Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Venise à Paris: un chef d’oeuvre de Guardi à contempler
le 28 février 2014 12H45 | par
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le 28 février 2014 12H45 | par
marche-de-l-artLa rue Constantine (IVe arrondissement de Paris), en 1866, devenue aujourd'hui la rue de Lutèce. (Photo Charles Marville. The Metropolitan Museum of Art New York.)
1. Ferdinand Georg Waldmüller (1793-1875)
Le Vieux Violoniste, 1828
Aquarelle et gouache - 32,5 x 26,7
Paris, Musée du Louvre
Photo : SVV Ferri16/12/04 – Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Les musées font assez rarement part de leurs acquisitions récentes. Le Louvre vient cependant de publier un communiqué pour annoncer plusieurs dons et achats dont nous avions déjà parlé (les deux tableaux de Michel-Ange Challe, la Déploration de François Barois et, pour le Musée Delacroix, le Portrait équestre de Jérôme Bonaparte par Géricault).
21/1/14 - Acquisition - Paris, Musée du Louvre - Mieux vaut un chef-d’œuvre d’un petit maître qu’un tableau médiocre d’un grand. L’achat que vient de faire le département des Arts Graphiques du Musée du Louvre auprès de la galerie de Bayser à Paris témoigne de la justesse de cette remarque. Il s’agit d’un pastel (ill. 1) dont l’auteur, Simon-Bernard Lenoir, est relativement peu connu même s’il fit une carrière honorable de portraitiste, devenant notamment peintre de portraits du prince de Condé. Celui-ci, représente le comédien Lekain dans le rôle d’Orosmane (un personnage de la pièce de Voltaire Zaïre). Tout y est admirable : de l’expression déterminée de l’acteur, qui joue avec conviction le sultan Orosmane, à la subtilité des coloris du costume.
23/12/13 - Acquisitions - Paris, Musée du Louvre - Par l’intermédiaire de la Société des Amis du Louvre, le musée vient de recevoir le don par Christian et Nathalie Volle et par Marie-Catherine Sahut de deux toiles peintes par Michel-Ange Challe (ou Charles-Michel-Ange-Challe) représentant respectivement Vénus et l’Amour et Danaë (ill. 1 et 2). Il s’agit des deux premiers tableaux de l’artiste à entrer dans les collections du Louvre alors que le département des sculptures avait acquis en 2011 une Vierge en marbre de son frère Simon (voir la brève du 8/12/12).
LE MONDE | 13.03.2014 à 09h44 | Roxana Azimi
Le hall du musée de la Reina Sofia, à Madrid. | CC Flickr / micora
Si les grandes institutions européennes se contentent souvent de blockbusters paresseux, un musée fait de la résistance : le Reina Sofia à Madrid. Depuis l'arrivée à sa tête de Manuel Borja-Villel, l'établissement a brillé par ses expositions thématiques savantes et exigeantes. Conçue par l'historien de l'art français Jean-François Chevrier, « Formas biograficas. Construccion y mitologia individual » (Formes biographiques, construction et mythologie individuelle) ne déroge pas à la règle.
La programmation des Vieilles Charrues s'étoffe. Sept nouveaux noms ont été dévoilés. Parmi eux, Étienne Daho.
Les responsables des Vieilles Charrues ont annoncé sept nouveaux noms qui viennent muscler encore la programmation du festival qui se déroulera les 17, 18, 19 et 20 juillet prochains à Carhaix. Parmi eux, Étienne Daho, 30 ans de carrière et 12 albums : « Il maîtrise toujours à merveille une pop new wave sombre et définitivement intemporelle », commentent les programmateurs. Il sera sur scène le dimanche. Dimanche également, Thirty seconds to Mars « une machine live colossale » emmenée par Jared Leto. Les Charrues promettent « une performance redoutablement rock. »
Piazza Novona
J'étais là très tôt ce matin
Je te cherchais
A vive allure, le passé nous rattrape
Je me demande si j'ai eu raison
Et me voici à Rome,
Devant chez toi
Paroles trouvées ici : http://www.parolesdeclip.fr/lhomme-qui-marche-etienne-daho-et-sally-herbert.html
Etretat, soleil couchant, Claude Monet
Quelques jours avant l'ouverture d'une rétrospective Van Gogh à Paris en 1947, le galeriste Pierre Loeb suggéra à Antonin Artaud (1896-1948) d'écrire un texte sur le peintre.
Prenant le contrepied de la thèse de l'aliénation, Artaud s'attacha à démontrer comment la lucidité supérieure de Van Gogh gênait les consciences ordinaires. En voulant l'empêcher d'émettre "d'insupportables vérités", ceux que sa peinture dérangeait le poussèrent au suicide.
En s'appuyant sur les catégories ou les désignations singulières mises en avant par Artaud dans Van Gogh le suicidé de la société, le parcours de l'exposition se déroule à travers une trentaine de tableaux, un choix de dessins et de lettres de Van Gogh ainsi qu'une sélection d'oeuvres graphiques du poète-dessinateur.
Le titre de l'exposition est issu du titre de l'ouvrage d'Antonin Artaud, Van Gogh le suicidé de la société
© Editions Gallimard, 1974.
Avec le généreux soutien de Ponticelli, Crédit du Nord, Wilhelm et Royal Talens.
Avec le soutien technologique de Sony et du Lab de l'Institut Culturel de Google ainsi que l'apport en peinture de Tollens.