    Les échos d'aujourd'hui

     
  • J'ai lu hier:Klimt - Les Trois Ages de la femme

    Le Musée Du Monde Vol.8 Rebelle et jouisseur, artiste sécessionniste et artisan appliqué, il sera le visionnaire nostalgique d’un âge d’or et l’un des peintres les plus sensibles de la vie, de l’amour et du temps.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

     

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  • Catégories : CELLES QUE J'AIME, CEUX QUE J'AIME, Hugo Victor, SAND George

    Eloge Funèbre de Victor Hugo à George Sand

     Je pleure une morte, et je salue une immortelle. Je l’ai aimée, je l’ai admirée, je l’ai vénérée ; aujourd’hui dans l’auguste sérénité de la mort, je la contemple. Je la félicite parce que ce qu’elle a fait est grand et je la remercie parce que ce qu’elle a fait est bon. Je me souviens d’un jour où je lui ai écrit : « Je vous remercie d’être une si grande âme ». Est-ce que nous l’avons perdue ? Non. Ces hautes figures disparaissent, mais ne s’évanouissent pas. Loin de là ; on pourrait presque dire qu’elles se réalisent. En devenant invisibles sous une forme, elles deviennent visibles sous l’autre. Transfiguration sublime. La forme humaine est une occultation. Elle masque le vrai visage divin qui est l’idée. George Sand était une idée ; elle est hors de la chair, la voilà libre ; elle est morte, la voilà vivante

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  • Lettre de Céleste de Chateaubriand à Mme Joubert

    Je vous écris à bord du Lion d’Or, car les maisons ici ne sont autre chose que des vaisseaux à l’ancre. On voit de tout à Venise, excepté de la terre. Il y a cependant un petit coin, qu’on appelle la place Saint-Marc, et c’est là que les habitants vont se sécher le soir.

    26 juillet 1806

  • A Bertin, le 30 juillet 1806

    Cette Venise, si je ne me trompe, vous déplairait autant qu’à moi.  C’est une ville contre nature.  On ne peut y faire un pas sans être obligé de s’embarquer, ou bien on est réduit à tourner dans d’étroits passages plus semblables à des corridors qu’à des rues.  La place Saint-Marc seule, par l’ensemble plus que par sa beauté des bâtiments, est fort remarquable et mérite sa renommée.
    L’architecture de Venise, presque toute de Palladio, est trop capricieuse et trop variée.  Ce sont presque toujours deux, ou même trois palais bâtis les uns sur les autres.

    Ces fameuses gondoles toutes noires ont l’air de bateaux qui portent des cercueils.  J’ai pris la première que j’ai vue pour un mort qu’on portait en terre.
    Le ciel n’est pas notre ciel de delà l’Apennin ; point d’antiquités. Rome et Naples, mon cher ami, et un peu de Florence, voilà toute l’Italie.

    Il y a cependant quelque chose de remarquable à Venise, c’est la multitude de couvents placés sur des îles et sur des écueils autour de la ville, comme ces forts et ces bastions qui défendent ailleurs les villes maritimes. L’effet de ces monuments religieux, la nuit, sur une mer paisible, est pittoresque et touchant. Il reste quelques bons tableaux de Paul Véronèse, de son frère, du Tintoret, du Bassan et du Titien. 

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME

    Le plein de Chateaubriand

    Le petit aristocrate breton, que sa mère aurait voulu prêtre et son père officier, ne savait littéralement pas où se mettre. Au propre comme au figuré.

    chateaubriand CHATEAUBRIAND Jean-Claude Berchet Gallimard , 1050 pages , 29.5 €

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